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Dernière màj le 25/03/2025
Blog créé le 26/04/2010

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Trèves est une ville située sur la Moselle dans le Land de Rhénanie-Palatinat en Allemagne.
La période des fêtes est  l'occasion d'aller s'y promener afin d'y découvrir son marché de Noël.

Vous êtes prêts pour un nouveau voyage?

La balade débute Porta Nigra, une porte fortifiée d'époque romaine.
Ce monument est un des emblèmes de la ville de Trèves. Elle est une des plus anciennes portes de ville d'Allemagne.
C'est à cet endroit que l'on peut admirer le sapin de Noël de la ville.
 
Vous pouvez voir ou revoir d'autres marchés de Noël en cliquant sur ce lien.
 
Cliquez sur les photos pour les agrandir!
(16 clichés)


Place de la fontaine Saint-Pierre se dresse une très belle pyramide!


Un peu plus loin, les couronnes de l'Avent sont toutes aussi belles les unes que les autres!


Le temps de l'Avent est celui de l’attente prochaine de l’arrivée du Rédempteur des hommes.


Les lutins sont fin prêts pour aider le Père Noël à distribuer tous les beaux joujoux!


Avec le vin chaud, la boisson qui a beaucoup de succés cette année sur le marché de Noël de Trèves est le Verpoorten! Une liqueur d'oeuf!


Mais oui! Le traineau du Père Noël est déjà prêt!


Die Bilderhaus!
La façade de cette maison montre la procession du Vendredi-Saint.
Elle a été réalisée par le peintre Werner Persy.


La cathédrale de Trèves se situe au cœur de la ville médiévale. Elle a été construite sur un ancien palais de l'époque de l'empereur Constantin et représentait au début du 4e siècle la plus grande église chrétienne de l'antiquité.


La danse de la réconciliation!
Les petites figurines sont autour d'un bol qui représente un feu.
Les bros sont posés sur les épaules des voisins.
Cela donne une impression d'harmonie et de sérénité.


La crèche est bien représentée, elle aussi.


Bien sûr, vous avez un grand choix de boules de Noël!


Une Porta Nigra pour votre village de Noël?


Les vitrines sont toujours aussi bien décorées.


Petits et grands....nous sommes tous émerveillés!


Il ne faut pas quitter le marché de Noël de Trèves sans une gourmandise....une gaufre ou une crêpe?



Pendant près d'un mois, sur différents lieux au coeur de la ville de Metz, plus de 80 chalets en bois, une crèche et un sapin décoré s’installent dans le centre-ville historique.

Après une visite gourmande (voir le lien), les chalets nous emmènent en un voyage très "féerique".

Vous avez votre bonnet?

Vous pouvez retrouver d'autres marchés de Noël sur ce lien!



La ville de Metz est jumelée à Saint-Denis de La Réunion et en leur honneur, quelques chalets vont vous faire rêver.


Une petite décoration...Il est bientôt temps de penser au sapin de Noël.


Oui, mais...laquelle choisir?


Sur son balais, notre sorcière bien aimée est toujours aussi souriante.


Chaque année, nous nous arrêtons au stand des santons de Provence.


Les petits et les grands, tous sont très jolis.


Les bougies de Noël peuvent être, elles aussi, gourmandes.


Place Saint-Jacques, nous avons découvert une charmante dame Russe, qui nous a gentiment montré ces plus belles représentations locales.


Nous nous sommes bien comprises, malgré tout. Merci!


La magie opère également sous un petit chapiteau...Vous connaissez "Casse-noisette?"


Si vous ne trouvez pas votre bonheur...


Des coucous, peut-être?


Alors, elle vous a plus cette balade?


Vous reviendrez l'année prochaine, nous vous attendons....



Soufflenheim est une commune située dans le département du Bas-Rhin en région Grand Est.
Cette cité est réputée pour son artisanat de poterie vernissée et la fabrication de produits réfractaires.

La petite histoire:
L'argile y serait extraite et travaillée depuis l'âge du bronze, mais c'est seulement au 12e siècle que l'empereur germanique Frédéric Barberousse attribue aux résidents le droit perpétuel de tirer la glaise de la forêt de Haguenau.
On appelle aussi Soufflenheim, la cité des Potiers ou Töpferstadt en alsacien.

Vous pouvez retrouver quelques unes de nos balades en Alsace en cliquant sur ce lien!

(9 clichés)


Potier, une histoire de famille !

La famille Hausswirth, potier de génération en génération, est installée depuis 1979 au centre de Soufflenheim.
De tout temps, la poterie fut la grande spécialité du village et fit sa renommée.
Christian Hausswirth perpétue cet art de l’argile pour la fabrication de ses poteries.

Le tournage :

C'est la technique la plus longue à apprendre (compter 100 heures au départ avant de pouvoir faire un bol correctement), mais c'est aussi celle qui permet de travailler le plus vite ensuite.


Nous avons eu la chance de pouvoir visiter l'atelier de la poterie Hausswirth lors de notre dernier séjour dans cette charmante cité.

Dans la plus pure tradition de la poterie de Soufflenheim, tous les modèles présentés en magasin sont fabriqués et décorés à la main dans l'atelier artisanal et familial.


Ici, le moule qui sert à fabriquer le fameux plat à Baeckeofe.


Christian Hausswirth utilise encore et toujours la terre de Soufflenheim pour ses nombreuses qualités.
Cette argile provient de la proche forêt de Haguenau : elle est molle et imperméable, à base de silicate d’alumine naturelle.
Elle a la propriété de donner, une pâte plastique qui devient solide et inaltérable après la cuisson.

Le plat à Baeckeofe prend forme entre des mains expertes.


Décor gravé dans la terre crue :

Pour les pièces de gré brut il s'agit de graver le décor à main levée dans la terre crue à l'aide d'une grosse aiguille à coudre.
Cela se fait après le tournage.


Après les étapes de séchage et de première cuisson voici....

L'émaillage :

L’émaillage est un procédé de fabrication consistant à déposer sur un support, une couche vitreuse, transparente ou colorée, l'émail.


La qualité de l'argile de Soufflenheim est reconnue de très longue date !


La visite se termine par la boutique.....

Mon plat à Baeckeofe étant trop gros et trop lourd pour nous....je me suis achetée un plus petit.....

Merci à la famille Hausswirth pour cette visite et pour votre accueil vraiment très sympathique.



Hochfelden qui signifie champs élevés en alsacien est une commune de la plaine d'Alsace en région Grand Est.
Cette commune est également connue pour la brasserie Meteor, une brasserie indépendante alsacienne fondée en 1640.

Vous pouvez retrouver quelques unes de nos balades en Alsace en cliquant sur ce lien!

(15 clichés)


Historique :
En 870, l'abbaye de Wissembourg possédait, à Hochfelden, une cour domaniale avec terre salienne et manse de vignobles à l'emplacement de l'actuelle brasserie Meteor.

En 1640, Jean Klein installe la brasserie à son emplacement actuel. En 1844, la famille Metzger, issue de brasseurs strasbourgeois, rachète cette brasserie.
En 1898, cette famille s'allie par mariage à la famille Haag, brasseurs d'Ingwiller, la brasserie est renommée « Metzger Haag ». La brasserie est encore aujourd'hui dirigée par cette même famille.

Le grenier !
Nous découvrons au gré d'une balade dans le jardin les matières premières nécessaire à la fabrication de la bière.


Le laboratoire !
La serre abrite le laboratoire datant du 19e siècle.


La maison familiale !
Partons à la découverte de la maison familiale datant du 17e siècle et de ses souvenirs familiaux.


Le puits devant la maison !


Le bureau !


La bibliothèque !


La cour d'honneur !


Les caves de fermentation !
La salle de fermentation et de maturation où le temps transforme la bière verte en or jaune, avant d’être filtrée.


Oeuf à levure !


Moteur à vapeur !
La salle des machines pour vivre au rythme frénétique de notre épopée industrielle.


Le grand bar !
Le bar où les bières permettent d'exercer notre palais grâce aux conseils du barman.


Une charmante dame me propose de mettre une épingle sur la ville d'où nous venons.....


Pas si facile de nous y retrouver !


La dégustation !
La visite se termine par une dégustation sur la terrasse.

C'est une visite à ne pas manquer si vous passez dans cette région.



Surbourg est une commune située dans le département du Bas-Rhin en région Grand Est.
Nous nous y sommes arrêtés pour visiter la très belle collégiale Saint-Martin-et-Saint-Arbogast.

Vous pouvez retrouver quelques unes de nos balades en Alsace en cliquant sur ce lien!

(9 clichés)


Vers 570, Saint Arbogast, le premier évêque de Strasbourg, implante à Surbourg une abbaye, le premier couvent d'Alsace.
Le couvent fut placé sous le patronage de Sainte Marie et de Saint Martin, plus tard on y ajoutera Saint Arbogast.


L'abbatiale, reconstruite au XIIe siècle en style roman, existe toujours . Elle est devenue en 1838, l'église du village.


Cette église préfigure l'un des modèles de l'architecture romane alsacienne.


Les vitraux sont du 20e siècle.


La pierre des Guttiar est un remarquable exemplaire de l'art funéraire Renaissance alsacien.


Les bas-côtés sont terminés par des autels : une mort de Saint-Joseph d'un côté....


.....une Pièta de l'autre.


Peinture murale représentant Le Calvaire.

Belle balade !



Drachenbronn-Birlenbach est une commune située dans le département du Bas-Rhin en région Grand Est.

Installé au cœur du massif forestier de Drachenbronn, posé tel un belvédère sur l’un des sommets du Massif des Vosges du Nord, le Chemin des Cimes Alsace est l’une des attractions du territoire de l’Alsace Verte à ne manquer sous aucun prétexte !

Je vous invite à voir ou à revoir notre balade sur le chemin des cimes de Mettlach en Allemagne sur ce lien !

Vous pouvez retrouver quelques unes de nos balades en Alsace en cliquant sur ce lien!

(7 clichés)


D'une longueur totale de 1 050 mètres et avec une pente maximale de 6%, le Chemin des Cimes va nous emmener progressivement au-dessus de la cime des arbres, jusqu'au sommet de la tour panoramique de 29 mètres. 


Impressionnant !


Le sentier est agrémenté de panneaux évoquant la faune et la flore. Il est également jalonné de tables et de bancs de repos et de jeux ludiques.


Parmi les points les plus élevés des environs, cette tour panoramique nous offre un panorama à 360° sur les Vosges du Nord, la plaine du Rhin et la Forêt-Noire.


Marcher au-dessus des arbres ? Mais oui, c’est possible en Alsace Verte avec cette tour d’observation, le Chemin des Cimes Alsace.


La tour se situe sur un terrain militaire et l'on peut observer, au loin, les antennes militaires !

Belle balade !



Poussay est une commune située dans le département des Vosges en région Grand Est.

Le village est situé dans la vallée du Madon, à deux kilomètres au nord de la ville de Mirecourt, sur le sommet d’un coteau à trois cents mètres d’altitude sur la rive gauche du Madon.

Vous pouvez suivre notre balade à Mirecourt depuis le début sur ce lien !
(4 clichés)


Poussay est connu pour sa célèbre Foire de Poussay qui est la 3e foire agricole de France et la plus grosse Foire Braderie du Grand Est.

Mais ce village est aussi connu pour son puits, grand trésor local.
Il remonte au 12e siècle avec un ensemble urbain d'une grande authenticité.

Suite à la légende de Sainte Menne, deux monuments religieux dédiés à la Sainte ont été construits : une chapelle, à l’entrée du village de Puzieux, et une abbaye dans le village de Poussay.

Le puits est l’unique vestige du cloître.
Profond de 33 mètres, il était actionné jadis à la main par une grande roue de 2 mètres de diamètre et était uniquement utilisé par l'abbaye.
Puis après la Révolution, les villageois l'utilisèrent pour leur consommation quotidienne.
D’abord couvert au 18e siècle pour garder ses abords propres, il sera fermé après la construction d’une fontaine.


Église Saint-Maurice !


L'église actuelle est située à l'emplacement d'une chapelle dédiée à saint André, qui se trouvait dans les dépendances du monastère.
C'est une église de grand catactère !

Belle balade !



Le musée de la Lutherie et de l'Archèterie françaises est une institution culturelle située à Mirecourt, en France.

Elle permet de découvrir une sélection d'instruments à cordes présentant les différentes périodes et méthodes de production.

Vous pouvez suivre notre balade à Mirecourt depuis le début sur ce lien !
(11 clichés)


Le 17e siècle marque le début de la vocation luthière de la ville de Mirecourt.
La ville est alors chef-lieu de bailliage du duché de Lorraine.
C'est à partir de 1732 que les premiers faiseurs et joueurs d'instruments s'organisent en corporation.


Au 19e siècle, la lutherie se développe vraiment permettant à la ville de Mirecourt de devenir un centre incontesté de formation.


Le musée est installé dans un ancien séchoir à bois de lutherie, sur le cours Stanislas, au bord du Madon.


La collection instrumentale comporte 321 objets, représentant trois siècles de production artisanale.


Les instruments à cordes frottées ou pincées, pour la plupart, ont été réalisés artisanalement par des luthiers et des archetiers installés à Mirecourt ou originaires de Mirecourt.


C’est à Mirecourt que se sont forgées et transmises, à partir du 17e siècle, les traditions françaises de lutherie et d’archèterie.
Aujourd’hui encore, à Mirecourt, des luthiers et des archetiers perpétuent ces savoir-faire et de jeunes gens viennent apprendre leur métier à l’École Nationale de Lutherie.


L'atelier du musée !

Un élève luthier nous explique la fabrication d'un violon.


Les visiteurs du musée sont invités à s'imprégner de l'atmosphère de ce lieu unique où trois générations de luthiers se sont succédé pour réaliser des mandolines et des guitares.


Le choix est fait de présenter l'atelier en l'état avec pour objectif de valoriser l'esprit du lieu.


Quand Brassens avait pour compagne une guitage de Mirecourt !



La Maison de la musique mécanique et de la dentelle est un musée français situé à Mirecourt, à l'ouest du département des Vosges.

Vous pouvez suivre notre balade à Mirecourt depuis le début sur ce lien !
(7 clichés)


S'appuyant sur une longue tradition de production instrumentale autour de la lutherie, Jacques Zimmermann, maire de la ville de 1977 à 1999, fait l'acquisition en 1996 d'une collection d'instruments appartenant à un amateur du Finistère et ouvre un musée la même année.


Qu’ils répondent à l’éducation des serins ou à l’amusement, au colportage ou encore à l’annonce de la fête foraine, les orgues mécaniques fabriqués dans les ateliers de Mirecourt portent la sensibilité d’une ville décidément tournée vers la musique !


La maison de la musique mécanique présente l’histoire de la musique mécanique depuis les premiers orgues mécaniques fabriqués à Mirecourt au 18e jusqu’aux instruments pour piano-bars et cafés des années 1940.


.....Fête foraine, carrousel et Limonaire.....


Un détour musical à la découverte d’incroyables instruments de musique mécanique qui fonctionnent pour le plus grand plaisir des yeux et des oreilles !


La visite se termine par la reconstitution d'un atelier de facteur d’orgues mécaniques.

Nous y sommes allés lors de la journée du patrimoine et je pense que nous n'avons pas eu accès à tout le musée....Dommage !



L'église primitive de Mirecourt était jusqu'au début du XIVe siècle, la chapelle de la Oultre (voir le lien) !

Dédiée à Notre-Dame de la Nativité, l'église paroissiale de Mirecourt est un édifice gothique construit dès la fin du XIIe siècle, car la chapelle de la Oultre devenait trop petite.

Vous pouvez suivre notre balade à Mirecourt depuis le début sur ce lien !
(
7 clichés)


Vue de l'extérieur, on n'en voit pratiquement que la Tour, supportant la flèche octogonale; les maisons voisines l'enserrent étroitement.


La chapelle de la Vierge date de 1602.


Pieta en pierre polychrome datant du début 16e siècle.


La Sainte Famille !


Les fonts baptismaux, en marbre, pierre, bois ouvragé et potence en ferronnerie, datent de 1609.


Le chemin de croix.



Dans le courant du 13e siècle Mirecourt , commune située dans le département des Vosges, fait partie du domaine seigneurial du comte-évêque de Toul, qui lui accorde des lettres de franchise en 1234.
Mirecourt devient le chef-lieu de l'important bailliage de Vôge, mais est avant tout une cité de grand négoce.

Au 16e siècle, les ducs de Lorraine y introduisent le savoir-faire des maîtres italiens dans la fabrication des violons, savoir-faire qui se perpétue jusqu'à nos jours.

Commençons la visite de cette jolie cité par un petit tour en ville !

Vous pouvez suivre notre balade à Mirecourt depuis le début sur ce lien !
(
15 clichés)


Les halles !

Au cœur de la cité vosgienne de Mirecourt, se dressent les halles construites à partir de 1614.
En remplacement de halles en bois, le duc Henri II de Lorraine (1608-1624) exigea, dès le 23 juin
1614, l'édification de nouvelles, en pierres ; l'architecte Jean La Hire fut alors chargé
de mener à bien les travaux. Il avait alors une boucherie au-dessus des anciennes halles.


Petite exposition sur la dentelle !

Hier, à l'occasion des journées du patrimoine, nnousa vons pu adimrer une jolie exposition sur la dentelle.

La dentelle aux fuseaux fut réintroduite en France par les reines d’origine italienne, et plus précisément en Lorraine, à Mirecourt, par les ducs de Lorraine.


Saint Pierre Fourier, curé de Mattaincourt, petite paroisse à côté de Mirecourt, créa la Confrérie des Sœurs de Notre Dame et encouragea les sœurs à enseigner la dentelle dans leurs écoles et orphelinats.


Tout au long de notre parcours à Mirecourt nous avons pu voir nombre de maison ayant appartenues à des luthiers ou des archetiers.


Rue des remparts !


Puits communal !


Maison aux armoiries de commerçants !


Sur la façade d’une dizaine de maisons de Mirecourt figure un quatre de chiffre le plus souvent sur la clé du linteau de la porte.

Ce chiffre 4 a eu plusieurs significations :
-15e siècle, c’est un symbole contre la peste
-16e siècle il apparaît dans des filigranes du papier fabriqué dans les Vosges
-17e siècle ce symbole est inséré dans les signatures des marchands de Mirecourt. Ceux-ci sont souvent originaires de la Savoie, où ce symbole est fréquent.

Selon certains historiens, le quatre de chiffre symbolise la forme d’une balance romaine, encore très largement utilisée à cette époque.


Pont Stanislas construit sur le Madon !

Appelé aussi pont St Vincent, du nom du faubourg où il conduit, il fut construit de 1747 à 1750 sur le Madon, alors que Stanislas était Duc de Lorraine.
Il est entièrement en pierre, y compris le garde-corps, et est construit en arc.


Chapelle de La Oultre !

À quelques pas du Madon, au cœur du Faubourg St Vincent, se trouve une modeste et jolie chapelle appelée "La Oultre".
Le nom de la chapelle signifie «outre», au-delà, soit de l’autre côté du Madon, soit au-delà de la vie car la chapelle était entourée du cimetière de la ville.


Petites cours intérieures renaissances!

Après le retour de la paix et du duc Léopold (1698-1729), puis sous le règne de Stanislas (1737-1766), la ville se reconstruit et l’on encourage la réfection des façades sur la grande rue.


Les cours intérieures se parent d’escaliers rampe sur rampe, aux arcs surbaissés et dotés de gardecorps et balustrades en fer forgé.


Maison natale de Saint-Pierre Fourier !

Saint Pierre Fourier1, né le 30 novembre 1565 à Mirecourt et mort le 9 décembre 1640 à Gray (alors en Franche-Comté espagnole), est un prêtre catholique et religieux augustin Lorrain.

Ses biographes le considèrent, d'une part comme l'un des pionniers de la Réforme catholique, dans le sillage du concile de Trente, d'autre part comme un pionnier en matière d'éducation.
Il est également considéré, à l'instar de la princesse de Phalsbourg et du graveur Jacques Callot, comme un grand patriote Lorrain.


Bâtiment de la Caisse d'Épargne !

À bientôt pour la suite de cette balade !



Mirecourt est une commune située dans le département des Vosges en Lorraine.

Déjà au 13e siècle Mirecourt est une cité de grand négoce.
Mais c'est au 16e siècle que les ducs de Lorraine y introduisent le savoir-faire des maîtres italiens dans la fabrication des violons, savoir-faire qui se perpétue encore aujourd'hui.

Nous avons eu le plaisir d'aller découvrir cette cité. Cet article servira de récapitulatif à cette balade !

-Mirecourt (voir le lien)
-Église de la Nativité-de-Notre-Dame (voir le lien)
-Musée de la musique mécanique (voir le lien)
-Musée de la lutherie (voir le lien)

-Bainville-aux-Saules (88) - Restaurant La Crémaillère (voir le lien)

Poussay (88) - Un petit arrêt (voir le lien)

Vous pouvez voir ou revoir nos balades vosgiennes en cliquant sur ce lien!



Je vous ai déjà parlé du marché aux tissus qui se déroule deux fois dans l'année à Luxembourg-ville !

Aujourd'hui, je n'ai pas manqué ce rendez-vous!
À 10h ce matin, j'étais devant la porte!
Pour l'occasion, je me suis procuré un beau chariot qui me sera très utile aussi pour mon activité "couture".


En effet, au mois de septembre, les activités reprennent dans tous les centres et je vais bientôt retrouver mes amies de la couture!
J'ai donc profité des prix très intéressants pratiqués dans ce marché pour faire quelques emplettes!


Les travaux prévus au programme chez Sylvie...une robe en jean, une sortie de bain, un legging et...pourquoi pas....une ou deux trousses de toilette!

Bonne rentrée à toutes et à tous!



Le château fort de Sedan, situé dans le département des Ardennes, en région Grand Est, a remporté le trophée 2023 de l'émission "le monument préféré des Français 2023".


C'est le plus grand château fort d'Europe surnommé le géant des Ardennes.

Bravo le Grand Est !



Après s'être reposés et restaurés, nous prenons le chemin du Mémorial de Verdun où nous sommes attendus!

-Mémorial (ici)
-Mémorial - La communication (sur ce lien)
-Mémorial - Le dernier adieu (sur ce lien)

Vous pouvez voir ou revoir notre série "Une journée à Verdun" depuis le début en cliquant sur ce lien!

Cliquez sur les photos pour les agrandir!
(10 clichés)


Le Mémorial de Verdun est un musée consacré à l'histoire et à la mémoire de la bataille de Verdun de 1916.
Il est situé à Fleury-devant-Douaumont, à quelques kilomètres de Verdun, dans le département de la Meuse en région Lorraine.


"Verdun!....
On ne passe pas!"
Cette partition est consacrée à un chant patriotique écrit en 1916.


"Petit manuel illustré du soldat"!
Il date de 1914.


"Cocarde de conscrit de 1911"!
Arborée fièrement au revers de la veste, elle montre que le jeune homme est apte au service!


Créé en 1967 à l'initiative du Comité National du Souvenir de Verdun et de son président Nabila, le musée est alors un lieu de mémoire pour les anciens combattants de la Première Guerre mondiale.


De fin 2013 à début 2016, le Mémorial ferme pour des travaux de rénovation et d'agrandissement.
Le 21 février 2016, il rouvre à l'occasion du centenaire du début de la bataille de Verdun.


"Tornister"
Havresac allemand préparé pour monter au front!
Il comporte du linge de rechange, des chaussures de repos, des vivres surnommés "la ration de fer"...


"Cuisine roulante"!
Les troupes allemandes sont accompagnées de cuisines mobiles qui fournissent de 150 à 200 repas chauds.


"Canon de campagne"!
Ce canon, léger, mobile, rapide et précis est l'arme principale de l'artillerie française.

À demain!



Notre journée à Verdun ne pouvait pas se terminer par une petite promenade dans la ville!
Verdun est une commune située dans le département de la Meuse, en région Lorraine et l'existence de l'agglomération verdunoise remonte à l'Antiquité où les Celtes fondent un oppidum surplombant un méandre de la Meuse.

Vous pouvez voir ou revoir notre série "Une journée à Verdun" depuis le début en cliquant sur ce lien!

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(17 clichés)


Forteresse de l'Est de la France, la ville est le théâtre de plusieurs batailles, telles que celle de 1792 lors des guerres de la Révolution française, et celle de 1870 lors de la guerre franco-prussienne.
Mais c'est surtout la bataille de Verdun de 1916, au cours de la Première Guerre mondiale, qui rend à jamais célèbre la ville dans le monde entier.


La ville possède de nombreux vestiges militaires mais également un riche patrimoine religieux en tant que siège de l'évêché de Verdun depuis le 4e siècle.


La commune s'étend dans la vallée de la Meuse, sur les deux rives du fleuve au niveau d'un méandre.


Verdun s'est construite sur les berges de la Meuse, qui traverse la ville du sud au nord.


Le fleuve prend sa source en Haute-Marne et se jette dans la mer du Nord, en traversant la France, la Belgique et les Pays-Bas.


Dans la ville, le fleuve est rejoint en rive gauche par la Scance, une petite rivière qui prend sa source dans le département.


Sur le territoire communal, le fleuve est réuni avec le canal de l'Est, qui relie la Meuse et la Moselle à la Saône, et qui est aussi connu sous le nom de canal de la Meuse sur cette portion.


Le cœur historique de la ville est situé sur un promontoire en rive gauche d'un méandre de la Meuse.


Dans la première moitié du 20e siècle, les remparts sont démolis et de nouveaux quartiers continuent leur développement.


L'ultime but de cette journée est de visiter la cathédrale!


Nous nous dirigeons vers la ville haute et nous faisons déjà une belle rencontre!


Une Vierge à l'Enfant nous indique le chemin!


Nous passons devant l'école!


Le panneau est encore là!


Le monument de la victoire à Verdun est érigé au sommet d'un escalier monumental qui relie ville basse et ville haute.
Du haut d'une tour pyramidale de 30 m au sommet tronqué, un guerrier franc appuyé sur son épée massive monte la garde, le regard porté vers les champs de bataille à l'est.


De part et d'autre du monument, deux canons russes de la Première Guerre mondiale pris aux Allemands.
Aujourd'hui, l'escalier est scindé en son centre par une cascade symbolisant la vie renaissante. Elle rejoint le grand jet d'eau au bord de la Meuse en descendant l'avenue de la Victoire.



Chattancourt est une commune située dans le département de la Meuse, en région Grand Est.
La commune est connue pour sa célèbre tranchée, "La tranchée de Chattancourt", la seule tranchée reconstituée du champ de bataille de Verdun.

Vous pouvez voir ou revoir nos balades à Verdun depuis le début en cliquant sur ce lien!

(15 clichés)


La tranchée de Chattancourt est surtout un lieu de mémoire de la Première Guerre mondiale.


Située sur le champ de bataille de Verdun, la Tranchée de Chattancourt est un lieu unique en son genre.

Reconstituée à proximité de l'endroit où se croisaient les tranchées de Toulouse et de Chattancourt en 1916, ce lieu permet au visiteur de se replonger dans la peau du Poilu.



Chaque partie de la tranchée a été réalisée avec précision grâce aux manuels d'instruction, aux photos d'époque et aux témoignages de soldats.



Tout au long du parcours - 100 mètres de tranchée et d'abris -, le visiteur peut se projeter dans la peau d'un soldat grâce aux nombreuses explications et objets exposés.
Ce cheminement permet de comprendre la guerre des tranchées.


Un peu d'histoire!

Fin août 1914, deux uhlans partis en reconnaissance font une intrusion à la sortie de Chattancourt sur la route qui mène à la colline du Mort-Homme.

Ils demandent à deux jeunes garçons de remplir leur gourde à une petite fontaine.



Ils seront les seuls Allemands à pénétrer dans le village de toute la première guerre mondiale, exceptés les prisonniers de guerre.



À partir de 1915, Chattancourt devient un village de l’arrière.

Plusieurs régiment y cantonnent.

Certaines familles habitent toujours le village et la cohabitation se passe bien.



Un bénévole belge habillé en allemand nous fait la visite! Incroyablement vrai!


De mars à juillet 1916, le secteur de Chattancourt est soumis à de violent combats.
La commune se retrouve en première ligne.


Le 19 septembre, les ruines du village ainsi que les tranchées sont occupées par les soldats américains de la 80e Division.


Après-guerre, le village est reconstruit et devient un lieu de pèlerinage de la Grande Guerre.



Au fil du temps, les tranchées du champ de bataille de Verdun sont comblées, ne subsistent que quelques traces dans les forêts.



Le 22 février 2017, l’association « La Tranchée de Chattancourt » est créée et les premières visites ont lieu à partir du 1er avril 2017.
100 mètres de tranchées ont été totalement reconstitués avec abris, poste de secours, abri officiers.....


Rendons hommage à tous les bénévoles qui ont rendu cette visite possible!



La tranchée des baïonnettes est un monument commémoratif de la bataille de Verdun en 1916.
Il est situé sur le ban communal de Douaumont-Vaux, dans le département de la Meuse.
 
Vous pouvez voir ou revoir notre série "Une journée à Verdun" depuis le début en cliquant sur ce lien!

(3 clichés)


Dans l’imaginaire collectif, Verdun a laissé de nombreux récits témoignant de la violence de cette bataille. 


Parmi eux, un des plus connus est celui de la « tranchée des baïonnettes », où des soldats furent ensevelis debouts et armes à la main par la terre projetée par la pluie d’obus qui les frappa.



Je vais terminer mon tour d'horizon de Verdun et de sa région par un dernier "village détruit", Vaux-devant-Damloup !
 

Vaux-devant-Damloup est une ancienne commune située dans le département de la Meuse, en région Grand Est.

Bien que le village ait été reconstruit environ 500 mètres plus bas qu'auparavant, il fait partie des neuf villages français détruits durant la Première Guerre mondiale.

Vous pouvez voir ou revoir notre série "Une journée à Verdun" depuis le début en cliquant sur ce lien!


(5 clichés)


Le 21 février 1916, le tonnerre des canons marque le début de la bataille de Verdun.



Situé sur le secteur de Verdun, le village perdu par les troupes françaises le 31 mars 1916 et repris le 3 novembre 1918 disparaitra totalement sous l'acharnement des pilonnages des obus français et allemands.

(Chapelle Saint-Philippe et Saint-Jacques, construite en 1933)


Le village actuel ne comporte qu'une trentaine d’habitations et moins de 80 habitants.


Construit après la Première Guerre mondiale, il tient son nom de Vaux, village détruit par la bataille de Verdun en 1916, et du village de Damloup, situé à deux kilomètres.



Nous sommes toujours dans le département de la Meuse ! Non loin du village détruit de Fleury-devant-Douaumont, arrêtez-vous devant cette belle représentation d'un lion abattu.
 
Vous pouvez voir ou revoir notre série "Une journée à Verdun" depuis le début en cliquant sur ce lien!

Cliquez sur les photos pour les agrandir!
(3 clichés)


La statue représente un lion abattu.


Il a été construit à l’emplacement d’une chapelle détruite pendant la bataille de Verdun en 1916 et il marque la limite de l’avancée allemande sur Verdun.



Ce monument, réalisé par Alexandre Descatoire, est érigé à la mémoire du soldat André Thome.
 
Vous pouvez voir ou revoir nos balades à Verdun depuis le début en cliquant sur ce lien!
 
(3 clichés)


Il se trouve juste à côté de l'ossuaire de Verdun, à l'embrachement de la route menant au fort de Douaumont.


A. Thome, né en octobre 1879, était docteur en droit et député de Rambouillet à l'aube de la guerre de 14.
Sous-lieutenant à la 147e brigade d'infanterie, il est très griévement blesséaux bois des Caures et décède en 1916.

La légende de la carte postale cite le général Bazelaire : " Il a compris qu'on représente le Peuple par des actes et non par des paroles ".



La Maison des Lumières, située 1 place Pierre Burelle à Langres, est le seul Musée de France consacré au philosophe et encyclopédiste Denis Diderot, natif de Langres.

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La cathédrale Saint-Mammès de Langres est une cathédrale catholique romaine située à Langres, dans le département français de la Haute-Marne en région Champagne-Ardenne.

Elle a été édifiée entre 1150 et 1196 au centre du quartier canonial. Elle est dédiée à saint Mammès, martyr de Cappadoce au 3e siècle. Son style conjugue harmonieusement les volumes romans bourguignons et gothiques avec ses voûtes d'ogives, sa façade occidentale reconstruite au 18e siècle se distinguant par son style classique.

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Langres est une commune du département de la Haute-Marne, dont elle est l'une des deux sous-préfectures, en région Grand Est.

Nous avons eu l'occasion d'y passer deux jours cet été et c'est cette nouvelle balade que je vous propose aujourdhui !

Cet article servira de récapitulatif à cette visite:

-Balade des remparts (voir le lien)

-Un petit tour en ville (voir le lien)

-Le tour de Navarre et d'Orval (voir le lien)

-Maison des lumières (voir le lien)

-Cathédrale Saint-Mammès (voir le lien)

-Restaurant La Pignata (voir le lien)

-Restaurant Le Grand Hôtel de l'Europe (voir le lien)

-Restaurant Diderot Hôtel Le Cheval Blanc (voir le lien)

Je vous souhaite une belle balade !

Vous pouvez voir ou revoir nos balades dans le Grand-Est en cliquant sur ce lien !

(La statue de Denis Diderot est une œuvre d'Auguste Bartholdi installée sur la place Diderot de Langres en 1884)



La commune est délimitée au sud par la frontière française qui la sépare du département de la Moselle en région Lorraine. Elle est délimitée à l’ouest par la frontière luxembourgeoise et la Moselle qui la séparent du canton de Remich au Luxembourg.

Perl est une cité que nous connaissons bien car nous nous y rendons régulièrement pour y faire quelques achats! Et, aujourd'hui, je vous invite à découvrir la très jolie chapelle Saint-Quirinus de Perl.

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Saint-Quirinus est une chapelle dédiée à Saint-Dédié à Quirinus de Neuss.
La première chapelle du Quirinus fut édifiée au 17e siècle à l'emplacement d'un puits-sanctuaire celtique.
En 1712 fut reconstruite l'actuelle chapelle qui devint rapidement un lieu de pèlerinage pour toute la région.


Dans une niche au-dessus de l'entrée, est suspendu un relief moulé représentant Saint-Quirinus en armure de guerre avec bouclier et lance sur un cheval.


Depuis le chœur, une ouverture mène à la partie la plus ancienne de la chapelle du 17e  siècle, une petite salle rectangulaire aux reliefs fondus.


Nous pouvons y admirer une commémoration de la guerre 1870-1871 et de la guerre 1914-1918.


La chapelle possède 14 reliefs moulés du chemin de croix.


Cette chapelle est située non loin du très joli jardin baroque de la commune.



Andilly-en-Bassigny est une commune française, située dans le département de la Haute-Marne en région Grand Est.
La villa gallo-romaine est situé à 1,5 km d'une voie romaine secondaire allant de Langres à Bourbonne-les-Bains.
Le site d'Andilly est remarquable non seulement par l'ampleur des structures actuellement dégagées, mais aussi parce que ses vestiges sont les seuls témoins visitables d'une telle occupation rurale de l'Est de la France.

L'article et toutes les photos sur ce lien !


Le petit clin d'oeil des bénévoles....une petite statue de Mercure avec le Mont Mercure en toile de fond.
Mercure, fils de Jupiter, est le dieu du commerce, des marchands, des médecins, des voleurs et des voyages. Il est aussi le messager des autres dieux !
Le mont Mercure est une colline de 443 mètres de hauteur situé sur la commune d'Andilly !

À bientôt pour une nouvelle balade !



Beblenheim est une commune située dans le département du Haut-Rhin en région Grand Est.

Bien que le village ne soit pas fortifié, l'habitat y est dense et les maisons en pans de bois sont séparées par une ruelle étroite permettant l'évacuation des eaux de pluie évitant la propagation des incendies de maisons en maisons.

La suite de cet article sur ce lien !

Vous pouvez retrouver quelques unes de nos balades en Alsace en cliquant sur ce lien!

Belle balade !



DÉSOLÉ....JE N'ARRIVE PAS À METTRE LES PHOTOS !
VOUS POUVEZ RETROUVER CET ARTICLE SUR "Les restaurants de Marc et Sylvie" ici !

Le château de Lunéville est une demeure des ducs de Lorraine depuis le 13e siècle, d’abord occasionnelle puis officielle à partir du 18e siècle.

Aujourd'hui, le « Versailles lorrain » dévoile ses atours sous la forme de trois parcours mettant en avant les soixante années de son âge d’or:

-Nous avons pu visiter le château (ici).
-Nous avons pu également nous promener dans les jardins (ici).
-Aujourd'hui, nous allons visiter le musée « Lumière sur la cour de Lunéville ».
Pour cela il faut aller du côté du commun nord pour voir le cœur de ces collections.


Sphères armillaires, planétaires, compas, graphomètres et microscope, équivalents de ceux présents dans la salle des Machines de Léopold jusqu’en 1737, attestent de la pénétration des connaissances scientifiques à la cour princière : Newton s’invite à Lunéville.

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Vous pouvez voir ou revoir la visite du château de Lunéville depuis le début en cliquant sur ce lien!



Le château de Lunéville est une demeure des ducs de Lorraine depuis le 13e siècle, d’abord occasionnelle puis officielle à partir du 18e siècle. Sa forme actuelle a été construite pour le duc Léopold Ier entre 1703 et 1720 sur des plans de Pierre Bourdict, Nicolas Dorbay et Germain Boffrand.

Aujourd'hui, je vous emmène faire une promenade dans les jardins à la française du château.

L'article et toutes les photos sur ce lien !

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C'est bientôt la rentrée des couturières chez nous....Raymonde....je suis prête !

Ce matin, je me suis préparée avec fébrilité .....j'allais au marché aux tissus de Luxembourg-Ville, au Kirchberg !

Après ces dernières années difficiles, exposants, tissus et autres fournitures étaient à nouveau disponibles.


J'ai fait mes devoirs et j'ai calculé le métrage de tissus dont j'avais besoin pour les différents modèles que je voulais réaliser.


Le temps passe vite à chiner ici et là ! Et voilà le résultat !
...des petits hauts pour mettre avec les jupes que j'ai remis à ma taille....un beau tissu pour une robe d'été....et pourquoi pas me faire quelques pantalons d'intérieur....
Ah oui ! J'allais oublier le tissu pour un pyjama...
Et encore du tissu induit pour une ou deux trousses de toilette....


Lorsque j'ai eu fini de faire mes achats, nous nous sommes décidés à terminer cette matinée par un déjeuner à l'Hostellerie des pêcheurs de Chine, restaurant situé 45 route de Stadtbredimus à Remich au Luxembourg.


L'accueil est toujours aussi sympathique dans ce restaurant que nous connaissons bien....ici  ou  là !


Nous débutons notre repas par un potage....aux raviolis chinois pour moi et Nicolas et aux fruits de mer pour Marc.


En entrée, nems, poulet saté et scampis frits. Un vrai plaisir gourmand.


Pour la suite du repas Nicolas et moi savourons le plat de dégustation avec du canard à l'orange, des scampis aux légumes et un émincé de boeuf.


Marc et Nicolas finissent leur repas par une dame blanche.....


....et moi par une coupelle de lichis !

Voilà une matinée bien remplie et surtout bien gourmande !



L'ouvrage de Schœnenbourg est un ouvrage fortifié de la ligne Maginot, situé à la limite des communes de Hunspach et d'Ingolsheim, dans le département du Bas-Rhin.

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L'ouvrage de Schœnenbourg est un gros ouvrage d'artillerie, comptant huit blocs.


Construit à partir de 1931, il a été légèrement abimé par les combats de juin 1940, puis par les sabotages allemands de 1945, avant d'être réparé au début de la guerre froide2.
C'est le plus grand ouvrage de la ligne ouvert au public en Alsace.

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Belle balade !



Wœrth est une commune située dans le département du Bas-Rhin en région Grand Est. Nicolas nous y a emmenés découvrir un très beau musée, celui de la bataille du 6 août 1870.

C'est le château de Wœrth qui abrite actuellement le Musée de la bataille du 6 août 1870.

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Après la bataille, les médecins improvisent les soins en fonction de leurs faibles moyens dans des lieux souvent inattendus.

Rien de bien surprenant de voir une bonne soeur arborer une Croix-Rouge quand elle se trouve au chevet d'un blessé.


Nouvelle carte d'Europe dressée en 1870.


Huile sur toile de Edouard Detaille datant de 1874. Elle représente la charge du 9e régiment de cuirassiers dans le village de Morsbronn.

Une chanson, souvent accompagnée de gestes, commémore la bataille (dite) de Reichshoffen.

Ses paroles sont les suivantes :

C’était un soir la bataille de Reichshoffen,
Il fallait voir les cuirassiers charger.
Attention ! Cuirassiers ! Chargez !
Et d’une main ...

Ils ont chargé nos cuirassiers héroïques
À Reichshoffen, la mort fauchant les rangs
Attention ! Cuirassiers ! Chargez !
Et d'une main.

On continue avec le pied, le pouce, le bras...


Huile sur toile de Théodore Lévigne datant de 1878. Elle représente la charge des cuirassiers.


Ce diorama a été réalisé par Monsieur Korth de Hambourg. Cette réalisation a pris 4 ans.


Huile sur toile de Eugène Béllangé datant de 1889. Elle représente la charge héroïque des Turcos.

Les tirailleurs algériens, appelés aussi Turcos, sont des unités d'infanterie de l'armée de terre française, appartenant à l'Armée d'Afrique. Le surnom de « Turcos » a été donné aux Tirailleurs algériens lors de la guerre de Crimée par les Russes qui les avaient pris pour des Turcs.

N'hésitez pas à visiter ce musée. Ils est vraiment très intéressant.

Belle visite et à bientôt pour une nouvelle balade !



Merkwiller-Pechelbronn est une commune est située dans le parc naturel régional des Vosges du Nord.

Avec le relèvement des reliefs bordiers et l'abaissement du fossé rhénan au Cénozoïque, les produits de l'érosion servent à combler le fossé, en particulier les marnes bitumineuses du Jurassique. Ces derniers, qui se retrouvent au fond d'un lac, et, en conjonction avec le plancton évoluant à la surface, ont produit du pétrole.

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Le musée est facile à trouver. Il est juste à côté de l'église.


Le musée a pour but de conserver le souvenir de 500 ans d’histoire du pétrole en Alsace du Nord.
Dans cette région, déjà le paysan de la fin du Moyen Age savait que la terre était imprégnée d’une substance huileuse qu’il avait appris à utiliser. L’extraction systématique de celle-ci remonte à la première moitié du 18ème siècle et durera jusqu’en 1970.


L’étendue des galeries de mines et de la raffinerie, la naissance de la société Antar et de l’Institut Français du Pétrole, le premier carottage électrique sont quelques-uns des traits marquants d’une saga unique.


Maquette d'un puits de mine.


Le baril est, actuellement, l'unité de mesure de capacité universelle pour les produits pétroliers, valant environ 159 litres.


À partir de 1917, sur l’initiative du directeur Paul De Chambrier, une nouvelle forme d’exploitation minière est mise en place. Huit puits sont foncés et 430 km de galeries, d’une profondeur variant entre 150 et 400 mètres, sont creusées dans des couches pétrolifères. Dans les galeries, des puisards recueillent l’huile, qui, une fois remontée, est acheminée par pipe-line à la raffinerie.
L’exploitation du pétrole par mines est unique dans l’industrie pétrolière.


Brouette du karichschmiermann !


Reconstitution de la brouette et du tonneau contenant la graisse d'origine pétrolière vendue par le karichschmiermann pour graisser les essieux.


Bidon d'huile Antar !
"Antar, l'huile de France, le pétrole de Pechelbronn" !
Ce slogan sur le bidon était l'élément marketing patriotique de l'époque.


Au commencement.....

Depuis la nuit des temps, les sangliers savaient que le meilleur moyen de se débarrasser de la vermine était de se vautrer dans les affleurements huileux de la forêt d’Alsace du Nord. Ils furent sans doute, les premiers utilisateurs du pétrole de Pechelbronn, bientôt relayés par les hommes. Pendant des siècles ceux-ci récupèrent ce corps gras flottant à la surface de la source «Baechel-Brunn» pour lubrifier les roues des chariots et guérir les maux de dents, la goutte ou les plaies…



Wissembourg est une commune située dans le Bas-Rhin en région Grand Est. Nous avons eu le loisir de nous y balader et cet article servira de récapitulatif à cette promenade!

-L'Alsace authentique (I)(ici)

-L'Alsace authentique (II)(voir le lien)

-Wissembourg, le Schlupf ou la petite Venise (voir le lien)

-Cloître et chapelle romane (voir le lien)

-Église saint-Pierre-et-saint-Paul (voir le lien)

-Restaurant Le Moulin de la Walk (voir le lien)

-Restaurant Le Caveau du Chatelet (voir le lien)

-Restaurant La Couronne (voir le lien)

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Installé depuis 2009 sur la place de la Comédie à Metz, commune située dans le département de la Moselle, ce jardin d’été renouvelle sa thématique chaque année.
En s’accordant avec l’actualité et les préoccupations environnementales, il propose, cette année, une nouvelle vision de la nature, installée en plein cœur de la ville.

Vous pouvez voir ou revoir nos balades en Moselle en cliquant sur ce lien.
(11 clichés)


Les jardiniers de la ville travaillent pendant plusieurs semaines pour proposer un décor de végétaux où les visiteurs pourront flâner à leur guise.

Et les sculptures de Valentin Pierrot s’intègrent au jardin !


Divers types de végétation sont plantés dans différents espaces sur la place de la Comédie en transformant celle-ci en un véritable lieu de rencontre.


Invité spécial de cette édition, Valentin Pierrot propose une œuvre autour de la thématique des couleurs.


Cet été, en effet, pour l’édition 2022 du jardin éphémère, les jardiniers de la Ville de Metz ont laissé une tache de peinture se répandre dans l’écrin architectural remarquable de la place de la Comédie.


Rouge, bleu, jaune, orange, vert, violet ou rose, sans oublier le noir et le blanc !


Pour entrer dans le jardin, on vous déroule le tapis rouge ! 


Cessez de broyer du noir en surmontant les embûches pour enfin voir la vie en rose.


Promenez-vous dans cet espace vert de 1500m2 et admirez cet îlot de fraîcheur de toutes les couleurs.


L'édition 2022 du jardin d'été de Metz nous invite à un très beau voyage. 


Déambulez, flânez, observez, attardez-vous et profitez !



Du 9 juillet au 25 septembre 2022, tous les plus beaux manuscrits de 1960 à nos jours, ainsi que des objets rares, disques d’or et costumes de scène seront rassemblés à Yutz.
Un évènement exceptionnel pour tous les amoureux de la chanson française et des refrains qui ont marqué leur vie.
Une exposition exceptionnelle à découvrir !



14ème édition de la manifestation estivale "Rive et Coeur de Ville en Fête"
Du mercredi 22 juin au dimanche 4 septembre 2022, la Ville de Thionville propose des animations, des concerts, des expositions, des ateliers en coeur de ville et sur le bord de Moselle.



Metz, en Moselle, accueille cette année les championnats de France de kayak 2022.
 
Les championnats de France de kayak se dérouleront à Metz en 2022, du 22 au 31 juillet.
Sur 10 jours, 100 athlètes de haut niveau vont s’affronter dans le bassin de la pucelle.
 
Au-delà de la compétition, de nombreuses animations sont prévues pour le grand public, musique, graffeur, rencontres avec les sportifs et la présence d’un triple champion olympique, Tony ESTANGUET.
 
Les championnats de France sont la finalité de la saison de compétition où les meilleurs athlètes se retrouvent et s'affrontent dans leurs catégories respectives.



Le "Village préféré des Français" 2022 est Bergheim en Alsace : c’est la quatrième fois qu'un village d’Alsace est primé !

Bergheim est une cité médiévale nichée dans un écrin de verdure, entourée de vignes et protégée par des remparts moyenâgeux.

Je vous invite à retrouver ce village sur ce lien !
 
Belle balade et bravo Bergheim !



La cathédrale Saint-Sauveur est un édifice religieux catholique sis à Bruges, en Belgique.
Bâtie au 10e siècle elle est la plus ancienne église de Bruges.
D'abord église paroissiale, elle devint le siège de l'évêché de Bruges au début du 19e siècle, après la destruction de la cathédrale Saint-Donatien lors de l'occupation française en 1799.
Elle est dédiée au saint Sauveur, Jésus-Christ.
 
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(15 clichés)


Cet imposant édifice, de style gothique, est flanqué d'une tour-clocher haute de 79 mètres.....


.....dont le couronnement a été achevé entre 1846 et 1849 en néoroman par un architecte anglais, Robert Dennis Chantrell.


Bien que victime de plusieurs incendies, la cathédrale Saint-Sauveur conserve malgré tout de nombreuses œuvres d'art.


L’intérieur est plutôt sombre malgré des murs peints en blanc. La décoration riche et baroque est typique de l’époque de la contre-réforme.


L'orgue a été construit vers 1717 par le facteur Jacob Van Eynde. En 1935, afin de permettre un agrandissement important, l'orgue est déménagé sur la tribune de la nef par la maison Klais de Bonn. Le buffet du grand orgue est alors flanqué de deux imposantes tourelles de pédale.


Un aperçu du plafond de la cathédrale.


La chaire.


Le choeur.


La châsse en argent de saint Éloi du 17e siècle.


Le Trésor de la cathédrale est constitué essentiellement de peintures, notamment de Dirk Bouts, et abrite des œuvres d'art provenant de l'ancienne cathédrale Saint-Donatien et d'anciens couvents de Bruges.


Les vitraux sont magnifiques.


Ils méritent que l'on s'y attarde.


À bientôt pour une nouvelle balade !



Après un incendie du beffroi en 1280, la vieille ghyselhuus de la place du Bourg, à Bruges en Belgique, ancienne prison inutilisée, devient le nouveau lieu de rencontre des échevins de la ville.
En 1376, il est démoli sous les ordres du comte Louis de Mâle pour construire l'actuel hôtel de ville.
C'est la première maison communale d'importance de style gothique tardif en Flandre et dans le Brabant.
 
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(9 clichés)


Beaucoup de verrières et de baldaquins ont été détruits à la suite de la Révolution française.



Après un incendie en 1887, l'intérieur de l'hôtel de ville est en mauvais état.


Entre 1895 et 1905, l'architecte Louis Delacenserie et l'artiste Jean-Baptiste Bethune, prennent en charge la rénovation.


La petite et la grande salle des échevins sont fusionnées en une seule « salle gothique ». 


Les clés de voûte comprennent des illustrations issues du Nouveau Testament, des prophètes, des évangélistes et des saints.


Les corbeaux, qui soutiennent l'ensemble, sont décorés avec des thématiques représentations des saisons, des mois et des éléments.


Sur les murs furent peintes des scènes de l'histoire par l'artiste Albrecht De Vriendt.


À bientôt pour la suite de cette balade !



La place du Bourg, située à Bruges en Belgique, est le centre historique de la ville. Entourée de divers bâtiments qui ont marqué l’histoire de Bruges, cette place carrée était le quartier général du comte de Flandres.
 
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(7 clichés)


La place du Bourg est une ancienne forteresse. Au départ, elle était fortifiée et dotée de portes d’accès. Elle appartient à l’un des centres urbains les plus anciens de la ville.


Déjà habité au IIe siècle après JC, la Place du Bourg devint le quartier général du Comte de Flandre au IXe siècle. Le Palais du Franc de Bruges était l’endroit d'où la campagne environnante était gouvernée de la fin du Moyen-Age jusqu'en 1795.




Ces immeubles fut, un temps, occupés par diverses corporations.


À chaque immeuble, un métier !


La place actuelle est entourée de plusieurs bâtiments historiques. On y trouve notamment :

-la maison du Franc de Bruges

-l'ancien greffe civil de la ville de Bruges

-l'hôtel de ville de Bruges

-la basilique du Saint-Sang

-l'ancienne prévoté de Saint-Donatien
 
À bientôt pour la suite de cette balade !



La Basilique du Saint-Sang est un édifice religieux catholique sis sur la place du Bourg à Bruges, en Belgique.
Une chapelle romane dédiée à Saint-Basile est remaniée et largement agrandie au 12e  siècle pour recevoir une relique du Saint-Sang ramenée de Terre sainte par Thierry d'Alsace.
Comme centre important de pèlerinage elle fut déclarée basilique.
 
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L'extérieur!
Accolée à l’hôtel de ville et richement décorée, elle ne ressemble pas à un édifice religieux tel que l’on a l’habitude de voir car elle est ne dispose pas de clocher et est de taille modeste comparé aux autres bâtiments de la place.


Le batiment a subi plusieurs travaux d’envergure au cours des siècles.


Sa facade, de couleur gris foncé, est réhaussé par des sculptures dorées. Elle conjugue à la fois le style gothique et le style renaissance.


L'intérieur !
La chapelle du Saint-Sang !


La chapelle du Saint-Sang se trouve au premier étage. De style gothique, on y accède via un escalier datant à l’origine de 1530.


Initialement de style gothique, l’étage n’a conservé que 3 arcs en cintres de cette époque. C’est cette partie du batiment qui accueille la relique du Saint-Sang.


Très richement décorée, la pièce est lumineuse et colorée.


Les peintures datant du 19ème siècle.


Nous nous baladons et nous admirons !


La chaire date du 18ème siècle.


Ce n'est que profusion de détails.....


.....et de couleurs flamboyantes.


La chapelle Saint-Basile !


La chapelle Sainte-Basile de style roman, très sombre et très simple, date du 12e siècle.


Elle est composée de deux nefs latérales et d’une nef centrale.
Seules les colonnes cylindriques et un bas relief datant du 13e siècle remplissent la pièce.


C’est aujourd’hui la seule chapelle romane de toute la Flandre occidentale entièrement conservée.



Le béguinage de Bruges (appelé enclos de la Vigne, ou en néerlandais De Wijngaard) est situé dans la partie méridionale du centre historique de Bruges, en Belgique.
Il constitue encore aujourd’hui un espace clos que sépare de la ville un mur d'enceinte encore partiellement doublé de douves.

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Datant de 1245 et isolé de la ville par un mur d’enceintes et des douves, le couvent des béguines abrita de nombreuses femmes ayant choisi de rejoindre la vie religieuse pour un certain temps (lorsque leur mari était en croisade par exemple).


Vivant dans de petites maisons regroupées autour d’une église, ces lieux étaient appelés béguinages.


Le lieu ou les béguines de Bruges décidèrent de s’installer en 1225 était à l’époque un quartier paisible dénommé La Vigne.


À proximité immédiate courrait un ruisseau. Elles travaillent alors avec les tisserands du coin pour lesquels elles filent la laine.


À partir de 1245, elles disposent de droits propres et d’une plus grande autonomie au sein de la ville.


La révolution française marque la fin du béguinage. Rattachés aux hospices, ses bâtiments se vident de leurs habitantes et les lieux changent profondément.


Suite à un incendie, l’église du béguinage est reconstruite en style gothique en 1604.


Le monastère de la Vigne ou béguinage est un lieu qui respire le calme et incite à la contemplation.
C’est un des incontournables de Bruges et de son patrimoine religieux.
 
À bientôt pour la suite de notre balade à Bruges !



Les Maisons-Dieu de Bruges, commune située en Belgique, sont les ancêtre des logements sociaux.
Ce sont des hospices typiques de Bruges qui permettaient aux personnes locales dans le besoin et notamment aux veuves et aux personnes âgées de garder un toit et leur dignité alors que leur situation financière et personnelle ne leur permettait plus d’assurer un logement.
 
Vous pouvez voir ou revoir notre balade à Bruges sur ce lien !


Il existe 46 Maisons-Dieu à Bruges. Le dernier ensemble construit date de 1958.


Toutes appartiennent désormais à la ville et ce depuis la révolution française. Ce sont des personnes âgées qui y habitent aujourd’hui.


Regroupées en petits ensembles blanchis à la chaux et disposant d’un jardin central clos, parfois d’un point d’eau ou d’une chapelle, les Maisons-Dieu font aujourd’hui partie du paysage de la ville.


Visuellement très agréables, les espaces de verdure de ces lieux sont recherchés pour leur calme et l’ambiance reposante qui s’en dégage.


Créées dès le 14ème siècle (1337) par les bourgeois (par charité) ou par les guildes et confréries (pour héberger leurs collègues âgés), ces maisonnettes pour les pauvres sont sobres (une pièce principale) et disposent toutes d’un lieu dédié à Dieu : petite chapelle ou coin de prière.


Ici, pas besoin de loyer pour habiter mais une prière quotidienne pour Dieu et la famille du constructeur de la maison était exigée en dédommagement.
 
À bientôt pour la suite de cette balade !



Une visite de Bruges n'est pas complète sans une promenade en bateau sur les canaux de Bruges.....les artères de la ville.
 
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Accompagnés de cygnes qui dérivent à vos côtés sur l'eau, nous allons découvrir Bruges sous un angle surprenant.
Car certaines choses ne peuvent être découvertes que depuis l'eau !


La ville est ceinte par le canal Gand-Bruges-Ostende. Elle est sillonnée par plusieurs petits canaux.


Comme il est agréable de se laisser conter l'histoire de la ville depuis un petit bateau.


De jolies façades typiquement flamandes ornent les rives du canal.


Il n'y a rien d'autre à faire qu'à admirer le paysage.


Cette balade en bateau nous permet d'admirer des ponts et des façades souvent invisibles lorsqu’on parcourt les ruelles de la ville à pied.


Marc nous accompagne par la pensée et par le coeur !


À bientôt pour la suite de cette balade !



Les canaux forment depuis des siècles les veines de la ville de Bruges. Ils serpentent à travers la ville et nous offrent une vue magnifique après chaque tournant.

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Tout en flânant, nous découvrons des jardins secrets.....des ponts romantiques.....des façades médiévales qui se reflètent dans l'eau....


L’histoire de la « Venise du Nord » est intrinsèquement liée à ses canaux.


Ce sont eux qui ont facilité son ascension fulgurante au moyen âge et ce sont eux aussi qui ont petit à petit réduit son influence lorsque l’ensablement des canaux empêcha les bateaux de parvenir jusqu’au coeur de la cité.


Aujourd’hui, les canaux de Bruges n’ont plus aucune utilité sauf à permettre de sympathiques balades.


Pourtant, pendant de nombreux siècles, les canaux servaient au travail et permettaient un accès facile à la mer.


Les différents quais de chargement ou de déchargements qui quadrillent la cité belge étaient très souvent bondés, bruyant et fort agités.
Pour permettre aux denrées d’être livrées, échangées et chargées sur d’autres bateaux, il fallait que les canaux soient suffisamment calmes, larges et profond.


Un soupçon de brume.....une famille de cygnes qui croise votre chemin… le temps s'arrête toujours sur les canaux.
 
À bientôt pour la suite de cette balade !



L’hôtel de ville de Bruges est un monument historique datant du 14ème siècle, très richement décoré dans un style gothique flamboyant situé sur la place du Bourg, en plein cœur du Bruges historique entre la basilique du Saint-Sang et l’ancien tribunal Franc de Bruges.

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Sa façade est pleine de détails et l’intérieur, qui se visite, fait partie des incontournables locaux.
Ce monument âgé de plus de 6 siècle se visite partiellement et est, aujourd’hui encore, le cœur politique de Bruges.


Depuis l’extérieur, c’est la façade qui impressionne le plus.
La travée avec ses nombreuses niches entourant chacune des fenêtres est souvent pointé du doigt.


La façade est surmontée de 3 tourelles en encorbellement et le toit est parachevé par de petites lucarnes et autres décorations.


Les fenêtres sont décorés avec les armoiries des Francs, c’est à dire les vassaux de la cité. Il y avait 48 statues qui ornaient cette façade dont certaines étaient peintes par le maître Jan Van Eick. Elles ont disparu à la Révolution.


Après avoir reçu une plus grande autonomie au milieu du 12ème siècle, la ville de Bruges dût se résoudre à construire son hôtel de ville pour que les échevins et les services administratifs puissent travailler dans de bonnes conditions.
Mais l’hôtel de ville, siège du pouvoir devait aussi impressionner et participer au rayonnement de la cité.
 
C’est ainsi que la construction de l’hôtel de ville de Bruges débute en 1376 sous l’impulsion du Comte Louis de Mâle en lieu et place de l’ancienne prison ghyselhuus. 40 années plus tard, le bâtiment, dans sa version initiale, est finalisé. C’est alors une des plus premières et des plus importantes maison communale de Flandres.
 
À bientôt pour la suite de cette balade !



Né à la fin du 14ème siècle, Jan van Eick est un peintre du mouvement des primitifs flamands.
Après avoir travaillé à La Haye au service du prince-évêque, il rejoint son frère à Bruges en tant que peintre de cour pour le duc de Bourgogne, Philippe le Bon.
Après plusieurs missions à l’étranger il revient sur Bruges en 1430 ou il installe son atelier.
Il réalise des commandes ponctuelles pour la ville de Bruges tout en continuant ses travaux pour le duc.

Vous pouvez voir ou revoir notre balade à Bruges sur ce lien !


Cette place, entourée par un long alignement de bâtisses bourgeoises aux pignons triangulaires en escaliers, accueille une statue du peintre.
Bordée par 2 arbres, la statue de Bronze de plus de 2 mètres tourne le dos au canal.


La place Jan van Eyck est une petite place pavée au bout d’un canal au Nord de la cité.
Les bateaux marchands accostaient à cet endroit.
Une taxe de péage était alors prélevée de même qu’une commission sur chaque transaction.
Le lieu était au centre de la vie marchande de Bruges.


Au Moyen Âge, cette place était le Manhattan de la Bruges bourguignonne.
C'était un port animé où des commerçants passionnés originaires de toute l'Europe se réunissaient et où vous pouviez entendre toutes les langues imaginables.


À l’extrémité de la place, une église richement décorée avec sculptures et nombreuses fenêtre attire le regard.
Cette église a pris elle aussi le nom du peintre.


Aujourd'hui, cette place est majestueusement dominée par la statue du maître de renommée mondiale Jan van Eyck et permet d’accéder à des quartiers ouvriers tranquilles et paisibles.


Plutôt délaissée, à tort, par les touristes, cette place est une des plus jolies de Bruges.


À bientôt pour la suite de cette balade !



Bruges, en Belgique, fait partie de ces villes-états qui, de part leur passé particulièrement riche et un souci de préservation de leur patrimoine, ont réussi le défi de faire cohabiter vie moderne et  passé.
 
Poursuivons notre balade-découverte de cette cité au riche patrimoine !
 
Vous pouvez voir ou revoir notre balade à Bruges sur ce lien !


La longue période de torpeur qu'a connu la ville après la Renaissance a permis à l'essentiel de son tissu urbain médiéval et à une bonne partie de ses monuments anciens de rester préservés.


La « belle endormie » est alors apparue aux 19 et 20e  siècles comme l'un des joyaux du patrimoine européen.


Ce patrimoine ancien a été méticuleusement restauré et mis en valeur.


Une architecture néogothique de qualité s'est aussi développée parallèlement, faisant véritablement renaître le style local et redonnant au centre historique un aspect médiéval plus complet.


Musée du chocolat !
Le musée du chocolat est situé dans le bâtiment "Huis de Crone" du 16e siècle sur la Sint-Jansplein dans le centre de Bruges.
Ce bâtiment était à l'origine la maison d'une taverne à vin.
Il a ensuite abrité une boulangerie et, plus récemment, un atelier de fabrication de meubles.


La Grand-Place est la grand-place de la ville belge de Bruges.
La place, située en plein cœur du centre-ville couvre une superficie de 1 hectare.
Au sud de la Grand-Place se trouve le monument principal de la ville, le beffroi de Bruges, datant du XIIᵉ siècle.


Place Jan van Eyckplein !
Au Moyen Âge, cette place était le Manhattan de la Bruges bourguignonne. Un port animé où des commerçants passionnés originaires de toute l'Europe se réunissaient et où vous pouviez entendre toutes les langues imaginables.


La ville conserve de cette époque une architecture riche et maîtrisée aux finitions discrètes et élégantes.


Huis Ter Beurze, Maison de la famille Van der Beurse !
La famille Ter Beurse y exploitait une auberge et des opérations de change y étaient organisées. C’est ainsi qu’est né le mot ‘beurs’ (bourse en français), un mot qui s’est répandu dans le monde entier.


Musée de la frite !
Il n’existait à ce jour aucun Frietmuseum ou musée de la frite au monde, et le Frietmuseum de Bruges est donc le seul et unique musée de la frite.


L'église-halle Saint-Jacques, de style gothique, est située dans le quartier Steenstraatkwartier.
Une chapelle Saint-Jacques du 12e siècle qui devient église de la paroisse Sint-Jakobs, fut agrandie et transformée au 16e siècle.
 
À bientôt pour la suite de cette balade !



Bien que la région de Bruges fût déjà occupée du temps des Romains, le nom de Bruges est apparu pour la première fois au 9e  siècle, peut-être dérivé de l’ancien allemand « brugj », qui signifie « embarcadère ».
L’histoire de Bruges est étroitement liée à la mer tant l’eau a joué un rôle crucial dans son développement.
 
Vous pouvez voir ou revoir notre balade à Bruges sur ce lien !


En raison de son emplacement favorable et de sa communication avec la mer, la ville de Bruges s’est développée au début du Moyen Âge en un port commercial international et florissant.


La ville fortifiée est devenue un puissant bastion politique grâce à la présence des comtes flamands qui administraient le comté de Flandre depuis Bruges.


Au 13e siècle, Bruges pouvait s’enorgueillir d’être le centre commercial le plus important du nord-ouest de l’Europe.


Des marchands de toute l’Europe s’y sont installés et la toute première bourse du monde y voit le jour.
Les activités boursières se déroulaient sur une place devant l’immeuble appartenant à une famille de courtiers brugeois, les Van der Beurse.
C’est ainsi que leur nom est lié à tout jamais aux activités financières (« Beurs » signifiant « bourse » en français).


La ville a continué de prospérer et au 15e siècle, son âge d’or, les affaires étaient encore plus florissantes.
La Flandre appartenait au royaume des ducs bourguignons depuis la fin du 14e siècle.
Ces derniers agrandirent leur résidence à Bruges, en sorte que la ville est rapidement devenue une destination culturelle très prisée.


Outre les draps traditionnels, de nombreux produits de luxe y étaient fabriqués et vendus.
Des peintres célèbres tels que Jan van Eyck et Hans Memling – les grands primitifs flamands – y installent leurs ateliers.


L’émulation artistique bat son plein et outre quantité de magnifiques églises et de maisons des nations uniques au monde, c’est également l’époque où l’Hôtel de ville monumental est achevé.
L’essor de Bruges paraît illimité.
 
À bientôt pour la suite de notre balade à Bruges.



Le Beffroi de Bruges est une haute tour médiévale surmontant la Halle aux draps sur la Grand-Place de la ville de Bruges, dans la province de Flandre occidentale en Belgique.
 
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Ce monument civil, construit en plusieurs étapes du 13e au 15e siècle, fut le symbole de l'indépendance communale de Bruges, importante cité commerçante au Moyen Âge.
Il est classé au patrimoine mondial de l'UNESCO avec d'autres beffrois de Belgique et de France.

Le Beffroi, d'une hauteur de 83 mètres, est légèrement incliné vers la gauche depuis plus de quatre siècles.

Pour parvenir au sommet il faut monter 366 marches.

Le carillon comporte 47 cloches petites et grandes.



Les halles se trouvant sous la tour avaient une fonction commerciale.
Elles étaient composées de plusieurs salles où les artisans, avec l'aval de la ville, commercialisaient leurs produits.


Au deuxième étage se trouvait une chambre forte (la salle du Trésor) et les archives de la ville.
Les comptes annuels datant d'après 1281 sont tous conservés. Ils étaient rédigés en latin jusqu'en 1300, puis en langue populaire au-delà de cette date.


Les lois et règlements de la ville furent proclamés du haut du balcon situé au-dessus de la porte d'entrée devant le peuple invité au rassemblement par la cloche du beffroi et furent appelés « Hallegeboden » (en néerlandais : les bans des Halles).

En plus de porter l'horloge officielle et le carillon de la ville, la tour servait aussi de tour de garde pour déceler les incendies en ville.

À bientôt pour la suite de notre balade à Bruges !




Après avoir fait un arrêt du côté des moulins de Kruistves, porte Sainte-Croix, notre balade à Bruges a débuté au niveau de la fontaine T'Zand, place Le Sablon.

Vous pouvez voir ou revoir notre balade à Bruges sur ce lien !



La fontaine de la place Le Sablon (t’Zand) est pour le moins impressionnante.


Cette œuvre du couple d’artistes Stephan Depuydt et Livia Canestrano évoquent des pans de l’Histoire de Bruges.


Quatre groupes de statues représentent les sujets suivants:


- les cyclistes : expression de la jeunesse et de l'espoir de l'avenir


- les baigneuses : 4 femmes qui symbolisent les villes flamandes de Gand, Anvers, Courtrai et Bruges


- paysages des flandres : représentation abstraite du plat pays et de son caractère agraire


- les pêcheurs : révèle les liens séculaires entre Bruges et la mer

Nous remarquons aussi une représentation de Nele et Tijl Uilenspiegel, le héros-bouffon légendaire, assis sur une colonne. C'est un personnage farceur du nord de l’Allemagne qui a inspiré des poètes, écrivains et musiciens comme un être qui a l’habitude de prendre les expressions figurées au pied de la lettre.

À bientôt pour la suite de cette balade !




Bruges, capitale de la Flandre-Occidentale au nord-ouest de la Belgique, se distingue par ses canaux, ses rues pavées et ses bâtiments médiévaux.
 
Aujourd'hui, je commence une nouvelle série dans mes "balades", une série consacrée à Bruges, en Belgique !
 
Cet article servira de récapitulatif à cette balade:
 
-Les moulins de Buiten Kruistvest et Porte  Sainte-Croix (ici)
-La fontaine T'Zand, place Le Sablon (voir le lien)
-Le beffroi (voir le lien)
-Balade en ville et un peu d'histoire (voir le lien)
-Balade en ville et un peu d'histoire (II) (voir le lien)
-Place Jan van Eyck (voir le lien)
-L'Hôtel de ville (voir le lien)
-Les canaux de Bruges (voir le lien)
-Balade en bateau (voir le lien)
-Maisons-Dieu (voir le lien)
-Béguinage de Bruges (voir le lien)
-Basilique du Saint-Sang (voir le lien)
-Église Notre-Dame (voir le lien)
-Place du Bourg (voir le lien)
-Hôtel de ville (voir le lien)
-Cathédrale Saint-Sauveur (voir le lien)
 
Je vous invite à voir ou à revoir nos balades en Belgique sur ce lien !

Belle balade !



Le Kruisvest est une agréable promenade bordée de peupliers et autres arbres majestueux, le long du canal circulaire autour de Bruges.
Le 'Kruisvest' fait partie de la ceinture verte  autour de la ville.


Au 16ème siècle, une trentaine de moulins à vent au moins s'alignait le long de cette ancienne ligne de défense de Bruges.
Au fil du temps, surtout à partir du 18ème siècle, ces moulins furent abandonnés et disparurent les uns après les autres, lorsque la demande en pain commença à faiblir suite à l'arrivée de la pomme de terre dans la région.


Il reste quatre moulins qui ont tous été restaurés par la Ville de Bruges.


L'ancienne Kruispoort (Porte Sainte-Croix) fut construite simultanément à la deuxième fortification (1297-1304) et déjà reconstruite en 1366.
Filips van Artevelde détruisit cette porte lors de la prise de la ville avec la milice gantoise en 1382.
Une troisième porte fut construite en 1400.


Seules les deux tours massives et leur passage étroit ainsi que deux tourelles octogonales furent préservées.
Charles Quint, Napoléon et l'armée allemande entrèrent dans Bruges par cette porte.

À bientôt pour la suite de cette balade !



Nous ne pouvions pas quitter la ville de Gand, en Belgique, sans faire une balade en bateau !
 
Vous pouvez voir ou revoir notre balade à Gand depuis le début sur ce lien !
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La balade en bateau débute de l'un des plus beaux endroits de Gand : le Graslei.
Le Graslei, haut-lieu touristique de la ville de Gand en Belgique, est un alignement de maisons d'époques et de styles divers, dont l’authenticité est variable, sur la rive droite de la Lys.


Cette balade est le meilleur moyen de découvrir à quoi ressemblait Gand au Moyen-Âge.


Nous voguons vers le passé.


Et nous découvrons la ville de Charles Quint et ses recoins cachés.


Cette balade est une bonne idée pour découvrir les façades flamandes de la ville.


Nous passons devant le château des comtes de Flandre. Du bateau, la vue est magnifique !


Nous naviguons sur la Lys et la Lieve jusqu'au Rabot tout en prenant une belle leçon d’Histoire !


Nous revenons à notre point de départ......


......des étoiles plein les yeux !
 
À bientôt !



Le Rabot de la ville de Gand est une porte d'eau datant de 1491. Il est situé sur le vieux canal intérieur de Gand appelé La Lieve.
Le nom a été associé également aux tours qui contenaient le Rabot.
 
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(4 clichés)


Le nom rabot est dérivé du verbe français rabattre.

Un Rabot ou Porte de Garde est une construction hydraulique antérieure à l'invention des écluses.



En général, une porte de garde se constitue d'une paire de portes. Située à l'entrée d'un canal, elle permet, en fermant les portes, de protéger le canal contre la crue d'une rivière.


Le système de fermeture qui était en bois dans le passé a également pour but de tenir constant le niveau de l'eau et permet ainsi de créer une différence de niveau entre deux sections d'une voie navigable.
 
À bientôt pour la suite de cette balade !



Le château des comtes est situé dans la ville de Gand, en Belgique, au confluent de la Lys et de l'Escaut, et qui date du Moyen Âge. Il est un des hauts lieux touristiques de la ville.
 
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(10 clichés)


Le comte Baudouin Ier de Flandre (9e siècle) aurait fait construire les premières fortifications à cet endroit pour se défendre de l'invasion des vikings. Le comte Arnoul Ier de Flandre (10 siècle) a ensuite fait renforcer la construction pour en faire réellement un château, alors en majorité composé de bois.


Le château actuel fut construit en 1180 par le comte Philippe d'Alsace. Il fut inspiré des châteaux que le comte rencontra durant la troisième croisade.


Le château servit de résidence pour les comtes de Flandres jusqu'au 14e siècle, époque à laquelle il est supplanté par le Prinsenhof (aujourd'hui détruit), plus confortable et doté de grands jardins.


Le château fut ensuite utilisé comme prison.


Charles Quint, pourtant né au Prinsenhof, s'installa au Gravensteen lors de la répression des émeutes de 1539, pour bien affirmer que le comte venait châtier sa ville.


À partir de la fin du 18e siècle, le château abrita une filature de coton et des ateliers, et il fut même prévu de le démolir à la fin du 19e siècle. 


En 1872, le baron de Maere organisa l'opposition à cette démolition.


Ce château constitue un des plus beaux châteaux médiévaux de Belgique.


À bientôt pour la suite de cette balade !



La ville de Gand compte trois béguinages.
Deux furent fondés au 13e siècle, à l’instigation de Jeanne de Constantinople. Le troisième, remontant seulement au 19e siècle, fut construit dans la commune limitrophe de Mont-Saint-Amand afin d’accueillir les béguines contraintes à quitter leur vieux béguinage, sous la pression des autorités municipales gantoises.

Ce sont:
-le vieux béguinage
-le petit béguinage
-le grand béguinage

Une béguine est une femme, le plus souvent célibataire ou veuve, appartenant à une communauté religieuse laïque sous une règle monastique, mais sans former de vœux perpétuels.

Le mouvement béguinal, apparu à Liège à la fin du 12e siècle constitue le premier type de vie religieuse féminine non cloîtrée.

Les béguines vivent dans de petites maisons individuelles souvent regroupées autour d'une chapelle pour former un ensemble appelé « béguinage ».

 
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(6 clichés)


Le béguinage Sainte-Élisabet était situé dans le quartier de la Cour des Princes, château où naquit Charles Quint et dont à peu près rien n’a été conservé.

Il est à peine identifiable comme béguinage, son mur d’enceinte et son portique d’entrée ayant disparu.



Fondé en 1234 par Jeanne de Constantinople, et ayant son domaine propre avec chapelle depuis 1242, le béguinage comporte au début du 14e siècle une centaine de maisonnettes.


Au 17e siècle le béguinage est en plein essor. Les béguines sont plus de 800, et l’église gothique est agrandie, et embellie d’éléments baroques.


À la fin du 18e siècle, les béguines perdent la propriété de leur béguinage, dévolu par le pouvoir révolutionnaire français à l’administration des hospices civils de la ville. Elles y restent cependant comme ‘locataires’.


Le site comprend aujourd’hui : des maisons de béguines, pour la plupart du 17e siècle, des «couvents» (immeubles collectifs), également du 17e siècle, l’église Sainte-Élisabeth édifiée au 13e siècle, mais qui n’a gardé de sa structure primitive que des piliers, et qui fut par deux fois fortement remaniée à l’époque baroque, jusqu’à prendre l’aspect d’une église-halle.
 
À bientôt pour la suite de cette balade !



La Maison des Têtes couronnées (Huis der Gekroonde Hoofden en néerlandais) est un édifice classé de style Renaissance situé au centre de la ville de Gand, dans la province de Flandre-Orientale en Belgique.
 
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(6 clichés)


Le bâtiment, appelé jadis Maison du Dragon (De Draecke), est une maison de style Renaissance que l'on peut dater des environs de 1560.

Elle a été restaurée en 1917 par l'architecte Amand Robert Janssens, auteur de nombreuses restaurations à Gand.


La Maison des Têtes couronnées présente une façade de quatre travées en briques et en pierre blanche.

Elle compte trois niveaux plus un pignon, séparés par des cordons de pierre blanche.



Le rez-de-chaussée est percé de deux portes et de deux fenêtres à imposte, tandis que le premier et le deuxième étages sont percés chacun de quatre grandes fenêtres à croiséede pierre.


La façade se termine par un beau pignon à volutes de pierre bleue agrémenté de boules de pierre.

Ce pignon, percé de deux fenêtres à meneau de pierre, est sommé d'un minuscule fronton triangulaire portant une boule de pierre.



Mais l'élément le plus remarquable de la façade est constitué par les quatorze médaillons qui surmontent les baies.
Chaque médaillon, placé sous un arc cintré, représente le portrait d'un comte de Flandre encadré de ses initiales.

À bientôt pour la suite de cette balade !
 



Gand est une ville belge néerlandophone, située en Région flamande au confluent de la Lys et de l'Escaut.
 
Arrêtons-nous, aujourd'hui, à la grande boucherie !
 
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(8 clichés)


À l’origine, la grande boucherie était un marché couvert.
Ces halles du 15e siècle étaient autrefois un lieu central où la viande était contrôlée puis vendue, notamment parce qu’il était interdit, au Moyen Âge, de la vendre à domicile.


La Flandre orientale possède plus de 175 spécialités régionales.
Et à Gand, elles sont toutes rassemblées sous un même toit !


Pratique, n’est-ce pas ?


Groentenmarkt ou place de l'exécution !
Seul le nom du plus petit café de Gand rappelle encore cette ancienne place d’exécution: 't Galgenhuisje.


Le Groentenmarkt est une petite place agréable et animée. 


C’est le lieu idéal si vous êtes à la recherche d'un mets gantois délicat, d'un pêché mignon ou d'un savoureux produit régional.


Au centre du Groentenmarkt se trouve une pompe à eau datant du début du 19e siècle.
Elle a la forme d’un grand obélisque sur un socle carré, avec deux bassins d’eau en demi-cercle.
Ces bassins recueillaient l’eau qui pouvait être pompée à l’aide de pompes manuelles.
La pompe avait été placée ici pour les marchands de légumes qui écoulaient leurs marchandises sur cette place, ce qui explique le nom de la place (Groentenmarkt signifie « marché aux légumes »).La pompe fonctionne toujours aujourd’hui.

À bientôt pour la suite de cette balade !



Poursuivons notre balade à Gand, cette belle cité flamande, et arrêtons-nous aujourd'hui devant l'hôtel de ville et devant l'ancien bureau de poste !
 
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(12 clichés)


L'hôtel de ville !


L'hôtel de ville de Gand est le siège de l’autorité municipale de la ville de Gand en Belgique.


L’hôtel de ville de Gand est un ensemble composite de corps de bâtiments contigus, édifiés à des époques différentes, dans les styles les plus divers, et occupant tout l’îlot délimité par la rue Hoogpoort au nord, le Botermarkt (ci-devant marché au Beurre) à l’est, le Poeljemarkt (marché aux Poulets) au sud, et la Stadhuissteeg (impasse de l’Hôtel de ville) à l’ouest.


Le corps de bâtiment le plus ancien de tout l’ensemble est l’ancienne maison de la Keure datant de 1482, située au milieu de l’îlot, enserrée par les autres édifices, et par là non visible de la rue.


Elle est constituée de deux salles superposées, dont celle du rez-de-chaussée fait office aujourd’hui de salle du Conseil de la municipalité.


L’intérieur en fut réaménagé par Viollet-le-Duc.


L'ancien bureau de poste !


En 1909, l’ancien bâtiment des postes se dressait à un carrefour animé de voies d’accès à la ville.


Ici s’arrêtaient les postillons et les premiers tramways à chevaux.


Le bâtiment historique a été rénové mais son caractère industriel a été préservé.


Détails de l'ancien bureau de poste avec la tour de l'horloge.
 
À bientôt pour la suite de cette balade !



Le beffroi de Gand est un grand beffroi situé au cœur de la ville de Gand, en Belgique.  Dantant du 14e siècle, il est l'une des « Trois Tours » emblématiques du centre historique de Gand, avec les clochers de la cathédrale Saint-Bavon et de l'église Saint-Nicolas.
 
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(8 clichés)


Le beffroi symbolise la prospérité et l’indépendance de la ville. Il porte fièrement sa cloche, la « Grande triomphante ».


Jusqu’en 1442, l’Église Saint-Nicolas a servi de première tour de guet. Après 1442, les  gardiens ont pris place dans le nouveau Beffroi.


Ces gardiens, qui formaient avec les sonneurs de cloches le corps des « agents de la ville », sont restés en service jusqu’en 1869.
Leur mission consistait surtout à guetter les incendies, principal danger à l’époque.


Le théâtre royal de Gand est un théâtre municipal européen. Saison après saison, il crée, avec son vaste ensemble de grands acteurs flamands et néerlandais, ses propres productions théâtrales, qu’il joue bien au-delà de ses frontières linguistiques.


Le théâtre royal néerlandais se trouve à l’une des extrémités de la place Saint Bavon en s’affirmant comme l’une des trois puissances majeures qui régnaient sur la ville de Gand : l’intelligentsia et son importante vie culturelle.


Si vous n’assistez à aucune représentation malgré le fait qu’il est fréquent d’y voir des premières, admirez au moins l’architecture pyramidale combinée à un style renaissance qui rend ce monument unique.


À bientôt pour la suite de cette balade !



L'église Saint-Nicolas est un des plus anciens et des plus imposants édifices de la ville de Gand en Belgique.

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(13 clichés)


Les particularités locales étaient :
  • L’emploi de la pierre bleue de Tournai
  • Tour imposante au niveau de la croisée du transept
  • Petites tours aux coins de l’édifice pour des raisons de stabilité.


Commencée au début du 13e siècle pour remplacer une ancienne église romane, la construction a duré tout le siècle dans le style architectural particulier gothique scaldien.


Construite dans le vieux centre de Gand à proximité du marché aux céréales (Korenmarkt), l’église était populaire auprès des corporations commerçantes de la ville.


Saint-Nicolas !


La chaire est très jolie !


La "Madone de Gand" orne son porche roman, au-dessus d'une niche où trône le "Saint patron".


Lors des Guerres de Religion du 16e siècle, l'intérieur fut entièrement détruit et reconstruit dans un style baroque.


Saint-Nicolas !


Le choeur et les chapelles sont en marbre !


Impressionnant !


Père Damien !
Missionnaire belge, il est connu pour son travail de missionnaire dans le Pacifique auprès des lépreux placés en quarantaine par les gouvernements locaux sur l'île de Molokaï à Hawaï.


Les vitraux sont tous très lumineux!
 
À bientôt !



Manneken-Pis, signifie « le petit homme [qui] pisse » en néerlandais !
 
Bruxelles en a un, Gand a également le sien !
Un fier Manneke Pis, Nestor, et deux Meisjes Pis, Lena et Luna, brillent au-dessus de l'entrée du restaurant Nestor à la Kraanlei.

Nestor, le Manneken Pis de Gand, est le symbole des tanneurs médiévaux.

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La statue de bronze Manneke Pis Nestor est là depuis longtemps.
Les deux filles ont été ajoutées à la suite du 10e anniversaire de l'association gantoise De Sosseteit van de Gensche Mannekes Pies Twielink. 

Lena et Luna, réalisées par l'artiste Stefaan De Visscher, ont été mises à côté de Manneke Pis Nestor en 2014.
Les noms des filles sont dus à de vraies jumelles gantoises.



L’Adoration de l'Agneau mystique, achevé en 1432, est un polyptyque peint sur bois, un chef-d'œuvre de la peinture des primitifs flamands.

Depuis 1986, il est présenté dans l'ancien baptistère de la cathédrale Saint-Bavon de Gand, transformé en chambre forte, à la suite de vols répétés.

 

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La cathédrale est connue pour le retable de Gand , à l'origine dans sa chapelle Joost Vijd. Il est officiellement connu sous le nom de: L'adoration de l'agneau mystique par Hubert et Jan van Eyck .


Cette œuvre est considérée comme le chef-d'œuvre de Van Eyck et l'une des œuvres les plus importantes du début de la Renaissance nordique, ainsi que l'un des plus grands chefs-d'œuvre artistiques de Belgique.


Commandé par Joost Vijdt, riche marguillier de l’église Saint-Jean (devenue depuis la cathédrale Saint-Bavon), pour la chapelle privée de sa femme, le polyptyque est commencé par Hubert van Eyck et terminé par Jan van Eyck après la mort de son frère en 1426.


Il est placé le 6 mai 1432 sur l’autel de la chapelle du commanditaire, dans l’église Saint-Jean. Par la suite, il est déplacé, pour des raisons de sécurité, dans la chapelle principale de la cathédrale.


Le retable est composé d'un total de 24 panneaux encadrés, qui offrent au spectateur deux scènes différentes, selon sa position ouverte ou fermée, obtenue en repliant vers l'intérieur les panneaux situés à ses extrémités.


Le registre (ligne) supérieur de l'intérieur du retable représente, en rouge, le Christ-Roi ou Dieu le père trônant entre la Vierge Marie et saint Jean-Baptiste. À droite et à gauche de ces trois personnages, des anges chantant et jouant de la musique et, sur les panneaux extérieurs, Adam et Ève.


Le registre inférieur du panneau central représente l'adoration de l'Agneau de Dieu, par plusieurs groupes de personnes absorbées dans le culte et la prière, et éclairés par une colombe représentant le Saint-Esprit. Les jours de semaine, les panneaux étaient repliés, montrant l'Annonciation de Marie et le portrait des donateurs, Joost Vijdt et de sa femme Lysbette Borluut.


Une inscription sur le cadre d'origine indiquait que Hubert van Eyck maior quo nemo repertus (meilleur que quiconque) avait débuté la peinture du retable, mais que Jan van Eyck — qui se qualifie lui-même de arte secundus(deuxième meilleur dans l'art) — l'avait achevé en 1432.

À bientôt !




La Cathédrale Saint-Bavon, la plus ancienne église paroissiale du cœur animé de Gand, a été érigée sur le site d’une église du 10e siècle et d’une église romane du 12e siècle dédiée à saint Jean Baptiste.
Au Moyen Âge, Gand était une ville prospère et puissante qui pouvait se permettre de bâtir des églises toujours plus grandes et plus coûteuses.
C’est ainsi que, dans le courant des 15e et 16e siècles, l’église Saint-Jean fut transformée en une imposante construction gothique, la Cathédrale Saint-Bavon.
 
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La crypte de la cathédrale Saint-Bavon, qui occupe au sous-sol, toute l'étendue du chevet de la cathédrale, remonte à une chapelle saint-Jean dont il est fait mention au 10è siècle.


La crypte renferme un riche trésor, la châsse d'argent signé Hugo de la Vigne (1616).


La crypte offre des fresques du 15e et 16e siècle.....


.....ainsi qu'une riche collection d'objets du culte.


Remarquons aussi le triptyque du calvaire.....


....réalisé par Juste de Gand en 1466.

À bientôt !



Poursuivons la visite de la cathédrale Saint-Bavon de Gand, en Belgique.
 
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La cathédrale abrite des œuvres d'autres artistes remarquables. Elle contient notamment le tableau Saint Bavon entre au couvent de Gand de Peter Paul Rubens.


La nef, du 16e siècle, est sobre mais harmonieuse.


Les vitraux du choeur.


Les vitraux datent du 19e siècle.


Ils représentent le vie des saints.


Les détails sont impressionnants.


À bientôt !



La cathédrale Saint-Bavon est une importante église gothique de la ville de Gand, en Belgique.
Elle est le siège du diocèse de Gand érigé en 1559.
Simple église paroissiale placée sous le vocable de Saint-Jean au 13e siècle, elle a acquis le statut de collégiale en 1536, puis de cathédrale en 1559.
 
Vous pouvez voir ou revoir notre balade à Gand depuis le début sur ce lien !
(14 clichés)


La plus ancienne mention de l'un des plus spectaculaires lieux de prière de Flandre remonte au dixième siècle.
Transmarius, évêque de Tournai et de Noyon, fit ériger à cet endroit une chapelle qui portait alors le nom d'église de Saint-Jean.


La cathédrale Saint-Bavon ne porte ce nom que depuis 1559.


En 1536, Charles Quint, né à Gand, prit une série de mesures répressives à l'encontre de la ville qui s'était rebellée contre l'impôt de guerre levé par l'empereur. 


Il choisit l'emplacement de l'abbaye Saint-Bavon, au bord de la Lys, qu'il aménagea en citadelle, rasant les bâtiments jugés inutiles.
Avec l'accord du pape, les moines en avaient été chassés en 1536.
Ils reçurent en compensation l'église Saint-Jean, leur église devenant collégiale Saint-Bavon.


En 1559, avec la réorganisation des structures ecclésiastiques dans les Pays-Bas, Gand est érigé en diocèse et la collégiale devient cathédrale Saint-Bavon.

(la Chaire de Vérité, 18e siècle, œuvre du sculpteur Laurent Delvaux)


À l'intérieur de la cathédrale, on découvre un espace impressionnant à trois nefs d'inspiration brabançonne, datées d'environ 1550 et formées du chœur, du transept et des chapelles rayonnantes et latérales.

(triptyque du Calvaire par Juste de Gand)


L'intérieur de la cathédrale abrite de nombreux trésors.....


.....vitraux historiés, spectaculaire maître-autel à baldaquin du 18e siècle où se mêle marbre et bois doré ou encore chaire à prêcher rococo en chêne et marbre.....


...... ainsi que le chef-d'œuvre mondialement connu, le triptyque de « L'adoration de l'agneau mystique » a été peint par Jan et Hubert van Eyck (lien à venir) !


La cathédrale renferme, également, les mausolées de plusieurs évêques gantois enterrés dans la crypte.


 On y trouve celui d'Antonius Triest, en marbre blanc et noir (1652 –1654), œuvre majeure de Jérôme Duquesnoy.


Les évêques de la cathédrale !


Lors de notre visite nous avons eu la chance de pouvoir écouter Monsieur Marc F.M. Hebbelinck dans un morceau de harpe celtique !
 
À bientôt pour la suite de cette visite !



Gand, charmante cité belge, située en Région flamande,  est la capitale de l'ancien comté de Flandre.
Nous avons eu la chance d'aller nous y balader et nous allons, jour après jour, vous la faire découvrir à notre tour !

Vous pouvez voir ou revoir notre balade à Gand depuis le début sur ce lien !

(5 clichés)


Les frères Van Eyck !
 
Jan van Eyck, né vers 1390 peut-être à Maaseik et mort à Bruges le 23 juin 1441, est un peintre né dans les territoires soumis à l'autorité du prince-évêque de Liège Jean de Bavière, qui devient son protecteur. 
Ses tableaux les plus connus sont Les Époux Arnolfini et La Vierge du chancelier Rolin.
Il termina par ailleurs le fameux retable de L'Agneau mystique, commencé par son frère Hubert van Eyck.
Il est l'un des premiers artistes à signer ses œuvres.


Hubert van Eyck, est un peintre belge de l'école des primitifs flamands du 15e siècle, né vers 1366 à Maaseik et mort en septembre 1426 à Gand.
C'est le frère ainé de Jan van Eyck.
Le fait d'être peintre de cour, dégagé du carcan corporatif, lui offrait l'avantage de pouvoir se livrer à des expériences et, tout à la fois, l'obligeait à développer son talent au maximum.
On lui attribue d'avoir ébauché le célèbre retable de l'Agneau mystique achevé par son frère et actuellement à la cathédrale Saint-Bavon de Gand.
Il aurait d'ailleurs été inhumé dans la chapelle où était exposé ce retable.


Ce magnifique monument a été placé ici à l’occasion de l’Exposition universelle de Gand en 1913.
Il s’agit d’un hommage aux peintres.


On aperçoit Hubert, l’aîné des frères qui consulte la Bible. Sa palette et ses pinceaux sont à ses pieds.
Jean regarde devant lui, avec sa palette dans la main.
Hommes, femmes et enfants déposent des fleurs, des couronnes et des guirlandes à leurs pieds.



Gand est une ville belge néerlandophone, située en Région flamande au confluent de la Lys et de l'Escaut.
Nous avons eu l'occasion d'aller visiter cette cité historique et c'est un nouveau voyage que je vous propose aujourd'hui !
 
Cet article servira de récapitulatif à cette visite:
 
-Citadelle de la Flandre (ici)
-Monument des frères Van Eyck (voir le lien)
-Cathédrale Saint-Bavon (I) (voir le lien)
  *Cathédrale Saint-Bavon (II) ( voir le lien)
  *La crypte (voir le lien)
  *Le retable de l'Agneau mystique (voir le lien)
-Manneken Pis de Gand (voir le lien)
-Église Saint-Nicolas (voir le lien)
-Beffroi et théâtre royal (voir le lien)
-Hôtel de ville et ancien bureau de poste (voir le lien)
-La grande boucherie et la place de l'exécution (voir le lien)
-Maison des têtes couronnées (voir le lien)
-Le béguinage de gand (voir le lien)
-Château des comtes de Flandre (voir le lien)
-Le rabot de la ville de Gand (voir le lien)
-Balade en bateau (voir le lien)

Je vous invite à voir ou à revoir nos balades en Belgique sur ce lien !

Belle balade !



Un peu d'histoire !


Capitale de l'ancien comté de Flandre, grande cité drapière et commerçante, puis ville natale de Charles Quint, elle connut à partir du 12e siècle, et plus encore du 14e et 16e siècle, une période de floraison tant économique que culturelle. 


De cette époque rayonnante, Gand conserve un patrimoine architectural foisonnant qui agrémente son centre-ville.


Le nom « Gand » vient du gaulois condate qui veut dire « confluent ». Déjà avant le 1er siècle, il y avait au confluent des rivières de la Lys et de l'Escaut plusieurs hameaux.


Son centre-ville conserve une riche parure monumentale héritée en grande partie de l’époque médiévale.


L’église Saint-Nicolas et son clocher gothique brabançon, le beffroi aux formes élancées et la puissante tour de la cathédrale Saint-Bavon, auxquelles s’ajoute le campanile de la nouvelle poste....


.....sont autant de symbole de cette ancienne cité drapière !


La balade commence !


À bientôt !

(halle municipale)



Bar-le-Duc, cette commune du Grand Est de la France, est  située dans le département de la Meuse.
Vous l'avez remarqué, nous avons aimé y flâner afin d'y découvrir toutes les richesses qui font de cette ville un véritable patrimoine vivant!

Vous pouvez voir ou revoir la visite de la ville de Bar-le-Duc depuis le début en cliquant sur ce lien!

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L'espace Saint-Louis est un centre d'Art contemporain situé dans la chapelle de l'ancien monastère Saint-Dominique, une ancienne chapelle du quartier Renaissance de la Ville.


Créé en 1994 par l'association Expressions, le lieu a déjà accueilli plus de 150 artistes de tous horizons.


Ce centre d'art contemporain accueille chaque année plusieurs créateurs de divers horizons en faisant une place privilégiée à l'émergence d'artistes du territoire.


Ils exposent en alternance avec des artistes de renommée nationale ou internationale.


On y organise chaque année des concerts de musique classiques et modernes, des ateliers de découverte ou de perfectionnement photo, vidéo et théâtre, ainsi que des expositions de peintures, sculptures, céramiques, photographies, travail du verre...


Cette chapelle possède encore de superbes peintures....


...toutes ayant rapport avec la vie des saints!


Les boiseries sont superbes! Il suffit de les admirer pour y voir passer les moines et les soeurs à l'époque où cette chapelle était encore ouverte au culte!


Les vitraux sont simples....


....mais emprunt de foi!

À bientôt pour la suite de notre balade!



Longue de 43 mètres, large de 20 mètres et haute de 12 mètres, l'église Saint-Étienne de Bar-le-Duc située dans le département de la Meuse n'en finit plus de nous éblouir!

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Les bas-côtés de la nef sont percés de plusieurs chapelles.


Elles ont été fondées par des familles aisées afin d'y élire leur sépulture.


L'une d'entre elles, la chapelle de Stainville!
Remarquez sa remarquable clôture sur la première photo!
Elle allie les motifs flamboyants dans la partie supèrieure et renaissants en dessous.
Elle est couverte d'une voûte à liernes et tiercerons.


Cette chapelle date du 16e siècle.


Et contient de nombreuses sculptures!


Le nom de cette chapelle provient certainement de cette ancienne et illustre maison de Stainville, connue déjà au XIIIe siècle sur le site du village de Stainville!


Le vitrail de cette chapelle est tout en détail!

À demain!



L'église Saint-Étienne de Bar-le-Duc située dans le département de la Meuse en région Lorraine abrite deux œuvres du sculpteur lorrain Ligier Richier:
-le Transi de René de Chalon
-le Christ en croix entre les deux larrons.
Ligier Richier est le plus grand artiste lorrain de la Renaissance.
Il est né vers 1500 à Saint Mihiel, dans le milieu actif et ouvert de l'élite artisanale.

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Vous pouvez, également, voir ou revoir notre balade à Saint-Mihiel en cliquant sur ce lien!


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(Statue de Ligier Richier à Saint-Mihiel)


Le Christ en croix entre les deux larrons!
Le Christ en croix entre les deux larrons est un ensemble de trois statues en bois polychrome réalisé vers 1531.
Ces sculptures, hautes de 3,42 m pour le Christ et de 2,10 m pour les larrons, ont probablement fait partie d'un ensemble plus important comparable au calvaire de l'église Saint-Gengoult de Briey (Meurthe-et-Moselle).


Ce Christ est peut-être celui cité par un bourgeois troyen du nom de Chatourup de passage à Bar-le-Duc en 1532 et qui raconte avoir vu dans l’église Notre-Dame un grand calvaire composé d’un Christ en croix, de la Vierge soutenue par saint Jean, du centurion Longin et d’un groupe de quatre anges recueillant le sang du Sauveur.


Il attribua avec certitude ces statues au sculpteur sammiellois Ligier Richier.
Le Christ de Notre-Dame serait donc le vestige de ce grand groupe sculpté antérieur à celui de l’église Saint-Étienne.
L’anatomie est pleine de souplesse, parfaitement observée.
Le visage aux yeux clos apparaît apaisé et détendu.
La bouche est légèrement entrouverte.
tête dont le sommet est presqu’à l’état brut portait autrefois une couronne. Celle-ci a aujourd’hui disparu.


Le Transi de René de Chalon!
Également appelé le Squelette, le Décharné, ou le Monument au cœur de René de Chalon, le Transi est une statue funéraire attribuée au sculpteur lorrain Ligier Richier réalisée en pierre calcaire de Sorcy au 16e siècle, vers 1545/1547.
Prenant place initialement dans l'ancienne collégiale Saint-Maxe du château des ducs de Bar, elle est visible depuis 1790 dans l'église Saint-Étienne de Bar-le-Duc.


L’œuvre est désignée comme un transi, c'est-à-dire une sculpture représentant un mort de façon réaliste, contrairement au gisant représentant un personnage couché et endormi.


La posture du squelette comporte plusieurs symboliques.
Le bras tendu vers le ciel rappelle le bras armé, brandissant une épée, mais dans le cas présent il donne son cœur à Dieu. 
La main droite posée sur la poitrine signifie la fermeté de l'âme.
L'écu sur le bras droit rappelle que le mort était un chevalier, et fait de la sculpture une œuvre à la gloire de la famille de Lorraine.

À demain!



Située au coeur de la Ville Haute de Bar-le-Duc, l'église Saint-Étienne était, à l'origine, la collégiale Saint-Pierre d'où le nom de la place qu'elle domine encore!

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La façade est de style gothique flamboyant.
L'arc est orné de médaillons représentant, à la façon antique, les commanditaires de l'ouvrage et Louis Guyot doyen du chapitre de la collégiale de 1513 à 1520.


La nef date des 14e et 15e siècles.
Elle est composée de trois vaisseaux de largeurs différentes.
En revanche la hauteur des voûtes a été réalisée selon une formule que l'on retrouve souvent au Moyen-Âge!


L'église Saint-Étienne est l'un des premiers édifices de ce type dans le diocèse de Toul.
C'est ce qu'on appelle une église halle!


La présence d'orgues est attestée dans l'église dès le 17e siècle.
En 1770, Nicolas Dupont réalise un instrument détruit 23 ans plus tard lors de la Terreur!
L'instrument actuel est l'oeuvre de Jean François Vautrin et de Antoine François Brice Didelot.
Ils reprennent des éléments de celui du 17e siècle.
Il a été en partie modifié à la fin du 19e siècle.


Un peu d'histoire.....
La collégiale Saint-Pierre:
En 1315, le comte de Bar Édouard Ier décide de fonder la collégiale Saint-Pierre en Ville Haute, à la place d'une ancienne chapelle du 13e siècle dédiée au même saint.
Le projet reçoit l'approbation en 1318 de l’évêque de Toul Jean d'Arzillières qui place la collégiale sous le patronage collectif de la Vierge, des apôtres Pierre et Paul, et de saint Étienne.


L'église Saint-Étienne:

À la Révolution, l'édifice est très endommagé par des saccages et des pillages : les statues de façade et les vitraux sont brisés, les armoiries et blasons sont effacés, et une partie du mobilier est détruit.

La collégiale est fermée en 1790 puis rouverte l'année suivante sous le nom d'église Saint-Étienne.

Entre 1793 et 1795, l'église n'est plus un lieu de culte et sert même, en 1794, d'abri pour un convoi de prisonniers.

Devant l'état de dégradation de l'édifice, des travaux de restauration sont entrepris au XIXe siècle!


Ce Saint-Christophe est une pierre sculptée du 17e siècle.


L'église abrite deux œuvres du sculpteur lorrain Ligier Richier.
Une de ces oeuvres est: le Transi de René de Chalon.
Le Transi de René de Chalon, également appelé le Squelette, est une statue funéraire en pierre calcaire de Sorcy réalisée au 16e siècle.



Œuvre majeure de Ligier Richier et de la Renaissance en France, cette sculpture est installée en 1545 dans la collégiale Saint-Maxe du château des ducs de Bar sur le tombeau de René de Chalon, prince d'Orange, tué lors du siège de Saint-Dizier un an plus tôt.


En 1790, à la suite de la destruction de la collégiale sous la Révolution, le transi est déménagé dans l'église Saint-Étienne.
Il représente un squelette debout, tendant son cœur à pleine main vers le ciel.


Dans le soubassement aménagé au pied de ce monument se trouvent probablement les ossements des Princes de Barrois.

À demain pour la suite de cette visite!



Alors que les rayons du soleil descendent à l'horizon, nous terminons, aujourd'hui, notre balade à travers les rues de Bar-le-Duc!

Restons encore quelques instants à Notre-Dame de Bar-le-Duc, cité qui fut  comté puis du duché de Bar.

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La Vierge des Litanies est un bas-relief en pierre calcaire polychrome du sculpteur barisien Jean Crocq, réalisé entre la fin du XVe siècle.
La Vierge Marie, debout au centre, est entourée des quinze emblèmes de ses litanies: le soleil, la lune, l’étoile, le lys, le massif de roses, la tige de Jessé, le cèdre, l’olivier, le puits, la fontaine, le miroir sans tache, la tour de David, la porte du Ciel, le jardin clos, la Cité de Dieu.
Au-dessus, entre les anges adorateurs et musiciens, le Père Éternel, couronné, tenant un globe du Monde dans sa main gauche, la bénit.
La grande banderole contient les paroles : "Vous êtes mon amie et aucune tache n'est en vous".


Plusieurs peintures datent du 17e et 18e siècle et sont de l'artiste local Louis Yard.


Le grand orgue de tribune actuel, commandé à la maison parisienne Larroque, est posé en 1860.
Construit par l'abbé Migne pour une somme modique, il nécessite rapidement des réparations importantes par le facteur Jacquet.
Malgré les aménagements, l'orgue conserve son esthétique romantique.


Notre-Dame du Guet!
En 1440 et selon la tradition, Notre-Dame du Guet a évité une mise à sac de la ville.
Cette légende est à l'origine d'une grande dévotion surtout en période de troubles!


Le Christ en croix date du 16e siècle.
Cette sculpture a été attribuée au sculpteur lorrain Ligier Richier.
Elle proviendrait d'un calvaire.
La couronne d'épines taillée dans la masse a été brisée et remplacée par des branchettes épineuses.


D'autres peintures représentent des scènes de la vie biblique, comme ici, un évangéliste.


Cette verrière représente Notre-Dame du Guet!

J'espère que la visite de Bar-le-Duc vous a plu!
Je vous donne rendez-vous demain pour une autre balade meusienne!



L'église Notre-Dame est une église située à Bar-le-Duc dans le département de la Meuse en région Lorraine.

Nous avions débuté notre circuit au pied de cette église! Aujourd'hui, alors que le circuit se termine, arrêtons-nous un moment devant ce bel édifice!

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Le porche d'entrée est surmonté depuis 1751 d'un haut-relief de l'Assomption de la Vierge par le sculpteur Louis Humbert.


Le clocher-porche est situé en hors d’œuvre au sud de l'église, dans l'axe de la rue Bar-la-Ville.
Le rez-de-chaussée est de style ionique tandis que le premier et seul étage est de style corinthien.
Le clocher est chapeauté d'un dôme en charpente à lanternon couvert d'ardoises.


Construite et remaniée sur plusieurs siècles, entre les 11e et 18e siècles, l'église est un ensemble de plusieurs styles architecturaux.
Elle constitue le plus ancien édifice religieux de la ville.
Il fut également jusqu'en 1787 sa seule église paroissiale.


La façade possède des contreforts d'angle à double glacis, creusés en larmiers, datant du gothique.
La corniche moulurée est supportée par des modillons simples, comme ceux sur le transept.
Au niveau du chœur, deux arcs de décharge saillants s'ouvrent sur deux petites fenêtres cintrées.


La nef de l'église est composée de six travées encadrée de collatéraux étroits.


Le chœur est à deux travées terminé par une abside à cinq pans, et mélange le style roman et celui gothique.
Le Christ en Croix est une statue en bois polychrome datant du 16e siècle attribuée au sculpteur lorrain Ligier Richier.


Je vous en reparlerai bientôt!



Alors que nous visitons Bar-le-Duc, cette commune située dans le département de la Meuse, nous arrivons tranquillement rue des Ducs de Bar!

Au fond de la cour d'une maison de la rue des Ducs-de-Bar, un pressoir en bois d'une taille impressionnante apparaît...

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Le pressoir de Comble-en-Barrois constitue un des témoins essentiel d'une riche tradition viticole dans la Meuse.


Ce pressoir à levier caractéristique du 15e siècle rappelle la production, jusqu'au début du 20e siècle, du Pineau de Bar.


Le pressoir pèse près de 10 tonnes!
C'est l'ancien pressoir à arbre de Combles-en-Barrois.
Il fut installé en ville haute en 1977.


Ce type d'outil était répandu en Lorraine du Moyen-Âge au 17e siècle.


Conçu sur le principe millénaire du levier, une vis en orme longue de 5 mètres, lestée d'une pierre à sa base, actionne un solide bras d'une dizaine de mètres constitué de 4 poutres de chêne.


La pression exercée sur le raisin permet d'obtenir de 4 400 à 5 500 litres de moût par opération.


Ce pressoir est l'un des rares vestiges de la tradition viticole du Barrois.


Autre curiosité du lieu.....


...... passez la porte arrière, descendez dans le jardin!


Vous pourrez vous promener dans ce lieu calme....


....histoire d'y découvrir de bien curieux personnages!

À demain!



Labellisée "Ville d’art et d’histoire" Bar-le-Duc, commune située dans le département de la Meuse, dissimule de précieux témoignages de l’architecture du 16e siècle.

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La Tour de l’Horloge dominant ce quartier haut perché, en est un des derniers vestiges de cette période tourmentée.


Construite au Moyen Âge, elle est l'un des rares vestiges des fortifications du château de la Ville Haute.
Avec ses deux cadrans donnant l'heure, elle est devenue l'un des emblèmes de la ville.


La Tour de l'Horloge est une ancienne tour fortifiée devenue tour de l'horloge avec l’installation de plusieurs cadrans sur ses flancs.

Un cadran est tourné vers la Ville Basse, un autre l'est vers la Ville Haute. Construite en pierre, elle est aujourd'hui semi-circulaire.



La Tour de l'Horloge est également appelée Tour du crieur, ou Tour du beffroi et du couvre-feu.



Alors que nous cheminons dans les rues de Bar-le-Duc, commune située dans le département de la Meuse, nous arrivons doucement Ville Haute de la cité!

Perché sur un éperon rocheux au bout de la Ville Haute, le château des ducs de Bar domine la vallée de l'Ornain et la Ville Basse.

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Dans la deuxième moitié du 10e siècle, le duc de Haute-Lorraine Frédéric 1er, cherchant à protéger son territoire des champenois, fait construire un château fort sur le mont Bar, l'éperon rocheux dominant la rive gauche de l'Ornain.
Le site est idéal, entouré de deux ravins et ouvrant sur un plateau, l'actuelle Ville Haute de Bar-le-Duc.


Au 13e siècle, les comtes de Bar fixent leur cour au château, aux dépens de Mousson et de Saint-Mihiel.
L'éperon est alors entouré d'une double enceinte qui abrite outre le château, la collégiale Saint-Maxe et différents bâtiments canoniaux.
Cette place forte héberge une garnison, un arsenal, des vivres et des hommes, afin de pouvoir soutenir un siège.


Au 15e siècle, sous le principat du duc de Bar et de Lorraine René II, le château s'embellit et devient une résidence richement meublée.


Au 17e siècle, les ducs de Bar et de Lorraine délaissent Bar-le-Duc et le château, abandonné, se dégrade.
En 1649, il est ravagé par un incendie.
Les positions anti-françaises du duc Henri II ont pour conséquences l'occupation de la ville et du château par les troupes françaises de 1632 à 1661.


Finalement, en 1670, lassé des intrigues ducales, le roi de France Louis XIV ordonne le démantèlement des fortifications du château et de la ville.
Ne sont conservés que le Neuf-Castel, inoffensif, la Tour de l'Horloge, parce qu'elle donne l'heure, et la Tour Heyblot.


Sous la Révolution française, la ville est laïcisée, ce qui se traduit par la disparition des sept communautés religieuses présentes depuis le Moyen Âge. La collégiale Saint-Maxe, l'église du château, est détruite.


Du château des ducs de Bar qui servait de lieu d'habitation aux comtes et ducs de Bar, puis, plus rarement, de lieu de villégiature aux ducs de Lorraine ne reste que le Neuf castel qui abrite depuis 1970  le Musée Barrois.

Le Neuf Castel a été érigé par le duc Charles III entre 1545 et 1608.

À demain!



Le Barrois est une petite région située autour de Bar-le-Duc!
"Barrois" signifie "Bar-le-Duc" en Lorrain!
Le Barrois ne représente qu'un modeste morceau de l'immense duché sur lequel les ducs de Bar régnèrent à la Renaissance!

Le Barrois offre des paysages d'une campagne verte arrosée par la Meuse et sillonnée par de charmantes vallées où il fait bon flâner.....

Cet article servira de récapitulatif à cette balade meusienne consacrée à Bar-le-Duc:

-Le Barrois (ici)

-Le pont Notre-Dame (voir l'article sur ce lien)

-Le monument des Michaux (voir l'article sur ce lien)

-Rue du Bourg (voir l'article sur ce lien)

-Les bornes commémoratives de la Voie Sacrée
(voir l'article sur ce lien)

-Place de la Couronne (voir l'article sur ce lien)


-La fontaine aux Oiseaux (voir l'article sur ce lien)

-Château des ducs de Bar
(voir l'article sur ce lien)

-L'esplanade ou parc Renée d'Anjou
(voir l'article sur ce lien)

-Boulangerie en fête (voir l'article sur ce lien)

-Portes et fenêtres de la Ville Basse (voir l'article sur ce lien)

-L'ancienne cour des comptes du Barrois
(voir l'article sur ce lien)

-Portes et fenêtres de la Ville Haute (voir l'article sur ce lien)

-La tour de l'horloge (voir l'article sur ce lien)

-La Ville Haute
(voir l'article sur ce lien)

-Le petit Lorrain (voir l'article sur ce lien)

-L'îlot de la Halle (voir le l'article sur ce lien)

-Le pressoir ségneurial (voir l'article sur ce lien)

-Place Saint-Pierre (voir l'article sur ce lien)

-L'église Saint-Étienne (voir l'article sur ce lien)

-L'intérieur (voir l'article sur ce lien)

-Les chapelles de l'église Saint-Étienne (voir l'article sur ce lien)

-Les chapelles de l'église Saint-Étienne (II) (voir l'article sur ce lien)

-Chapelles du Saint-Esprit et Notre-Dame du Guet (voir l'article sur ce lien)

-Ligier Richier et l'église Saint-Étienne (voir l'article sur ce lien)

-L'espace Saint-Louis (voir l'article sur ce lien)

-Sur le chemin du retour (voir l'article sur ce lien)

-Église Notre-Dame (I) (voir l'article sur ce lien)

-Église Notre-Dame (II) (voir l'article sur ce lien)

-Restaurant La Meuse Gourmande (voir l'article sur ce lien)

Vous pouvez voir ou revoir nos balades meusiennes sur ce lien!

Cliquez sur les photos pour les agrandir!


C'est au coeur de la ville basse que commence notre promenade...c'est, aussi, le moment de parler des origines de la ville!


Les témoignages d'une occupation du site de Bar-le-Duc datent du 1er siècle de notre ère...au temps où Bar-le-Duc s'appelait "Caturiges"!
Caturiges n'est, alors, qu'un relais de poste gallo-romain sur la route de Reims à Toul!


Caturiges tire son nom de la divinité gauloise" de la guerre "Caturix"!
Alors que la cité gallo-romaine perd de son importance, la petite bourgade va s'étendre au moment de sa christianisation!

L'église Notre-Dame de Bar-le-Duc constitue le point de départ de cette balade!

Nous y reviendrons plus en détail lors de notre retour au point de départ!

Vous êtes bien chaussés? Alors à demain pour le début de notre découverte de Bar-le-Duc!



Scherwiller est une commune située dans le département du Bas-Rhin en région Grand Est.

Vous pouvez retrouver quelques unes de nos balades en Alsace en cliquant sur ce lien !


Situé en plein cœur de l'Alsace, le village est bâti au centre d'un vignoble de 300 hectares, sur les bords de l'Aubach.


En 1751 on dénombre une quinzaine de tonneliers sur la commune. Outre les tonneaux, ceux-ci fabriquaient également des hottes, des saloirs et autres récipients en bois.


La suite de cet article et toutes les photos sur ce lien !


Belle balade !



Muttersholtz est une commune située dans le département du Bas-Rhin en région Grand Est.

Cette commune est connue pour l’atelier de Tissage Gander, la dernière entreprise à perpétuer le tissage traditionnel du kelsch alsacien. Elle a été labellisée entreprise du patrimoine vivant en 2007. Fondée en 1957 par Michel Gander, elle a été fermée en 2017.

Nous avons eu la grande chance de pouvoir la visiter quelques jours avant sa fermeture !

Vous pouvez retrouver quelques unes de nos balades en Alsace en cliquant sur ce lien !
(8 clichés)



Le Kelsch d'Alsace:

Le kelsch d’Alsace est un tissu de lin, de coton ou de métis produit en Alsace. Il est orné d’un motif de carreaux formés par le croisement de fils de couleur bleue et/ou rouge. Son nom se réfère au bleu tiré du pastel cultivé près de Cologne.

Traditionnellement, ce tissu était exclusivement utilisé pour le linge de lit, mais au 20e siècle d’autres pièces de linge de maison ont été réalisées en kelsch. En 2015, deux tisserands produisent encore du kelsch en Alsace, l’un à Muttersholtz (Bas-Rhin), l'autre à Sentheim (Haut-Rhin).



Michel Gander a perpétué, jusqu'à sa disparition, une tradition familiale vieille de plus de sept générations et un savoir-faire qui avait été pratiqué dans le Ried alsacien par une dizaine de tisserands entre le XVIe et le XIXe siècles.


Un métier à tisser à bras en bois, témoin de l'activité ancestrale des Gander, est présenté dans un petit musée situé dans le verger à l'arrière de la boutique.


Y sont réunis aussi des ustensiles avec lesquels le jeune Michel a appris son métier : le cantre, l'ourdissoir servant à préparer les fils et le râteau en bois qui les maintenait rangés.


Le métier mécanique de son père, en fonte, où le motif était encodé sur des barrettes à tenons situées au-dessus de la machine, est lui aussi conservé. Cette machine pouvait tisser 15 à 20 m par jour.


Après une disparition quasi-totale de cet artisanat de 1890 à 1970, parallèle à la disparition de la culture du lin en Alsace, Michel Gander à Muttersholtz, a perpétué jusqu’à son décès en 2017 une tradition familiale vieille de sept générations.


Suite du décès de Michel Gander en 2017 c’est la société Emanuel Lang à Hirsingue, ancien fournisseur de fils teintés de Gander, qui en a repris la production.



Lors de notre balade à Bouillon, commune située en Belgique, nous nous sommes arrêtés dans un restaurant situé le long de la Semois dans l'ancien couvent des Sépulcrines de Bouillon construit au XVIIème siècle.
Le chef, Didier Cachard, propose une carte de type brasserie bistronomique.

Ce jour là, convid oblige, un seul menu est proposé. Il nous convient alors, avec l'accord du serveur, nous nous installons.

Vous pouvez voir ou revoir notre balade à Bouillon depuis le début sur ce lien !



En entrée, une salade de tomates est accompagnée de crevettes roses et grises, de pickles faits maison, et de différentes sauces! Délicieuse assiette gourmande.


Pour la suite du repas nous avons le choix entre un croustillant de poisson accompagné de tagliatelles et d'une sauce au curry.....


.....ou un filet de volaille à l'estragon accompagné de pommes de terre rôties.


Le dessert fait le bonheur de mes deux gourmands.....un nougat glacé ! Une adresse bien sympathique....à retenir.



Le château de Bouillon est un château fort construit au dixième siècle situé en Wallonie dans la ville belge de Bouillon en province de Luxembourg.
 
Sis sur un éperon rocheux surplombant la Semois et dominant la ville moderne, il a appartenu à Godefroy de Bouillon qui en a hérité de son oncle.
 
Je vous invite à voir ou à revoir l'article dans son entier et toutes les photos sur ce lien !
 
Je vous invite à voir nos balades en Belgique sur ce lien !
 
Belle balade !



Bouillon est une ville située dans le sud de la Belgique, près de la frontière française. Elle est réputée pour le château médiéval de Bouillon surplombant la Semois mais aussi pour son musée ducal.
 
Je vous invite à voir ou à revoir l'article dans son entier et toutes les photos sur ce lien!
 
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Belle balade !



Envie de nous ressourcer et de prendre un grand bol d'air....pas de soucis....nous sommes partis de bonne heure et nous sommes arrivés dans les Vosges en milieu de matinée !
Gérardmer....son lac....ses fromages....sa charcuterie !

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Le premier arrêt, sur notre route, juste avant Gérardmer, est au Tholy.
Le Tholy est facilement reconnaissable par ses maisons bâties à flanc de montagne et son remarquable clocher à bulbe qui domine la vallée.
La production de fromages par la fromagerie Bongrain-Gérard est la principale activité économique du village.


Arrivés à Gérardmer, nous retrouvons nos petites habitudes.


Le centre-ville est bien animé et bien fleuri.


Mais le lac...


.....le lac de Gérardmer est magnifique.


Nous avons prévu notre repas...


Quoi de mieux que de déjeuner au bord du lac sous un soleil timide mais bien réconfortant !


Quelques fromageries plus tard....


Sur le chemin du retour nous nous arrêtons à la Charcuterie Pierrat dont l'histoire est intimement liée à la notion de terroir vosgien.

À bientôt !

Vous pouvez voir ou revoir nos balades vosgiennes en cliquant sur ce lien!



Bouillon est une ville située dans le sud de la Belgique, près de la frontière française.
La localité est un centre touristique important, notamment pour son célèbre château qui domine la Semois du haut de son rocher.

Aujourd'hui, je vous propose de pousser la porte de cette très jolie église saint-Pierre-et-Saint-Paul située au coeur de la ville.

La suite de cet article et toutes les photos sur ce lien:

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Belle balade !



Bouillon est une ville francophone de Belgique, située en Région wallonie, en Ardenne belge dans la province de Luxembourg. Entourée de forêts, Bouillon s’étend dans et autour d’un méandre de la Semois, un affluent de la Meuse.

La localité est un centre touristique important, notamment pour son célèbre château qui domine la Semois du haut de son rocher.

Qui est Godefroy de Bouillon ?

Godefroy de Bouillon, né vers 1058 et mort le 18 juillet 1100 à Jérusalem, est un chevalier franc, duc de Basse-Lotharingie et duc de Bouillon. Premier souverain du royaume de Jérusalem au terme de la première croisade, il refuse le titre de roi pour celui, plus humble, d'avoué du Saint-Sépulcre.

Cet article servira de récapitulatif à notre balade à Bouillon...sur les pas de Godefroy !

Le château !

Le château de Bouillon est un château fort construit au dixième siècle situé à Bouillon en Wallonie.

Sis sur un éperon rocheux surplombant la Semois et dominant la ville moderne, il a appartenu à Godefroy de Bouillon qui en a hérité de son oncle. Il l'a revendu afin de financer son départ pour la première croisade vers la Terre Sainte.

Je vous invite à voir cette balade et toutes les photos sur ce lien ainsi que nos balades en Belgique sur ce lien !

Belle balade !




Thannenkirch est une commune située dans le département du Haut-Rhin en région Grand-Est.
Situé en contrebas du château du Haut-Koenigsbourg, le village est blotti dans un écrin de verdure et de forêts.
 
D'après la légende, le village de Thannenkirch trouve ses origines grâce à un ancienermitage qui aurait existé à partir du 8e siècle au pied du Taennchel à côté de la source Sainte-Anne.

Le Taennchel est un sommet du massif des Vosges culminant à 989 mètres.

La suite de ce fil rouge et toutes les photos sur ce lien !

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Belle balade !




Génicourt-sur-Meuse est une commune située dans le département de la Meuse, en région Lorraine.
C'est lors de notre balade meusienne que nous avons décidé, Marc et moi, de nous arrêter devant la très belle église Sainte-Madeleine!
En effet, elle renferme de bien jolis trésors et, notamment un rétable attribué à Ligier Richier!
 
Ligier Richier est un sculpteur lorrain du début de la Renaissance né à Saint-Mihiel vers 1500!
 
Toute cette balade et toutes les photos sur ce lien !
 
Belle balade !



Notre fil rouge du dimanche nous emmène, aujourd'hui, dans le très beau village de Boersch, commune située dans le département du Haut-Rhin en Alsace !
 
Boersch, toute petite ville de la route des vins mérite que l’on s’y arrête pour se promener à travers ses petites rues et y découvrir de belles maisons ainsi que les trois portes fortifiées de la ville.
 
La suite de cet article et toutes les photos sur ce lien !
 
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Belle balade !



Aubure est une commune de moyenne montagne située dans le Haut-Rhin, en région Grand Est.
 
Aujourd'hui, notre fil rouge du dimanche nous conduit à Aubure, village connu depuis la nuit des temps pour le qualité de son air.
L'ozone présent en altitude tue le bacille de la tuberculose après de longues cures d'air.
La plus ancienne présence de curistes à Aubure remonte à 1887.

Ici, l'église Saint-Jacques-le-Majeur !
 
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(12 clichés)


Établissement l'Arc-en-ciel!
L'auberge et boulangerie "Wirtschaft zur heimat" date du 19e siècle. C'est aujourd'hui  un centre d'accueil pour handicapés.
 


Ancienne pension le Sapinière !
Cet établissement était agréé pour recevoir des malades non contagieux.


Cette ferme présente le plan traditionnel des fermes vosgiennes typiques du 18e siècle.


Ancien sanatorium du docteur Heitzmann.
De 1925 à 1927, le docteur Heitzmann, alors médecin-chef du centre Salem, crée 2 sanatiriums privés à Aubure.
Cet établissement entièrement fermé était la galerie de cure.


Cette ferme réunit plusieurs caractéristiques liées à l'économie de l'élevage:
-un logie et des dépendances situés sous le même toit
-une cour ouverte
-un mur couvert de planches en bois protégeant la ferme des intempéries.


Presbytère catholique !
Construit en 1864, cette bâtisse faisait aussi office de résidence d'été de l'évêque de Strasbourg.


Les Brimbelles, ancien hôtel du Brézouard !
Cet hôtel ouvre ses portes en 1876. Il refusait d'accueillir les tuberculeux en raison de leur contagion.


Cet hôtel est exploité jusqu'en 1959.


Dès le fin du 19e siècle, Aubure devient un centre de villégiature et de cure grâce à son microclimat et à sa localisation en montagne.


Les pensions, les hôtels, les sanatoriums et les résidences secondaires prennent place aux côtés de l'habitat traditionnel.


Serait-ce la fête à le grenouille aujourd'hui ?
 
À bientôt pour la suite de ce fil rouge alsacien !



Le village viticole de Rodern, situé dans le département du Haut-Rhin, en Alsace, est situé à flanc de coteau, en léger retrait de la route des vins d'Alsace et au pied du Haut-Koenigsbourg.

La viticulture a été et reste toujours l'activité principale des habitants de Rodern.
Le village est réputé pour son Grand Cru Gloeckelberg et la notoriété de son pinot noir n'est plus à démontrer.
 
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(12 clichés)


Église Saint-Georges !
Vers 1310, une première église gothique fut construite sur une élévation naturelle de terre au centre du village.
L'église Saint-Georges actuelle date de 1755. À l'époque, la commune participa financièrement à la construction de la nef alors que les descendants des Ribeaupierre s'occupèrent de financer le chœur et la sacristie.


Les maisons de vignerons, érigées du 16e au 18e siècle, forment un tissu urbain très dense.


Cette maison présente l'aspect  typique d'une grande demeure vigneronne du 18e siècle.


Cette maison a été occupée par Fançois-Joseph Weber, maire de Rodern après la Révolution Française.
C'est grâce à lui que le village a pu devenir propriétaire  d'une partie des forêts de Bergheim, là où les habitants de Rodern n'avaient jusqu'alors que le droit d'usage.


Cette maison au charme des grandes demeures du 18e siècle, a appartenu à Hans Weber qui fut le premier maire élu de Rodern.


Cette maison est composée, à l'origine, de deux maisons. Elle présente deux belles entrées de cave. Aujourd'hui, c'est la boulangerie du village.


Une fontaine existant à cet endroit depuis le 15e siècle, constituait le principal point d'eau du village.


Le Schloessel !
Cette maison, datant de 1616, a appartenu à partir de 1726 aux Jésuites de Strasbourg.
En 1740, Maître Kieffer, doyen des avocats du Conseil Souverain d'Alsace, en fait la maison bourgeoise que l'on peut encore admirer.


Cette maison vigneronne possède à l'arrière un vaste jardin. Le toit "à la Mansard" lui donne sa noble allure "à la française" !


Cette belle maison à colombage a été reconstruite après les ravages de la guerre de 30 ans.


À bientôt pour une autre balade !



Aujourd'hui, je vous emmène en balade à Guebwiller, commune située dans le département du Haut-Rhin, en Alsace !
 
Cet article servira de récapitilatif à cette balade :
 
-Pays d'art et d'histoire (ici)
 
-Église Notre-Dame (voir le lien)
 
-Église saint-Léger (voir le lien)
 
-Peintures murales (voir le lien)
 
-Maisons natales (voir le lien)

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(10 clichés)


Guebwiller est une ville au riche passé. Liée à l’abbaye de Murbach, puis à l’industrie, elle possède un patrimoine très intéressant, telles que ses trois églises, superbes représentantatives de trois époques (Romane, Gothique et Néoclassique).


Remarquez ces maisons bourgeoises datant de 1617. Elles sont occupées d'une boutique depuis leur construction.


La maison Ritter est l'ancienne École de Musique de Guebwiller. Elle abrite maintenant une école de danse classique.


Les maisons vigneronnes, avec leur cour bien décorée, sont toujours bien agréables à découvrir.


La soierie de Bary !
L’industrie textile s’est installée au fil des siècles à Guebwiller et nous laisse aujourd’hui encore ses traces.
Les bâtiments industriels ont adopté, selon les époques, différentes formes architecturales influencées par le volume des machines.


Temple protestant !
Le temple protestant se trouve près de l’église de Notre-Dame.
C'est Pierre Moder, premier pasteur nommé par le gouvernement en 1819, qui prend la décision de construire un temple dans un style néo-gothique, en 1824.


Couvent des dominicains !


C'est en nous baladant dans la ville que nous avons rencontré un alambic ambulant !
Le bouilleur ambulant est un distillateur qui procède à la fabrication de l'alcool, en déplaçant son alambic de commune en commune.


Terminons par cette jolie boîte à lire !
 
Belle balade !



Ma collection "Maisons Natales" s'agrandit avec cette maison qui a vu naître Théodore Deck le 2 janvier 1823, céramiste et directeur de la manufacture nationale de Sèvres.


J'ai trouvé aussi, la maison natale du docteur Pierre Bucher, ardent défenseur de l'appartenance de l'Alsace à la France pendant la période allemande. Il fut d'après Jean Schlumberger, « l'âme de l'Alsace ».



En nous baladant dans la cité bien sympathique de Guebwiller, en Alsace, nous avons eu le loisir d'admirer cette magnifique peinture murale qui orne le théâtre de Guebwiller.
 
Vous pouvez retrouver d'autres peintures murales sur ce lien.
 
Vous pouvez voir ou revoir notre balade à Guebwiller depuis le début sur ce lien !
(4 clichés)


Elle a été réalisée par Marc Finiels, artiste peintre décorateur de Guebwiller.....


.....sur le mur du théâtre de Guebwiller.


Cette peinture, située dans le centre ville, est dédiée à Théodore Deck, né le 2 janvier 1823 à Guebwiller et mort le 15 mai 1891 à Paris, céramiste.



L'église Saint-Léger de Guebwiller est située dans le département français du Haut-Rhin, sur la commune de Guebwiller.
L'édifice a été construit au cœur du noyau urbain d'origine dans l'actuelle "ville haute".
 
Vous pouvez voir ou revoir notre balade à Guebwiller depuis le début sur ce lien !
(6 clichés)


L'église recouvre les fondations de deux édifices antérieurs qui se situaient au même emplacement depuis le 8e siècle
L'église Saint-Léger est l'une des plus grandes réalisations de l'architecture romane tardive en Alsace.
La construction de cet édifice a été réalisée en grès des Vosges.


La structure de la nef est typique des édifices de son époque et de son ère géographique, notamment dans la présence d'alternance des supports : il y a des piles fortes et des piles faibles.


Un des vitraux situé dans le chœur illustre l'assaut des Armagnacs sur Guebwiller en 1445.


Le choeur est magnifiquement orné de peintures murales.


Lors de la révolution, en 1794, l'église est désaffectée. Il faut attendre 1831 pour que la pratique du culte soit rétablie.



L'église Notre-Dame est une ancienne collégiale construite au 18e siècle dans la commune de Guebwiller (Haut-Rhin). Il s'agit de l'une des plus imposantes constructions religieuses de style néo-classique dans le nord-est de la France. Elle est construite en grès rose, matériau typique de la région.
 
Vous pouvez voir ou revoir notre balade à Guebwiller depuis le début sur ce lien !
(6 clichés)


L'église Notre-Dame impressionne par ses dimensions mais aussi par la richesse de sa décoration stuquée, dont l'Assomption du chœur, qui s'élève sur dix-sept mètres.


En 1759, l'abbaye impériale et princière de Murbach est officiellement transférée dans la ville de Guebwiller. 


Le prince-abbé Dom Léger de Rathsamhausen engage alors la construction d'une nouvelle église abbatiale.


L'édifice abrite par ailleurs un orgue grandiose, dont le buffet a été installé en 1785 par le facteur allemand Rabiny, et la partie instrumentale reconstruite en 1908 par le facteur parisien Charles Mutin.


En 1792, l'église collégiale devient église paroissiale de Guebwiller.



Alors que les restrictions se lèvent peu à peu en France ainsi que chez nos voisins allemands, nous nous sommes décidés à aller à Trèves faire les soldes !
Trèves, commune Allemande et frontalière avec le Luxembourg, ne se situe pas très loin de la région Lorraine en France!
Alors, ce matin, dès potron-minet, nous sommes partis "faire les soldes à Trèves"!

Nous passons, en voiture, devant la Porta Nigra, afin de rejoindre notre parking!

La Porta Nigra est une porte fortifiée d'époque romaine située à Trèves.
Cette porte est construite en blocs de grès qui sont assemblés sans ciment.
Monument emblématique de la ville de Trèves, elle est une des plus anciennes portes de ville d'Allemagne.

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Nous faisons le tour de nos magasins préférés...les soldes nous prennent par la main...Nicolas a trouvé à se rhabiller pour l'été.....


Quant à moi, je suis contente! Je vais faire plaisir à mamie Simone car je lui ai trouvé 2 chemises de nuit, 2 pulls légers pour l'été et quelques socquettes.


Le temps est au beau et nous prenons le temps de flâner dans la ville...Il faudra que je vous en parle !
Trèves est un véritable carrefour historique et point de rencontre entre les civilisations celtiques, germaniques et romaines.
Il se trouve que Trèves est la plus ancienne ville d'Allemagne.


Vers 11h30, nous nous dirigeons vers la cathédrale Saint-Pierre de Trèves.
Construite entre le 11e siècle et 1270, elle est la plus ancienne cathédrale d'Allemagne.
C'est dans ce quartier que Marc nous a trouvé un petit restaurant sympathique !


Le restaurant Weinstube Kesselstatt est situé Liebfrauenstraße 10 à Trèves.


L'accueil est tout à fait charmant et nous avons pu choisir notre table en terrasse juste en face de la cathédrale.


Nicolas choisit une escalope de porc à la crème, accompagnée de pommes de terre sautées aux lardons et aux oignons et de champignons.


Moi, je prends l'escalope de porc panée. Elle aussi est accompagnée de pommes de terre sautées.


Marc, quant à lui, est tenté par les pommes de terre sautées aux harengs façon ménagère.


Ah mes amis! Faire les soldes n'est pas de tout repos! Mais quelle belle journée !



Le fil rouge de ce week-end est consacré à Bergheim, commune située dans le département du Haut-Rhin en Alsace.
Bergheim est une cité médiévale nichée dans un écrin de verdure, entourée de vignes et protégée par des remparts moyenâgeux.

Bergheim, village préféré des français 2022 (voir le lien) !
 

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L'Hôtel de ville a été construit sous l'ancien régime. Il faisait office de poêle communal.


Bergheim, cité des sorcières ?
En effet, entre 1582 et 1683, la ville connait un épisode de chasse aux sorcières : 39 femmes sont condamnées à être brûlées, l'une est pendue et 3 autres autres meurent sous la torture.


La fontaine est surmontée des armes de Bergheim.


La cour du Bailli est une ancienne demeure vigneronne du 16e siècle ! L'aile la plus ancienne de cette maison date de 1582.


Les fortifications de Bergheim représentent encore de nos jours un des meilleurs exemples de fortifications médiévales en Alsace.
La Porte Haute est l'élément le plus imposant de la première fortification.


Les girouettes sont nombreuses, il suffit de prendre son temps, de flâner et de lever les yeux.


L'église Notre-Dame de l'Assomption est attestée, dans les archives vers l'an 700.


Il ne faut pas manquer, bien sûr, le jardin des sorcières.


Un chemin de 2 kilomètres fait le tour de la cité et longe les remparts du 14e siècle couronnés de tours originales.


Après avoir fait le tour des remparts extérieurs, il est temps de revenir sur nos pas.
 
À bientôt !



Thierenbach est un ancien prieuré de Clunisiens situé sur la commune de Jungholtz, dans le département du Haut-Rhin en Alsace.

Le prieuré fut fondé vers 1130 par Pierre le Vénérable abbé de Cluny. Des moines de Cluny occupèrent ce prieuré de 1130 à 1790.
La basilique fut détruite lors de la guerre de Trente Ans et reconstruite entre 1719 et 1723 par l'architecte Peter Thumb.
 

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De style baroque, ne manquez pas le statuaire situé sous les arcades juste avant d'entrer dans la basilique.


Les origines de ce haut-lieu de pèlerinage marial remontent au 8e siècle. Elle fut fondée par les moines bénédictins de Murbach venus d'Irlande.


En 1125, un jeune noble de Soultz, atteint de maladie incurable, y fut miraculeusement guéri.


Cinq ans plus tard, en 1130, Pierre le Vénérable, abbé de Cluny y fonde un prieuré bénédictin, supprimé par la Révolution.


L'église actuelle, de style baroque autrichien, fut construite en 1723 par Peter Thumb. Elle devint l'église paroissiale de Jungholtz en 1881 et fut érigée en Basilique mineure par Pie XI en 1936.


De nombreux ex-votos offerts pour accompagner une demande ou un remerciement à la Vierge tapissent les murs de l'église. Plus de 800 existent encore aujourd'hui. Le plus ancien, date de 1680.


La basilique de Thierenbach possède un orgue Didier Fisher Krämer, datant de 1923.


Louis Wiederkehr, artiste peintre de Soultz (1925-2010), travaillera à la restauration de l'intérieur de l'édifice, auquel il redonnera le cachet du baroque, avec goût et finesse.


Une porte s'ouvre devant nous.....


.....c'est la chapelle de la Réconciliation !


À bientôt pour la suite de notre fil rouge, "alsacien", du dimanche !



Ainsi les pierres de Soultz laissent-elles murmurer les mémoires des temps passés...(site de l'Hôtel de ville de Soultz)

Aujourd'hui, notre fil rouge du dimanche nous emmène à Soultz commune située dans le département du Haut-Rhin en région Grand Est.

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Manufacture des broches des fils d'Édouard Latscha !

Édouard Latscha III exploite à Soultz, avec ses frères, une fabrique de broches sous la raison sociale Manufacture de broches des Fils d’Édouard Latscha.

Le 1er avril 1922, cet établissement est cédé à la Nouvelle Société de Construction ci-devant N. Schlumberger & Cie de Guebwiller.

Édouard Latscha décide alors de fonder un nouvel atelier de construction mécanique, à proximité immédiate de l’usine originelle, pour fabriquer des broches de filature.



Soieries Baumann !
Une fresque est peinte sur un pan de mur du transformateur électrique, dans la rue de l'École à Soultz.
Une oeuvre qui rapelle des souvenirs d'antan, quand la soierie Baumann - Aîné tournait à plein régime.


Église Saint-Maurice !
L'église, de style gothique, a été construite entre 1270 et 1489. Son clocher octogonal a été surélevé d'un niveau en 1610.


À la fin du 16e la cité connut, comme les autres localités surtout vigneronnes des environs, un élan de renouveau qui vit s'élever l'une après l'autre toutes ces belles demeures à tourelles d'escaliers, oriels et contreforts.


L'hôtel de ville actuel est élevé en 1856 après démolition de tout un quartier de vieilles maisons sur la place du Marché.


Maisons à pans de bois !


Maison Saint-Michel !
Maison construite en 1622 pour Jean Ball, capitaine et commandant de Vieux-Brisach au service de la maison d'Autriche.
Elle fut restaurée en 1741 pour l'huissier François Gérard puis acquise en 1762 par le notaire Philippe Rémy.
À nouveau restaurée en 1877 elle porte les armoiries de François Gérard sur l'échauguette.


Auberge "À la couronne" !
Maison construite en 1575 et 1576 pour un vigneron tonnelier. La première mention de l'auberge "A la Couronne" date de 1677.


La fontaine monumentale surmontée d'un saint Maurice de grès jaune, complète en 1878 l'image de la place qui ne changera plus guère jusqu'à nos jours.


Le Soultzien a un esprit et une mentalité bien spécifiques.
Plusieurs petits dictons y réfèrent, dont le plus connu est bien celui-ci: «Ech kenn nix, ech ben vu Soultz» -je ne veux rien savoir, je viens de Soultz!
 
À bientôt !



Berrwiller est une commune située dans la circonscription administrative du Haut-Rhin et, depuis le 1er janvier 2021, dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.
 
Notre fil rouge du dimanche nous emmène, aujourd'hui, à Berrwiller afin de visiter la très jolie église sainte-Brigide.

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C’est dans le Liber Marcarum- document de recensement des paroisses de l’évêché de Bâle rédigé entre 1441 et 1469 qu’il est spécifié pour la première fois l’existence, à Berrwiller, d’ une église dédiée à Ste Brigide d’Irlande,vraisemblable émanation de l’abbaye de Murbach.


L’église en conserve depuis 1793 le maître autel et les autels latéraux, seuls vestiges religieux de style baroque de ce qui allait devenir une prison d’état après la Révolution.


Le 11 septembre 2016, la dédicace d’un nouvel autel par Mgr Christian Kratz clôturait solennellement cinq années de travaux de rénovation de cette église à l’occasion de son 250e anniversaire.


L’orgue date du XVIIIe siècle.


Il a été construit par Martin Bergäntzel d’Ammerschwihr en 1784, réparé une première fois par Joseph Rabiny vers 1798, restauré et enrichi en 1844 par le célèbre facteur Claude Ignace Callinet de Rouffach.


Très jolie chaire !


Elle fut dotée, dans la même période, d’un tableau monumental représentant Ste Brigitte de Suède.
La confusion de l’acquéreur, entre la sainte missionnaire irlandaise, Brigide, et l’abbesse suédoise, Brigitte, comme l’origine de cette toile impressionnante datée 1760, sont aujourd’hui encore sujets à polémiques.

À dimanche prochain pour la suite de ce fil rouge alsacien !



Situé au coeur du vignoble Alsacien, Ribeauvillé est, à elle seule, une vitrine sur le moyen-âge.
Les fontaines qui ornent la ville en sont un beau témoignage !
 
La fontaine du vigneron!
Cette fontaine est ornée d'une statue de vigneron, rappelant l’histoire viticole de la ville. Elle fut érigée en 1909 et rénovée en 1986.
 
Vous pouvez voir ou revoir cette balade depuis le début en cliquant sur ce lien !
 
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La Marktbrunnen, fontaine devant la Mairie!
C'est la plus ancienne fontaine de la ville. Elle date de 1534.
La colonne centrale comporte des symboles à la gloire de Guillaume II de Ribeaupierre (armes, cimier, toison d'or, lion) avec le lion héraldique sculpté qui tient le blason de la ville

Cette fontaine Renaissance en grès distribue du vin lors de la Fête des Ménétriers (Pfifferday).



Une fontaine? Non, un puits, aujourd'hui bien fleuri.


Cette fontaine située dans la ville haute.....


....n'est pas sans rappeler que Ribeauvillé est la cité des ménestriers.


Cette fontaine surmontée d’un lion porte les armes de Eguenolphe de Ribeaupierre et de sa femme Marie D’Erpach.


Elle orne l’extrémité de la place centrale.


Fontaine, place de la Sinne!

Devenue principale localité de la seigneurie, Ribeauvillé au temps d’Anselme II, vers 1290, les Ribeaupierre la dotèrent d’un marché, l’entourèrent de murailles et en firent une ville, elle-même divisée en quatre petites villes.

Pour faire honneur à sa ville natale, le sculpteur André Friedrich (1798_1877) réalise en 1862, la statue d’une femme imposante, allégorie de la ville de Ribeauvillé.



La sculpture se dresse sur un socle au milieu du bassin octogonal qui est venu remplacer l’ancienne fontaine de la Sinne, là où les vignerons venaient jauger leurs tonneaux et dont la colonne a été déplacée Place de la République.


Fontaine du cerf!
Cette fontaine daate du 16e siècle.

À bientôt pour la suite de notre fil rouge du dimanche en Alsace!



Poursuivons notre balade "fil rouge du dimanche" à Ribeauvillé, comme située dans le département du Haut-Rhin.
 
Vous pouvez voir ou revoir cette balade depuis le début en cliquant sur ce lien !
 
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Notre promenade nous conduit vers l'église saint-Grégoire, église construite au XIIIe siècle et située dans le centre de Ribeauvillé.


Elle servit à ses débuts de sépulture des seigneurs de Ribeauvillé.


L'église paroissiale saint-Grégoire date du 13e siècle.


La nef principale a été terminée en 1473, date inscrite en clé de voûte au-dessus des orgues du 17e siècle.


Egalement représentées en clé de voûte, les armes des Ribeaupierre, de Colmar, et des évêchés de Strasbourg et de Bâle.


L'église Saint-Grégoire a connu différents aménagements, notamment un clocher en 1260 et une chapelle au XIXe siècle.


L'église de Ribeauvillé fut dédiée à saint Grégoire.....


.....en raison de ses liens avec l'abbaye de Munster depuis le 8e siècle.


L'église possède un statuaire datant du 18e siècle représentant le Mont des Oliviers.
Très jolie Vierge à l'Enfant en bois.....


L'orgue est l'ancien orgue du Temple-Neuf de Strasbourg. Cet instrument revêt une signification particulière car c'est le premier instrument construit dans le style français en Alsace.

À bientôt !




L'église de la Providence est un monument historique situé à Ribeauvillé, dans le département français du Haut-Rhin.
 
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Un couvent d'Augustins fut fondé en 1297 par Henri II de Ribeaupierre au centre de la ville, dont aucun bâtiment ne subsiste. Une église fut édifiée au cours du 14e siècle, son achèvement se situant autour de 1412.


Les bâtiments conventuels formant un quadrilatère autour d'une cour ont plusieurs fois été reconstruits, remaniés et agrandis vers l'est et vers l'ouest.


À la suite de problèmes survenus dans le respect de la règle, le couvent fut sécularisé en 1527 par Guillaume II qui lui reprit ses biens.


C'est seulement en 1657 que l'ordre des Augustins put reprendre possession du couvent et y installer des religieux.


À la Révolution, le couvent fut abandonné par les religieux et fermé.


Une association fondée en 1783 par l'abbé Louis Kremp à Molsheim destinée à l'enseignement des filles regroupait des soeurs de la Providence, qui après la Révolution s'installèrent à Sélestat.


En 1817, à la mort de l'abbé Kremp, ce fut l'abbé Bruno Mertian qui prit la direction de la congrégation et qui acheta le couvent de Ribeauvillé pour y établir la maison mère, le noviciat et un pensionnat de filles.


Le jour de notre visite nous avons eu la chance de faire une belle rencontre!


À bientôt pour la suite de cette balade à Ribeauvillé !



Notre fil rouge du dimanche nous emmène en Alsace du côté de Ribeauvillé! Nous poursuivons une balade commencée il y a quelque temps et nous ne nous lassons pas de ce village alsacien de caractère !
 
Vous pouvez voir ou revoir cette balade depuis le début en cliquant sur ce lien !
 
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Située sur la Route des Vins, entre vignoble et montagne, Ribeauvillé est une charmante cité qui a su valoriser son patrimoine historique.

Au Moyen-âge, la cité était le siège de la Seigneurie de la famille des Ribeaupierre, d'où le nom de la ville de Ribeauvillé.



Les Ribeaupierre firent construire 3 châteaux forts, dont les ruines dominent encore aujourd'hui majestueusement la cité et les collines environnantes.
Tous trois sont accessibles par un sentier de randonnée, à flanc de montagne.



La Grand'rue et ses quartiers pittoresques, bordés de constructions abondamment fleuries sont jalonnés de places ornées de superbes maisons.


Le village de Ribeauvillé, tout en longueur, possède de nombreuses et belles maisons à colombages.


Les maisons datent, pour la plupart, du 16e siècle.


Il faut prendre le temps de s'arrêter....


.....et d'admirer ce patrimoine !


Cour des nobles de Rathsamhausen !


Nous sommes bien dans la cité des ménétriers ! À bientôt pour la suite de cette balade !



Situé au cœur du vignoble alsacien, Ribeauvillé fait partie des plus beaux villages de la région. 
 
Vous pouvez voir ou revoir cette balade depuis le début en cliquant sur ce lien !
 
(9 clichés)


En sortant de l'hôtel de ville de Ribeauvillé, nous avons eu plaisir à parcourir les rues de ce village alsacien !


L'hôpital de Ribeauvillé comporte une ancienne église, la chapelle Sainte-Catherine de l'ancien hôpital.
Construite dans le style gothique, au XVe siècle, elle comporte un chœur à trois pans et une voûte réticulée.


Nous entrons dans le quartier de la Ville Haute, le quartier pittoresque.


En poursuivant notre route, nous passons sous la tour des bouchers, vestige des fortifications de la vieille ville.
Construite au XIIIème siècle avec trois étages elle a été surélevée au XVIème siècle d’un quatrième étage.
La tour doit son nom à la présence de l’abattoir à proximité.


Le village de Ribeauvillé est tout en longueur, avec de nombreuses et belles maisons à colombages.


Couvent des soeurs de la divine providence.


À mi-chemin entre Sélestat et Colmar, sur la route des vins d’Alsace, le village de Ribeauvillé vaut le détour non seulement pour son architecture typique des villages Alsaciens, mais également pour son vignoble très réputé.


Foyer Saint-Grégoire !

À bientôt pour la suite de cette balade !



L'hôtel de ville de Ribeauvillé est un monument historique situé à Ribeauvillé, dans le département français du Haut-Rhin et nous avons eu la grande chance de pouvoir le visiter un jour que nous y étions pour la journée du patrimoine!
 
Vous pouvez voir ou revoir cette balade depuis le début en cliquant sur ce lien !
 
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La façade de l’hôtel de ville de Ribeauvillé, qui date de 1773, est surmontée d'un fronton de facture classique.


Un balcon présente un garde-corps en ferronnerie de style Louis XVI.


Le hall d’honneur présente un panneau japonais offert à la ville en 1964 par les Ets Steiner connus aujourd’hui sous le nom de Beauvillé.


La salle du mariage est tout à fait exceptionnelle.


Une photo prise dans le reflet d'une glace.


La salle du conseil est, elle aussi, impressionnante !


De belles armoires meublent la mairie.....


....des armoires....de belles clés....


....et des serrures qui vont avec !
 
À bientôt pour la suite de notre balade à Ribeauvillé !



Pour notre fil rouge du week-end consacré aux régions Alsace et Vosges, je commence aujourd'hui une balade à Ribeauvillé.
Ribeauvillé, commune située dans le département du Haut-Rhin en région Alsace, est située sur la route des vins d'Alsace et s'étend au pied du massif des Vosges.

La balade commence devant cette belle fontaine, la fontaine du vigneron. Édifiée en 1909, elle indique la place importante de la viticulture dans l'économie locale.
 
Cet article servira de récapitulatif à notre découverte du centre historique de Ribeauvillé:
 
-Centre historique (ici)

-L'hôtel de ville (sur le lien)

-Promenade dans une cité de caractère (voir le lien)

-Maisons typiques (voir le lien)

-Ancienne église des Augustins dite de la Providence (voir le lien)

-Église saint-Grégoire (voir le lien)

-Quelques fontaines (voir le lien)
 

Vous pouvez retrouver quelques unes de nos balades en Alsace en cliquant sur ce lien!

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Les ménétriers !

D'après la tradition, un seigneur de Ribeaupierre aurait donné une pièce à un ménétrier qui avait cassé son instrument.

Pour le remercier de sa générosité, les ménétriers choisirent cette famille comme suzerain. C'était il y a plus de 600 ans.



En réalité, au Moyen Âge, les empereurs avaient besoin de surveiller cette corporation remuante, sinon inquiétante.

Ils avaient choisi un seigneur alsacien pour en assurer le patronage et lui procurer une organisation.

C'est dans ce cadre qu'est née la fête des ménétriers : c'était l'occasion de se retrouver et de régler les conflits.



Les ménétriers se réunissaient dans les auberges de la ville pour la fête de la Nativité de la Vierge.
Ils assistaient à la messe puis rendaient hommage au seigneur dans la grande cour du château.
Les Ribeauvillois conservèrent la fête sous le même nom.


La fête des Ménétriers est la plus ancienne fête d'Alsace.
Elle a su conserver les traditions, les costumes, les couleurs et la notoriété que lui donnèrent dès le 14ème siècle des centaines de musiciens et troubadours.


À l’arrière plan en hauteur, le Château de Saint-Ulrich domine la ville.


Devanture du restaurant winstub Zum "Pfifferhüs", situé 14 Grand Rue à Ribeauvillé.
Le restaurant winstub Zum "Pfifferhüs" est bien connu sous le nom  de "Le Pfifferhüs" ou "La maison des Ménétriers"!


Ribeauvillé rime avec ménétriers.....


......ils nous accompagnent tout au long de notre balade !


La Grand'rue et ses quartiers pittoresques, bordés de constructions abondamment fleuries....


.....sont jalonnés de places ornées de fontaines de style Renaissance.


Fontaine place de l'Hôtel de Ville.


Cette fontaine de type renaissance de la Place de l'Hôtel de Ville est la plus ancienne des fontaines publiques de la ville.


Édifiée en 1290 sur 3 étages puis rehaussée en 1536, la Tour des Bouchers surplombe à 29 mètres les toits de Ribeauvillé.
Appelée Metzgerturm, elle tire son nom de la Corporation des Bouchers, chargée, en cas d’attaque extérieure, de défendre la ville depuis cette tour.


L'hôtel de ville fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis 1932.
 
Nous aurons l'occasion de le visiter. À bientôt !



Munster est une commune du massif des Vosges située dans la circonscription administrative du Haut-Rhin, en région Grand Est.
 
Le fil rouge de ce dimanche nous emmène en Alsace, au pays des cigognes et cet article servira de récapitulatif à notre séjour à Munster !
 
-Balade en ville (ici)
 
-Le rond-point jazzy (sur ce lien)
 
-Les cigognes de Munster (sur ce lien)
 
-Restaurant Au P'tit Munster (sur ce lien)
 
-Munster blanc (sur ce lien)
 
Vous pouvez retrouver quelques unes de nos balades en Alsace en cliquant sur ce lien!

(10 clichés)


La cigogne est l'animal emblématique de l'Alsace.
Dans la ville de Munster, vous aurez la chance d'en voir beaucoup sur leurs nids ou en plein vol.


Les cigognes blanches utilisent volontiers les nids aménagés sur les hautes constructions de Munster.
Elles s'installent sur les nids dès février ou mars et  y ajoutent quelques branches.
Les nids peuvent ainsi atteindre les 500 kg.


L'Hôtel de ville date de 1550.


Très bel hôtel particulier.


Le temple protestant, de style néo-roman, a été construit du printemps 1868 à décembre 1873, et inaugurée le 1er janvier 1874.


Munster est aussi la cité du jazz.


Le Jazz Festival de Munster, fondé en 1988, est un évènement artistique de renommée internationale et la balade en ville nous le rappelle avec beaucoup de sens artistique.


La crise sanitaire a obligé d'annuler ce festival....nous attendons avec impatience des jours meilleurs!


À bientôt pour la suite de ce fil rouge !



Molsheim, Molse en alsacien, est une commune située dans le département du Bas-Rhin en région Grand Est.
 
Plongeons dans nos souvenirs.....
 
-Cité au patrimoine reconnu (ici)
 
-Les cigognes de Molsheim (voir le lien)
 
-Restaurant D'STALL (voir le lien)
 
-Restaurant La Metzig (voir le lien)
 
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Sous-préfecture du Bas-Rhin, elle a connu une histoire riche depuis le Moyen Âge et est dotée d'un patrimoine architectural reconnu.
Propriété médiévale de l'évêque de Strasbourg, elle devient la cité refuge des ordres religieux catholiques lors de la Réforme.


La Metzig , également appelé les grandes boucheries, est l'ancien site de la corporation des bouchers de Molsheim.
Le nom fait référence directement au métier, puisqu'il signifie « abattoir » ou « marché de la viande ».


Façace côté de la Metzig.


Ancien siège de la corporation des boulangers.


Hôtel de ville fut reconstruit en 1832 par l'architecte de la ville, Samain.


Porte des Forgerons, 14e siècle, édifiée par l'évêque Jean de DIRPHEIM (1306-1328). Elle abrite une magnifique cloche de deux tonnes fondue en 1412 provenant de l'ancienne église Saint-Georges située autrefois sur l'actuelle place du Marché.


Une peinture murale prise au hasard de notre balade.
 
À bientôt pour une autre balade !



Le fil rouge d'aujourd'hui nous emmène à Lapoutroie, commune située dans le département du Haut-Rhin en Alsace.
 
Située entre vignoble et montagne, Lapoutroie est connue pour son musée des eaux de vie René de Miscault !
 
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(12 clichés)


C'est dans un ancien relais de poste du 18e siècle que René et Monette de Miscault ont créé le Musée des Eaux-de-Vie et des Liqueurs.


Le Musée des Eaux de Vie se trouve dans l’ancien relais de Poste de Lapoutroie, construit en 1832.



Il servait à accueillir les écuries de l’hôtel de la Poste. Le relais de Poste pouvait accueillir 30 chevaux grâce à ses deux écuries.


En 1986, le bâtiment est rénové et accueille désormais le Musée des Eaux de Vie, classé aujourd’hui 30ème site le plus visité d’Alsace.
 
Alambic de bouilleur de cru datant de 1830.


Dans ce bâtiment aujourd’hui rénové, on trouve une importante collection d'absinthe et d'anisés, des anciennes affiches publicitaires, alambics, alcoomètres, filtres, fûts, moules à bouteilles, bonbonnes de verre que l'on peut visiter librement.
 
Cuves en gré.


Moules à bouteilles datant du début du 20e siècle.


À l'origine des eaux-de-vie et de nombreuses liqueurs, il y a l'alambic.

Impressionnant par ses cuivres rutilants, il l'est aussi par la diversité de ses formes au fil des époques et des régions.

Alambic moderne datant de 1983.


Le Bouilleur de cru est un exploitant agricole ayant un verger et qui, en plus du droit de distiller ses propres fruits, bénéficiait d’une franchise de 10 litres d’alcool pur sur lesquels il ne payait pas de taxe : c’était le « privilège du bouilleur de cru ».

Collection unique de 300 bouteilles.


En général, les bouilleurs de cru font distiller leur production par un distillateur ambulant ou dans un atelier public. Ici, à Lapoutroie, les cultivateurs étaient autorisés à détenir leurs alambics chez eux, dans leur ferme.


La visite se termine et le maître de maison nous propose une dégustation.....


Comment déguster une absinthe ?

Comme au 19e siècle, l’absinthe ne se consomme pas pure.
Pour le service de l’absinthe, on verse un peu d'absinthe dans le fond d'un verre.
On pose une cuillère percée sur le verre, puis un sucre sur la cuillère.
On verse de l'eau bien fraîche très lentement sur le sucre.
Celui-ci va s'imbiber d'eau, puis va se dissoudre lentement.
L'eau sucrée passe alors par les trous de la cuillère et peut ainsi se mélanger à l'absinthe.

Fontaine à absinthe Libertine.



Je terminerai notre balade-découverte de Gérardmer, commune située dans le département des Vosges, par le Rally Vosgien!
Ce jour là, nous avons eu la chance de pouvoir admirer quelques beaux bolides !
 
Vous pouvez voir ou revoir nos balades à Gérardmer sur ce lien!
 
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Le Rally Vosgien réunit pas moins de 120 voitures autour de la Bresse et du Thillot.


Un rallye historique avec des véhicules de course des années 70 et 80 et des pilotes de prestige comme Sébastien Loeb au volant d’un 205 Ti16.


La Perle des Vosges, Gérardmer, est le véritable centre névralgique de l’épreuve en accueillant les principales étapes « clé » du rallye.....


.....podium départ-arrivée, parc d’assistance, PC Course, vérifications.


Après avoir admiré ces voitures qui ont fait la légende de ce parcours.....


.....il est temps pour se trouver une bonne place pour suivre cette course !
 
À bientôt pour un nouveau fil rouge du dimanche !



L'église Saint-Barthélemy de Gérardmer, commune située dans le département des Vosges, a été construite par l'architecte Benoît Danis à l'emplacement de l'ancienne église paroissiale du 18e siècle, incendiée en 1940.
 
Vous pouvez voir ou revoir nos balades à Gérardmer sur ce lien!
 
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L'édifice, qui conserve à l'extérieur une volumétrie et des dispositifs traditionnels, se distingue à l'intérieur par l’emploi de techniques de construction novatrices pour l'époque.


Les neuf arcs en béton qui soutiennent la charpente lambrissée de l'église lui confère un aspect assez moderne.


La nef est percée d'un chœur en cul-de-four lumineux qui attire l'œil.


Une lumière naturelle pénètre par une série de vitraux percés dans les parois extérieures, conçus par François Chapuis et exécutés par les ateliers Ripault de Versailles.


Les quatorze stations ont été exécutées en émail sur tôle d'acier par Thérèse Lemuhot de Gérardmer.


À bientôt pour une dernière balade à Gérardmer !



Lorsque nous allons à Gérardmer, commune située dans le département des Vosges, nos pas nous emmènent invariablement vers le lac!
C'est vrai qu'il est beau....
Mais, ce jour là, nous avons décidé de nous promener en ville....Allez! Suivez-nous !
 
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La première mention de Gérardmer remonte à 1285 dans un acte de cession de terres de Ferry III, duc de Lorraine, à Conrad Wernher, sire de Hadstatt.

L'histoire ancienne de Gérardmer est liée au duché de Lorraine et à l'Abbaye de Remiremont, dont les Chanoines gouvernèrent longtemps les lieux.
Gérardmer est alors une communauté vivante et animée par un marché annuel de beurre et fromage.
 
Hôtel de ville !


Une ère nouvelle a coïncidé avec l'arrivée du chemin de fer, le tourisme s'ouvrant alors notamment aux Parisiens et aux bourgeois fortunés de Lorraine.
 
Église Saint-Barthélémy !


Le temple protestant !
Si ce temple n'a pas été incendié en 1945, comme le reste du quartier, c'est grâce à la vieille dame d'origine alsacienne qui en gardait les clés et qui a refusé de les donner aux soldats allemands venus les lui réclamer.
"Pour faire une bêtise pareille ? Pas question !"
Et de leur claquer la porte au nez. Mais l'affaire aurait pu mal se terminer.


Les balcons sont bien décorés. Il faut savoir que le Tour de France est passé par là en 2014.


Cette fontaine en fonte est située sur la place devant l'église.


Situé dans le centre-ville qui ne connaît ce manège....
 
À bientôt!



La promenade de Tidarmène à Gérardmer, commune située dans le département des Vosges, est un chemin piétonnier qui longe le lac.
 
Chaussez-vous bien et suivez-nous !
 
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Au milieu du 19e siècle, les rives du lac sont convoitées par les riches bourgeois en villégiature qui sont charmés par la beauté du site et par l'air vivifiant que l'on y respire.


Nous nous baladons en bonne compagnie.


Si de nombreuses villas ont aujourd'hui disparues, d'autres sont encore visibles.


La fréquentation du site de Gérardmer entraîne, le 23 juillet 1875, la création du comité des promenades.


Apparemment anodine, cette décision cache en réalité un véritable évènement......


.....le premier Office du Tourisme de France vient de naître au bord du lac !


Le Lac de Gérardmer, situé à 660m d'altitude, est un lac d'origine glaciaire. Il est également le plus grand lac naturel des Vosges avec ses 155ha de surface.


Aux beaux jours, ses 115 hectares sont exploités pour les activités nautiques. On y pratique le canoë, la voile, l'aviron, le pédalo, on y pêche, on se baigne sur ses plages aménagées.


On y vient, aussi, pour admirer les paysages superbes qui l'entourent.....même de nuit la magie opère !
 
À bientôt !



Après avoir visité la confiserie de Plainfaing (voir le lien) située dans les Hautes-Vosges, nous nous sommes dirigés vers Gérardmer, commune de moyenne montagne située dans le département des Vosges.
 
Gérardmer est connue pour ses activités de montagne, son lac ainsi que pour son festival international du film fantastique.
 
Mais, Gérardmer est aussi la première ville textile de France pour le linge de maison et dispose de plusieurs usines textiles renommées pour la qualité de leurs fabrications.
 
Aujourd'hui, visitons le magasin d'usine Linvosges de Gérardmer!

Vous pouvez voir ou revoir nos balades à Gérardmer sur ce lien!
 
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L’aventure Linvosges commence au cœur des Vosges, berceau du textile de filature et de tissage, dont Charles Prudent tombe sous le charme.


Charles se lance alors un pari risqué :créer la première entreprise française de vente directe de linge de maison.


Et c'est qu'en février 1923 Charles Prudent crée la Société de Linge des Vosges, une maison de confection et de vente au détail de linge dont l'ambition est de rayonner sur la France entière.


Tous les produits Linvosges sont des créations originales.


Les matières privilégiées sont le lin, le coton (notamment la percale) et la flanelle.


Vais-je craquer sur ce joli tablier?


L'entreprise entretient des savoir-faire particuliers comme celui du point Jour-Venise en broderie, qu'elle est aujourd'hui la seule à pratiquer à l'échelle industrielle en France.


Allez! Je vous laisse....j'ai à faire dans la boutique du magasin!
 
À bientôt!



Plainfaing est le siège de la Confiserie des Hautes-Vosges, entreprise artisanale repris en 1986 par la famille Claudepierre et spécialisée dans la fabrication de près de 35 sortes de bonbons à base d’arômes naturels ou d'huiles essentielles.
L'entreprise produit en moyenne 250 tonnes de bonbons par an.
 
Aujourd'hui, notre fil rouge du dimanche nous emmène à Plainfaing dans les Vosges pour une dégustation bien gourmande!

-Plainfaing - Peintures murales et cartes postales (voir le lien)
 
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La CDHV utilise des matières permières de proximité.

Le sucre vient d'Erstein en Alsace, le sirop de Glucose de Markolsheim.



Les bonbons continuent à être fabriqués à l'ancienne selon des recettes centenaires au coeur du massif vosgien.


La confiserie respecte le savoir faire à l'ancienne et continue à fabriquer les bonbons artisanalement, dans des chaudrons en cuivre.


La coulée!


L'arômatisation s'effectue sur un marbre à la spatule.


Le malaxage de la pâte permet d'homogénéiser la couleur et les arômes.


Une fois le malaxage effectué, nous passons à l'étape du moulage afin de donner forme à nos bonbons.


Après le refroidissement, les bonbons passent dans une enrobeuse où une fine couche de sucre finit alors par les habiller.


L'emballage se fait ensuite dans une atmosphère bien gourmande.


Les plaques de bonbons, entières ou cassées à la main, se déclinent en 4 parfums : Bourgeons de sapin des Vosges, Eucalyptus, Coquelicot et Briquette.


Passons à la boutique....et essayons de ne pas faire de folies....Dur! Dur!



Lautenbach est une commune située dans le département du Haut-Rhin, en Alsace.
Aujourd'hui, dans le cadre de notre fil rouge du dimanche, je vous emmène visiter la très jolie collégiale saint-Michel et saint-Gangolphe de Lautenbach.
 

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Au niveau du porche on remarque des frises qui illustrent le péché de l'adultère.


La collégiale saint-Michel et saint-Gangolphe est un des chefs-d'œuvre de l'art allemand du 17e  siècle.


Le choeur est à chevet plat et de style gothique.


Maître-autel (1706).


Orgue de tribune Toussaint (1771).


La chaire à prêcher date du 18e siècle.


Autel de Saint-Wendelin (1719).


Autel du Rosaire (1718).


À bientôt pour une autre balade !



Reprenons notre fil rouge du dimanche et partons en Alsace afin de visiter la très jolie église Saint-jean-Baptiste de Buhl.
Buhl est une commune située dans le département du Haut-Rhin, en Alsace.

-Église Saint-Jean-Baptiste (ici)

-Restaurant le Jardin des saveurs (sur ce lien)

-Rond-point de la Vierge Marie (sur ce lien)
 

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On trouve la première trace écrite du village de Buhl dans un document établi par un abbé du prieuré des Augustins de Goldbach.
La présence d'un curé à Buhl est attestée dès 1243.
À la suite d'une forte croissance démographique au 19e siècle, une nouvelle église est bâtie pour remplacer l'ancien sanctuaire qui se trouvait sur place.


Croix de mission aux emblèmes de la passion du Christ datée de 1752.


Ce vaste édifice de style néo-roman abrite une nef de 1868.


L'église abrite un retable de 7 mètres de large, consacré à la passion du Christ (volets ouverts) et à la Vierge (volets fermés).
Ce chef d'œuvre est acheminé à Colmar pendant la Révolution lorsque les couvents sont vidés de leur mobilier.
Deux habitants de Buhl ramènent le retable du 15e siècle caché dans leur transport de fourrage pour le rendre à l'église du village une fois la révolution passée.


En 1775, l'église primitive de Buhl cède sa place à une nouvelle église. Seule l'ancienne tour porche fortifiée subsiste.


Le monument, construit par l'architecte attitré de l'abbaye, Gabriel Ignace Ritter, sera financé par les bourgeois de Buhl et le prince-abbé Casimir de Rathsamhausen.


Le chemin de croix de l'église est magnifique.


Laissons-nous porter par la majesté du site.


Une Vierge à l'enfant nous protège.


Bon dimanche !



Murbach est une commune située dans le département du Haut-Rhin, en Alsace.

Ce charmant village est surtout connu pour sa très belle abbaye, fondée en 727 par le comte Eberhard d'Eguisheim, neveu de sainte Odile.

Depuis ce site sont visibles les deux hautes tours de grès, vestiges d'une célèbre abbaye romane.

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Abbaye de Murbach !
Le comte Eberhard d'Eguisheim appela saint Pirmin, qui avait déjà fondé ou organisé de nombreux monastères et notamment Reichenau.
Selon la chronique du moine et savant Hermann Contract, Pirmin vint à Murbach accompagné de douze moines de Reichenau.


Peinture de Jean-Paul Koenig (1986) représentant la crucifixion d'après un retable du 12e siècle qui figure dans un missel de Murbach.
À gauche on trouve saint Benoît et à droite saint Pirmin.
 


L'abbatiale de Murbach est considérée comme un des grands chefs-d'œuvre de l'art roman rhénan.

L'église abbatiale devint église paroissiale de Murbach en 1760.



Gisant d'Eberhard fondateur de l'abbaye, 13e siècle.


Vers la chapelle de Notre-Dame de Lorette !


Cette chapelle de style baroque est située sur une petite hauteur, en pleine forêt dominant l'ancienne abbaye de Murbach.


Ce sont les moines qui font construire une chapelle au-dessus de l'abbaye dominant ainsi le vallon de Murbach.


Les travaux se font assez rapidement puisque la chapelle est terminée au bout d'une année à peine en 1693.


Notre-Dame de Lorette !
La Sainte Maison de Lorette est selon la tradition chrétienne occidentale, la Maison où Jésus-Christ fut conçu par le Saint-Esprit en la Vierge Marie.


Cadran solaire !
Cadran solaire situé derrière le mur de la chapelle Notre-Dame de Lorette.
En 1714, le capucin Constantin Mettler fait installer sur le mur arrière de la chapelle un cadran solaire que l'on peut toujours encore admirer de nos jour.


Chemin de croix !
Le curé Jean-Thébaut Mellecker fervent admirateur de l'abbaye de Murbach et travailleur acharné en faveur de la restauration de l'édifice fit installer un chemin de croix sur le sentier qui mène à la chapelle Notre Dame de Lorette.


L'objectif du curé est de proposer aux fidèles un cheminement leur rappelant la passion du Christ.


Chemin de croix. La mise au tombeau du Christ.

À bientôt pour une autre balade !



NOËL À COLMAR

 19/12/2020
Colmar est une commune située dans le département du Haut-Rhin en Alsace.
Nous sommes allés nous y promener à l'occasion de la féerie de Noël, il y a quelques années.

Aujourd'hui, je plonge dans mes souvenirs et je vous emmène en voyage vers le pays des milles et une nuits!
 
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Les traditions de Noël revêtent à Colmar une dimension particulière, et les cinq marchés de Noël sont disséminés dans le vieux Colmar tout illuminé et décoré pour l'occasion.


Située non loin des quartiers des tanneurs et de la poissonnerie, la petite Venise doit son nom à ces jolies maisons colorées qui longent les canaux de Colmar.
Et....surprise! Nous avons aperçu le Père Noël dans une barque, tout près des halles, essayant de passer inaperçu...


Les cinq marchés ont chacun leurs spécialités...


Celui-là propose de multiples plaisirs gourmands.


De délicieux bredeles alsaciens !


Les marchés de Noël ne seraient pas complets sans du pain d'épices.


Nous ne revenons jamais d'une balade sur un marché de Noël sans un petit santon qui trouvera place dans notre village de Noël.


Et, en attendant Noël, au milieu d'un décor hivernal parsemé de neige et de sapins, ces petits bonshommes de neige font le plaisir des grands et des petits.



NOËL À KAYSERSBERG

 12/12/2020
Ouvrons, aujourd'hui, notre album photos à la page du marché de Noël de Kaysersberg !
Le marché de Noël de Kaysersberg, commune située dans le département du Haut-Rhin en Alsace,  nous accueille au coeur d'une cité authentique et médiévale....tout y est lumière et décorations !
 
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Située sur la route des vins, Kaysersberg est une cité médiévale, aux rues pavées qui, en cette période festive à mis ses habits de fête.


La période de Noël est le moment où l'Alsace se pare de ses plus beaux habits!


Les traditions de Noël sont respectées....


...et les boules de Noël scintillent de 1000 feux!


Joyeux Noël à Kaysersberg !



NOËL À RIQUEWIHR

 29/11/2020
En ce premier dimanche de l'Avent, j'ai la nostalgie des marchés de Noël que nous avions l'habitude de parcourir et que nous ne verrons pas cette année!
C'est pourquoi, j'ai eu envie de feuilleter mon album photos et de partager avec vous quelques souvenirs.
 
Aujourd'hui, partons à Riquewihr, commune située dans le département du Haut-Rhin en Alsace et qui est renommée pour son très joli marché de Noël !

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Au coeur de la vieille ville, toutes les maisons au caractère si typique se parent, pour l'occasion, de magnifiques décorations.


Le décor féérique de la cité allie l’esprit de Noël à tout ce qui fait le charme de l’Alsace!


Le détail de décoration d'une fenêtre. Aucune ne se ressemble.


Les habitants de la cité ne manquent pas d'imagination!


Les effluves de pain d’épices, de bredeles et autres manneles....nous font rêver.


La magie opère ! Même le Père Noël est venu nous raconter de belles histoires avant d'entamer son périple à travers le monde.

Vous pouvez voir ou revoir d'autres marchés de Noël en cliquant sur ce lien.




Andlau est une commune située dans le département du Bas-Rhin, en région Grand Est.
Lors de notre dernière balade en Alsace nous nous y sommes arrêtés afin de visiter l'abbatiale saint-Pierre et saint-Paul.
 
Vous pouvez retrouver quelques unes de nos balades en Alsace en cliquant sur ce lien!

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Le monastère d'Andlau fut fondé en 880 par l’Impératrice Richarde et c'est en 1049 que le Pape Léon IX canonisa l'abbatiale. 


La chaire réalisée en 1715 est portée par Samson.


Le chemin de croix, réalisé en bois, est tout à fait classique.


Les deux autels situés de chaque côtés du choeur.....


.....sont de style Louis XVI.


L'édifice se compose de deux niveaux d'élévation: grandes arcades et tribunes. Ces grandes arcades en plein cintre séparent le vaisseau central de ses bas-côtés.


La crypte appartient à  l'époque du pape Léon IX.


La crypte voûtée attirait  les pèlerins.....


......une Vierge à l’Enfant datant du 15e siècle les attendait.



Notre fil rouge dominical nous emmène, aujourd'hui, à Heiligenstein, charmant village alsacien dont la vocation viticole remonte au 3e siècle, à l'époque galloromaine.

Heiligenstein est un village viticole accroché au flanc de la colline, au pied du mont Sainte-Odile, entre 240 m et 300 m d'altitude.

Vous pouvez retrouver quelques unes de nos balades en Alsace en cliquant sur ce lien!
(7 clichés)


L'hôtel de ville est orné d'une statue d'Ehrhard Wantz, le bourgmestre qui batailla au 18e siècle pour l'introduction du klevener.


En effet, ce village doit sa renommée au klevener, ce vin blanc au goût fruité et qui n'est cultivé que là.


Il reste encore de très jolies maisons de vignerons à colombages.


La balade est agréable ! Je lève les yeux et je suis encore surprise par cette girouette pleine de charme.


Tout au long de l'année et, suivant les saisons, les fenêtres sont décorées !


Petit village au charme d'antan.....



La richesse du patrimoine de la ville de Mittelbergheim, dans le département du Bas-Rhin, lui permet d'être classé parmi les Plus Beaux Villages de France.
 
Vous pouvez voir ou revoir notre balade à Mittelbergheim depuis le début en cliquant sur ce lien!
 
(6 clichés)


L'église Saint-Étienne, notamment, a été construite en 1893 grâce à l'initiative du curé Victor Brach avec des matériaux en grès des Vosges.


L'église Saint-Étienne a été consacrée le 18 mars 1894 et a été dédiée au patron des vignerons.


Elle est l'aboutissement de plusieurs siècles d'histoire religieuse mouvementée dans le village.


Un choeur tout en simplicité et en lumière.


Quelques clichés du chemin de croix !



Mittelbergheim est une commune située dans le département du Bas-Rhin, en région Grand Est.
Nous avons eu l'occasion d'aller nous y promener cet été et, c'est pourquoi, aujourd'hui, je vous emmène admirer le pressoir animé de la commune.
 
Vous pouvez voir ou revoir notre balade à Mittelbergheim depuis le début en cliquant sur ce lien!
 
(6 clichés)


C'est vers le 16e siècle que nous trouvons les premières mentions de l'exsistence d'un pressoir au bas du village.


Ce pressoir "Renaissance" a fonctionné jusqu'en 1950. Il a été mis à disposition par Messieurs Freddz et Claude Seltz.


La valeur d'un pressoir dépendait de la qualité du bois utilisé pour la fabriquer.


Imaginez la scène autour du pressoir !
Les raisins sont foulés à pieds d'hommes dans une cuve. Une fois le raison pressés le jus est transporté à l'aide d'une hotte afin de remplir les tonneaux.


Merci à tous pour cette belle leçon d'histoire !



Mittelbergheim est une commune située dans le département du Bas-Rhin, en région Grand Est.
Accroché au flanc de la colline et au milieu du vignoble, Mittelbergheim est un de ces villages dont la singularité historique et architecturale, souvent oubliés, mérite toute notre attention.
 
Cet article servira de récapitulatif à notre balade à Mittelbergheim:
 
-Art de vivre (ici)
 
-Pressoir animé (voir le lien)
 
-Église Saint-Étienne (voir le lien)
 
-Restaurant Le Sarment (voir le lien)
 

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(12 clichés)


La balade, commencée place de l'église, se poursuit vers le pressoir animé de la ville!
Bien sûr je vous parlerai plus en détails de ces deux bâtiments dans deux autres articles.


Arrêtons-nous devant l'Hôtel de Ville !
C'est le bâtiment le plus remarquable avec son escalier en pierre qui grimpe jusqu'à la galerie coiffée et couverte dun toit à bulbe.


La richesse du patrimoine de la commune lui permet d'être classé parmi les Plus Beaux Villages de France.


Mittelbergheim a conservé le caractère d'un village viticole des 17° et 18° siècles, où chaque pierre et chaque maison racontent son histoire.


Les puits de la commune datent du 16e siècle.


Église protestante !
L'église protestante a probablement été construite à l'emplacement d'une ancienne chapelle consacrée à Saint-Étienne dont l'origine remonte à l'année 1180.


Moulin à huile (18e siècle) !
Ce moulin à huile, en grande partie du 18e siècle, est dans un état de conservation remarquable.


Il est l'un des rares en Alsace à n'avoir subi aucune dégradation.


En 1991, Paul Gerling, propriétaire de la ferme où est entreposé le moulin, fit don à la commune de Mittelbergheim du moulin à huile qui se trouvait dans sa cour.


Pressoir de la cour dimière !
Au 16e siècle, le village comptait plusieurs dizaines de pressoirs en bois. Les deux plus importants pressoirs étaient situés dans la cour dimière.
L'un des pressoirs daté de 1727, est l'un des huit rescapés de l'époque médiévale qui fonctionna jusqu'en 1952.


Maison de la dîme (17 siècle) !
On reconnaît l'ancienne maison de la dîme à sa galerie couverte et à ses corniches en pierre.
 
À bientôt pour la suite de cette balade !



Aujourd'hui, je vous emmène découvrir Barr, commune située dans le département du Bas-Rhin, en Alsace.

Traversée par la Route des Vins d’Alsace, Barr se niche au pied du Massif des Vosges qui la protège.

De par sa situation privilégiée, Barr attire les personnes en quête de nature, d’authenticité et de belles pierres.

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(15 clichés)


Débutons notre balade place de l'Hôtel de Ville.
Construit sur le site du château fort, l'hôtel de ville arbore une ravissante façade ocre du style Renaissance.
 
Sur cette place, la fontaine, dite de 'l'enfant à la conque" est au moins la troisième fontaine de cette place de la Mairie.
Celle que nous pouvons admirer aujourd'hui, coule depuis le 13 février 1876. Elle est surmontée d'un enfant qui tourne le dos à l'hôtel de Ville et regarde ostensiblement vers le restaurant situé de l'autre côté de la rue. Il porte une conque à son oreille.


Ancien greffe seigneurial ayant servi jusqu'en 1724.


Maison de tanneur !
On observe des ouvertures d'aération dans la toiture pour favoriser le séchage des peaux.


Auberge Le Brochet !
Installé dans une bâtisse alsacienne médiévale située sur la place du village, cet hôtel a été fondé en 1514.


Maison du boucher !
Cette maison du 18e siècle a été construite sur un porche de pierre avec étages à pans de bois.
L'oriel est orné de l'emblème du métier de boucher, une tête de boeuf.


Église protestante saint-Martin !


Cette cour est caractéristique de la région !


Des figures d'ange et de diable ont été sulptées sur la poutre de soutènement.


Maison Richard Hartmann !
Richard Hartmann est né à Barr en 1809. Constructeur de locomotives, il fonda à Chemnitz une grande fabrique de locomotives.


Tannerie Degermann !
L’origine de la tannerie Degermann remonte au 19 ème siècle. Une lignée ininterrompue de tanneurs de Gustave, le fondateur à Nicolas, l’actuel dirigeant, a su transmettre passion, valeurs et savoir-faire jusqu’à aujourd’hui.


Maison de Maître construite par la famille Degermann en 1870 !


La ville est traversée par la Kirneck, affluent de l’Andlau et sous-affluent de l’Ill.


Fontaine Gaensbrunnel !
La fontaine de l'Oie, ou Gaensbrunnel, a été construite en 1857 par Martin Feuerstein un tailleur de pierre de Barr.


Musée de la Folie Marco !
Le musée de la Folie Marco est un musée municipal d'arts décoratifs. Installé dans une demeure patricienne du 18e siècle, il abrite des collections de mobilier bourgeois alsacien du 17e au 19e siècle.
 
À bientôt pour une nouvelle balade alsacienne !



Verdun.....ses champs de bataille.....ses forts.....ses villages détruits.....
Verdun, située dans le département de la Meuse, est aussi une charmante ville que je vous propose de visiter aujourd'hui.

Vous pouvez voir ou revoir nos balades à Verdun depuis le début en cliquant sur ce lien!
 
(14 clichés)


La porte Chatel !
Plus ancienne porte de la ville, elle servait à surveiller l'accès à la ville depuis le Mont Saint-Vanne.


Datant de 1853 et rénové en 2005, le marché couvert se situe sur l’emplacement de l’ancien couvent des Augustins et crée l’animation tous les vendredis matin.


Construit en 1928, le Monument aux Morts et aux Enfants de Verdun s'appuie sur la demi-lune de la Chaussée, dont la construction fut ordonnée par le Maréchal de Vauban au 17ème siècle.
Ce monument aux morts représente les cinq corps de l'armée française engagés pendant la bataille de 1916.


La porte Chaussée, ou tour Chaussée, est une porte de la ville.



Elle a été construite en 1380 le long de la Meuse.


Elle était l'une des trois portes monumentales du Grand Rempart de Verdun.


Remaniée en 1690, elle sert de prison militaire à l'État de 1755 à 1860.


Elle a été rachetée par la ville en 1889.


Sous-préfecture !
Les bâtiments de la Sous-Préfecture de Verdun et du palais de justice sont installés dans l'ancienne Abbaye Saint Paul édifiée au 16e siècle par des prémontrés qui occupèrent celle-ci jusqu'en 1790.


Synagogue !
La première synagogue construite en 1805 est détruite par les bombardements de la guerre franco-allemande de 1870.
La synagogue actuelle est construite de 1873 à 1875 dans le style hispano-mauresque.


Porte Saint-Paul !
Percée dans les remparts au 19ème siècle, elle se compose de deux arches (entrée/sortie), chaque arche étant desservie par un pont-levis.


Monument à la vistoire et aux soldats de Verdun !
Construit au centre-ville de Verdun, ce monument fut inauguré en 1929.
Les 73 marches de l'escalier conduisent à une crypte qui abrite les répertoires des noms des soldats titulaires de la médaille de Verdun.


Au sommet de la tour de 30 mètres de haut, se dresse un guerrier, appuyé sur son épée et regardant vers l'Est.
Une cérémonie a lieu chaque année le 1er novembre au Monument à la Victoire pour accueillir la Flamme sacrée qui brûle sous l'Arc de Triomphe à Paris.
Cette cérémonie s'inscrit dans le cadre des commémorations de l'Armistice et du Choix du Soldat Inconnu.
Le Soldat Inconnu fut choisi à Verdun le 10 novembre 1920 dans la citadelle souterraine.



Notre fil rouge du dimanche nous emmène, aujourd'hui, visiter un charmant village alsacien, Saint-Hippolyte.
Saint-Hippolyte est situé au pied du château du Haut-Koenigsbourg, le long de la route des vins d'Alsace.
 
Vous pouvez retrouver quelques unes de nos balades en Alsace en cliquant sur ce lien!
 
(14 clichés)


La balade débute au niveau de la mairie et se poursuit jusqu'à cette jolie maison à pans de bois.
Sur la porte d'entrée se trouve l'emblème du boulanger.


À l'étage, un poteau cornier est, lui aussi, sculpté d'un emblème de boulanger.


Citée dès 1555, cette fontaine en grés et en pierres, porte la trace de blasons. Sur un côté se trouve un reposoir qui permettait aux vignerons de déposer quelques instants leur hotte remplie de raisins.


Très jolie maison de vigneron.


Église Saint-Hippolyte.


Val-vignes ou ancien château des Ducs de Lorraine.


À cet endroit, on distingue l'ancien fossé de l'enceinte médiévale où s'écoule aujourd'hui un canal qui se prolonge en un bassin appelé "wesch".
Les habitants venaient, le dimanche matin, laver leur chevaux.


De nos jours, les remparts sont surbâtis de maisons sur l'ensemble de leur tracé.


Cette fontaine est surmontée d'un coq "patriotique" resté en place même durant les différentes annexions allemandes que connut la région.


Cette maison présente une belle collection d'outils agricoles sur une de ses façades.


À l'angle de cette maison de vigneron, se trouve, dans une petite niche, une statue de la Vierge à l'Enfant.


Voici l'ancien hospice communal de Saint-Hippolyte.


Enfin, pour terminer cette balade, je vous propose de descendre la rue du Collège et de vous retourner afin d'admirer le château du Haut-Koenigsbourg!



Poursuivons la visite du Palais Épiscopal de Verdun, visite que nous avons eu la chance de faire cet été.
Le Palais Épiscopal abrite, depuis 1993, le Centre Mondial de la Paix!
 
Le centre accueille des expositions temporaires à plus ou moins longue durée, des conférences, des colloques et des concerts
Ce jour là, nous avons pu parcourir une exposition intitulée "Trésors de Diplomatie" !

Vous pouvez voir ou revoir nos balades à Verdun depuis le début en cliquant sur ce lien!
 
(13 clichés)


L’exposition Trésors de Diplomatie illustre la volonté du Centre Mondial de la Paix, des libertés et des droits de l’Homme de permettre à chacun de mieux comprendre les enjeux des relations internationales.


Bijoux, montres de luxe, armes symboles du pouvoir, art traditionnel, objets réalisés à façon, souvenir des grands évènements sportifs, témoignages de grands enjeux internationaux comme l’environnement… ces cadeaux porteurs de symboles et de messages sont avant tout des objets exceptionnels.


Plateau et gobelets en métal argenté offert par Mikhaïl Kassianov, président du gouvernement russe.


Ce guéridon a été réalisé dans le bois de la propriété de George Washington.
Il a été offert par Barack O'Bama à François Hollande.


Au centre, il comporte la réplique de la clé de la Bastille offerte par Lafayette.


Jeu d'échec en bois de noyers et de chênes de Jordanie. Il a été offert par Abdallah II de Jordanie à François Hollande.


Ce triptyque, illustrant les cultures française et péruvienne, a été offert par Ollanta Humala Tasso, président de la République du Pérou à François Hollande.


Icône sur bois représentant Saint-Nicolas, offert à Nicolas Sarkozy.


Ce triptyque d'oeuvres religieuses a été offert à Nicolas Sarkozy par Meles Zenawi, premier ministre d'Éthiopie.


Cène en nacre et burgau offert par Yasser Arafat, président de l'autorité palestinienne à Lionel Jospin.


Ce cadre contenant un morceau d'un parachute utilisé lors du débarquement a été offert par Barack O'Bama à François Hollade le 6 juin 2014.


Je terminerai cette visite par une très jolie pyramide de Noël allemande offerte par Angela Merkel à Nicolas Sarkozy.
 
À bientôt pour la suite de notre balade à Verdun !



Le palais épiscopal est construit au 18e siècle pour servir de prestigieuse résidence aux évêques de Verdun.
Acquis par la commune en 1906 après la séparation des Églises et de l'État, l'édifice est fortement endommagé lors de la bataille de Verdun de 1916.
Après une grande campagne de restauration, l'évêque peut réintégrer les lieux en 1935.
Il quitte définitivement le palais en 1993 pour permettre au centre mondial de la Paix de s'y installer l'année suivante
 
Vous pouvez voir ou revoir nos balades à Verdun depuis le début en cliquant sur ce lien!
 
(16 clichés)


Le centre mondial de la Paix, des Libertés et des Droits de l'Homme est un lieu d'exposition, de rencontre et de réflexion pour la promotion de la paix, des libertés et des droits de l'homme.
Créé en 1990, il est, donc, situé depuis 1994 dans l'ancien palais épiscopal de Verdun, dans le département de la Meuse, en région Grand Est.


Située devant les escaliers du Palai Épiscopal, La Marelle !
Cette oeuvre a été créée en 1994 par Stéphane Lallemand pour mommémorer le 90e anniversaire de la bataille de Verdun.


C'est une marelle géante constituée de plaques en fonte. Elle comporte des extraits de correspondances de soldats français et allemands avec leurs familles.


Le centre accueille des expositions temporaires à plus ou moins longue durée, des conférences, des colloques et des concerts.
Une aile du palais épiscopal abrite également la bibliothèque municipale.


Ce jour là, nous avons pu parcourir une exposition intitulée "Trésors de Diplomatie" !


Les fenêtres du Palais offrent une belle vue sur la ville de Verdun.


Cette exposition nous a permis de découvrir les plus beaux cadeaux reçus par les dirigeants français.

Oeuvre de Robert Mannier, peintre, représentant "La réconciliation franco-allemande".


Offerts aux Présidents Giscard, Sarkozy, Hollande et Macron et aux Premiers ministres Jospin, Raffarin, et Fillon, ces cadeaux incarnent la volonté de séduction des grandes rencontres internationales, mais également les cultures de chaque pays.

Mariane de l'Europe !
Composition de lamelles d'acier-chromé serties.
Cette oeuvre a été offerte à Nicolas Sarkozi par le plasticien Joseph Aquilina.


Maquette de la cathédrale Basile-le-Bienheureux !
Elle a été offerte par Vladimir Poutine à Emmanuel Macron lors de sa visite officielle en Russie.


Costume traditionnel kazakh !
Ce costume a été offert à François Hollande lors de sa visite officielle au Kazakhstan.


Ce vase en porcelaine de Chine a été offert à Brigitte Macron !


Ce globe a été réalisé à la demande François Mitterrand par Fernand Pouillon. Il a été offert à de nombreux chefs d'État.


Poupée Tao Doll !
Elle a été offerte à François Hollande par Jack Ma, président d'Alibaba, géant chinois du commerce en ligne.


N'oublions pas, en passant, d'admirer le Palais Épiscopal et ses grandes pièces.


À l'intérieur, on remarque notamment un décor néo-classique de pilastres, de corniches et de peintures.



La citadelle souterraine de Verdun est un ensemble de galeries creusées à la fin du 19e siècle sous la citadelle de Verdun, dans le département de la Meuse en région Grand Est.
 
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La citadelle haute est construite au 17e siècle selon les plans de Jean Errard après la prise de la ville par le roi Henri II en 1552.
Une fois la ville définitivement rattachée au royaume de France en 1648, Vauban est chargé d'améliorer ses fortifications.
Après la guerre franco-allemande de 1870, la ville rentre dans le système Séré de Rivières et se retrouve au centre de la place fortifiée de Verdun constituée de nombreux forts.


La citadelle souterraine, ou citadelle basse, est creusée à la fin du 19e siècle et cumule 7 kilomètres de galeries à la fin de la Première Guerre mondiale.


Elle sert à la fois de refuge, de poste de commandement et de base de ravitaillement.


Le 10 novembre 1920, elle accueille la cérémonie de désignation du Soldat inconnu qui repose sous l'Arc de triomphe de l'Étoile à Paris.


La visite de la citadelle souterraine se fait à bord d'une nacelle audioguidée qui parcourt les galeries et retrace le rôle de la France et de Verdun dans la Première Guerre mondiale.


De la boulangerie à l'hôpital, de la cuisine à la chambrée, nous voilà partis sur les traces des soldats attendant de monter en ligne ou redescendant du front.


Tout au long de la visite, archives et documents audiovisuels retracent l'entrée en guerre de la France en 1914 et les grandes lignes du conflit.


Un zoom sur l'année 1916 resitue la bataille de Verdun dans le contexte international.


Passage à la boulangerie !


Dans une de ces casemates, nous assistons à la cérémonie du 10 novembre 1920, lors de laquelle fut choisi le Soldat Inconnu, témoignage suprême de toute une nation pour un lieu désormais symbolique.


En sortant de la citadelle souterraine, traversez la route et dirigez-vous vers le plan d'eau du pré l'évêque.
Ancienne ballastière, le plan d'eau du Pré l'Evêque est situé en plein centre-ville, on y pratique la pêche, la baignade, les sports de plage...



Zellenberg, commune sitiée dans le département du Haut-Rhin en région Grand Est, nous dévoile peu à peu tous ses secrets et toutes ces astuces!
 
Vous pouvez voir ou revoir notre balade à Zellenberg depuis le début en cliquant sur ce lien!
 
(3 clichés)


Voici une astuce qui me plaît toujours beaucoup quand j'en vois une, ce sont ces "boîtes à livres"!


Un petit clin d'oeil à notre amie Dely, qui en compte déjà, un certain nombre dans sa réserve.



La balade à travers les rues de Zellenberg est bien agréable! Nos pas nous ont menés vers l'église du village, l'église Saint-Ulrich !
 
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(8 clichés)


L'église est dédiée à Saint-Ulrich, évêque d'Augsbourg.
Augsbourg est une ville allemande située dans le Land de Bavière, en Souabe bavaroise, sur la Route romantique.
Le clocher octogonal avec ses huit ouvertures n'est pas très élevé, mais il donne un cachet particulier à la localité.


Situé sur un terrain de remblai près du fossé comblé des remparts, cet édifice remplace une ancienne église qui remonterait à l'année 723.


Le maître-autel est surmonté d'un tableau représentant le patron de la paroisse bénissant l'empereur Otton 1er et ses chevaliers, à la veille de la bataille du Lechfeld (955) où il écrasa les troupes magyares.


Saint-Ulrich meurt en 973 à l'âge de 80 ans. Le pape Jean XV le canonisa en 993 au concile de Latran.


Les tableaux qui ornent les autels datent de la fin du 18e siècle.


Le chemin de croix !


Les vitraux datent de la seconde moitié du 19e siècle.



Aujourd'hui, je débute un nouveau "fil rouge du dimanche", les villages alsaciens.
Et pourquoi ne pas commencer par Zellenberg, surnommé "Bastide du vignoble".
 
Cet article servira de récapitulatif à notre balade à Zellenberg:
 
-Bastide du vignoble (ici)
 
-Église Saint-Ulrich (voir le lien)
 
-Abri livres (voir le lien)

-Restaurant Au Riesling (voir le lien)

-Restaurant Au Riesling (II) (voir le lien)
 
Vous pouvez retrouver quelques unes de nos balades en Alsace en cliquant sur ce lien!
 
(15 clichés)


Situé sur la route des vins d'Alsace entre Ribeauvillé et Riquewihr, le village de Zellenberg est juché sur une colline dominant la plaine d'Alsace, véritable patrimoine naturel.


À l'entrée du village, le corps de garde, construit en 1722, permettait de surveiller les allées et venues du village.


La tour d'angle sud-est date de 1315! Elle est l'une des deux seules tours de l'enceinte fortifiée conservées à ce jour.


Ce bâtiment abritait le poêle communal. Ce fut aussi la maison du maître d'école, dont une des pièces servait de salle de classe.


Le fournil communal, en fonction de 1490 à 1694 !
Cette maison est l'une des plus anciennes de Zellenberg.
Le fournier faisait cuire le pain, mais aussi le célèbre "Baeckaoffa" que les habitants lui apportaient.


Ancien hôpital, en 1490, puis presbytère, cette maison est devenue Hôtel de Ville en 1993.


Place du 19 décembre 1944 !
L'ancienne place du "Schirrhof" ou cour de la grappe, a pris le nom de place du 19 décembre 1944 suite à de malheureuses circonstances.
En effet, 2 semaines après la libération de Zellenberg, les allemands bombardèrent le village occupé par les américains et touchèrent le stock de munitions entreposé à cet endroit.


Écurie communale !
De 1635 à 1757, l'écurie communale logeait les chevaux nécessaires aux transports.


Des marques de tâcherons ont été gravées sur cette façade!


Maison du greffier du bailliage !
À partir de 1653, Caspar Rentz occupa la fonction de greffier du bailliage. Il était chargé de tous les écrits concernant l'administration et de l'élaboration des actes de notariat du territoire du bailliage de Zellenberg.


Lors de la restauration du bâtiment, sur le linteau du porche a été découvert l'emblème de la justice, une balance.


La plus ancienne fontaine du bourg !
Cette fontaine est datée du 13e siècle. La statuette posée sur la fontaine représente l'enfant à la grappe de raisin.


Le Christ du sculpteur Paul Windecker !
Autrefois, il était d'usage qu'à chaque entrée de localité soit érigé un calvaire.
Ce Christ a été sculpté sur bois en 1508 par Paul Windecker, un artiste de Sélestat de l'époque humaniste.


Enfin, la balade se termine par le puits "Schwenkelbrunnen" !
Devant cette maison se trouvait un "Schwenkelbrunnen" , un puits balancier profond de 9 mètres conservant 6 mètres d'eau en toute saison.
Ce type de puits était équipé d'un levier basculant en bois, alourdi d'un contrepoids!



Bezonvaux est une commune située dans le département de la Meuse, en région Grand Est.

Elle fait partie des neuf villages français détruits durant la Première Guerre mondiale non reconstruits car classés en zone rouge du département de la Meuse.

La zone rouge est le nom donné en France à environ 120 000 hectares de champ de bataille où, à cause de dégâts physiques majeurs sur le milieu pendant la Première Guerre mondiale et en raison de la présence de milliers de cadavres et de millions de munitions non explosées.

Vous pouvez voir ou revoir nos balades à Verdun depuis le début en cliquant sur ce lien!

(11 clichés)


Petit village de la Meuse.....petit village détruit qui se visite encore....pour le souvenir !


Le 21 février 1916, le tonnerre des canons marque le début de la bataille de Verdun.



Situé sur le secteur de Verdun, ce village perdu par les troupes françaises le 23 février 1916 et repris le 16 décembre 1916 disparaitra totalement sous l'acharnement des pilonnages des obus français et allemands.


Quoique situé à proximité de la zone des combats, le village n'a été vidé complètement de ses habitants que le 15 février 1916, peu de temps avant que les Allemands ne le prennent d'assaut le 25 février.


Le 25 novembre 1917, un sévère combat y oppose les Français et les Allemands. Ce combat fait 1700-1800 morts et blessés. 


Après l'armistice, il ne restait pas un mur debout et les terres cultivables étaient labourées par de profonds trous d'obus dont beaucoup n'avaient pas explosé.


Pour ces raisons, le territoire du village fut déclaré zone rouge. Le village est désormais abandonné.


À la fin des hostilités, il est décidé de conserver cette commune, déclarée « village mort pour la France », en mémoire des événements qui s'y sont déroulés.


La grand'rue en 2008.
Le relief du sol garde encore la marque des explosions d'obus et le panneau rouge sur l'arbre rappelle que la zone est toujours dangereuse.


À bientôt pour d'autres souvenirs !



Le fort de Douaumont est un ouvrage fortifié situé sur la commune de Douaumont-Vaux dans le département de la Meuse.
Il s'agit d'un des forts de la place forte de Verdun, faisant partie du système Séré de Rivières.
 
Le système Séré de Rivières est un ensemble de fortifications bâti à partir de 1874 le long des frontières et des côtes françaises, en métropole ainsi que dans quelques colonies.
Ce système défensif remplace les fortifications bastionnées mises en place notamment par Vauban.
Il doit son nom à son concepteur et promoteur, le général Raymond Adolphe Séré de Rivières.
 
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(12 clichés)


Après la guerre franco-allemande de 1870 qui a vu la perte par la France de l'Alsace-Lorraine, un plan de défense de la nouvelle frontière est établi par le général Raymond Adolphe Séré de Rivières.


Dans le cas de Verdun fut construite une double ceinture composée de 19 forts délimitant un périmètre de 43 kilomètres et couronnant les côtes de Meuse.


Le fort de Douaumont est le fort le plus au nord du camp retranché sur la rive droite de la Meuse.
Il est épaulé par ses voisins, l'ouvrage de Thiaumont au sud-ouest et le fort de Vaux au sud-est.


Le fort renferme une des tourelles du modèle Galopin. Ces tourelles furent construites de 1907 à 1909.

Il s'agit d'une tourelle à éclipse qui monte pour tirer et redescend aussitôt.


Puits central de communication !


Construit entre 1884 et 1886 et modernisé entre 1901 et 1913, le fort fut un des lieux emblématiques de la bataille de Verdun en 1916.


Pris par les troupes allemandes en février, il est repris par les Français en octobre de la même année.


Lieu de mémoire partagée !
Derrière ce mur marqué d'une simple croix blanche, ont été regroupées les dépouilles des soldats allemands tués lors de l'explosion du 8 mai 1916.


Dans la forteresse, aujourd'hui silencieuse, résonne toujours les cris de ceux qui, Allemands ou Français, ont ici abandonné leur jeunesse.


Vue extérieure de la tourelle  à moitié éclipsée.


C'est en novembre 2009 que les drapeaux allemand et européen sont hissés aux côtés du drapeau français sur le dessus du fort à l’issue d’une cérémonie franco-allemande.



L'Alsace est une région que nous aimons beaucoup. Nous y allons régulièrement.....et pourtant......c'est la première fois, cette année, que nous avons le loisir de nous y balader!
C'est l'occasion, pour nous, de vous envoyer cette carte postale. 

Cliché numéro un : la très jolie place de l'hôtel de ville de Barr (67)


Balade alsacienne rime avec balade gourmande ! 

Cliché numéro deux : la maison du pain d'épices de Gertwiller (67)


Enfin, à l'heure des vendanges, l'Alsace a revêtu ses habits d'automne !

Cliché numéro trois : une jolie fenêtre prise à  Zellenberg (68)

À bientôt ! 



Nous avons profité du beau soleil de cet été pour revenir sur un site que nous connaissons bien mais que nous n'avions jamais visité totalement!
Aujourd'hui, je débute une nouvelle série consacrée à Verdun et, ce jour là, nous nous avions décidé de visiter le fort de Vaux !
 
Vous pouvez voir ou revoir nos balades à Verdun depuis le début en cliquant sur ce lien!
 
(12 clichés)


Le fort de Vaux est situé sur les communes de Damloup et de Vaux-devant-Damloup, près de Verdun, dans la Meuse.
Il a été construit de 1881 à 1884 dans le cadre du système Séré de Rivières et renforcé en 1888.
Il est l'un des hauts lieux de la bataille de Verdun en 1916.


Le système Séré de Rivières est un ensemble de fortifications bâti à partir de 1874 le long des frontières et des côtes françaises.
Ce système défensif remplace les fortifications bastionnées mises en place notamment par Vauban.
Il doit son nom à son concepteur et promoteur, le général Raymond Adolphe Séré de Rivières.


Le fort est désarmé en 1915 par un décret qui dégarnit aussi le fort de Douaumont.

En 1915, le fort de Vaux est donc un ouvrage sans armement lourd lorsque, le 6 mars 1916, les Allemands attaquent !

Du 2 au 7 juin 1916, grâce à l'héroïsme du commandant Raynal et de sa garnison, le fort résiste à la 50e  division allemande mais après de très durs combats les défenseurs doivent finalement se rendre.



Les Allemands échouent cependant à prendre Verdun et à l'automne ils abandonnent le fort de Vaux qui est réoccupé sans combat par les troupes françaises dans la nuit du 2 au3 novembre 1916.

(Bureau du commandant Raynal)


Le fort de Vaux devient alors l'un des symboles des combats des poilus de la Première Guerre mondiale animés par le sens du devoir jusqu'à l'ultime sacrifice.

(Poste de secours)


Communiquer !
Le vendredi 2 juin 1916, toutes les liaisons avec l'extérieur du fort sont coupées ! Le commandant Raynal n'a d'autre solution, pour communiquer avec le fort voisin de Souville que d'utiliser les signaux optiques !


Le colombier !
Dans la soirée du 2 juin 1916 un pigeon s'envole vers la citadelle de Verdun avec le compte-rendu de la journée !


Canon de 75 mm dans une des deux casemates de Bourges du fort de Vaux.
Une casemate de Bourges est un type de fortification en béton armé protégeant deux canons tirant par des créneaux.


Observatoire d'artillerie !


Il est possible de se promener sur une passerelle située sur le fort.


Le paysage semble figé !



Notre journée dans les Vosges et, notamment à Vittel, se termine par un dernier arrêt à Contrexeville !

Vous pouvez voir ou revoir notre balade à Contrexéville depuis le début en cliquant sur ce lien!
 
Vous pouvez voir ou revoir notre balade à Vittel depuis le début en cliquant sur ce lien!

(9 clichés)


Cette commune, que nous avons déjà eu l'occasion de vous présenter, est connue avant tout pour être une ville thermale dont l'eau minérale est commercialisée sous la marque Contrex.


Église saint-Epvre !
La partie la plus ancienne de l'église est la tour du chœur du 12e siècle, à laquelle une abside rectangulaire a été ajoutée à l'origine à l'est.


La nef romane d'origine a été remplacée par un nouveau bâtiment plus grand au 16e siècle.


Les vitraux rappellent les eaux de Contrexéville.


Très jolie Pieta !


Tableau à la gloire des combattants de 1914/1918 !
Ce tableau représente un ange au centre d'un champ de bataille qui a les yeux pointant au ciel dans lequel rayonne le buste du Christ.


Située au cœur des Vosges, la Station Thermale de Contrexéville est la référence en matière de ville thermale!


À la source de Contrex....
 
À bientôt pour un nouveau voyage !



Vittel, cette commune située dans le département des Vosges, nous a révélé tous ses charmes! Que dites-vous d'un dernier regard sur cette ville connue pour ses cures et son eau minérale?
 

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(6 clichés)


Après être passés devant l'église Saint-Privat, nos pas nous emmènent vers la rue du Petit Ban !


Cette rue est typique de ces vieilles bâtisses restaurées avec goût !


Un clin d'oeil aux charmes d'antan.


À Vittel, il n'est pas rare de trouver sur notre chemin quelques fontaines! Des plus anciennes.....


....au plus récentes! L'eau de Vittel pour les vittellois ! Merci à vous pour avoir jouer au jeu des photos !



Nous sommes toujours à Vittel, commune située dans le département des Vosges, et notre circuit passe devant cette très jolie église, l'église Saint-Rémy !
 

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(7 clichés)


Construite au 12e siècle, elle fut restaurée au 15e siècle.


L'orgue construit par GONZALEZ en 1985 ! L'artisan a repris une grande partie de la tuyauterie de l'ancien orgue.


L'autel est à l'effigie de Saint-Rémy !


Deux chapelles latérales forment le transept.


Les vitraux racontent la vie de Saint-Rémy.


À bientôt pour la suite de cette balade à Vittel !



Le sentier pédestre qui nous a conduit aux thermes de Vittel, commune située dans le département des Vosges, se poursuit vers l'hippodrome thermal!
 

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(6 clichés)


Créé dans le cadre de la station thermale par la Société Générale des Eaux Minérales de Vittel sous l'impulsion de son Président Jean Bouloumié l'hippodrome de Vittel est inauguré le 15 juillet 1904.


Après de nombreuses années où la seule discipline avait été le Trot, on assiste en 1972 au retour des deux disciplines du Galop, le Plat et l'Obstacle. Dès lors l'hippodrome affirme sa vocation pluridisciplinaire.


Un peu plus loin, nous passons devant la roseraie du parc thermal.


La roseraie fut créée en 1898 par la société " Les Amis de la Rose " .


À bientôt pour la suite de notre balade vittelloise!



Envie d'une balade? Suivez-nous à Vittel, cette commune située dans le département des Vosges, et connue notamment pour son eau minérale.
 

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(10 clichés)


Chef-lieu de canton depuis la Révolution Française, la commune de Vittel voit son destin irrémédiablement lié au thermalisme dès 1854 lorsqu'une fontaine fut achetée par un curiste, habitant de Rodez, Louis Bouloumié, avocat convaincu par les bienfaits de l'eau de Vittel.


L'eau issue de la fontaine de Gérémoy, du nom du territoire où elle est située, soignera officiellement dès 1855 la goutte, la gravelle, le diabète, la vessie et les voies urinaires.


Autorisé à exploiter la source, Louis Bouloumié crée la station thermale de Vittel.
C'est au départ une simple cabane en bois qui abrite la source Grande Source et les bains-douches.
Dès 1857, il conditionne son eau de cure dans une bouteille carrée en grès avec un bouchon de porcelaine.


La mode du thermalisme bat son plein.
Il devient très vite réputé en France comme à l’étranger grâce à la contribution de nombreux médecins, architectes et artistes de renom.


En 1869, Louis Bouloumié cède la place à ses fils Pierre, médecin militaire, qui perfectionne l'hydrothérapie et Ambroise qui, avocat comme son père, deviendra plus tard maire de Vittel. Ensemble, ils développent la station.


En 1882, la société des eaux minérales "Société Générale des Eaux Minérales de Vittel" est créée.
Un an auparavant, l'ouverture de la ligne de chemin de fer Longes-Vittel-Nancy a facilité l'accès à Vittel et permis d'augmenter l'affluence des curistes.


En 1898, Pierre Boulomié a l'idée de développer la vente d'eau minérale de Grande Source Vittel dans des bouteilles en verre pour prolonger la cure à domicile.
L'eau minérale de Grande Source Vittel est alors connue pour le traitement de l'arthrite.


L’eau Vittel est officiellement reconnue d’intérêt public par l’Académie de Médecine.
Désormais, la renommée de la station thermale est internationale.


C'est en 1968 et sur une demande de la compagnie aérienne Air France, Vittel conçoit une bouteille plastique pour les plateaux repas des passagers.
Les bouteilles en plastique remplacent les bouteilles en verre....
 
À bientôt pour la suite de cette balade!



Station thermale fréquentée par les Romains, Vittel n'est exploitée à l'époque contemporaine qu'à partir de 1854.

La commune de Vittel voit son destin irrémédiablement lié au thermalisme dès 1854 lorsqu’une fontaine fut achetée par un curiste originaire de Rodez, Louis Bouloumié, avocat convaincu par les bienfaits de l’eau de Vittel.

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(10 clichés)

L'hôtel de ville !


À la fin du 19e, à l'heure où la France développe son thermalisme, Ambroise et Pierre Bouloumié, fils de Louis, conçoivent la station de Vittel autour du concept balnéo-thermal, détente, cure et distraction.

Le Palais des Congrès de Vittel est situé en lisière du Parc Thermal.


Villa Saint-Louis !
Cette villa est jumelle avec la villa Sainte-Marie.


Villa Sainte-Marie !
Les villas jumelles Saint-Louis et Sainte-Marie, dites "villas pour deux médecins", furent construites par l'architecte André Colin en 1912.


Villa Nino !
La villa Nino fut construite en1886 par Charles Garnier pour son fils Christian Garnier.


Résidence "Le Central" !


Résidence "Les Fées" !


Le Grand Hôtel !
Le Grand-Hôtel fut édifié de 1912 à 1920 par l'architecte Georges Walwein.


Le Parc Thermal !


Le Théâtre  et Casino !
Le casino de Vittel, créé en 1882 dans le parc thermal, a été reconstruit par Auguste Bluysen en 1929-1930.
Il conserve les murs de l'ancien théâtre du casino construit par Fernand Nachon en 1908 et incendié en 1920.

À bientôt!



Vittel, ville thermale, ville au patrimoine riche et varié, nous a accueilli pour une journée détente tout à fait charmante!
 
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(11 clichés)


Après avoir visité la gare, nous sous sommes dirigés vers le parc thermal où le circuit débute avec la découverte de cette jolie chapelle Saint-Louis.


Érigée à partir de 1910, elle a été dénommée ainsi en mémoire de Louis Bouloumié, fondateur de la station thermale.


Louis Bouloumié, avocat à Rodez, achète en 1854 la Fontaine de Gérémoy après avoir recouvré la santé grâce aux bienfaits de cette source.


Notre-Dame-de-Bon-Remède!


Remarquez qu'elle tient à la main une tasse d’eau, symbole de bonne santé physique et spirituelle.
Un clin d'œil à cette ville d'eau!


Les vitraux des 4 chapelles ont les visages des membres de la famille Bouloumié de l’époque.


Les vitraux retracent la vie de Saint-Louis.


Le règne de Louis IX devenu Saint-Louis est l'un des plus marquants.


Il est marqué principalement par plusieurs croisades!


À bientôt pour la suite de cette balade!



Vittel est une commune située dans le département des Vosges en région Grand Est.
Cette cité fait partie de ces stations thermales qui sont des étapes incontournables où se révèlent tous les bienfaits des grandes eaux de sources vosgiennes.
 
Après une première excursion "après confinement" du côté de La Bresse et de Gérardmer, nous nous sommes décidés, dimanche dernier,  à aller découvrir Vittel!
 
Cet article servira de récapitulatif à cette balade!
 
-Entre patrimoine et thermalisme (ici)

-Chapelle Saint-Louis (voir le lien)

-Hôtels et villas (voir le lien)

-Les thermes (voir le lien)

-Hippodrome thermal (voir le lien)

-Église saint-Rémy (voir le lien)

-La fin du circuit (voir le lien)

-Landaville (88) - Auberge de l'Étanchotte (voir le lien)

-Contrexéville(88) - Sur le chemin du retour (voir le lien)
 
Vous pouvez voir ou revoir nos balades vosgiennes en cliquant sur ce lien!

Vous pouvez voir ou revoir notre article sur les Vosges Thermales sur ce lien!
 
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(6 clichés)


Un des bâtiments qu'il faut aller visiter à Vittel, c'est la gare! La gare de Vittel est un vrai musée à elle seule!


La gare de Vittel a été construite en 1926 par la compagnie des chemins de fer de l'Est pour remplacer le bâtiment originel de 1881 construit lors de l'ouverture de la ligne de Merrey à Hymont - Mattaincourt.


De style néoclassique pour l'extérieur, elle possède un grand porche d'entrée à colonnes doriques avec deux ailes de part et d'autre de celui-ci.


À l'intérieur, le mobilier est de style Art déco avec notamment un sol carrelé imitant celui d'un établissement de bains.


Depuis décembre 2016, la gare n'était plus desservie par les trains TER venant de Nancy.
Des autocars de substitution ont alors été mis en place.
La desserte ferroviaire est toutefois restaurée le 5 avril 2019, cette fois-ci par le biais d'une liaison Paris – Vittel.
Cela a permis de recréer le « train des Eaux », qui avait été supprimé en 2002.
 
À bientôt pour la suite de cette balade au coeur des Vosges!



Avant de quitter ce magnfique parc, nous nous arrêtons un moment pour admirer ces cigognes qui font la magie de l'écomusée!
 
Vous pouvez voir ou revoir cette visite depuis le début en cliquant sur ce lien!
(4 clichés)


La cigogne, oiseau emblématique de l’Alsace, avait pratiquement disparu lorsque, dans les années 1980, sa réintroduction fut initiée.
L’Écomusée d'Alsace était alors l'un des sites pilotes de l’opération.


Aujourd’hui, le musée accueille l'une des plus grandes populations de cigognes en Alsace, avec une quarantaine de couples.


Et, chaque année, des couples de cigognes reviennent y nicher.
 
À bientôt pour une nouvelle balade!



L’Écomusée d’Alsace à Ungersheim, dans le Haut-Rhin, est un musée de plein air où ont été transférées et remontées d’authentiques constructions alsaciennes formant comme un village vivant.....maisons à colombages, maisons d’ouvriers, boutique, mairie, tour fortifiée, halle des fêtes, ferme, école, lavoir, jardins, champs.....
 
Avant de quitter cet univers tout à fait charmant, nous décidons de faire une dernière balade dans ce village pas comme les autres.
 
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(7 clichés)


Cette maison, construite au 19e siècle, est frappante par ses petites dimensions!
Elle abrite, aujourd'hui, le potier.


Mais que cache cette belle maison?


Le sellier-bourrelier!
Cet artisan travaille le cuir et son activité était liée à l'utilisation des animaux de trait.


La maison du pêcheur!
L’Alsace étant une région bordée de nombreux cours d’eau poissonneux, l’activité des pêcheurs professionnels y a été importante jusqu’au milieu du siècle dernier.


Le saviez-vous?
Les rivières d’Alsace sont riches en poissons, mais pas seulement…
Le Rhin est également réputé pour être un cours d’eau aurifère, c’est-à-dire que ses eaux transportent des paillettes d’or.
Ainsi, certains pêcheurs exerçaient en parallèle une activité d’orpailleur, afin d’augmenter leurs revenus plutôt modestes.


Terminons par la maison alsacienne du 21e siècle!
 
Sur le chemin qui nous emmène vers la sortie de l'écomusée, nous sommes attirés par un dernier spectacle.....À tout de suite!



Comme chaque village possède son château.....chaque village possède son école!
 
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(9 clichés)


Ce bâtiment est une maison d'habitation ordinaire du village de Blotzheim. Elle est caractérisée par son balcon-galerie.


Cette maison abrite l'école de l'écomusée d'Alsace.


Une cour de récréation bien sympathique.


Un peu plus loin, les petites mains, déjà, travaillent pour régaler les visiteurs!


Dans cette ferme à cour fermée, la maison d'habitation est originaire du village de Rumersheim.
Le pigeonnier provient, lui, d'Oberhergheim.


Soudain, en passant devant une maison, nous entendons des bruits de voix...de rire...et de bonne humeur!


Toc! Toc!
Entrez!
Nous sommes les couturières!
Les couturières.....
Au final, Marc a du me tirer par le bras pour quitter ces charmantes personnes!


Voici un modèle d'abri de jardin du 18e siècle. Il permettait au jardinier de surveiller les cultures maraîchères.
 
À bientôt!



Chaque village possède un château, un fort ou une maison forte! Le village reconstitué et qui forme l'écomusée d'Alsace possède, lui, une maison forte!
 
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(8 clichés)


La Tour forte, ou maison forte, est remontée sur le site à partir de fragments datant de la fin du 15e siècle.


Ces derniers proviennent des remparts médiévaux de la ville de Mulhouse.


Finalisée en 1987, la Tour forte domine encore le village aujourd’hui, offrant un point de vue exceptionnel sur l’ensemble de l’Écomusée d’Alsace et son environnement.


La fonction originelle de ce bâtiment n'est pas connue.


Lors de sa découverte, il était intégré dans les remparts médiévaux de la ville de Mulhouse.


Du haut de la tour, la vue sur le village est magnifique. Nous sommes aussi au même niveau que ces magnifiques nids de cigognes.


À bientôt!



L’Écomusée d’Alsace est le plus grand musée vivant à ciel ouvert de France.
Nous avons eu l'occasion de le visiter lors de notre séjour en Alsace l'année dernière et je vous invite à poursuivre cette balade dans ce village alsacien très particulier.
 
Vous pouvez voir ou revoir cette visite depuis le début en cliquant sur ce lien!
 
(10 clichés)


La forge!
Le forgeron était un personnage important et respecté dans les campagnes, car il était le seul à maîtriser l’art de travailler le métal.


Chacun, dans la communauté villageoise, faisait appel à lui :
-le charron pour la préparation des cercles des roues et la fabrication des essieux de charrette
-le menuisier pour les verrous, les crémones de fenêtres et les marteaux de porte,
-le tonnelier pour les cercles de barrique, mais aussi le paysan pour les socs de charrues, les herses, les fourches…


De plus, chaque corps de métier avait besoin de lui pour la confection de ses outils.


Le saviez-vous?
Si son savoir-faire était indispensable au fonctionnement du village, le forgeron n’en était pas moins craint par certains.
Il avait en effet la réputation d’avoir un caractère fort et – était-ce dû à sa maîtrise des flammes ou à sa figure noire de charbon – était parfois accusé d’être vaguement sorcier.


Le cordonnier!

Le cordonnier était, avec le sabotier, celui qui avait la charge de chausser les villageois.

C’était en effet lui qui fabriquait les chaussures en cuir.



Le travail de réparation des chaussures, qui représente de nos jours l’essentiel de l’activité des cordonniers, était alors un métier à part entière : celui du savetier.



Le saviez-vous?
Le mot « cordonnier », à l’origine « cordouannier », provient du nom de la ville espagnole Cordoue, dont la qualité du travail du cuir était réputée dès l’époque médiévale.


Visiter l'écomusée d'Asace c'est partager la vie des habitants des campagnes au début du 20e siècle et découvrir un patrimoine d’exception.


À bientôt pour la suite de cette balade!



Ungersheim est une commune située dans le département du Haut-Rhin, en région Grand Est.
La ville abrite un site exceptionnel, que nous avons eu la chance de visiter l'année dernière, l'écomusée d'Alsace!

Cet article servira de récapitulatif à cette visite:

-Écomusée (ici)

-Rue de la forge (voir le lien)

-La maison forte (voir le lien)

-L'école (voir le lien)

-Restaurant La Taverne (voir le lien)

-Dernière balade (voir le lien)

-Les cigognes, emblème de l'Alsace (voir le lien)

Vous pouvez retrouver quelques unes de nos balades en Alsace en cliquant sur ce lien!
 
(14 clichés)


L’Écomusée d’Alsace est un musée de plein air où ont été transférées et remontées d’authentiques constructions alsaciennes formant comme un village vivant.....

.....maisons à colombages, maisons d’ouvriers, boutique, mairie, tour fortifiée, halle des fêtes, ferme, école, lavoir, jardins, champs.



La maison bleue....la maison du barbier!


Jusqu’au début du 20e siècle, le barbier régnait en maître sur les barbes et les moustaches. Il se consacrait de ce fait à une clientèle exclusivement masculine.
 
La saviez-vous?
Jusqu’au 18e siècle, les barbiers étaient également chirurgiens !


L'Écomusée se compose de 75 bâtiments traditionnels originaires de toute l'Alsace.


La mission du musée est de présenter les bâtiments et les us et coutumes d'antan.....


....comme cette maison meublée de style typiquement alsacien.


L’ensemble des maisons de l’Écomusée d’Alsace est aménagé grâce aux nombreux dons faits par les Alsaciens.


Ce corps de ferme est originaire d'Illkirch. Il est constitué d'une maison, d'une porcherie et d'une grange.


Toutes les maisons ont été aménagées et meublées avec du mobilier et des objets de la vie courante.


Près de 40 000 objets datant du milieu du 19e siècle jusqu’aux années 1950 font partie de la collection du musée.


Ceux-ci sont représentatifs de la société rurale alsacienne et témoignent des transformations survenues dans notre région entre 1850 et 1950.


Les bancs de l'école sont communs à toutes les régions!


Le café du village est un lieu de vie! Piano et partitions....tout y est!
 
À bientôt pour la suite de cette visite!



Nous avons quitté le lac des Corbeaux avec regret et nous nous sommes dirigés vers Gérardmer, commune située au cœur du massif des Vosges, afin de visiter la Confiserie Géromoise située 680 Route d'Epinal à Gérardmer.
 
Vous pouvez voir ou revoir nos balades vosgiennes en cliquant sur ce lien et nos balades à Gérardmer sur ce lien!
 
Cliquez sur les photos pour les agradir!
(12 clichés)


Situé au coeur du massif des Vosges, Gérardmer est la ville idéal pour l'installation d'un confiserie dans les Hautes Vosges.
Autour du plus grand lac naturel des Vosges, la ville offre un cadre idéal.....cascades, forets, paysage, points de vues et bonbons des Vosges!


La visite de la confiserie permet de découvrir toutes les étapes de la fabrication des bonbons de Gérardmer.


Première étape!
Il faut chauffer les ingrédients de base: sucre, eau et glucose.


Deuxième étape!
C'est le travail sur table.


L'incorporation des ingrédients aromatiques et travail du sucre cuit se fait sur une table froide.
La confiserie privilégie les huiles essentielles, le miel, les baies et les plantes de la région.


Cette préparation est travaillée à la main à une température qui voisine les 85°!


Troisième étape!
Il faut alors façonner des pains afin de pouvoir les passer dans la "machine à bonbons"!


La pâte passe alors dans un cylindre en bronze.


Déjà nous apercevons les petits bonbons!


Quatrième étape:
Le refroidissement est assuré par un tapis roulant ventilé.


Dernière étape!
Le givrage est assuré par une turbine!  Il assure la protection du bonbon et de ses saveurs, et permet donc de garantir un parfait maintien de ses qualités gustatives.


La visite terminée, nous prenons le temps de faire nos provisions!
 
Nous pensons surtout aux prochains mois d'hiver où nous apprécierons les bonbons au miel ou à l'eucalyptus...les brisures de bonbons au miel qui apporteront saveur et gourmandise à nos tisanes.....ou encore une boîte "pocket" de pastilles à l'huile essenteille de sapin.....Et hop! Dans la poche!



Dimanche dernier, nous nous sommes levés de bonne heure afin de bien profiter de cette journée ensoleillée.
Nous attendions avec impatience de pouvoir organiser une "grande balade" et nous nous sommes mis d'accord pour une destination....La Bresse!
 
La Bresse est une commune de montagne située dans le département des Vosges en région Grand Est.
Elle est réputée pour ses activités de montagne et ses stations de sports d'hiver, en particulier celle de La Bresse-Hohneck, la plus grande et plus haute station de ski du Nord-Est de la France, son point le plus élevé se trouvant à 1 350 mètres d'altitude.

Vous pouvez voir ou revoir nos balades vosgiennes en cliquant sur ce lien!
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Le lac des Corbeaux est un lac glaciaire de 9 hectares situé à 887 mètres d'altitude situé sur la commune de La Bresse.


Un lac glaciaire est un lac qui occupe un creux résultant de l'érosion par un glacier.


Une légende!
Le nom du lac n'est pas lié à la présence de corbeaux! Non pas du tout!
Mais une lédende nous dit que le nom du lac serait dû à la présence des sapins sombres qui le bordent et donnent à son eau une couleur noire comme celle des corbeaux.


Ce raisonnement semble trop indirect et une deuxième hypothèse plus simple parait plus plausible.
Le terme « corbeaux » serait une déformation du nom « courbées » faisant référence aux courbes du relief très pentu entourant le lac.
Le nom « lac des Courbées » aurait dérivé vers « lac des Corbeaux ».


Le lac alimente la goutte du lac des Corbeaux qui se jette 200 mètres en contrebas dans la Moselotte.
La Moselotte est un affluent droit direct de la Moselle, donc un sous-affluent du Rhin.


Il alimente également une centrale hydroélectrique qui fait partie des centrales de la Régie municipale d'électricité de La Bresse qui fournit du courant à la ville.


Le lac des Corbeaux est ccessible par route! C'est un lieu de pêche, de balade! On y pratique aussi la plongée sous-marine.


Cette balade est accessible à tous. Le tour du lac est réalisable à pied en une demi heure.


Amateurs de belles photos....à vos appareils!



La balade-découverte de cette jolie cité d'Echternach, située au Luxembourg, se termine.
Et je ne pouvais pas ne pas vous parler d'un site tout à fait extraordinaire!
 
En effet, à la périphérie de la ville d'Echternach se trouve une villa romaine, une des plus grandes et riches propriétés rurales des environs de Trèves!
 
Vous pouvez voir ou revoir notre balade à Echternach depuis le début en cliquant sur ce lien!
 
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(10 clichés)


La visite commence au niveau d'un petit centre d'information transformé en une suite de tableaux vivants!


Ces différents tableaux fournissent une image explicite et vivante de la vie quotidienne dans une villa romaine.


Des scènes reconstituées avec des figures grandeur nature et des maquettes fournissent un aperçu de l'intérieur de la villa d'origine.


Nous passons du salon de réception aux pièces d'habitation privées en passant par la cuisine!


À l'extérieur, au milieu de vastes terres agricoles, nous découvrons une ferme entourée de murs s'étend sur plus de 10 hectares.


La maison de maître est mise au jour en 1975, lorsque les pelleteuses, qui construisent le lac artificiel, heurtent des vestiges de murs, quelques centimètres à peine sous terre.


Ce véritable palais ne comptait pas moins de 70 pièces au rez-de-chaussée, avec des portiques, des cours intérieures, des bassins d'eau, des placages de marbre, des mosaïques de pavement et un chauffage au sol.


Il fait bon peut flâner à travers cette villa reconstituée.....


.....jusqu'à une pergola recouverte de vignes et un jardin romain dans lequel sont présentées plus de 70 plantes médicinales  et ornementales.

Je vous retrouve bientôt pour une nouvelle série "voyage"!




Il est un lieu qu'il ne faut pas manquer si vous êtes en balade à Echternach au Luxembourg, c'est la petite chapelle Notre-Dame.
Si vous la cherchez, elle est située rue de la Chapelle.

Au-dessus du portail se trouve une belle Vierge à l'Enfant polychrome.
 
Vous pouvez voir ou revoir notre balade à Echternach depuis le début en cliquant sur ce lien!
 
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(5 clichés)


La chapelle Notre-Dame a été construite en 1654 et consacrée en 1658.


Elle servait de lieu de pèlerinage pour les habitants des environs.


L'intérieur, en plan cruciforme, est de style gothique tardif et les clefs de voûte représentent le monogramme marial, les armoiries de l'abbaye et celles de l'abbé Fisch, fondateur de la chapelle.


La visite n'est pas terminée....Connaissez-vous la Villa Romaine  à Echternach?
 
Alors, à demain!



Echternach est situé à la Sûre, qui forme également la frontière avec l'Allemagne. Fondée par Saint Willibrord en 698, Echternach avec son abbaye et sa basilique est la plus ancienne ville du Luxembourg.
Nous poursuivons notre visite de cette jolie cité en nous arrêtons, aujourd'hui à l'église saint-Pierre.
 
Vous pouvez voir ou revoir notre balade à Echternach depuis le début en cliquant sur ce lien!
 
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(5 clichés)


Avec ses éléments de style mérovingien, roman et gothique cette église construite sur un ancien castellum romain mérite que l'on s'y arrête!
Les fresques à l’intérieur de l’église sont impressionnantes.


Les vitraux réalisés par l’artiste epternacien Franz Gillen reflètent la lumière changeante du jour...


Très jolie Vierge à l'Enfant.


La crypte fut restaurée pendant les années 60....nous avons pu aller y pendre quelques photos!
 
À bientôt pour la suite de cette balade-découverte de la ville d'Echternach.



Poursuivons notre balade à Echternach, commune du Luxembourg située le long de la vallée de la Sûre!
 
Aujourd'hui, poussons la porte du musée de l'Abbaye!
 
Vous pouvez voir ou revoir notre balade à Echternach depuis le début en cliquant sur ce lien!
 
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(10 clichés)


En 698, Willibrord fonda l’abbaye bénédictine d’Echternach, connue pour son scriptorium et ses précieuses enluminures du 11ème siècle.
Le musée de l'abbaye, qui présente l'histoire du monastère, contient des fac-similés de ces œuvres d'art.


Le musée de l'abbaye, qui a été aménagé dans les caves voutées de l'ancienne abbaye, est principalement dédié au scriptorium d'Echternach.
Au Moyen-Age, ce-dernier a été l'un des plus importants en Europe.


Dans une autre partie de l'Abbaye, le visiteur peut avoir quelques indices sur l'effet qu'a pu avoir l'œuvre de Saint Willibrord, mais aussi sur son temps et son origine.


Il faut savoir que l'ancienne abbaye Saint-Willibrord a été abandonnée du temps de la Révolution française et que les bâtiments actuels, occupés par le lycée classique et technique d'Echternach, ne se visitent pas.


Cette seconde partie du musée évoque l'oeuvre missionnaire de St Willibrord son époque et sa provenance.


Saint Willibrord est bien représenté!


Rappelons que saint Willibrord, premier évêque d'Utrecht, apôtre des Pays-Bas et patron du Grand-Duché de Luxembourg, est né vers 657, dans le royaume de Northumbrie, et mort en 739.


Il repose à l'abbaye d'Echternach qu'il avait fondée (voir le lien)!


Le musée de l'Abbaye, installé dans les caves voûtées de l'ancienne abbaye, est un des points d'intérêt incontournables à Echternach.



Après avoir fait un petit tour dans la très jolie ville d'Echternach au Luxembourg, nos pas nous ont conduits devant la basilique!
 
La basilique actuelle est le 5e édifice érigé en ce lieu. C’est St Willibrord qui avait fait construire la première église après avoir reçu des donations en 698 et 706 de la part de Ste Irmine, abbesse d’Oeren/Trèves et de Pépin II.
Après son décès en 739, les pèlerins affluèrent en masse, de sorte que vers 800 une deuxième église plus grande dut être construite. Celle-ci fut détruite par un incendie en 1016.

Vous pouvez voir ou revoir notre balade à Echternach depuis le début en cliquant sur ce lien!
 
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(13 clichés)


Lorsque, au milieu du 19e siècle, une partie du choeur s’effondra et que le reste de l’église menaçait ruine, les citoyens d’Echternach fondèrent en 1862 l’Oeuvre St-Willibrord qui rassembla les fonds pour procéder à la restauration.
La nouvelle église restaurée fut consacrée en 1868.

En 1939 l’église reçut le titre honorifique de basilique pontificale dont les insignes sont visibles dans le choeur à gauche et à droite du maître-autel.


Les nefs latérales maintenues dans le style gothique se distinguent surtout par les vitraux qui retracent dans une suite chronologique, en partant de la nef droite depuis l’entrée.....


.....les principaux épisodes de la vie de St Willibrord.


Le chemin de croix!


Une très jolie Vierge à l'Enfant couronnée.


La crypte à 5 nefs date de l’époque carolingienne et abrite depuis 1939 le tombeau de St Willibrord.


Le plafond du choeur fait voir les contours de fresques datant du 11e siècle retraçant des scènes de la vie de Marie : l’Annonciation, la Visitation, la Nativité et l’Annonce de la Nativité aux bergers.


En 1906, le tombeau de St Willibrord, installé provisoirement après la Révolution en l’église paroissiale Sts Pierre et Paul, fut transféré à la basilique.
Le monument funéraire est en marbre de Carrare et renferme le sarcophage mérovingien avec les ossements du saint.


La crypte est également ornée de très beaux vitraux.


À remarquer, la première représentation iconographique de la procession dansante.


Dans la Chapelle St-Willibrord, le tableau du milieu du triptyque réalisé par un peintre anversois en 1605 montre la foule des pèlerins.


La nef principale séduit par sa simplicité romane et par ce qu’on appelle le « système d’Echternach », à savoir l’alternance de grands arcs reposant sur des piliers recouvrant des arcs plus petits reposant sur une colonne.

À bientôt pour la suite de cette visite!



Depuis hier, je vous fais découvrir cette jolie ville d'Echternach située au Luxembourg!
 
La balade se poursuit, aujourd'hui, le long de la Sûre avec une vue sur le pont frontalier entre le Luxembourg et l'Allemagne.
 
Vous pouvez voir ou revoir notre balade à Echternach depuis le début en cliquant sur ce lien!
 
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(11 clichés)


Tour de coin de l'enceinte d'Echternach!
L'enceinte fortifiée, dans sa forme primitive, remonte au 13e siècle.
Elle était munie de 20 tours à gorges ouvertes, de 4 portes.


Son mur avait une longueur de 2000 mètres.


La maison dans la tour!
Une grande partie de l'enceinte fut endommagée au 19e siècle. Les tours qui avaient échappées à la destruction furent vendues aux enchères publiques en 1813 et aménagées en logement.


Une belle enceinte!


La maison gothique!
Cette maison est l'un des rares témoins datant de la ville moyenâgeuse.


Place du marché, la Croix de Justice représente la souveraineté des abbés sur la bourgeoisie de la ville.


Le Dënzelt!
Sur la place du marché, on remarque surtout le Dënzelt, l'ancien palais de justice.
Il date du 14è siècle.
Des éléments de style gothique et de Renaissance se mêlent sur la façade.
Lors de la restauration en 1898 furent ajoutées les statues de la Vierge Marie, du roi Salomon et des vertus cardinales.


L'Hôtel de Ville!


Église saint-Pierre et saint-Paul!
Elle a été construite sur les vestiges d'un ancien sité romain.
Il y avait ici déjà un petit couvent durant l'époque mérovingienne qui fut offert par l'abbesse Irmine d'Oeren!


À demain pour la suite de cette balade!



Nouvelle semaine....Nouvelle balade!
Aujourd'hui, je commence une nouvelle série qui va nous emmener vers la très jolie ville d'Echternach au Luxembourg!
 
Située le long de la vallée de la Sûre marquant la frontière avec la Rhénanie-Palatinat allemande.
Elle est surtout connue pour son abbaye et sa procession dansante de Pentecôte.

La balade débute Porte Willibrord!
Saint Willibrord, premier évêque d'Utrecht, apôtre des Pays-Bas et patron du Grand-Duché de Luxembourg, est né vers 657, dans le royaume de Northumbrie, et mort en 739. Il repose à l'abbaye d'Echternach qu'il avait fondée.
 
Cet article servira de récapitulatif à cette balade!
 
-La plus ancienne ville du Luxembourg (ici)

-Balade en ville (voir le lien)

-La Basilique (voir le lien)

-Le musée de l'Abbaye (voir le lien)

-Église saint-Pierre et Paul (voir le lien)

-Restaurant Le Petit Poète (voir le lien)

-Chapelle Notre-Dame (voir le lien)

-Villa Romaine (voir le lien)
 
Vous pouvez voir ou revoir nos balades luxembourgeoises en cliquant sur ce lien!
 
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(7 clichés)


Le Lycée classique d'Echternach!
Le Lycée classique d'Echternach s'élève à l'endroit même où en 697/698, Willibrord fonda une abbaye qui allait figurer parmi les institutions culturelles les plus prestigieuses de l'Europe médiévale. C'est d'elle, évidemment, que ce lycée se réclame aujourd'hui.


L'Abbaye bénédictine!
L'abbaye d'Echternach, était un monastère de moines bénédictin sis au bord de la Sûre,et fondé au 7e siècle par saint Willibrord.


Centre de pèlerinages au tombeau de Saint Willibrord, la Procession dansante d'Echternach, l’ancienne église abbatiale est pillée par la soldatesque Française en 1795.
Reconstruite en 1868, elle est basilique mineure depuis 1939.


La Basilique de Saint-Willibrord!
La basilique Saint-Willibrord fut édifiée au 11e siècle à l’emplacement d’une église carolingienne dont elle conserve la crypte.
Détruite en grande partie en 1944 lors de la bataille des Ardennes, elle a retrouvé, après sa reconstruction, son allure d’origine.


Les jardins de l'Orangerie!
Lors de la reconstruction de l'abbaye de l'Abbaye d'Echternach au 18e siècle, une grande importance fut accordée à l'aménagement des alentours des nouveaux bâtiments.
En 1736, un jardin avec une orangerie fut créé sur le terrain de l'ancien mur d'enceinte, en face de la cour d'honneur.


Le pavillon Rococo, autrefois un jardin d'agrément des moines, est situé dans le parc de la ville et a été construit en 1765 selon les plans de Paul Mungenast.

À bientôt pour la suite de cette balade!



La balade "marché de Noël" à Metz, en Moselle, débute place de la République, figure emblématique de la ville!

Elle a été construite en 1802, alors dénommée place Royale, à côté de l’ancienne citadelle et aux limites de la ville.

Aujourd'hui, elle s'est mise aux couleurs de Noël!

Vous pouvez voir ou revoir d'autres marchés de Noël en cliquantsur ce lien.

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Les chalets se sont installés et offrent, déjà, de savoureuses gourmandises à déguster.


Un traineau s'est arrêté quelques instants....mais où va-t-il donc?


Sur la place de la République, s'est également installé le village finlandais! Une hutte nous invite à partir en voyage vers l’Europe du nord.


La cuisson du saumon selon une technique ancestrale est à découvrir et surtout à déguster…


C'est également sur cette place que se trouve la boîte aux lettres du Père Noël!


Le Saint-Jacques à Metz est un centre commercial situé au coeur de la ville!
Chaque année, au moment du marché de Noël, nous y découvrons une animation!


La ville est en fête!


Place Saint-Louis, la pyramide de Noël impose sa haute silhouette de 17 mètres à l’entrée de la place!


À l'intérieur un magasin de décoration ne manquent jamais de m'éblouir.


Tout n'est qu'émerveillement!


Les sapins de toutes les formes et de toutes les couleurs vous donneront des idées pour votre décoration!


Papa Noël est également là!


Il surveille le chargement de son traîneau!


C'est l'heure de la photo de famille devant la pyramide! Merci Cécile et Marie-Jo pour cette belle balade!


Je termine par le manège de chevaux de bois....une des incontournables attractions de ce beau marché de Noël de Metz!



Vue  sur la centrale de Cattenom ce matin à 8h.



Voici quelques expressions que vous pourriez entendre si vous passez quelques jours en Lorraine!
 
Merci au site:
 
Le Lorrain
@lelorrainfr
 
Je vous invite à voir ou à revoir tous nos articles sur le Platt Lorrain en cliquant sur ce lien!



Aujourd'hui, je vous propose une visite tout à fait exceptionnelle,celle de l'église de Sillegny, en Moselle.

L’église Saint-Martin de Sillegny est également appelée la petite sixtine lorraine ou la sixtine de la Seille parce que l'intégralité de l'édifice est recouvert de fresques du 15e et 16e siècle.

Cette église, de style gothique fut édifiée au 15e siècle et possède une tour massive et fortifiée plus ancienne qui servait à protéger les habitants dans les temps troublés.
 
Vous pouvez voir ou revoir nos balades en Moselle en cliquant sur ce lien.
 
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(16 clichés)


Ce qui fait la richesse de l'édifice, ce sont les fresques recouvrant une grande partie des murs intérieurs.
Ces fresques représentent des scènes religieuses, des saints et des saintes.


Aujourd'hui, plusieurs hypothèses circulent toujours sur l'identité des artistes, auteurs de ces dessins travaillés à l'œuf et à la colle.
Cependant, la réalisation est attribuée à des peintres envoyés par les sœurs du cloître Sainte-Marie-aux-Nonnains de Metz.

L'abside est décorée, à gauche d'un tableau représentant "L'agonie de Jésus au jardin des oliviers".


Sur la droite, nous pouvons admirer un tableau repésentant "Jésus qui meurt sur la croix".


Dans le fond de l'église, "Le Jugement dernier".
C'est le plus grand des tableaux de l'église puisqu'il couvre 42 mètres carrés.
Ce tableau représente le retour du Seigneur à la fin des temps. Il montre en images comment nos ancêtres du 15e siècle imaginaient cet événement.


Sur la droite un très grand saint-Christophe.
Christophe signifie "porte-Christ"!
Voyez cette image! On voit saint-Christophe marchant dans la rivière et portant l'Enfant-Jésus sur son épaule.


Les fresques de cette église, passées de mode selon certains, furent recouvertes de badigeon vers la fin du 18e siècle.


En 1845, leur redécouverte donna lieu à une première restauration par l'artiste messin Malardot, restauration qui dura vingt ans.


L'arbre de Jessé!
L'arbre de Jessé représente la généalogie du Christ.
À la racine de l'arbre se trouve Jessé, le grand personnage couché.
Au sommet de l'arbre est représentée la Vierge avec l'enfant.
 
On reconnaît, parmi les branches de l'arbre les personnages suivants : David, Salomon, Roboam, Abia, Asa, Josaphat, Ozias, Joatham, Ezéchias, Manassé, Josias et Jéchonias.


Au plafond, sur les voûtes de l'avant-choeur, les quatre évangélistes surplombent tous les autres tableaux décrivant les Évangiles.


Notre-Dame de Pitié!
Ce tableau représente la descente de la Croix.
Au centre, le corps de Christ est recueilli par saint-Jean et la Vierge Marie.


Saint-Hubert!
En costume de gentilhomme, Hubert est agenouillé dans une forêt giboyeuse.


Sainte-Anne!
Sainte-Anne est assise sur un fauteuil avec Marie son enfant.
Elle tient un livre ouvert pour faire l'éducation de sa fille.


La tristesse du Christ!
Jésus est debout en tunique brune.
Ses jambes chacellent.
Il prend appui sur les épaules des apôtres Jean et Pierre.


Saint-Fiacre!
Saint-Fiacre appartient au groupe des missionnaires.
Il est représenté en habit de moine, la bêche à la main, un livre de prière dans l'autre main.


Enfin, je terminerai par vous expliquer ce que sont tous ces petits personnages agenouillés.
Ils sont représentés sur presque tous les tableaux.
Ce sont sans doute les donnateurs que les peintres ont voulu remercier!



C'est en visitant le musée de la bière de Stenay, que j'ai découvert l'histoire de l'étoile des brasseurs!
Je ne pouvais pas terminer notre balade à Stenay, sans vous en parler.
 
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(6 clichés)


L'étoile des brasseurs est un symbole alchimique ancien dont l'usage est attesté dès 1397 dans la communauté des brasseurs et des malteurs.



Représentation symbolique de l'alchimie brassicole mettant en œuvre les quatre éléments (terre, feu, eau, air), elle servait au départ à éloigner les esprits malins ou les incendies afin de protéger la bière.



Bien vite elle devint une enseigne signalant une brasserie, notamment dans le monde rhénan et bavarois.


On la trouve aussi sur les récipients contenant de la bière. Son usage déclina à partir  du 18e siècle.


Manuscrit avec étoile du brasseur datant de 1428.



Le musée de la Bière de Stenay situé dans le département de la Meuse est labellisé « Musée de France » et inscrit au titre des Monuments historiques.
Musée géré par le Département de la Meuse, il retrace l’histoire des techniques, des traditions et des arts brassicoles, des origines mésopotamiennes à nos jours
 
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(15 clichés)


La rénovation et l’aménagement du bâtiment, nécessitent de lourds investissements de la part de la Mairie et des bénévoles de l’association.
La qualité de ce projet local est reconnue nationalement en 2002, par l’obtention du label « Musée de France » décerné par le Ministère de la Culture et de la Communication.
 
(Brouette renversoir de malterie)


L'imposant bâtiment qui abrite le musée est l'un des bâtiments les plus visibles de l'ancienne citadelle de Stenay.
Il s'agissait du magasin à blés de la citadelle.


Suite à la Révolution française, le bâtiment est abandonné jusqu’à ce qu’un malteur s’en rende acquéreur à la fin du 19e siècle.
La nouvelle activité nécessite de multiples aménagements architecturaux : rehaussement du bâtiment sur un étage et construction d’une tour à chaque extrémité, les tourailles.

(Reconstitution d'une brasserie de la fin du Moyen-Âge)


La malterie connait ses heures de gloire à la fin du 19e siècle.
 
(Machine à vapeur)


L’évolution des techniques de brassage est marquée par des révolutions techniques.
 
(Salle de brassage)


Après sa fermeture, le bâtiment sert successivement de casernement, de lieu de stockage et de dépôt de charbon.


Système de culture de la levure!
Une fois sélectionnée et cultivée en laboratoire, la levure doit être propagée.
Cette opération permet d'obtenir une quantité suffisante pour le brassage.


Le laboratoire!


Le soutirage en fûts!


Le soutirage en bouteilles!


Brasserie industrielle du 20e siècle.


Laveuse à bouteilles.


Le point d’orgue de la visite du musée est la salle consacrée à la publicité et aux affiches.
Cet espace révèle toute l’originalité dont ont fait preuve les brasseurs pour vanter leurs produits.


Terminons cette visite par cet espace qui présente les attitudes de consommation dans les débits de boisson grâce à plusieurs reconstitutions d’estaminets, de cafés « Belle Epoque » ou de tripots des années 1960.

Très beau musée dont il ne faut pas manquer la visite si vous êtes dans la région.



Stenay, cette commune située dans le département de la Meuse, nous a accueillis le temps d'une journée de visites et le balades tout à fait sympathiques!
 
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(8 clichés)


Nous avons attendu la fin de la messe afin de visiter cette très jolie église Saint-Grégoire-le-Grand.
La façade de cette église possède un avant-corps à colonnes avec les statues de Saint-Pierre et de Saint-Paul de chaque côté.


Elle fut construite en 1830 après la démolition de l'ancienne sur ordre de la paroisse pour cause de vétusté avancée.


La chaire provient de l'ancienne église.


Cette église, très sobre, possède cependant de très beaux vitraux.


Serait-ce saint-Nicolas?


Ici, saint-Éloi, j'en suis sûre!


L'heure tourne! Le temps passe vite! Il est temps d'aller déjeuner!

À tout de suite!



Stenay est située dans la partie nord de la plaine de la Woëvre. La commune est traversée par la Meuse et par le canal de l'Est.
 
La balade commence au port de plaisance situé sur un bras de la Meuse!
 
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(19 clichés)


Nos premiers pas nous conduisent rue des tanneries.
C'est aux abords du ruisseau des Minimes et dans ces ruelles qu'étaient installés les tanneurs.


Le lavoir des Minimes!
Ce lavoir prit ce nom au 17e siècle quand la ville légua au couvent des Minimes.
Un souterrain les reliait alors.


L'eau de la source sort du lavoir par un petit canal qui passait autrefois sous les remparts. Il rejoint la Meuse par les jardins de la ville.


Le couvent des Minimes!
Fondé en 1609, il abritait des frères Minimes de l'ordre de Saint-François-de-Paule.
Ils étaient chargés de l'enseignement des jeunes garçons.


La maison Vax!
Voici une des riches maisons de commerçants du 19e siècle.
Cette maison abritait alors une pâtisserie de renom appartenant à la famille Vax.


L'église Saint-Grégoire-le-Grand!
J'y reviendrai sur ce lien!


L'Hôtel de ville et le kiosque!
L'Hôtel de ville fut eonstruit en 1935 à la place de l'ancien tribunal datant du 17e siècle!


Les arcades!
Construites sur des caves de style gothique, ces arcades supportent des immeubles qui ont été remaniés au fil du temps.


Les petites têtes sculptées!
Certains immeubles possèdent des petites têtes sculptées. Ce sont les têtes des propriétaires de l'époque!


Le cadran solaire!
Le cadran solaire est considéré comme l'un des tous premiers objets utilisés pour mesurer l'écoulement du temps.


L'ancien hôpital!
Cette "maison de Dieu" fondée en 1356 par le bourgeois stenaisien Jean Ancel fut gérée par la commune puis par les religieux antonistes et enfin par les soeurs hospitalières Saint-Charles de Nancy.


Le grand quartier de cavalerie!
Il fut construit de 1750 à 1758 par la ville pour compléter les casernes déjà existantes et y loger un régiment de cavalerie avec leurs montures.


Le magasin aux vivres!
Ce bâtiment fut construit en 1545 pour servir de magasin aux vivres à la citadelle.


Le magasin aux affûts!
Cette jolie ferme en pierre de taille date du 16e siècle. Elle avait vocation toute militaire.
En effet, là étaient stockés les armes, canons et affûts de la garnisons occupant la citadelle avant sa prise par Louis XIV en 1654.


La maison du lieutenat du roi!
Ce "bâtiment de la lieutenance" date du 16e siècle.
Ele servait de logement au représentant du roi.


L'Hôtel du gouverneur!
Il fut construit au 16e siècle sur ordre du Duc de Lorraine pour y héberger le Gouverneur de la cité!
Il sert aujourd'hui de musée de la bière!
J'y reviendrai sur ce lien!


Le parc de la forge!
Ce parc communal a été aménagé sur l'emplacement d'un des bastions de la ville!


La balade "Au coeur de la ville" se termine devant le moulin!
Ce moulin possédait plusieurs roues et servait pour les grains, le tan et l'huile!
 
À tout de suite pour la suite de cette balade à Stenay!



Aujourd'hui, je vous invite à nous suivre pour une balade-découverte de la ville de Stenay, commune située dans le département de la Meuse!
Cette petite ville, arrosée par le canal de l'Est, a gardé un caractère qui lui est propre où calme et belles maisons règnent!
 
Cet article servira de récapitulatif à cette balade meusienne consacrée à Stenay!
 
-Au coeur de la ville (voir le lien)
 
-L'église Saint-Grégoire le Grand (voir le lien)
 
-Auberge Les Tilleuls (voir le lien)
 
-Musée de la bière et du Pays de Stenay (voir le lien)
 
-L'étoile du brasseur (voir le lien)
 
Vous pouvez voir ou revoir nos balades meusiennes sur ce lien!

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Hôtel de ville et kiosque!



Notre journée "asperges 2019" se termine par la visite de la chocolaterie Jean Plumerey située à Saint-Jean-de-Kourtzerode.
Saint-Jean-Kourtzerode est une commune située dans le département de la Moselle, en région Lorraine.
 
Vous pouvez voir ou revoir notre journée "asperges" depuis le début en cliquant sur ce lien!
 
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Jean Plumerey est un artiste chocolatier!


Il nous accueille dans sa chocolaterie! Un véritable musée nous attend!


La visite commence par quelques anecdotes à propos de ces moules qui font encore sensation dans les magasins au moment des fêtes de Pâques.


L'histoire du chocolat est passionnante, surtout quand elle est accompagnée d'une dégustation!


Jean Plumerey nous parle de son métier et nous donne quelques conseils culinaires.


Le temps que le chocolat prenne d'un côté....de l'autre il nous prépare quelques tablettes de chocolat....."vous les dégusterez dans le bus pour le retour".....


En deux temps trois mouvements.....


....une de ses créations prend forme!


Cela paraît si simple!


N'oublions pas nos chocolats...le retour sera gourmand!


Merci à vous, Monsieur Jean Plumerey, pour cette visite gourmande et très intéressante!



La journée commence de façon bien sympathique par la visite de la savonnerie artisanale "La Grange aux Herbes", située rue des Églantiers à Grostenquin dans le département de la Moselle.
 
Vous pouvez voir ou revoir notre "Journée asperges 2019" depuis le début en cliquant sur ce lien!
 
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Après avoir roulé un moment en bus, nous sommes accueillis par la fille de la maison.
Café, thé, jus de fruits, brioche ou gâteau....tout est là pour nous souhaiter la bienvenue!


Vous l'avez remarqué, la Grange aux Herbes est avant tout une histoire de famille!


Créée en 1982, la passion de son fondateur pour le végétal est encore aujourd'hui au coeur de leur savoir-faire.


En 2014, le savoir-faire de la maison a été récompensé en recevant le label «Produits Moselle Passion» par la Chambre des Métiers et de l’Artisanat et le Conseil Départemental de la Moselle.


Madame Loncar a le mot juste pour nous expliquer son métier.....


.....les savons dans le grand sens du terme.


Monsieur nous parle de la fabrication d'une savonnette.


Nous remercions la famille Loncar pour cette visite.....


Je n'ai qu'une seule chose à ajouter....arrêtez-vous à Grostenquin et....faites-vous plaisir!



Comme chaque année en cette saison, nous nous faisons plaisir en suivant notre association pour une journée "asperges"!
Le but de cette journée est de faire de belles visites, bien sûr, mais surtout de fêter ces légumes par un bon repas "asperges"!
 
Cet article servira de récapitulatif à notre sortie "asperges" 2019!
 
-Savonnerie "la Grange aux Herbes" de Grostenquin (57) (voir le lien)
 
-Déjeuner au restaurant "Saint-Augustin" de Mittelbronn (57) (voir le lien)
 
-Chocolaterie Jean Plumerey de Saint-Jean-de-Kourtzerode (57) (voir le lien)
 
Vous pouvez voir ou revoir nos balades en Moselle en cliquant sur ce lien.

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Le voie verte du fil bleu de l'Orne est une balade de 23 kilomètres qui longe la rivière Orne de Clouange en Moselle à la zone de loisirs de Moineville en Meurthe-et-Moselle.
 
Cette balade, nous l'avons commencée, Marc et moi, la semaine dernière en parcourant une première étape, celle qui va de Clouange à Rosselange.
 
Vous pouvez voir ou revoir notre baladeau fil bleu de l'Orne depuis le début en cliquant sur ce lien!
 
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Aujourd'hui, nous avons poursuivi notre découverte en réalisant l'étape qui va de Rosselange à Moyeuvre-Grande!


Cette balade présente un très grand intérêt car elle à été aménagée dans le cadre d’un projet de requalification des anciens sites sidérurgiques d’une vallée aujourd’hui sinistrée au niveau de l’emploi industriel.


Les usines ont fermé, mais les aménagements paysagers de cette vallée verdoyante sont réussis.


Nous passons sur le pont des vannes qui nous fait passer sur l'autre rive de l'Orne.


Des panneaux explicatifs nous indiquent que ces oiseaux sont des "oiseaux de haies".


Les coteaux et les plateaux environnants constituent un important cadre naturel pour la commune comme ce quartier de Moyeuvre-Grande, le Trehemont.


La découverte du minerai dans notre sous-sol a transformé le site et la vie des habitants de la cité.
Sous cette cheminée...des galeries de mine....


La Voie Verte serpente au bord de l’eau, passe près des villes, traverse des petits ponts, toujours dans un cadre bucolique.


Nous arrivons à Moyeuvre-Grande.
Un jardin a été aménagé au niveau de l'atelier de l'ancienne usine.
Ici, nous pouvons voir les arches du mur intérieur de l'atelier de l'usine réhabilitée aux environs du 19e siècle!


L'exutoire!
C'est ici que se jettent les eaux d'exhaure des mines de fer de Moyeuvre.
Cet ouvrage évite les remontées d'eau des mines à la surface des sols.


Longtemps occupée par l'industrie sidérurgique, Moyeuvre-Grande est devenue le symbole même de la reconversion d'un espace industriel rendu à la nature.


Purge de gaz des cheminées des mines.


Feux de signalisation de l'ancienne voie ferrée.
Cette voie ferrée servait au transport de minerai, de fonte de hauts-fourneaux.
Elle desservait les différentes usines de la vallée de l'Orne.


Pilier de gazoduc.
Le gazoduc servait à récupérer les gaz des hauts-fourneaux. Ces gaz servait à alimenter la centrale électrique de Richemont.


Nous arrivons à Moyeuvre-Grande, le but de notre étape du jour.....nous reprenons le chemin du retour.


À bientôt pour la suite de cette balade au fil bleu de l'Orne!



La voie verte du fil bleu de l'Orne est une voie verte de 23 km.
Elle longe la rivière Orne de Rombas en Moselle à la zone de loisirs de Moineville en Meurthe-et-Moselle.
Cette piste, entièrement plate, est un moyen doux de découvrir les paysages d'une ancienne vallée sidérurgique.
 
Cette balade, nous avons décidé, Marc et moi, de la parcourir sous la forme d'étapes!
Nous avons commencé, aujourd'hui, en réalisant une première étape, celle qui va de Clouange à Rosselange.
 
Cet article servira de récapitulatif à cette balade au fil bleu de l'Orne:
 
-De Clouange à Rosselange (ici)

-De Rosselange à Moyeuvre-Grande (voir le lien)

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La promenade commence donc à Clouange au niveau de ce très beau rond-point, réalisé par un artiste, peintre et sculpteur Lorrain, Dany Mellinger.
Ce rond-point a pour nom, La Résurgente".
 
Résurgent est un adjectif qui est en rapport avec une rivière qui réapparaît après un passage sous terre!
 
Vous pouvez retrouver d'autres ronds-points sur ce lien.

Vous pouvrez retrouver le circuit Dany Mellinger sur ce lien.


Clouange est donc une petite ville de Lorraine de 3 800 habitants située dans la vallée de l'Orne.


L'Orne est une rivière de l'Est de la France qui coule dans les départements lorrains de la Meuse, de Meurthe-et-Moselle et de la Moselle.
C'est un affluent de la Moselle en rive gauche, et donc un sous-affluent du Rhin.


Une première rencontre avec une foulque est de bon augure.


L'Orne prend sa source à 320 mètres d'altitude, dans les Côtes de Meuse, sur la commune d'Ornes.


Le printemps est là et la nature s'éveille!




Nous approchons de l'arrivée de notre première étape qui est Rosselange.


Le pont Henry permet de passer sur l'autre rive de l'Orne et de revenir sur nos pas en faisant un petit tour bien agréable.


Le principal attrait de cette balade est l’Orne, superbe rivière sur une voie très bien aménagée, dans un environnement historiquement industriel.


Alors que madame Cygne construit son nid, madame Foulque, elle, commence à couver!


À Rosselange nous avons pu admirer ce rond-point signé, lui aussi, Dany Mellinger.
Cette oeuvre réalisée en 2006 à pour nom, "Jamailles": Gestuel métal en mémoire du lieu du même nom (usine métallurgique).
 
À Rosselange, l'usine de jamailles a mis sous feu ses premiers hauts-fourneaux en 1911.
 
À bientôt pour la suite de cette balade au fil bleu de l'Orne!



Implanté sur le site de l’ancienne usine d’agglomération de Uckange, en Moselle, le jardin des traces offre un bel exemple de revalorisation de friche industrielle.
 
Vous pouvez voir ou revoir nos balades en Moselle en cliquant sur ce lien.
 
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(8 clichés)


En ce début de saison, le jardin est en cours de réalisation!


Pourtant, la balade est agréable car le site a été investi par des personnages sortis tout droit du conte des frères Grimm, "Blanche Neige et les sept nains"!


Ce jardin est un lieu de promenade mais aussi un lieu de découverte, de culture, de mémoire sur les traces du passé sidérurgique de la Lorraine.


À l'approche de Pâques le jardin prend des airs de fêtes et le lapin de Pâques n'est pas oublié.


On se surprend à réviser nos classiques!


Blanche Neige a trouvé son prince charmant.....


......sur un site remarquable!

Vous pouvez voir l'article sur le haut fourneau U4 de Uckange sur ce lien!



Uckange est une commune située dans le département de la Moselle, en région Grand Est.
 
La ville connaîtra son plus important essor à la fin du 19e siècle, avec l’implantation des usines à fontes STUMM.
 
Aujourd’hui cette usine, qui produisait de la fonte, est fermée depuis 1991, mais un haut fourneau, le U4, subsiste et est inscrit sur l’inventaire supplémentaire des monuments historiques.
 
Mais qu'est-ce qu'un haut fourneau?
 
Un haut fourneau est une installation industrielle destinée à simultanément désoxyder et fondre les métaux contenus dans un minerai, par la combustion d'un combustible solide riche en carbone.
En général, le haut fourneau transforme du minerai de fer en fonte liquide, en brûlant du coke qui sert à la fois de combustible et d'agent réducteur.
Bien que la fonte produite soit un matériau à part entière, cet alliage est généralement destiné à être affiné dans des aciéries.
 
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(15 clichés)


Édifiée en 1890 par la société Gebrüder Stumm (de), l'usine de Uckange est spécialisée dans la production de fonte en gueuses, élaborées à partir du minerai de fer local, la minette.


Symbole fort du patrimoine industriel de la vallée de la Fensch, le haut-fourneau U4 est le dernier des six hauts-fourneaux de l’usine d’Uckange.


Témoin du formidable essor économique de toute la région dans les années 1960-1980, ce « monstre de fer » s’est éteint en 1991 pour revenir à la vie et s’ouvrir au public en 2007, après des années de travaux.


Il est l’un des rares témoignages de la sidérurgie du 20e siècle aujourd’hui conservé en France.


Un peu d'histoire!
La famille de Wendel s’implante à Hayange en 1704.
Ce sont les débuts du développement de l’industrie du fer dans la vallée de la Fensch.
Peu après, l’année 1870 marque un tournant important dans l’histoire de la Lorraine, et plus particulièrement d’Uckange.


À la suite des De Wendel, les grandes firmes industrielles de fer s'implantent dans les vallées de la Fensch, de l’Orne et de la Moselle.....les Thyssen, Röchling, La Paix, les Frères Stumm à Uckange.....


L'usine d’Uckange est particulièrement liée aux « frères Stumm », qui possèdent alors une usine sidérurgique en Sarre, à Neunkirchen, dans le bassin houiller lorrain.
Après 1870, les frères Stumm sécurisent leurs approvisionnement en minerai de fer en achetant les concessions minières en Moselle annexée : la mine Charles-Ferdinand à Hettange-Grande et la mine Ida à Sainte-Marie-aux-Chênes.
 
Ici-Chargement des matières premières par la bande transporteuse jusqu'aux silos de chargement.


Ces maitres de forges et industriels, achètent fin 1887, des terrains sur le ban de la commune d’Uckange (alors Uckingen).
La construction du premier haut fourneau démarre en décembre 1890, et les mises à feux s'enchaînent jusqu'en 1913.
L'usine reste sur cette configuration jusque vers 1920.
En 1913, juste avant la première Guerre mondiale, elle emploie 590 personnes.
 
Ici-Montée des bennes de matières premières dans le tour de chargement.


En 1919, après la première Guerre mondiale, l'usine est placée sous séquestre, puis devient, avec les concessions minières des frères Stumm, la propriété des Forges et Aciéries du Nord et de Lorraine (FANL).
 
Ici-Transport des matières premières par réseau ferré interne.


De 1920 à 1960, excepté pendant la Seconde Guerre mondiale, l'usine poursuit l'exportation de fonte sous la forme de gueuses vers l'industrie sarroise qui constitue son principal débouché.
 
Ici-Réchauffage de l'air pour introduction dans le haut fourneau.


Dans les années 1960  pratiquement toutes les usines à fonte ferment, pour des motifs divers : vétusté, surcoûts logistiques, taille insuffisante, concurrence de nouveaux produits sur le marché et surtout l'arrivée de nouveaux minerais plus riches en fer.
 
Ici-coulée de la fonte dans la halle de coulée.


L’arrêt définitif de la production de fonte de l’usine, annoncée au milieu de l’année 1991, a eu lieu le 17 décembre 1991, en dépit de manifestations sociales importantes.
 
Ici-Épuration secondaire des gaz de haut fourneau.


De nombreuses années de procédure ont abouti à l'inscription du U4 et de ses annexes, à Inventaire supplémentaire des monuments historiques en 2001.


Situé sur les friches de ce site sidérurgique....le jardin des traces....
 
À tout de suite ou l'article sur ce lien!



L'hiver Lorrain est là! Ça caille (avoir très froid)!
 
Et pour commencer, pourquoi dit-on "ça caille" ?

On sait que 'cailler' désigne une coagulation sous l'effet d'un refroidissement ou d'une fermentation.
Imaginez alors qu'il fasse tellement froid que votre sang caille à l'intérieur de vos veines.
"Se cailler" voudrait alors dire "se refroidir au point que le sang ne puisse plus circuler, tellement il se fige".
 
Et puisque nous sommes en hiver et qu'il fait froid, en Lorraine on dira aussi: "Ça tire! Fermes la porte!"
 
Je vous invite à voir ou à revoir tous nos articles sur le Platt Lorrain en cliquant sur ce lien!



C'est avec plaisir que, cette semaine, nous avons retrouvé nos amis Françoise et Roger du blog "LA GUILLAUMETTE" (voir le lien) pour une journée-balade à Metz.
Ce jour là, nous nous étions donnés rendez-vous au centre-ville afin de partager un repas et faire une balade sur un des marchés de Noël de Metz, en Moselle.
 
Vous pouvez voir ou revoir d'autres marchés de Noël en cliquant sur ce lien.

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(19 clichés)


À Metz le marché de Noël est disséminé un peu partout dans la ville.
Nous décidons, avec Françoise, de nous diriger vers celui de la place Saint-Louis, celui que nous préférons!


La place Saint-Louis de Metz en Moselle, est une place de l’époque médiévale dont elle est emblématique, avec une galerie couverte d’une soixantaine d’arcades qui abrite toujours les chalands!


Installée en plein cœur de ce site historique datant du Moyen Âge, la pyramide de Noël a été réalisée spécialement pour le Marché de Noël de Metz.
Une photo souvenir s'impose.


Les premiers chalets sont gourmands.....


......spritz, pain d'épices, et bretzels....incontournables spécialités de notre région!


Il règne sur la place Saint-Louis un vent de féerie!


Ce donuts est trop gourmand!


Ces crêpes XXL nous font rêver de goûters savoureux!


Alors qu'en cette période de fête les mamans réalisent les fameux petits gâteaux de Noël, voici quelques emporte-pièces bien originaux.


Comme chaque année le marché de Noël de Metz nous fait découvrir un nouvel ustensile....déjà très à la mode!


Ce presse-agrumes manuel est appelé aussi Bistouquette. Ceux-ci réalisés en faïence et peints à la main, viennent tout droit d'Espagne.


Chaque année, nous nous arrêtons au stand des santons....je vous laisse quelques instants......je vais choisir celui qui sera le roi de notre village cette année!


Voilà j'ai enfin trouvé chapeau à mon goût!
Je voulais un bonnet....Marc voulait un pompon sur mon bonnet!


Sur le chemin du retour nous nous dirigeons vers la place Saint-Jacques où se situe la boutique de Noël!


Cette boutique est située sous un grand chalet aux couleurs de Noël.


Les idées de mise en scène pour vos décorations ne manquent pas....


Il n'y a qu'à choisir.....


.....et à rêver!

Merci Françoise et Roger pour cet excellent moment passé ensemble! J'espère à très bientôt pour une autre balade!



Yutz est une commune située dans le département de la Moselle.
Elle fait aujourd’hui partie intégrante de l’agglomération de Thionville et se situe juste derrière la gare de Thionville.

À l'occasion des fêtes de fin d'année Yutz s'est parée de mille couleurs.
 
Vous pouvez voir ou revoir d'autres marchés de Noël en cliquant sur ce lien.
 
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(18 clichés)


Yutz revêt ses habits de lumière en décembre pour célébrer la fin d'année et les festivités qui y sont traditionnellement attachés.


Bien sûr la boîte aux lettres du Père Noël tient une bonne place sur ce marché! On ne peut pas la manquer!


Le marché de Saint-Nicolas accueille ses traditionnels chalets.


Plus de 60 chalets à découvrir sur la place de l'Esplanade de la Brasserie.


Les traditionnels "Spritz" de Noël font recette! C'est vrai que l'on ne peut que craquer devant ces petits sablés.


Les chalets sont installés et tous occupés par des artisans, des créateurs ou encore des associations, sélectionnés pour leur travail artisanal!


Les couronnes de Noël sont toutes aussi belles les unes que les autres.


Julien Frizon est venu présenter son miel. Un petit délice.....


Véritable invitation à la découverte du terroir et des traditions lorraines, le marché est l’occasion de déguster des produits régionaux issus de l’artisanat.....


.....mais aussi de découvrir des créateurs de bijoux ou de décoration d’intérieur.


J'ai beaucoup aimé les créations d'une passionnée.


Bien sûr nous nous sommes arrêtés au niveau du chalet de la Confrérie Saint-Nicolas!


Les santons de la confrérie sont très beaux!
Vous avez Saint-Nicolas avec le père fouettard.
Mais vous avez aussi les trois petits enfants de la légende ainsi que le santon de la confrérie des trois clériaux (voir le lien)!


Chaque enfant de notre région a forcément un livre racontant l'histoire de Saint-Nicolas!


Sur le chemin du retour nous admirons les vitrines des magasins.


Tout mignon le Père Noël!


Nous avons ramené quelques souvenirs de ce marché dont le représentant de la confrérie Saint-Nicolas, les trois petits enfants et un peu de bière de la confrérie.
 
À bientôt.



L'Association Tervilloise du Nouvel Âge (Atna), l'association dont nous faisons partie Marc et moi, a installé, aujourd'hui, son marché de Noël!

J'ai eu le plaisir, cette année, d'y participer! Voici quelques images!

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(15 clichés)


Deux tables sont installées! La première concerne l'activité "décoration".


Je suis toujours admirative envers ces couronnes de Noël.


Toutes aussi belles les unes que les autres.


Papa Noël a tenu, lui aussi, à participer à cette préparation.


Les petits mouchoirs en dentelle ont toujours beaucoup de succès!
Rappelez-vous! C'est ici!


La seconde table concerne l'activité "tricot et broderie".


Cette demoiselle présente un très beau châle, idéal pour les soirées d'hiver.


Cette chenille a eu beaucoup de succés!


Très jolis ces "doudous"!


Ils sont tous très beaux ces nounours.


Tout au long de l'année des petites mains travaillent en prévision de ce marché de Noël.....brassières, chaussons et bonnets.....


Les cartes de Noël!


Voici ma participation au marché de Noël de notre association cette année.
Broderies sur cartes, c'est ici!


Celles-ci sont vraiment mignonnes.

Bon marché de Noël à vous!

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Savez-vous que Metz, commune située dans le département de la Moselle, est une ville bimillènaire!
Metz est une ville qui se trouve dans la région historique de la Lorraine et nous aimons nous y rendre régulièrement afin d'y découvrir tous ses secrets!
 
D'ailleurs vous pouvez voir ou revoir nos balades à Metz en cliquant sur ce lien!


Aujourd'hui, dans notre rubrique, "En Lorraine, on parle le platt", je vais vous parler de la prononciation du mot Metz!
 
Metz se prononce Messe et non pas Metttzzzz!
 
Notez-le bien car dire "Metz" en prononçant le "T" nous fait mal aux oreilles!

À bientôt pour la suite de cette rubrique!
 
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Le jardin botanique de Metz, en Moselle, ancien parc Frescatelly, est un parc paysager de 4,4 hectares acheté par la ville de Metz en 1866 à la baronne de l’Espée, après avoir appartenu à différents notables de la ville.
Il se situe sur le ban communal de Montigny-lès-Metz.

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(21 clichés)


Le jardin botanique de Metz fait partie du réseau transfrontalier "Jardins sans limites".


C'est à dire qu'il prend part à une immense promenade continue comprenant le plan d'eau, la place de la République et l’Esplanade, le parc municipal du Saulcy, les rives de la Moselle avec le canal et le bras morts de la rivière, dont la surface globale atteint 429 hectares.


Le parc abrite un ensemble d’arbres rares et remarquables dont certains, vieux de cent cinquante ans et quelques-uns qui pourraient dater de la fin du 18e siècle.


Le roi de la place est ce séquoia! Ne manquez d'aller le saluer lors de votre balade dans ce jardin!


Deux bassins agrémentent le jardin, reliés par un ruisseau, où s’ébattent cygnes et autres volatiles.


Amateur d'échec? Un jeu à échelle humaine vous attend!


Les serres du jardin, d’une superficie de 1 000 m2 datent de 1861 sont l’oeuvre du ferronnier messin PANTZ.
Elles rassemblent orchidées, cactées et palmiers.


Ces superbes serres, construites sur l'Esplanade pour l'Exposition Universelle de 1861 ont été déplacées au jardin botanique probablement en 1880.


Elles comportent une orangerie, une serre froide, une autre tempérée et des serres chaudes.


Dans ces dernières, on peut admirer plusieurs espèces méditerranéennes et exotiques.


Les serres abritent 4 500 plantes appartenant à quatre-vingts familles différentes.


Leur superficie abrite une flore spécifique ainsi que des bassins agrémentés de poissons, de tortues et une volière avec des oiseaux exotiques.


Une décoration tout à fait originale nous met dans l'ambiance.....


.....une ambiance feutrée!


Dans une des serres...les cactées!


Ces plantes sont originaires du Pérou, de Bolivie ou même d'Argentine!


Sur le retour un petit arrêt, le temps d'une photo!


Nous passons par le parc Europa où ce jour là nous avons pu admirer quelques oeuvres de Christian Lapie.


"Le coeur de la nuit"

Christian Lapie développe une oeuvre de sculpture monumentale en extrayant du fût d’arbres hiératiques des figures humaines.
Taillée à la tronçonneuse, puis traitée au feu et à l’huile, celles-ci gagnent une dimension spectrale qui les fait appartenir au plus lointain des âges.


"Le point du jour"

Merci Joëlle et Alexandra pour cette belle balade!



Le concept "Marché du Tissu"  existe  depuis le printemps de 2005.
C’est avant tout un événement où plusieurs fournisseurs de tissus hollandais, belge, français présentent et vendent les dernières collections de tissus.

(toutes les photos ont été prises sur le net)


Tissus, rideaux, patchwork.....Tout est présenté sur les étals pour les amateurs de travaux du tissus!
Bien sûr, les fournitures, la mercerie ainsi que les livres de couture avec les dernières nouveautés feront la joie des "petites mains"!


Moi! J'ai fait ma liste...et j'y serai! Et vous? Qui vais-je retrouver demain!
 
Marché du tissus Luxembourg:
 
Luxexpo
11, Circuit de la Foire
L-1347 Kirchberg (Luxembourg)



Je poursuis, aujourd'hui, la révision de notre vocabulaire régional...et comme il est l'heure de passer à table.....je vais vous avouer ce que nous aimons déguster quand nous avons un petit creux!
 
Un petit creux?
Sortons le pain, le schlass et la schmirwurscht!
 
La phrase du jour sera donc...et vous la comprendrez tous!
 
"Je tartine de la Schmirwurscht sur un Stück de pain avec mon Schlass!"
 
Remarque!
La charcuterie ça schmeck (la charcuterie, ça sent!)
 
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(image prise sur le net)



Notre journée se terminant...il est temps de penser au retour!
Mais nous ne partons jamais sans aller faire un petit tour dans "nos fermes préférées" situées du côté de Liézey, commune située près de Gérardmer!

Vous pouvez voir ou revoir notre balade à Gérardmer depuis le début en cliquant sur ce lien!
 
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(5 clichés)


Nous avons fait provision de Géromé, le munster de Gérardmer.


Lorsque nous allons à la ferme et suivant les jours, je peux aussi me procurer du fromage de Géromé frais!
C'est un fromage du jour. Il peut être déjà salé ou non!
Moi je choisis des non salés!


Il peut ainsi être déguster en dessert avec du sucre ou de la confiture....un véritable délice!


Un peu plus loin nous avons une adresse où je me procure de la viande fumée pour l'hiver....poitrine fumée, saucisses lorraine et saucisse lorraine coupées au couteau.
 
Une journée qui se termine avec gourmandise....À bientôt!



Gérardmer est une commune de moyenne montagne située dans le département des Vosges, en Lorraine à 675m d'altitude.
Gérardmer surnommée "Perle des Vosges" doit son surnom à Abel Hugo, frère de Victor Hugo!
 
Il y a quelques jours, nous avons décidé d'y passer une journée!
Deux heures de route....un soleil enchanteur....destination Gérardmer!
 
Aujourd'hui, je vais vous raconter notre balade à Gérardmer où nous avons passé une journée bien agréable!
 
-Lac de Gérardmer (ici)
 
-Ferme-auberge de la Mexel (voir le lien)
 
-Petit tour dans les fermes de Gérardmer (voir le lien)

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(18 clichés)


Souvenez-vous....il y a quelques jours, je suis tombée et je me suis fait une entorse!
Cela ne nous a pas empêchés de partir en balade!
Une attelle et une béquille plus tard....j'attends le bateau qui va nous permettre de faire le tour du lac!


Surtout...choisir une place près d'une grande fenêtre ouverte!


Sylvie? C'est toi le capitaine d'un jour?
Mais non...je suis trop occupée à admirer le paysage!


Au cours du quaternaire, le massif vosgien a connu des glaciations successives, mais c'est pendant la dernière phase que sont nés les trois lacs :

-le lac de Retournemer, lac de cirque glaciaire

-le lac de Longemer qui occupe un bassin creusé dans l'ancien lit du glacier

-le lac de Gérardmer



Nous passons devant le complexe qui réunit la patinoire, la piscine avec sauna, le bowling.....


Cette maison en briques rouges date du 17e siècle. Elle est une des rares encore existante.


Base nautique de voile et canoë-kayak.


Le lac de Gérardmer, situé à 660m d'altitude, est un lac d'origine glaciaire.
Il est également le plus grand lac naturel des Vosges avec ses 155ha de surface.


Aux beaux jours, le lac est exploité pour les activités nautiques!


On y pratique le canoë, la voile, l'aviron, le pédalo, on y pêche, on se baigne sur ses plages aménagées…


....et on vient y admirer des compétitions sportives en kayak de vitesse et aviron.


Au bord du lac nous avons pu admirer une ferme typique de la région avec son hangar à bateau au bord de la rive.


La situation de la commune de Gérardmer, au coeur du parc naturel régional des Ballons des Vosges, nous permet d'admirer de magnifiques paysages!


Les 6 kms de sentiers balisés autour du lac permettent de faire une balade nature au bord du lac.


Derrière les arbres et les sapins...le manoir au lac!
Le manoir au lac, situé au bord du lac de Gérardmer, est une ancienne demeure de villégiature du 19e siècle transformée en un très bel hôtel de prestige.
Il a accueilli, entre autres, Ernest Renan, le président Sadi Carnot, Guy de Maupassant...


"Le pays que je viens de visiter est un des plus beaux qu'on puisse voir. Des vallées immenses, enfermées en des montagnes portant de gigantesques forêts de pins et de hêtres […] Au fond de toutes ces vallées, des lacs", écrivit, en 1890, Guy de Maupassant à sa "bien chère mère".


Sur le chemin du retour nous passons devant le pont où le lac se déverse dans la Vologne par l'intermédiaire d'un court émissaire, la Jamagne.
 
À tout de suite pour la suite de notre journée à Gérardmer!



C'est à Peppange, jolie commune luxembourgeoise, que nous nous sommes arrêtés, ce jour là, afin de visiter les trois musées qui en font son succès!
 
Aujourd'hui, nous allons parler "calèches"!
 
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(17 clichés)


La première calèche que l'on peut admirer en entrant est un omnibus postal construit vers 1850.


C'est une voiture de transport pour personnes, bagages et lettres.


Cet omnibus circulait sur une ligne déterminée et suivant des horaires précis.


C'est la dernière diligence luxembourgeoise! Elle faisait 35 kilomètres en 4 heures.


Ce grand omnibus est une voiture de transport de personnes et qui a été souvent utilisé comme voiture d'hôtel. Elle date de 1878.


Cette élégante voiture, datant des années 1880, est une berline de voyage.


Cette voiture à deux roues est dite "bourbonnaise" ou "dos à dos".


Bonjour Madame et merci de nous montrer le chemin.


Ce petit traîneau date de 1905. Il appartenait à Adolphe, Grand-Duc du Luxembourg.


Cette voiture est un vis à vis! Cette calèche ouverte a ses sièges l'un en face de l'autre.


Cette petite voiture à quatre roues est un Petit Duc datant de 1905!
Elle a appartenu à la Grande Duchesse Marie-Adelaïde.


Grand landau carré.
Cette voiture a la particularité d'avoir une double capote qui s'ouvre dans les deux sens.


Ces deux sièges à porteurs proviennent de France et date de l'époque Louis XV.


Hommes d'équipage du coupé de gala Grand-Ducal.


Cette voiture ouverte à deux banquettes est une voiture de paysan.


C'est ainsi que se termine notre voyage à Bascharage et Peppange! J'espère vous avoir donné envie d'aller y faire un petit tour.
 
À bientôt pour un autre voyage.



Le club de montgolfières Icare est l'initiateur du premier meeting de montgolfières d'HAGONDANGE (57), créateur des premières montgolfiades de Metz(57), ainsi que de nombreux meetings dans le pays haut.
 
Le club est aujourd'hui le gestionnaire du meeting annuel des montgolfiades de la ville de MAIZIÈRES-LÈS-METZ le WE du 15 août.
 
Aujourd'hui, levez la tête vous aurez peut-être l'occasion d'admirer de belle montgolfières!



Peppange, commune luxembourgeoise située dans le canton d'Esch-sur-Alzette sur le territoire luxembourgeois, possède trois beaux musées!
Vous connaissez le musée rural et artisanal!

Traversons, à présent, la route, et entrons dans le musée "Forge et Métallurgie"!
En effet, le musée se trouve vis-à-vis du Musée Rural et Artisanal de Peppange dans la maison A Mëchels.
 
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L’exposition permanente du Musée de la Métallurgie Ancienne constitue un élément très important dans  l’engagement de vouloir montrer au visiteur certains aspects de la métallurgie ancienne du Luxembourg.


D’autant plus qu’elle est complétée par de nombreuses illustrations.


Soufflet de forge!


L’exposition permanente de taques, enclumes et poêles a été inaugurée en 2007. Elle constitue la suite logique du pavillon des fouilles médiévales au Musée Rural.


Très belle cotte de maille!


Cet heaume à tête de chien fut le casque préféré des chevaliers au début du 15e siècle.


Cette garniture de cheminée, réalisée en laiton, provient de la grande salle à manger du Palais Grand-Ducal.
Il date de 1890.


Une attraction particulière est la forge villageoise installée dans le jardin de la maison-musée.


En état de marche, je pense qu'elle doit fonctionner certains dimanches en été.


À 200m de ce musée, se trouve le musée des calèches de la Grande Duchesse Charlotte!
 
À demain pour la suite de cette visite!



Pour terminer la visite du musée rural et artisanal de Peppange au Luxembourg, je vous emmène dans le grenier...un grenier pas comme les autres!
 
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(8 clichés)


Une pièce est entièrement consacrée aux arts religieux! En effet, la religion tenait une place importante dans la vie de nos aïeux.


Ce musée, je vous l'ai déjà dit, a pu réunir un grand nombre d'objets! Voyez ce petit coin dédié au dentiste! Magnifique!
À qui le tour?


Une partie du grenier est consacrée à l'école!


Une classe comme j'en ai connue dans ma jeunesse.


Il ne manque plus que la maîtresse...Mlle Muller...Eh Oui!


Un peu plus loin je reste admirative devant ces machines à coudre....
Soudain j'entends que l'on m'appelle....vite, vite, je suis attendue pour aller visiter le musée suivant situé juste en face!


Mais...tant pis...je cours encore au fond du grenier afin de prendre en photo toutes ces belles broderies!
 
À bientôt!



Connaissez-vous le musée rural et artisanal de Peppange au Luxembourg?
Alors suivez-nous!
Hier nous visitions le rez-de-chaussée de cette "maison-musée", aujourd'hui, montons à l'étage afin d'admirer les chambres!
 
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(8 clichés)


La première chambre, sobre, simple....la chambre du valet de la maison ou, peut-être bien, celle de la nounou des enfants!


Juste à côte, une chambre qui donne sur le jardin, celle des enfants.


Petits ou grands....tout est là, du berceau au lit d'adolescent.
Remarquez le petit landau de poupée!


Nous arrivons à la chambre des parents!


Je sens comme une présence!


Mais oui! Madame est assise à sa coiffeuse! Elle met peaufine sa toilette, se maquille légèrement. Elle est prête!


Madame va se promener! Elle profite du soleil.
Elle laisse sa machine à coudre pour demain! En effet, demain, les orages sont annoncés! Il sera grand temps de finir la robe qu'elle désire!
 
À demain!
 



Le musée rural de Peppange, commune située au Luxembourg près d'Esch-sur-Alzette, offre un aperçu de la vie rurale des siècles passés!
 
Après avoir visité le jardin, entrons dans la maison!
 
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Au rez-de-chaussée, nous entrons dans la cuisine! Cette aménagement est tout simplement magnifique!


Toutes les pièces sont clairement organisées!


Juste à côté de la cuisine, une sorte de sellier!


Des moules à tartes en passant par les pichets en grés et les ustensiles de cuisine...tout y est!


L'évier, que ma grand-mère appelait pierre à eau. Il donne sur le jardin.


Poursuivons la visite et découvrons la salle à manger du dimanche! En effet, cela se faisait du temps de ma grand-mère!


La table est mise! Nous attendons la maîtresse de maison pour nous installer!


La pièce suivante est la salle à manger! Là encore nous nous pouvons découvrir les habitudes de la vie de nos aïeux!
 
Demain, nous monterons à l'étage afin de visiter les chambres!



Le musée rural et artisanal de Peppange, au Luxembourg, a été aménagé dans une ancienne ferme!
 
Après avoir découvert les pièces consacrées aux travaux des champs poursuivons notre visite en nous promenant dans le jardin!
 
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Le jardin?
Un jardin créée comme il aurait pu exister en ce temps là...


D'ailleurs...un jardin qui pourrait être le nôtre!


Ce jardin d'agriculteur est formé de quatre billons rectangulaires entourés de buis.


Il y a, entre autre, des plantes à légumes, des épices et des plantes médicinales.


Au bout du jardin, il y a le coin de l'apiculteur!


Nous découvrons, là aussi, un véritable musée!


Des ruches de toutes sortes forgent notre admiration.


Une attraction particulière est l'imitation d'une forge médiévale ainsi que d'une forge villageoise en très bon état de fonctionnement.


La maison est aménagée de façon à démontrer l'art de l'habitat d'autrefois.


De nombreux ateliers donnent un aperçu du minutieux et pénible travail des anciens artisans du village.


À demain pour la suite de cette visite!



Le Musée Rural de Peppange, commune située au Luxembourg, a été aménagé dans une ancienne ferme!
 
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Le musée, existant depuis 1999, montre une abondance de détails de la vie champêtre des siècles passés dans une grande ferme des années 1850.


La maison est aménagée comme autrefois afin de découvrir l’habitat traditionnel des années 1850.


La visite commence dans la grange où sont rassemblés de nombreux outils servant à cultiver la terre!


Les charrues, la semence et la récolte sont présentés au visiteur.


Des personnges bien sympathiques nous guident à travers ce musée très bien aménagé.


Chaque pièce de la maison est organisée autour d'un sujet spécifique!


Nous sommes dans la grande avec l'étable d'un côté....


.....et la soue de l'autre côté!


Même le cochon fait acte de présence!


Tout est dans le détail!


Regardez ce tabouret "triépieds"! Indispensable outil de la fermière pour aller traire les vaches!


Cette partie du musée est vraiment très inrétessante!


Nous arrivons dans la buanderie....Le linge a été lavé, essoré...il sèche!
 
À bientôt pour la suite de cette visite!



Notre balade, commencée à Bascharage, se poursuit à Peppange, commune luxembourgeoise située dans le canton d'Esch-sur-Alzette sur le territoire luxembourgeois!
 
Peppange, est une bien jolie cité qui est connue pour ces trois musées!
 
Cet article servira de récapitulatif à ces visites!
 
-Les trois musées de Peppange (voir le lien)

-Le musée rural et artisanal (voir le lien)

-Le musée rural et artisanal (II) (voir le lien)

-Le musée rural et artisanal (III) (voir le lien)

-Le musée rural et artisanal (IV) (voir le lien)

-Le musée rural et artisanal (V) (voir le lien)

-Musée Forge et Métallurgie (voir le lien)

-Musée de calèches Grande Duchesse Charlotte (voir le lien)
 
Vous pouvez voir ou revoir la visite de la brasserie nationale du Luxembourg depuis le début en cliquant sur ce lien!
 
Vous pouvez voir ou revoir nos balades luxembourgeoises en cliquant sur ce lien!

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Musée rural et artisanal!
Le musée existe depuis 1999.


Il est installé dans une grande ferme bâtie en 1849...


...et montre, dans une abondance de détails de la vie champêtre, la vie des siècles passés.


Musée de la forge et de la métallurgie!
Il se trouve vis-à-vis du Musée Rural et Artisanal de Peppange dans la maison A Mëchels.


L’exposition permanente de taques, enclumes et poêles a été inaugurée en 2007.


Musée de Calèches Grande-Duchesse Charlotte!
Il expose une vingtaine de calèches parmi lesquelles 6 véhicules de la cour Grand-ducale.

À demain pour le début d'une visite exceptionnelle!



Toute visite d'une brasserie se termine par une dégustation!
Souvenez-vous!
Nous sommes à Bascharage, commune située au Luxembourg, et nous visitons la Brasserie Nationale du Luxembourg!
 
Vous pouvez voir ou revoir la visite de la brasserie nationale du Luxembourg depuis le début en cliquant sur ce lien!
 
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Photo prise sur le Net!


Notre guide nous installe dans la salle de dégustation qui se situe au-dessus du restaurant de la brasserie, "An Der Brauerei".


Le décor "brasserie" est plutôt sympathique!


Cette décoration nous met dans l'ambiance d'une dégustation bien musclée!


Les sets de table sont explicites! Chaque rond dessiné sur le set correspond à un verre de 10cl de bière à goûter!


De la bière la plus douce à la plus forte, il faut choisir celle que l'on préfère!


L'indispensable photo de famille!


Voilà le set de table lorsque tout les ronds ont été comblés!
 
Astuce!
L'astuce du jour est de réserver votre repas au restaurant de la brasserie afin de pouvoir déguster les bières tout en dégustant une bonne assiette gourmande!
 
À demain pour le repas au restaurant de la brasserie, "An Der Brauerei"!



La visite de la brasserie de Bascharage, commune située au Luxembourg, nous a permis de bien comprendre le processus de fabrication de la bière!
 
Les étapes sont les suivantes
  1. le maltage ;
  2. la saccharification ;
  3. l’ébullition (également appelée « houblonnage ») ;
  4. la fermentation ;
  5. la garde ;
  6. le conditionnement (pouvant être précédé d’une filtration et suivi d’une pasteurisation).
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La visite nous conduit vers une salle qui contient des cuves où la bière est prête à être filtrée puis conditionnée!
Ces petits hublots nous permettent de voir la bière!
Depuis le début du processus de fabrication, c'est la première fois que l'on peut voir la bière!
Elle n'a encore jamais été au contact de l'air!


Une petite dégustation au passage!
La bière n'a pas encore cette couleur limpide qu'on lui connaît!


Le conditionnement!


Au moment de notre passage, nous voyons des petits fûts de bière qui s'acheminent afin d'être conditionnés pour le transport.


Un bras articulé s'occupe de mettre les fûts sur les palettes!


La balade se poursuit par la visite d'une dernière salle! Un petit musée très sympathique!


La brasserie de Bascharage s'inscrit facilement dans le patrimoine luxembourgeois!


Ce savoir-faire est transmis de générations en générations et ce depuis 10 générations!

À demain!
 



Quelle ne fut pas ma surprise, ce matin, de découvrir une belle montgolfière de la fenêtre de ma chambre!
Voilà ce que j'appelle un réveil en beauté!
 
C'est une belle occasion, pour moi, de vous parler de la 6e édition des "Ballons de Lumière"!
 
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Dans le cadre de la semaine de l'énergie, la ville de Thionville en Moselle et l’association des Pilotes de Montgolfière de Moselle, organise, du 29 juin au 1er juillet 2018, un envol de beaux ballons!

Ce sont 3 jours de vols avec 30 ballons à chaque décollage, depuis la Place de la Liberté et depuis la base nautique de Basse-Ham.
 
Je n'ai plus qu'un conseil à vous donner.....On fonce s'envoler en montgolfières à Thionville en Moselle!



Depuis hier nous visitons la Brasserie Nationale du Luxembourg qui est la plus grande brasserie du pays.
Elle est basée à Bascharage et je vous invite, aujourd'hui, à poursuivre la visite!
 
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Nous sommes dans la salle d'eau de la brasserie.


L'installation d'approvisionnement des eaux nous permet de faire une pause près d'une fontaine à eau!


L'eau est bien fraîche!


Les cuves se succèdent Elles rutilent de mille feux!


Voici le réservoir de gaz carbonique.


Cet ancien réservoir servait pour la culture de la levure.


La centrifugeuse!
La centrifugation peut être utilisée pour clarifier rapidement les vins ou les bières après fermentation alcoolique ou avant filtration de finition en vue d'une mise en bouteilles.


Nous arrivons dans la cave à levure.


La fermentation est une des étapes de la fabrication de la bière.
Cette étape consiste à ensemencer le moût avec une certaine quantité de levures afin que ces levures transforment les sucres présents en alcool et en CO2.


Voici l'installation de filtration!
La bière est filtrée ce qui lui confère sa limpidité.


Cet espace consacré à un petit musée anime notre visite!


À bientôt pour la suite de cette visite!



Bascharage est une commune luxembourgeoise située dans le canton de Capellen.
Cette commune est connue pour sa brasserie, "La brasserie nationale du Luxembourg"!
 
Aujourd'hui, je vous invite à nous suivre pour une visite bien sympathique!
 
Cet article servira de récapitulatif à cette visite!
 
-La brasserie nationale (ici)

-La salle d'eau (voir le lien)

-Une histoire de famille (voir le lien)

-La dégustation (voir le lien)

-Restaurant An Der Brauerei (voir le lien)

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(image prise sur le net)



La Brasserie Nationale est la plus grande brasserie au Luxembourg.
Elle est basée à Bascharage.
Elle produit les bières Bofferding et Battin.et exporte ses produits aussi en Belgique.


La Brasserie Nationale naît en 1975 de la fusion de deux anciennes brasseries : la Brasserie Bofferding fondée par Jean-Baptiste Bofferding en 1842, et la Brasserie Funck-Bricher fondée en 1764.


Au début des années 2000, la Brasserie Nationale rachète la Brasserie Battin fondée en 1937 et transfère en 2005 la production des bières Battin d'Esch-sur-Alzette vers le site de Bascharage.


Le houblon!
Le houblon est un conservateur naturel qui apporte à la bière son amertune et enrichit son arôme.
La brasserie utilise du houblon en provenance de la Hallertau en Bavière.


Le malt!
Le malt est obtenu par germination contrôlée de l'orge.
Cette germination permet la solubilisation des substances contenues dans le grain lors du processus de brassage.
Le malt est l'ingrédient qui détermine le type de la bière.


La brasserie est ponctuée de nombreux éléments qui en fait un très beau musée!
L'exemple de cette balance servant à peser les matières premières, comme le malt et le houblon, en est un bel exemple.


La bière Bofferding est reconnue comme une bière de tradition 100% naturelle!


Cet appareil est un récupérateur d'énergie!


La recette!


Tout est recyclé! Ces tableaux en explique les principes!


Nous passons d'une salle à une autre tout en admirant les publicités réalisées au cours du temps!
 
À demain!



Aujoud'hui, c'est la fête! Toute la famille est réunie autour du grand-père qui fête son anniversaire!
On ne compte plus le nombre des années!
Tout le monde le sait...quand on aime.....
 
Le repas terminé, bien souvent, pépé se lève et va chercher une bouteille de derrière les fagots...une eau de vie de mirabelles ou de quetsches ou même de cerises...pourquoi pas!
 
C'est alors que je peux vous dire: "Je suis chtrak si je bois des chloucs de schnaps"!
 
Pas besoin de traduction.....

Je vous invite à voir ou à revoir tous nos articles sur le Platt Lorrain en cliquant sur ce lien!



Vaucouleurs est une commune située dans le département de la Meuse. Elle a donné son nom à cette partie du cours de la Meuse, appelée Val des Couleurs.
 
Vous pouvez voir ou revoir notre balade autour de Jeanne d'Arc en cliquant sur ce lien!
 
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(10 clichés)


Pour cette dernière balade autour de Jeanne d'Arc, je vous emmène aujourd'hui, vers les vestiges de la cité et notamment vers la chapelle castrale!


Bâtie en 1234 sur ordre de Béatrix de Bourgogne, dans un style romano ogival il ne reste aujourd'hui que la crypte.


La chapelle castrale qui servait d'église collégiale fut vendue en 1792.
L'édifice supérieur fut démoli après divers pillages et incendies, seul le choeur avait échappé à la destruction, mais il fut abattu en 1923.


Elle est reconstruite entre 1924 et 1929 dans un style néo gothique , aux dimensions de la chapelle primitive.
Inaugurée en 1929, elle est bénie par le Cardinal lépicier, natif de Vaucouleurs, en 1930.


L'arrière de la chapelle castrale.


En faisant le tour de la chapelle, nous pouvons admirer des vestiges du château et, notamment, la Porte de France!
Provenant de l'enceinte du château, c'est une des quatre portes, qui menait vers le Royaume de France.
C'est celle-ci, que Jehanne d'Arc emprunta afin de rejoindre Chinon, le 23 février 1429.


Vestiges de l'enceinte du château primitif qui surplombait la cité!


Le gros tilleul de la chapelle!
De ce lieu où l'on domine, l'histoire elle-même plane et se répand à la ronde, comme l'ombre de ce tilleul séculaire.
 
Cet arbre couvre une légende bien naïve et bien charmante selon laquelle le cheval de Jehanne en aurait brouté quelques feuilles en février 1429. L'enthousiasme au départ de Jehanne avait été si unanime que la nature voulant s'y joindre elle-même, aurait doté soudain le tilleul d'un feuillage si vert, si tendre et si appétissant, que le cheval de Jehanne fut tenté d'y mordre.
 
Cet arbre vénérable, au tronc creusé par les siècles, fut classé monument historique le 28 octobre 1927."
En 2012, l'association A.R.B.R.E.S. lui attribua le label "Arbres Remarquables de France"!


Vaucouleurs dans toute sa beauté!
 
À bientôt pour un nouveau voyage!



Vaucouleurs, petite ville réputée pour la venue de Jeanne d'Arc en 1429 pour rencontrer le gouverneur Robert de Baudricourt, a gardé un riche patrimoine dont l'église paroissiale Saint-Laurent est l'un des joyaux de la fin du 18e siècle.
 
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Avant 1090, il existait déjà une chapelle dépendant du prieuré Saint-Thiébaut et dont le donateur était Geoffroy II de Joinville. Celle-ci se trouvait quasiment
à l'emplacement de l'actuelle église paroissiale Saint-Laurent.
En 1224, la chapelle fut remplacée par une autre, dédiée alors à Saint Laurent
 
En 1544, l'édifice fut malheureusement incendié et immédiatement reconstruit!


En 1837, des grilles en fonte réalisées à la fonderie de Tusey, située à deux pas de Vaucouleurs, furent placées en avant du chœur et au-devant des autels latéraux et des fonts baptismaux.


En pénétrant dans l'édifice, on est de suite frappé par la présence des fresques, de 1860, sur les voûtes de la nef et de ses collatéraux.


Cet autel situé dans l'abside du bas-côté nord date du 18e siècle.


Saint-Michel terrassant le dragon.


En 1853, le voûtement de la nef étant dans un état douteux, l'architecte Alexandre Guiot se déplaça en pour évaluer les travaux à faire!


Ce fut l'entrepreneur Martin Pierson qui assura ces derniers.
La voûte rétablie, le peintre Charles Constant Ménissier, habitant Cirey-sur-Vaise, réalisa les décorations des voûtes en 1860.


Une chaire à prêcher, qui se trouve sur l'avant dernier pilier de la nef à droite, provient de l'ancien prieuré Saint-Thiébaut.
Il a été exécuté entre 1717 et 1719.
Après l'incendie de 1976 qui l'endommagea la chaire fut restaurée puis classée en 1944.


Un orgue du facteur Verschneider de Puttelange fut placé au-dessus de la porte d'entrée puis remanié, en 1866, par Jacquet de Bar-le-Duc.


Les vitraux johanniques de 1892 de la première travée du chœur développe notamment la vie de Jeanne d'Arc.


Vitrail du 19e siècle montrant Jeanne d'Arc sur le bûcher à Rouen.


Vitrail des frères Benoît ayant pour thème Jeanne d'Arc et l'un de ses miracles réalisé en 1950.

À demain pour la suite de cette balade!



Lors de notre balade sur les traces de Jeanne d'Arc, nos pas nous ont conduits à Vaucouleurs!
Vaucouleurs est une commune située dans le département de la Meuse. Elle a donné son nom à cette partie du cours de la Meuse, appelée Val des Couleurs.
Vaucouleurs est également considéré comme une ville johannique.
 
Le musée Jehanne d'Arc de Vaucouleurs retrace, tel un livre d'images, un morceau d'histoire pas comme les autres!
 
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C'est le 13 mai 1428 que Robert, sire de Baudricourt et gouverneur du roi à Vaucouleurs, reçoit la visite d'une bergère de 16 ans, venue de Domrémy. Vaucouleur est alors une garnison française située aux confins des terres du duc de Bourgogne allié aux Anglais, et du duché de Lorraine, dépendant du Saint-Empire romain germanique.


Elle se dit l'envoyée de Dieu et réclame le commandement général des troupes du royaume.
Pour toute réponse, Baudricourt la fait souffleter et la renvoie à ses moutons.


Sans se décourager Jeanne revient à Vaucouleurs à plusieurs reprises.

Jeanne d'Arc d'après Marie d'Orléans!


Elle essaye de monter une expédition avec le seul concours des gens du pays qui se cotisent pour lui offrir un cheval et une épée.

Jeanne d'Arc d'après H.Nicot!


Sa ténacité suscite un vaste élan populaire.

Jeanne d'Arc en bergère d'après Lucie Signoret-Ledieu!


Le peuple croit à la mission de Jeanne d'Arc et reprend foi dans les destinées du royaume.

Jeanne d'Arc en bergère d'après Henri Dumaige!


Baudricourt est peu à peu ébranlé.

Jeanne au sacre d'après Prosper d'Epinay!


Mais pour plus de sécurité, il fait d'abord exorciser la Pucelle par le curé du lieu.

Jeanne d'Arc d'après Antnin Mercié!


Jeanne persiste dans son projet, c'est bien Dieu qui inspire la jeune fille.

Jeanne en armure d'après Charles Champigneulle!


Le gouverneur convaincu, les difficultés s'aplanissent, et le 23 février 1429, escortée de ses 6 premiers compagnons d'armes, Jeanne d'Arc quitte Vaucouleur par la porte de France.


Nous ne nous égarons pas....jamais!

Affiche commémorative du 5e centenaire des fêtes de Jeanne d'Arc à Vaucouleurs!


Elle est là, Jehanne dans cette succession de visages toujours recommencée!


À bientôt pour la suite de cette balade!

Une faïence représentant les voix de Jeanne!



Située au pied du coteau du Bois-Chenu, la basilique Sainte-Jeanne d’Arc est un important lieu de pèlerinage en Lorraine, aujourd'hui propriété du diocèse de Saint-Dié.
Hier, nous étions dans la crypte, construite sous la nef de la Basilique.
 
Un escalier permet de passer de la crypte à la basilique sans sortir, c'est l'escalier de la Paix!
 
Vous pouvez voir ou revoir notre balade autour de Jeanne d'Arc en cliquant sur ce lien!
 
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Notre regard se dirige sur cette splendide nef!


La mosaïque absidiale, en cul-de-four, fut réalisée en 1929, par les Établissements Lorin de Chartres, d’après les cartons du Lorrain Pierre-Dié Mallet.


Le Père éternel, assisté du Saint-Esprit transmet son message à saint Michel, qui de concert avec les saintes Catherine et Marguerite, en fait part à Jeanne debout sur son piédestal de l’autel majeur.


Le plafond avec ses poutres transversales en bois aux couleurs chatoyantes est magnifique!


Les couleurs dominantes sont le rouge et l’or, couleurs de la Lorraine. Les croix de Lorraine alternent avec les armes de Jeanne d’Arc.


Certains carrelages sont fleurdelisés.


Une mosaïque tout à fait splendide.


Autel de la Vierge Marie.


Tout au long de la nef, des peintures relatent la vie de Jeanne.


Des peintures toutes aussi magnifiques les unes que les autres.


Saint-Nicolas, patron de la Lorraine, est présent, lui aussi.


Ce vitrail représente une Vierge à l'Enfant..


La mosaïque hémisphérique de la croisée du transept fut installée en 1934 par les Établissements Lorin de Chartres d’après les cartons de Henri Pinta, elle évoque l’apothéose de Jeanne.

Du bûcher de Rouen, l’héroïne vêtue de sa robe de sainteté s’élève en direction du ciel où trône la Trinité.

Elle est accueillie par la Vierge et par ses conseillers : saint Michel, sainte Catherine et sainte Marguerite, ainsi que par de nombreux autres saints et saintes de France, à la tête desquels figurent saint Louis et Charlemagne.



Les mosaïques sont nombresues et sublimes!


Mosaïque représantant les apparitions de la Vierge à Jeanne d'Arc.

À demain pour la suite de cette balade autour de Jeanne d'Arc.



Domrémy-la-Pucelle, commune située dans le département des Vosges en Lorraine, est connue pour être la patrie de Jeanne d'Arc.
 
Hier nous avons suivi la route du coteau forestier de Domrémy-la-Pucelle, sur lequel a été érigé la basilique du Bois-Chenu.
 
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Après nous être promené dans le jardin tout autour de la basilique, entrons dans la crypte de cette dernière, crypte baptisée, "Crypte Notre-Dame des Armées".


Construite sous la nef de la Basilique, la crypte fut, en 1891, dédiée à Notre-Dame des Armées.

Le Maréchal Foch visite la Basilique Sainte Jeanne d’Arc, à l’issue de la Première Guerre mondiale.


Elle était en effet le siège de la Confrérie érigée sous ce nom et avait reçu un aménagement de chapelle votive funéraire.


En 1968 les Pères Eudistes se sont employés à “débarrasser” le mobilier et le décor!
Les toiles de Monchablon représentant l’armée de Terre et de Mer sont remisées, la statue de N.D. des Armées est supprimée!


Seule la statue de Notre-Dame de Bermont resta en place.
Notre-Dame de Bermont, statue originelle devant laquelle Jeanne d’arc allait prier à Bermont près de Greux dans les Vosges


L'Hospitalité Notre-Dame des Armées (HNDA) est l'hospitalité du diocèse aux armées françaises.
Elle a pour objectif principal de permettre à des personnes malades, blessées ou handicapées de la communauté militaire et du ministère de la défense de participer au pèlerinage militaire international (PMI) annuel à Lourdes.


Une des stations du chemin de croix de la crypte.


Les vitraux sont simples mais lumineux! Ici vous avez saint-Maurice.


Sainte-Clotilde.....


.....et saint-Martin!
À présent, poursuivons notre visite et empruntons l'escalier de la Paix!


L'escalier de la Paix a été inauguré en 1946.
Il permet de passer de la basilique à la crypte sans sortir.
Il est orné des blasons de villes où Jeanne est passée!
 
À demain!



Située sur le coteau au dessus du village de Domremy, dans le département des Vosges, la Basilique du Bois Chenu est le monument de la reconnaissance nationale à Jeanne d’Arc.
 
La première pierre du bâtiment a été posée le 3 novembre 1881 à proximité immédiate du lieu où Jeanne, aurait aussi entendu ses voix.
Surplombant la Meuse, la basilique est un lieu incontournable à visiter lorsque l’on s’intéresse à l’histoire de Jeanne d’Arc.
 
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Après une éclipse de plus de quatre siècles, on assiste, au milieu du 19e siècle, à l’expansion soudaine d’un culte patriotique en l’honneur de Jeanne d’Arc, dans l’histoire, la littérature et les arts.


Au Bois-Chenu, un hêtre séculaire, “le Beau May”, s’élevait à proximité de la “Fontaine des Fiévreux”, où Jeanne disait avoir entendu ses Voix.



En souvenir de quoi, au 16e siècle, une chapelle avait été érigée par Étienne Hordal, chanoine de la cathédrale de Toul et arrière-petit-neveu de Jeanne.



Au 17e siècle ce sanctuaire était en ruine.



Il ne restait qu’une clef de voûte et une statue de Jeanne d’Arc actuellement au Musée de la Maison natale.


C’est à cet endroit qu’après bien des hésitations, on devait ériger le mémorial de Jeanne, dont la première pierre fut posée en 1881.


Propriétaire du terrain, le diocèse de Saint-Dié fit appel aux Pères Eudistes pour gérer les travaux et organiser les pèlerinages.


Dès 1883, la crypte était construite, ainsi que le porche constituant la base de la tour.


Dès 1891, un vaste chantier va monter en moins de dix ans : le clocher, la nef et l’Aumônerie des Pères Eudistes.


En 1920 le comité du Bois-Chenu entreprit de réaliser le second plan qui allait doubler l’église en surface, par l’adjonction d’un large transept et d’une abside, donnant ainsi naissance à l’église nationale Sainte-Jeanne d’Arc, puis en 1939 à la Basilique Sainte-Jeanne-d’Arc.


À demain pour la suite de cette visite!



Domrémy-la-Pucelle est une commune située dans le département des Vosges en Lorraine.
Depuis quelques jours je vous invite à nous suivre dans cette cité connue pour être la patrie de Jeanne d'Arc.
 
Vous pouvez voir ou revoir notre balade autour de Jeanne d'Arc en cliquant sur ce lien!
 
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À proximité immédiate de la maison natale de Jeanne d'Arc, le centre "Visages de Jehanne" propose une découverte approfondie du monde médiéval, à la recherche des multiples visages de Jeanne.


Ce musée vous attend et vous fera découvrir ou redécouvrir l'étonnante destinée de "Jeanne, la bonne Lorraine".


L’aménagement intérieur propose une approche vivante du patrimoine, à travers les réalisations mises en oeuvre autour du thème “Visages de Jehanne”.


Appuyé sur les découvertes les plus récentes, le centre d'interprétation tente de placer le personnage de Jeanne d'Arc et son épopée dans son contexte historique.


Ce musée tente d'expliquer cette partie de notre histoire par l'intermédiaire des mentalités de l'époque et de l'imaginaire médiéval.


À cette époque, la fonction royale est investie d'une dimension sacrée....


....qui est réactivée à chaque règne par le rituel du sacre de Reims.


Des miniatures médiévales témoignent de notre histoire.


Tout au bout de ce couloir se trouve "La chambre des rois", un petit théâtre animé.


La Chambre des Rois propose une évocation animée des origines de la guerre de Cent Ans.


Une vingtaine de personnages, mannequins costumés, nous aident à en comprendre le contexte historique.


Ce théâtre est une petite merveille.


Enfin, nous passons la rue de la chevauchée, un parcours retraçant l'épopée militaire de Jeanne d'Arc.


De magnifiques tableaux jalonnent notre circuit.


Si vous êtes de passage à Domrémy, après avoir visité la maison natale de Jeanne d'Arc, n'hésitez pas à pousser la porte de ce musée! Une vraie merveille.
 
À demain pour la suite de notre aventure autour de Jeanne d'Arc.



Chaque année, les soldes remportent un franc succès dans les capitales européennes.
En Allemagne, il n’y a pas de réglementation spécifique pour les dates des soldes.
Chaque magasin est libre de fixer les dates de ses rabais et autres promos.
 
Trèves, commune Allemande et frontalière avec le Luxembourg, ne se situe pas très loin de la région Lorraine en France!
Alors, ce matin, dès potron-minet, nous sommes partis "faire les soldes à Trèves"!

Vous me direz, pourquoi aujourd'hui?
Le 14 juillet, jour férié en France où les magasins sont presque tous fermés, est un jour ouvrable en Allemagne!
 
Vous pouvez voir ou revoir toutes nos balades allemandes en cliquant sur ce lien!

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Sur un air de vacances et de tamouré, nous commençons nos investigations!
Les petits mocassins d'été sont très intéressants....et bien utiles lors de nos balades-découvertes de nos régions!


Mais ces nu-pieds me plaisent beaucoup! Ils sont parfaits! Je me vois déjà sur ma terrasse....


Mais le must du must, c'est ce magasin situé en haut de la rue principale.
Les connaisseurs vont le reconnaître!
En plus des soldes, déjà bien intéressantes, une personnes nous donne un ticket qui nous permet encore de gagner des pourcentages de réduction...de 5% à 20%!


Quelques t-shirts, polos, pantalons....plus tard, il est temps de nous reposer et de déjeuner!
Nous nous dirigeons vers le Kartoffel Restaurant Kiste situé Fahrstraße 13-14 à Trèves!
Pour ma part, je choisis un "Schnitzel nach Bierbrauerart", une escalope de porc panée avec oignons, un oeuf sur le plat et des pommes de terre rissolées.
Comme d'habitude, je ne suis pas déçue.

Vous pouvez voir ou revoir notre dernière visite au Kartoffel Restaurant Kiste en cliquant sur ce lien!


Comme à son habitude, Marc part à l'aventure et choisit un plat nommé, "kartoffelklöße"!
Marc découvre, alors, des boulettes de pommes de terre cuites et farcies de viande.

Mes amis! Faire les soldes n'est pas de tout repos!

Mais, si vous vous arrêtez à Trèves, surtout, n'oubliez pas de prendre un grand sac...il vous sera utile!



La maison natale de Jeanne d'Arc est une maison du 15e siècle de style médiéval, située à Domrémy-la-Pucelle dans les Vosges en Lorraine!
 
C'est dans cette maison familiale de la famille d'Arc qu'est née Jeanne d'Arc vers 1412. Elle y a passé son enfance et y a entendu les voix et contemplé ses premières apparitions
 
Vous pouvez voir ou revoir notre balade autour de Jeanne d'Arc en cliquant sur ce lien!
 
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Après nous être promenés dans le jardin, découvrons l'intérieur de cette maison classée monuments historiques depuis 1840 et labellisée Maisons des Illustres.
Sur la façade principale, au-dessus de la porte d'entrée, une niche a été aménagée dans laquelle a été installée en 1839 une statue de Jeanne d'Arc agenouillée, en armure.
Il s'agit d'une copie en fonte d'une statue conservée au centre d'interprétation johannique « Visages de Jeanne ».


La porte d'entrée mène directement dans la chambre natale.


Nous sommes accueillis par une magnifique statue de Jeanne d'Arc réalisée par la princesse Marie d'Orléans et donnée par le roi son père au département des Vosges pour être placée à Domremy dans la maison où naquit Jeanne d'Arc.


Composée de quatre pièces couvertes par une toiture à un pan, la maison correspond à l'architecture civile du 15e siècle, et au niveau de vie d'une famille de laboureurs aisés.


Nous passons une porte et nous arrivons dans la chambre des frères de Jeanne.


Le nom des différentes pièces a été établi par la tradition dans le but de restituer un témoignage sensible de la vie de Jeanne d'Arc.


L'emplacement de la maison, à proximité de l'église, a permis de confirmer son identification comme la maison du père de Jeanne, d'après la description qu'elle en avait faite lors de son procès.


La chambre de Jeanne et de sa soeur.


La maison actuelle d'environ 10 m2, avec un étage et grenier, a été plusieurs fois modifiée durant les siècles.


Le rez de chaussée de quatre pièces a été rénové puis transformé en espace muséographique afin d'être ouvert au public!
 
N'hésitez pas à vous y arrêter si vous passez par là!
 
À bientôt pour la suite de cette balade!



Village natal de Jeanne d’Arc, Domremy-La-Pucelle est situé en Lorraine, dans l’ouest du département des Vosges, à 10 km de Neufchâteau, dans la vallée de la Meuse.
 
La maison natale de Jeanne d'Arc, maison du 15e siècle de style médiéval, est située à côté de l'église Saint-Rémy.
 
Vous pouvez voir ou revoir notre balade autour de Jeanne d'Arc en cliquant sur ce lien!
 
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(8 clichés)


Dans cette maison familiale de la famille d'Arc est née Jeanne d'Arc vers 1412.
Elle y a passé son enfance et y a entendu les voix et contemplé ses premières apparitions.
La maison est classée monuments historiques depuis 1840 et labellisée Maisons des Illustres.
 
Vous pouvez voir ou revoir d'autres maisons natales en cliquant sur ce lien!


La maison natale de Jeanne d'Arc, identifiée comme telle dès le 16e siècle, fait l'objet d'une importante dévotion depuis plus de 5 siècles.


Lieu de l'enfance et de la vocation de Jeanne, elle apporte un éclairage unique sur le mystère de son exitence.


Elle permet aussi, à ses admirateurs, d'approcher la réalité de sa vie quotidienne.


La maison natale de Jeanne est, à l'origine, la maison d’habitation familiale du domaine de 20 hectares de Jacques d'Arc, paysan aisé et notable de la commune, et de son épouse Isabelle Rommée.


Jacques d'Arc devient également en 1420 un des fermiers du domaine de l'ancien château fort de l'Isle où il s'installe (château actuellement disparu des seigneurs du Château de Bourlémont, construit sur une île de Domrémy, entre deux bras de la Meuse).
Jeanne est alors bergère des troupeaux de moutons de son père.


La maison actuelle d'environ 10 m2, avec un étage et grenier, a été plusieurs fois modifiée durant les siècles.
 
À demain pour la visite de cette maison!



Domremy-la-Pucelle est une commune située dans le département des Vosges en Lorraine, là où tout a commencé!
 
Aujourd'hui, nous poursuivons la visite de l'église saint-Rémy, église où Jeanne fut baptisée!
 
Vous pouvez voir ou revoir notre balade autour de Jeanne d'Arc en cliquant sur ce lien!
 
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(10 clichés)


Les vitraux ont été réalisés en 1955 par Gaudin! Ils représentent les grandes étapes de la vie de notre Sainte héroïne.


Ce vitrail représente Jeanne d'Arc devant ses juges et l'évêque de Beauvais, Pierre Cauchon, lors de son procès à Rouen du 9 janvier au 29 mai 1431.


Ce vitrail représente Jeanne d'Arc sur le bûcher de Rouen.


Accueil de Jeanne d'Arc par les habitants d'Orléans, le 29 avril 1429.


Le chemin de croix a été restauré en respectant les couleurs d'origine.


Jolie statue....qui garde son secret!


Les anglais et les américains, amis de la France, ont fait don de cette statue de Jeanne d'Arc à la cathédrale de Winchester qui elle-même l'a donné à l'église de Domremy en l'honneur de la Sainte.


Statue de sainte-Marguerite devant laquelle Jeanne venait prier.


À demain pour la suite de cette balade!



Domrémy-la-Pucelle est une commune située dans le département des Vosges en Lorraine.
 
Ce village est connu pour être la patrie de Jeanne d'Arc.
Le nouveau voyage que nous vous proposons aujourd'hui est, vous l'avez compris, consacré à Jeanne d'Arc!
 
Cet article servira de récapitulatif à cette journée dans les Vosges!
 
-Village natal de Jeanne d'Arc-Église saint-Rémy (ici)

-Église saint-Rémy (voir le lien)

-Maison natale de Jeanne d'Arc (voir le lien)

-Maison natale de Jeanne d'Arc (II) (voir le lien)

-Restaurant Au Pays de Jeanne (voir le lien)

-Le centre "Visages de Jehanne (voir le lien)

-Basilique du Bois-Chenu (I) (voir le lien)

-Basilique du Bois-Chenu (II)-La crypte (voir le lien)

-Basilique du Bois-Chenu (III)-La basilique (voir le lien)

-Vaucouleurs(55)-Musée Jehanne d'Arc (voir le lien)

-Vaucouleurs(55)-Église saint-Laurent (voir le lien)
 
-Vaucouleurs(55)-Chapelle castrale (voir le lien)

-Le spectacle monumental Jeanne d'Arc (I) (voir le lien)

-Le spectacle monumental Jeanne d'Arc (II) (voir le lien)

-Le spectacle monumental Jeanne d'Arc (III) (voir le lien)

 
Vous pouvez voir ou revoir nos balades vosgiennes en cliquant sur ce lien!
 
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(14 clichés)


Village natal de Jeanne d’Arc, Domremy-La-Pucelle est situé en Lorraine, dans l’ouest du département des Vosges, à 10 km de Neufchâteau, dans la vallée de la Meuse.


La maison natale de Jeanne d’Arc, l’église Saint-Remy, la basilique du Bois Chenu, le Centre d’Interprétation de la maison natale sont les fleurons du patrimoine historique de ce village!


Commençons cette balade par la visite de l'église saint-Rémy.


Le choeur actuel a été construit sur l'emplacement de l'ancien porche démoli en 1824.


L'église Saint-Rémy de Domrémy-la-Pucelle est une église catholique de style gothique des 13e siècle et 19e siècle.
Dédiée à l'évêque Saint Remi de Reims, et à Jeanne d'Arc, elle est classée aux monuments historiques depuis le 11 mai 1946.


Voici l'ancien choeur de l'église où Jeanne d'Arc a fait sa première communion.


Ce bénitier est contemporain de Jeanne.


Cette peinture représente le martyre de saint-Sébastien! Elle a été découverte en 1904 lors du grattage de l'église.


Protégée par une grille.....


....cette cuve de pierre est celle où Jeanne a été baptisée.
Elle a été rapportée ici de l'ancienne chapelle Saint-Jean-Baptiste.
Derrière se trouve la pierre tombale des fils d'une des marraines de Jeanne.


Cette petite piscine est rattachée aux fonts baptismaux.


Les retables de la sainte-Vierge.....


.....et de saint-Nicolas datent du 16e siècle!
Alors que Claude du Lys, arrière neveu de Jeanne, curé de Domremy, ils étaient placés du chaque côté de l'ancien choeur de l'église.
 
À demain pour la suite de cette visite.



Mertert, commune située au Luxembourg, propose un très beau et très intéressant circuit découverte de la commune!
Ce circuit, que nous avons suivi allègrement, se termine à l'église!

L'église de Mertert est dédiée à "L'Immaculée Conception de la Vierge Marie".
 
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(10 clichés)


L'église paroissiale actuelle fut conçue et érigée en 1885 dans un style néo-roman.


Le bâtiment imposant comporte trois nefs et des voûtes en arêtes et deux clochers entourant le portail d'entrée.


Cette église a servi de modèle à celle de Dudelange.


Pendant les années 1960 les trois nefs de cette église ont été complètement restaurées.


Les exigences du 2e concile du Vatican ont été suivies afin de mettre en évidence les éléments essentiels de la liturgie.


Les diverses stations du chemin de croix furent repeintes lors de la restauration de 2000 et dans les couleurs originales.


La nouvelle coloration, dans des tons plus chauds, provient de la restauration des années 2000.


La visite se termine....


...par un arrêt gourmand chez "Joël Schaeffer" à Mertert!
 
À tout de suite!



Après avoir pu admirer le port fluvial de Mertert, commune située au Luxembourg, nous longeons la Syre qui nous ramène vers la ville de Mertert!
 
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(9 clichés)


Les maisons, bien entretenues, ont gardé le charme d'autrefois.


Les portes sont très jolies, elles aussi!


Elles ont chacune leur caractère et une histoire à raconter.


Le lion luxembourgeois n'est jamais bien loin.


Il me semble bien que cette maison abrite la bibliothèque.


Certaines maisons ont été nommées du nom des personnes qui les ont construites!


Les initiales sont là pour le confirmer.


Au coeur de cette jolie cité, nous rencontrons un personnage emblématique de Mertert, le vigneron!
Cette sculpture rappelle que la viticulture était la principale activité de la ville et que de nombreuses familles vivaient autour de la vigne et du vin!
 
À bientôt pour la suite de cette balade!



Mertert est une commune luxembourgeoise située dans l'est du Luxembourg , à la frontière avec l'Allemagne.
 
Depuis hier, nous suivons le sentier culturel proposé par cette cité luxembourgeoise pittoresque.
 
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(15 clichés)


Notre parcours nous amène à traverser le quartier dit "colonie russe".


Après la révolution russe de 1917, beaucoup de fidèles du Tsar étaient forcés de quitter la Russie.


Après de longs mois d'errance à travers l'Europe, un certain nombre s'installe au Luxembourg.


Une centaine de soldats, femmes et enfants, fondent à Mertert une petite colonnie.


Le sentier est jalonné de croix de chemin ainsi que de jolies petites chapelles.


Mon regard s'arrête ici et là...les décorations sont nombreuses et ravissantes!


Voilà, nous atteignons le bord de la Moselle.


Chemin qui va nous conduire jusqu'au port fluvial de Mertert.


Le port de Mertert, aménagé sur la rive gauche de la Moselle, est le seul port fluvial du Luxembourg.


Il combine transport ferroviaire, routier et fluvial.
De lourds investissements sont réalisés pour maintenir à flot ce secteur, face à une concurrence acharnée.


Fondé il y a un demi-siècle afin de développer le transport sidérurgique et pétrolier, le site a fait depuis du chemin.


Depuis 2015 par exemple, une activité de transport de conteneurs a vu le jour.


Nous rejoignons la Syre et, tout en suivant sa rive nous croisons les moulins anciens de la commune.


À demain pour la suite de cette balade.



Mertert est une localité luxembourgeoise située au confluent de la Syre et de la Moselle.
Cette jolie cité était, autrefois, un authentique village de vignerons et d'agriculteurs.
 
Mertert dispose, aujourd'hui, d’un port fluvial d’envergure, en liaison directe avec les voies fluviales nationales et internationales.
 
Je vous invite, pour quelque jours, à découvrir la jolie cité de Mertert!
Cet article servira de récapitulatif à cette balade!
 
-Balade luxembourgeoise (ici)

-Le plus grand port fluvial du Luxembourg (voir le lien)

-Un petit tour en ville (voir le lien)

-L'église au centre du village (voir le lien)

-Restaurant "Joël Schaeffer" (voir le lien)

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(11 clichés)


Le sentier culturel de Mertert débute au niveau de l'église et se poursuit vers le parc paysagé anglais.


Le superbe parc municipal du village a été dessiné par Édouard André.


À l’entrée du parc, une élégante statue, œuvre de Marie-Josée Kerschen, rend hommage aux bienfaiteurs de la Seconde Guerre mondiale.


Le kiosque à musique n'attend plus que les beaux jours pour s'animer!


Le parc adopte un style « à l’anglaise » sur 3,8 ha, avec pièce d’eau et allées ombragées.


Et, si vous suivez ce sentier, vous découvrirez un hommage à Goethe qui passa une nuit à Mertert en 1792.


Mertert est aussi connue pour les routes romaines qui la traversent.


En effet, les romains construisirent trois grands axes traversant la région! Des bornes en marquent l'emplacement.


Alors que nous suivons le sentier, nous arrivons sur une petite montée!
À gauche mon regard se perd dans ces falaises....


...tandis qu'à droite nous apercevons la gare et l'église de Mertert!
 
À bientôt pour la suite de cette balade.



Manternach cette localité luxembourgeoise, dont elle est le chef-lieu, est située dans le canton de Grevenmacher.
Occupé depuis la nuit des temps, le site de la localité actuelle de Manternach figure à coup sûr parmi les plus anciens villages du Luxembourg.
 
Ce jour là, nous avons pris la route pour Manternach! Le circuit proposé démarre près de la gare! Je vous  conseille donc de vous y rendre afin de garer la voiture!
 
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(14 clichés)


Les origines de Manternach remontent à l'époque celte.
Durant l'époque romaine, les activités des habitants de Manternach se concentrent sur l'agriculture et la viticulture.


Depuis le début du Moyen-Âge jusqu'à  la révolution française, la paroisse constitue une dépendance de la célèbre abbaye Saint-Maximin de Trèves.


Dès le milieu du 18e siècle, une fonderie est en activité et au 19e siècle, Manternach est définitivement lié au nom de Lamort, une famille originaire de Nancy, qui y fonde sa première fabrique de papier.
D'une paisible bourgade, Manternach est devenue une localité moderne qui nous offre aujourd'hui, une balade nommée "Traumschleife" ou "Boucle de rêve"!


Cette balade va nous mener à travers la réserve naturelle "Manternach Fields"!


Le sentier sinueux monte doucement vers la réserve naturelle.


La vue sur le village est magnifique!


Soudain, la forêt qui nous attire se fait charmante, odorante...peut-être même un peu fantastique!


Cette forêt est connue pour ces ravins au détour desquels je guette...
...un coup d'oeil à droite....
...un coup d'oeil à gauche...


....des elfes ou des lutins!
Soudain, je les entends...écoutez bien...ils nous racontent de belles histoires!


Le chemin suit le cours de la Syre!
La Syre est une rivière luxembourgeoise, affluent gauche de la Moselle.


Une anfractuosité...une courbe....un vignoble!
Ce vignoble est situé au coeur de la forêt!
Étonnant!
Magnifique!


Le sentier suit une falaise et nous longeons une formation de roches calcaires tout à fait impressionnante!


Ce sentier est d'une difficulté moyenne mais il est l'un des plus appréciés des randonneurs!
 
À bientôt pour une autre balade!



Héritier d'une longue lignée, le duc Léopold (1679-1729) hisse Lunéville au rang de capitale, et à partir de 1702, l'ancien château commence sa métamorphose.
Celle-ci est l'oeuvre de Germain Boffrand, brillant architecte français qui est nommé Premier architecte du duc en 1711.
Vingt ans de travaux seront nécessaires pour transformer l'ancienne demeure en résidence princière.
 
Aujourd'hui, nous poursuivons la visite guidée du château de Lunéville.
 
Vous pouvez voir ou revoir la visite du château de Lunéville depuis le début en cliquant sur ce lien!

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(8 clichés)


Située sous la chapelle, les salles voutées du sous-sol servaient de cave pour l'échansonnerie.
Aujourd’hui, elles accueillent des séminaires et des conférences.


Cette pièce, appelée salle du puits, fait partie des cuisines ducales.
Elles sont situées dans les caves du château et se poursuivent sous l'aile ducale.


Cette pièce correspondait à la cuisine principale dont les mets étaient destinés à la famille ducale.


Il ne reste plus rien des équipements de cette pièce.
Toutefois la reproduction de ce fourneau en usage au 18e siècle est tout à fait de circonstance.


Dans la cuisine nous pouvons faire connaissance avec Nicolas Ferry!
Nicolas Ferry, dit Bébé, né à Plaine, actuellement dans le Bas-Rhin, dans la principauté de Salm-en-Vosges le 11 novembre 1741 et mort le 8 juin 1764, est un nain qui fut élevé à la cour de Stanislas, duc de Lorraine, et dont la renommée se répandit dans toute l'Europe.


Quand il naquit, il ne mesurait que 24 centimètres, et n'en dépassait pas 70 à 15 ans.
Il mourut à 22 ans, avec tous les signes de la vieillesse. Il était probablement atteint de progéria.


Stanislas le surnomma affectueusement Bébé, plus ancienne attestation de ce terme qui sera utilisée couramment pour désigner un nourrisson.
Il serait aussi à l'origine du Jeu du nain Bébé, devenu plus tard Le Nain jaune.

À bientôt pour un nouveau voyage!



Lunéville, commune située dans le département de Meurthe-et-Moselle, est surtout connue pour son château, surnommé le « Versailles Lorrain »!
 
Aujourd'hui, je vous propose une visite guidée de l'intérieur de ce bel édifice!
 
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(10 clichés)


Le château de Lunéville, possession des ducs de Lorraine depuis le 13e siècle, a été construit pour le compte du duc Léopold 1er entre 1703 et 1720 sur des plans de Pierre Bourdict, Nicolas Dorbay et Germain Boffrand.


Salle des gardes!
Comme dans toute résidence princière, la première pièce des appartements des souverains était occupée, au quotidien, par les gardes du corps chargés d'assurer le sécurité des lieux.
Accessible par le corps central du château, la salle des gardes constitue aujourd’hui l'accueil du château.


Salle de la livrée!
Cette première antichambre servait à la cour de salle d'attente avant d'entrer dans les appartements du duc de Lorraine.
 


Grâce à ses dimensions, la salle pouvait également servir aux bals et banquets de la cour de Lorraine.


Elle tient son nom de la livrée qui était l'uniforme porté par les domestiques.


Chapelle Palatine!
Elle est réalisée entre 1720 et 1723, d'après des plans de l'architecte Germain Boffrand. Depuis 1698, elle est la septième chapelle du château utilisée par le duc Léopold Ier.
Elle se caractérise par la richesse de sa décoration, l'harmonie des proportions, et la présence d'une tribune qui en fait une chapelle Palatine.


C'est le rapport harmonieux des proportions qui en fait toute la qualité!


Aujourd'hui, la chapelle est un écrin pour la musique baroque!


L'escalier d'honneur!
Il permettait d'accéder aux appartements de l'étage qui accueillait les enfants du duc Léopold Ier puis les favoris de Stanislas Leszczynski, le duc et la duchesse Ossolinski.
La rampe de l'escalier porte le monogramme du duc Léopold Ier, le double L, et ses motifs d'entrelacs rappellent ceux de l'escalier du château de Maisons-Laffitte en Île-de-France.
Actuellement il permet d'accéder au vestibule qui donne accès aux tribunes de la chapelle.
 
À demain!



La construction du château de Lunéville, tel qu'on le connaît aujourd'hui, a débuté en 1702 et s'est achevée en 1723.
Y ont régné, Léopold 1er (1698-1729- François III (1729-1737)-la régente Élisabeth Charlotte d'Orléans puis Stanislas Leszczynski (1737-1766).
 
Après vous avoir présenté un historique en direct de la cour d'honneur du château, jetons un oeil côté jardin!
 
Vous pouvez voir ou revoir la visite du château de Lunéville depuis le début en cliquant sur ce lien!

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(7 clichés)!


Lorsque vous passez le portail qui mène de la cour d'honneur aux jardins nous avons une belle vue sur les appartements qu'occupait le duc Stanislas.


Conçu à l'échelle du palais des ducs de Lorraine, le parc des bosquets déploie ses parterres géométriques en une perspective monumentale.


Yves des Hours, leur concepteur, décline pour le duc Léopold l'esthétique des jardins réguliers dits à la française.


Mais, c'est le duc Stanislas qui décide d'embellir les bois bordant le parc.
Il y fait bâtir plusieurs fabriques par son architecte Emmanuel Héré pour accueillir les divertissements de la cour lorraine.


Malgré les destructions, le parc, restauré au lendemain de la seconde guerre mondiale, a vu sa valeur patrimoniale reconnue par son classement au titre des monuments historiques.


Le temps nous a manqué pour visiter le parc des bosquets du château! Dommage! mais ce n'est que partie remise!
 
À demain pour la visite du château!

(image prise sur le net)



C'est avec grand plaisir que je débute, aujourd'hui, la visite du très beau château de Lunéville!
En effet, Lunéville, cette commune située en Meurthe-et-Moselle, est connue pour son château, surnommé le « Versailles Lorrain».
 
Cet article servira de récapitulatif à cette nouvelle balade!
 
-Petit Versailles Lorrain (ici)

-Le château côté jardin (voir le lien)

-Visite guidée du château (voir le lien)

-Visite guidée du château (suite) (Voir le lien)

- La terrasse et les jardins
(voir le lien)

-Parcours au coeur de la ville (voir le lien)

-Restaurant Le Petit Comptoir (voir le lien)

-Restaurant Les Bosquets (voir le lien)
 
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(13 clichés)


Le château actuel occupe l’emplacement d’une ancienne fortification dont l’origine se situe vers l’an mil.

Le site de Lunéville est alors la propriété des puissants comtes épiscopaux de Metz.


Dans la seconde moitié du 12e siècle, la terre de Lunéville passe à une branche cadette des Folmar avec Hugues de Bliescastel, qui prend le titre de Hugues 1er de Lunéville.
Un véritable château fort succède alors au castrum.


C’est dans ce château fort que les Ducs de Lorraine séjournent volontiers pendant tout le Moyen Âge.
Certains s’y intéressent plus particulièrement et y font d’importants travaux, comme le duc Raoul qui fonde en 1343 une chapelle castrale dédiée à la Vierge Marie et à Saint Antoine.
Trois messes doivent y être dites chaque semaine, les dimanche, mercredi et samedi.


Le 15e siècle, époque troublée voit les Bourguignons de Charles le Téméraire occuper Lunéville en 1476, les ducs de Lorraine et de Bar, souvent absents du pays, délaissent le château qui se dégrade.


Les transformations les plus importantes ont lieu sous le règne de Charles III, rentré dans ses états en 1559, qui remet en état ou crée de nombreuses places fortes en Lorraine.


Il semble que le duc Charles III se soit davantage intéressé au système défensif qu’au château médiéval, qui apparaît très endommagé à la fin de son règne, une des tours menaçant même ruine.


Dans la cour du château des Lumières, une imposante statue, oeuvre du sculpteur Charles Cordier en 1893, représentant le comte de Lasalle, général de la grande Armée tué lors de la bataille de Wagram en 1809, nous accueille.


Antoine Charles Louis, comte de Lasalle, est un général de cavalerie du Premier Empire, né à Metz le 10 mai 1775 et mort au combat lors de la bataille de Wagram le 6 juillet 1809.
Issu d'une famille noble, il s'engage très jeune dans l'armée royale.
Sous la Révolution française, il devient officier, puis participe aux campagnes d'Italie et d'Égypte où il se fait remarquer par son audace et ses coups d'éclat.


Le successeur de Charles III, Henri II, décide de reconstruire entièrement le château pour faire de Lunéville l’une de ses résidences principales.
Les travaux sont confiés à Jean La Hiere, architecte des bâtiments ducaux, qui réalise de nombreux édifices à Nancy et ailleurs en Lorraine ducale.
Le chantier se termine vers 1620 avec la création par Hector Parent du jardin « au derrière du château ».


Ce château n’est habité que très peu de temps par le duc de Lorraine.
Moins de vingt ans après sa construction, il est incendié lors du conflit avec la France, qui entraine en 1638 le siège de Lunéville puis la démolition de ses fortifications.


Nous arrivons à notre bon duc de Lorraine, le dernier, Stanislas!
Le 3 avril suivant, Stanislas Leszczyński arrive à Lunéville.
Beau-père du roi de France Louis XV, ce roi de Pologne en exil, détrôné deux fois, reçoit, par le traité de Vienne (1738), le duché de Lorraine et le duché de Bar qui doivent à sa mort entrer dans le domaine royal français. Il ne sera en réalité qu’un duc nominal.
À défaut de pouvoir politique, Stanislas place ainsi la Lunéville parmi les plus brillantes cours européennes du 18e siècle.


Quelques mois après la mort de Stanislas, le château est transformé en caserne.
Louis XV y envoie une garnison de la Gendarmerie de France.
 
Vingt ans plus tard, la Gendarmerie de France est dissoute. Elle est remplacée à Lunéville par deux régiments de « carabiniers de Monsieur », qui disparaissent à leur tour à la Révolution.
Le château est alors totalement désaffecté.
La chapelle est transformée en magasin à fourrages, avant de servir de salle de réunions aux révolutionnaires locaux.
Ce qui reste du mobilier et des boiseries du château, des statues du parc et des automates du « Rocher » est vendu comme bien national.
 
À demain pour la suite de cette visite!



Nous ne nous lassons pas de cette belle abbaye des Prémontrés, connue aussi sous le nom de Sainte-Marie-Majeure.
Ce vaste bâtiment du 18e siècle est situé dans le quartier Saint-Martin à Pont-à-Mousson, commune de Meurthe-et-Moselle.

Notre visite se termine aujourd'hui dans la galerie du Soleil!

Vous pouvez voir ou revoir la visite de l'abbaye des Prémontrés depuis le début en cliquant sur ce lien!

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(17 clichés)



La galerie du Soleil dessert aussi la salle Saint-Norbert ou salle capitulaire.
Cette salle est placée au centre du cloître et permettait aux processions de se diriger vers l'église selon un ordre liturgique!


Le petit escalier rond est d'une exceptionnelle élégance.


On peut admirer son très beau mouvement en spirale.


Près du petit escalier rond s'ouvre le chauffoir des chanoines.


Cet autoportrait représentant Solange Bertrand a été réalisé en 1934.


La cheminée du chauffoir est ornée d'un phoenix, oiseau mythique qui renaît de ses cendres et qui est devenu l'emblème de l'abbaye.


Détruit lors d'un incendie en 1771, le chauffoir a été reconstruit avec encore plus de splendeur.


Ce parloir est un témoin de l'architecture baroque de la fin du siècle!


Cette très belle salle nous permet d'admirer.....une dernière fois....


...quelques belles toiles signées Solange Bertrand!


Un petit clin d'oeil à notre célèbre Graoully (voir l'article sur ce lien)!


Nous terminons cette visite dans l'aile dite "Aile au bord de l'eau"!


La galerie au bord de l'eau longe la Moselle et est appuyée sur les murailles de la ville.


C'est dans cette aile que se trouvait la Procure ou Intendance.


L'endroit se prête à la flânerie!


"Vulcain", Bernard Mougin.
Cette sculpture en cuivre rouge martelée a été créée pour le lycée technique Hanzelet de la fonderie de Pont-à-Mousson.

À bientôt pour un nouveau voyage!



C'est le 21 mai 1705 que fut posée, par le prince François Antoine de Lorraine, la première pierre de l'Abbaye Sainte-Marie-Majeure de Pont-à-Mousson, à côté de la célèbre université Jésuite, créée cent ans plus tôt!

Nous poursuivons notre visite de l'abbaye des Prémontrés de Pont-à-Mousson en nous dirigeant, aujourd'hui, vers la galerie du Soleil!

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(10 clichés)


L'escalier dit "du Prieur" se situe à un bout de la galerie du Soleil! Cette galerie dessert notamment le réfectoire des moines!


À la retombée des voûtes, on peut voir les armoiries se rapportant à la famille des ducs de Lorraine.....


.....croix de Lorraine, croix de Jérusalem, bars polychromes dans le rosaces de pierres.


Le sol témoigne des trompe-l'oeil baroques.


Cette salle est la salle à manger principale de l'abbaye!


L'occasion d'y découvrir de très belles oeuvres!


La sortie se fait par une belle porte cintrée!


Nous rejoignons cette fameuse galerie du Soleil avec un très bel escalier dit "Escalier ovale ou Escalier de l'Atlante"!


La galerie du Soleil est une des plus grandes de l'abbaye....sa découverte se poursuivra...demain!



L'abbaye des Prémontrés de Pont-à-Mousson, connue aussi sous le nom de Sainte-Marie-Majeure, est un vaste bâtiment du 18e siècle anciennement occupée par l'ordre des Prémontrés.

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(12 clichés)


La visite de l'abbaye nous a conduit vers l'église abbatiale accessible par la galerie Saint-Martin!


L'église de l'abbaye est, avec ses trois nefs de même hauteur, la première église-halle de type classique de Lorraine.


Dans son architecture se mêlent harmonieusement différentes influences, classique, baroque et même gothique.


Conséquence des réformes du Concile de Trente, de grandes verrières font entrer la lumière à profusion.


Ce groupe sculpté représente Saint-Firmin.


Ce groupe sculpté représente, lui, Saint-Laurent.


Sortant de l'église, on trouve le grand escalier carré.


Sa vaste cage s'élève jusqu'au premier niveau supérieur!
Remarquez la superbe rampe d'escalier et ce lustre...tout simplement magnifique.


La grande sacristie ou encore salle de purification, réservée aux prêtres, était la salle où l'on préparait l'office.


Son lavabo de pierre portait jusqu'à la Révolution une piscine de cuivre située entre les deux fenêtres.


Appelée aussi salle du trésor, elle renfermait les objets de culte, les habits sacerdotaux et l'eau bénite!

À bientôt pour la suite de cette visite!



Hier, nous avons poussé la porte de l'abbaye des Prémontrés de Pont-à-Mousson, commune située dans le département de la Meurthe-et-Moselle!
Après une petite présentation, nous nous dirigeons, aujourd'hui vers la galerie saint-Martin qui présentait, ce jour là, une exposition relative à Solange Bertrand!

Solange Bertrand, née le 20 mars 1913 à Montigny-lès-Metz (alors annexé à l'Empire allemand), morte dans la même ville le 22 janvier 2011, est une artiste peintre française.

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Depuis le décès de Solange Bertrand, puis la vente de sa maison, la fondation Solange Bertrand conserve son atelier en l'état.


Les photographies de cet atelier ont permis sa reconstitution et nous renseignent sur l'environnement, les outils et les techniques de l'artiste.


En consacrant plus de 60 ans de sa vie à une création passionnée, l'artiste laisse derrière elle une oeuvre riche et d'une modernité incroyable.


Cette exposition a rendu hommage à cette artiste lorraine dont le parcours est révélateur d'une époque à laquelle les femmes artistes souffraient d'un manque de reconnaissance.


Le cloître était le coeur de toute l'abbaye. C'est un jardin clos, à l'abri des bruits de la rue, fermé sur trois côtés par des galeries et sur le quatrième côté par l'église abbatiale.


Aujourd'hui, le cloître s'est transformé en jardin des senteurs!


Dans ce jardin....des portraits...des ombres....


...nous rappellent Solange, l'artiste lorraine!


Ce jardin a été créé en 2009 à l'occasion de l'exposition " Jardin des senteurs – Parfums de cristal " et a nécessité la plantation de 6861 plantes.


Associant la rigueur du jardin à la française à l'exubérance du jardin anglais, le " Jardin des senteurs " nous offre un magnifique bouquet odorant de plantes, fleurs, agrumes qui entrent dans la composition des parfums....


.....lavandes, santolines, roses, lys, jasmin, origans, bigaradiers…


À bientôt!



Lors de notre balade-découverte de la ville de Pont-à-Mousson, commune située dans le département de la Meurthe-et-Moselle, nous avons pris le temps d'aller visiter un établissement incontournable de cette cité, l'abbaye des Prémontrés!

Cet article servira de récapitulatif à cette visite mais vous pouvez voir ou revoir notre balade mussipontine depuis le début en cliquant sur ce lien!

-Abbaye des Prémontrés (ici)

-Exposition Solange Bertrand et cloître (voir le lien)

-Église abbatiale Sainte-Marie-Majeure (voir le lien)

-Galerie du Soleil (voir le lien)

-La fin d'une balade (voir le lien)

Cliquez sur les photos pour les agrandir!

(9 clichés)


L'abbaye des Prémontrés de Pont-à-Mousson, connue aussi sous le nom de Sainte-Marie-Majeure, est un vaste bâtiment du 18e siècle situé dans le quartier Saint-Martin, en bordure de la Moselle.
Anciennement occupée par l'ordre des Prémontrés, l'abbaye est aujourd'hui un centre culturel de la région Lorraine.


Considéré comme un des grands ordres religieux du Moyen-Âge
avec les Cisterciens et les Bénédictins, l'ordre des Prémontrés, fondé par Saint Norbert en 1121 près de Laon, dans le département
de l'Aisne, a vivement contribué à l'histoire religieuse et spirituelle
de la Lorraine jusqu'au 17e siècle.


L'abbaye des Prémontrés est le plus bel exemple d'architecture monastique de Lorraine.


Au fond vous apercevez "La galerie du bord de l'eau"!
Cette galerie est appuyée sur les murailles de la ville.
Face à cette galerie, on se trouve dans la grande cour d'honneur d'où on peut admirer la grande façade des bâtiments conventuels.


De la petite abbaye Sainte-Marie-aux-Bois, située à une dizaine
de kilomètres de Pont-à-Mousson, est née la grandiose Sainte-Marie-Majeure dès le début du 17e siècle, grâce à Servais de Lairuelz.


Abbé prémontré de Verdun et réformateur de l'ordre, il fut aidé par
les Jésuites de Pont-à-Mousson qui avaient fait de la ville, grâce à
leur université, une cité religieuse et intellectuelle qui devint très vite un bastion de la foi catholique.


Au niveau de l'accueil nous pouvons déjà admirer quelques beaux objets!


À demain pour la suite de cette visite!



Pont-à-Mousson est une commune située dans le département de la Meurthe-et-Moselle et que nous avons eu le loisir de visiter grâce aux différents parcours existants et disponibles à l'office de tourisme!

Aujourd'hui, notre balade va nous conduire vers l'église saint-Martin!

Vous pouvez voir ou revoir notre balade mussipontine depuis le début en cliquant sur ce lien!

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(11 clichés)



L’église Saint-Martin a été construite du 13e au 15e siècles.


Les tours de l'église reprennent la forme octogonale, en proportions plus réduites, des tours de la cathédrale Saint-Étienne de Toul, ce qui explique la richesse de leur décor comparé au soubassement des tours d'un gothique plus ancien.


Le portail richement décoré, est, cette fois encore, inspirée de la Cathédrale de Toul, mais dont la statuaire fut refaite au 19e siècle d'après les originaux détruits à la Révolution.


La sobriété de la nef gothique du 13e siècle tranche avec les éléments décoratifs du 18e, de style classique, et intégrés dans le respect de l'édifice médiéval.


Cette église est un petit bijou de l'art gothique!


Saint-Martin n'est devenue église paroissiale qu'à la Révolution française car elle était à l'origine l'église conventuelle des Antonistes qui se trouvait alors à côté.


Les orgues datent du 18e siècle.


Statue de saint-Roch.


Le Sépulcre de Pont-à-Mousson!
Cette mise au tombeau à treize personnages, a été réalisée vers 1420 par le Maître de Pont-à-Mousson dans lequel l'influence allemande prédomine.
C'est un des plus anciens monuments de ce genre en Lorraine et qui influencera en partie les œuvres de Ligier Richier.


Nous ne pouvions pas finir notre balade-découverte de Pont-à-Mousson sans aller visiter la très belle abbaye des Prépontrés!

Alors à bientôt pour la suite de cette balade mussipontine!



L’église Saint-Laurent est située sur la commune de Pont-à-Mousson dans le département de Meurthe-et-Moselle.

Cette église fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 19 septembre 1919.

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(9 clichés)



L’église Saint-Laurent fut fondée en 1230 et construite dans le style gothique le plus simple.
Le chœur et le transept, de style flamboyant, sont du 15e et 16e siècle.


De belles voûtes à clefs sculptées et de larges verrières nous accueillent.


Copie du Gisant de Philippe de Gueldre par Ligier Richier.
Philippe de Gueldre, née le 9 novembre 1464 à Grave et morte le 28 février 1547 à Pont-à-Mousson, dans le couvent des Clarisses, était la fille d'Adolphe d'Egmont, duc de Gueldre et de Catherine de Bourbon.


Le rattachement de la Lorraine à la France en 1766, provoqua le transfert de l’Université à Nancy par ordonnance de Louis XV.
Ce fut pour Pont-à-Mousson la fin d’une époque brillante.
Les 14 couvents disparurent à la Révolution.
Des quatre paroisses qui se partageaient la ville deux subsistent :
Saint Martin sur la rive droite de la Moselle et Saint Laurent sur la rive gauche.


L'église Saint-Laurent abrite un retable peint du 16e siècle, commandé par la duchesse de Lorraine Philippe de Gueldre à un atelier anversois.
Cette œuvre se trouvait à l'origine dans le couvent des clarisses supprimé en 1790.


Consacré aux différents épisodes de la vie du Christ, ce retable en bois doré, dont la prédelle et la partie inférieure ont disparu, est l'œuvre d'un atelier flamand installé à Anvers dès 1470.


Cet "Autel de la Passion" était destiné à recevoir une relique de la Vraie Croix, don du roi de France François Ier.
Il fut offert en 1543 par la duchesse de Lorraine Philippe de Gueldre, veuve de René II, au monastère de Sainte Claire de Pont-à-Mousson, où elle s'était retirée.


Le Christ portant sa croix est attribué à Ligier Richier, peintre et sculpteur de la Renaissance, que nous avons découvert lors de nos balades dans la région!

 

À bientôt pour la visite de l'église Saint-Martin de Pont-à-Mousson!




Afin de fêter le jumelage de pont-à-Mousson avec Landstuhl en Allemagne, l'artiste contemporain Mussipontain, Maurice Chauveaux a réalisé cette sculpture.

Cette représentation à l’entrée de la ville symbolise l'adduction d'eau dans le monde grâce aux tuyaux produits par les Fonderies de Pont-à-Mousson.
Cette œuvre fut érigée à la demande de M. Bernard Guy, ancien Maire et Conseiller Général.

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Vous pouvez retrouver d'autres ronds-points sur ce lien.



Nous rejoignons les rives de la Moselle pour nous diriger vers le port de plaisance de Pont-à-Mousson!

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(7 clichés)


Le port de plaisance de la ville situé sur la rive droite de la Moselle.


La halte fluviale est située, elle, sur le bras mort du canal latéral à la Moselle, non loin de l'écluse à grand gabarit.
Elle est propriété des Voies Navigables de France.


Bateaux et camping-cars cohabitent en bonne entente!


Les parterres fleurissent....


....et la décoration est tout à fait charmante.


Le parcours Saint-Martin finit sur le square Winston Churchill qui borde la Moselle!

À demain pour un arrêt église Saint-Laurent!



Pont-à-Mousson est une commune située dans le département de la Meurthe-et-Moselle!
Située à mi-chemin entre Nancy et Metz, au pied de la colline de Mousson, cette cité nous réserve de très beaux parcours qui nous font découvrir cette charmante la ville.

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(10 clichés) 


C’est en empruntant un sentier herbu qui arrive à une hauteur de 147m d’altitude que l’on peut se rendre à la Fontaine Rouge.


Avant la première Guerre Mondiale, on gagnait la source à travers le vignoble. Aujourd’hui, quelques rares mirabelliers se dressent au milieu des friches, mais la vue sur la vallée et la ville est toujours aussi belle.
Cette eau ferrugineuse coule depuis des siècles et ne s’est jamais tarie.


La Fontaine Rouge se classe parmi les eaux minérales froides, elle contient en quantité notable des sulfates de chaux et magnésie en dissolution, et du sesquioxyde de fer.
L’eau provient de la partie supérieure de la colline, elle dépose en arrivant à l’air libre un sédiment rouge dont elle tire son nom.
Le cardinal de Richelieu l’avait trouvée excellente.


Nous arrivons avenue du Général Leclerc où les maisons de maîtres sont toujours aussi belles.


Une décoration pour les amateurs de football!


Le chemin de Sça nous permet d'avoir une belle vue d’ensemble sur la ville, le Haut de Rieupt, le Bois le Prêtre et la forêt de Puvenelle.


L'église saint-Martin!


Les fonderies de Pont-à-Mousson!


L'abbaye des Prémontrés!

À demain!



Le parcours Saint-Martin, de 4.6 kms, nous a permis de nous promener dans Pont-à-Mousson et d'en savoir plus sur l’histoire de la ville.

Cette balade commence place Duroc.

Cette place porte le nom du Maréchal Duroc, né à Pont-à-Mousson, élève de l’école royale militaire de Pont-à-Mousson.
Grâce à la confiance que lui accorda Napoléon, il fut nommé Grand Maréchal du Palais et Duc de Frioul.

Je vous invite à découvrir ou re-découvrir cette place en cliquant sur ce lien!

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(9 clichés)


Le pont Gélot porte le nom de l'architecte qui le conçut en son état actuel.
Ce pont est l'emblème de la cité car c'est un lien indispensable entre les deux rives (Saint-Laurent et Saint-Martin) qui relient la ville à la butte de Mousson!

Je vous invite à voir ou à revoir la butte de Mousson en cliquant sur ce lien!


De ce pont le panorama est magnifique! Nous passons sur la Moselle et la vue s'étend jusqu'à la butte de Mousson.


L'église Saint-Martin constitue un des monuments religieux les plus remarquables de la région.
Elle a été édifiée par les Antonistes, de la fin du 13e siècle jusqu’au milieu du 15e siècle.


Le monument aux morts.


Abbaye des Prémontrés!
Considéré comme un des grands ordres religieux du Moyen-âge avec les Cisterciens et les Bénédictins, l'ordre des Prémontrés, fondé par Saint Norbert en 1121 près de Laon, dans le département de l'Aisne, a vivement contribué à l'histoire religieuse et spirituelle de la Lorraine jusqu'au XVIIe siècle.
L’abbaye abrite aujourd’hui le centre culturel lorrain.


Place de Trey!
Ancienne porte de la ville, la place de Trey donne accès à un ensemble de quartiers.
C'est ici que partent en étoile les anciens chemins qui desservent ces quartiers!


Maison de retraite Saint-François d'Assise!
Cette maison a été créé en faveur des personnes âgées et des personnes malades appartenant aux cantons proches de Pont à Mousson.
L’inauguration eut lieu le 12 avril 1885 et la gestion fut confiée aux religieuses hospitalières du Très-Saint-Sauveur de Niederbronn.
Un violent bombardement détruisit complètement l’hospice le 12 janvier 1915. L’établissement fut reconstruit après la guerre et fut rouvert en 1927.


La balade se poursuit dans la campagne! Le temps de me préparer....À demain!



La ville de Pont-à-Mousson, située dans le département de la Meurthe-et-Moselle, s'est forgée au fil des siècles une réputation internationale : création de la Première Université de Lorraine en 1572, implantation des Fonderies au 19e  siècle, fonderies célèbres dans le monde entier.

Aujourd'hui nous terminons le premier parcours proposé par l'office de tourisme, le parcours "Saint-Jean"!

Vous pouvez voir ou revoir notre balade mussipontine depuis le début en cliquant sur ce lien!

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(11 clichés)


Après être passé devant la gare nous nous arrêtons devant l'immeuble abritant la Caisse d'Épargne.


Cet immeuble est orné de sculptures représentant des cornes d'abondance.


Notre circuit se termine place Duroc!


L’hôtel de ville est une élégante construction de style Louis XVI, œuvre de Lecreulx, réalisée par Claude Mique de 1786 à 1791.


Maison des sept péchés capitaux!


Le riche patrimoine de Pont-à-Mousson laisse apparaître de riches demeures. La plus célèbre d'entre elles est sans aucun doute la maison dite des "Sept péchés capitaux".


À l'angle de la place Duroc avec la rue Victor Hugo, malgré les beautés de cet espace, cette demeure fait figure de proue.
Construit au 16e siècle, l'édifice est un fleuron du style Renaissance lorrain même si l'on est pas sûr que les sept cariatides engainées représentent bien l'intégralité des sept péchés capitaux!


En effet, tous ne sont pas identifiables et une partie de la façade a eu à souffrir des remaniements partiels aux 18e et 19e  siècles.
Si l'on ajoute à l'ensemble la belle tourelle ou encore les arcades traitées en claveaux sculptés, on ne pourra que rester captivé par la beauté et la grâce qui se dégage de cette maison des sept péchés capitaux!


La fontaine de la place Duroc est due aux architectes Vial et Welles Bosworth de la fondation Rockefeller, au sculpteur Siégel et au ferronnier Valentin.
Elle est inspirée de l'ancienne fontaine " le Cruchon " détruite en 1867 et succède au kiosque à musique qui se trouvait sur la place de 1907 à 1913.


À demain pour suivre, en notre compagnie, le circuit dit "Saint-Martin"!



Notre balade-découverte de Pont-à-Mousson, dans le département de la Meurthe-et-Moselle, se poursuit quai Charles François!

Vous pouvez voir ou revoir notre balade mussipontine depuis le début en cliquant sur ce lien!

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(9 clichés)


Nous laissons le cours de la Moselle sur notre gauche pour longer l'ancienne dérivation de Blénod-les-Pont-à-Mousson.


Le pont mène à l'île d'Esch qui porte le nom du ruisseau d'Esch.
Ce ruisseau prend sa source sur le plateau de la Woëvre et coule à travers la "Petite Suisse Lorraine", avant de donner son nom à la plus grande des îles qu'il forme avec la Moselle.


Ce pont abrite l'écluse de l'ancien canal.


Les anciennes sablières se sont transformées en étangs.


Nous flânons et restons admiratifs devant un magnifique panorama.


L'île d'Esch a été aménagée en parc de loisir.


Les fonderies de Pont-à-Mousson!


La ville voit son essor reprendre au 19e siècle grâce à l'implantation d'une usine métallurgique spécialisée dans la fonte ductile, dans la fabrication des tuyaux par centrifugation et le moulage des pièces de voirie.

À bientôt!



Une de nos dernières balades dans notre région nous a permis, à Marc et à moi, de découvrir ces deux jolis panneaux des écoles!

Je les ai trouvés tellement mignons que je n'ai pu m'empêcher de les prendre en photo!


Vous pouvez retrouver d'autres "panneaux des écoles sur ce lien.

Cliquez sur les photos pour l'agrandir!



Pont-à-Mousson, cette commune située dans le département de la Meurthe-et-Moselle, nous dévoile peu à peu ses secrets!
Il en est un que Nicolas m'a révélé!

Cette peinture murale se situe en plain centre de Pont-à-Mousson au niveau d'un parking!
Elle représente une partie de l'église saint-Martin située de l'autre côté du pont Gélot!

Vous voyez bien les deux tours de l'église sur la peinture et les deux tours en vraie juste à côté!


Mais si vous ajustez votre image....vous avez la peinture et l'église qui ne font plus qu'un!

Vous pouvez retrouver d'autres peintures murales sur ce lien.

Vous pouvez voir ou revoir notre balade mussipontine depuis le début en cliquant sur ce lien!

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(2 clichés)



Fondée en 1261 par Thibaut II, comte de Bar et de Mousson, Pont-à-Mousson, marquisat en 1354, devint cité impériale en 1372.
Richesses architecturales et beauté des sites naturels, font de la ville une étape de charme où vous pourrez satisfaire vos envies de culture et de dépaysement.

Nous avons commencé le parcours saint-Jean proposé par l'office de tourisme...suivez-nous pour la suite de cette balade!

Vous pouvez voir ou revoir notre balade mussipontine depuis le début en cliquant sur ce lien!

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(11 clichés)


La chapelle de l’institut, établissement créé en 1851, fondé par Joseph Magot à l'emplacement d'un couvent des minimes supprimé à la Révolution, devenue salle d'exposition.


Petit historique!
C’est en 1257 que les lieux furent occupés par les prémontrés de Sainte-Marie-au-Bois qui y fondèrent le séminaire de Saint-Nicaise, rue de la Poterne.


En 1790, avec la Révolution, cet ordre fut dissout et les bâtiments cédés à Joseph-Basile Magot, puis au fils de celui-ci.


En 1851, à la suite de la mort de son fils unique, Joseph Magot institua la ville de Pont-à-Mousson comma sa légataire universelle à charge pour elle d’établir dans sa demeure un asile pour les vieillards et d’élever à la mémoire de son fils.


Médiathèque communautaire.


La statue se trouvant devant la médiathèque a été réalisée par Vautrin en 1991.


Nous arrivons à la tour de la prévôté.
La prévoté fut bâtie au 14e siècle. C'était le siège de la justice et de la police.
La tour était à la fois un signe de la puissance du prévôt et un observatoire.


Place du paradis!
Cette place offre une très belle vue sur le pont, la Moselle, la butte de Mousson, l'église saint-Martin et l'Abbaye des Prémontrés.


Le quai Charles François se prête magnifiquement à une balade le long de la Moselle!


À bientôt!



Pont-à-Mousson est située au cœur de la Lorraine et du département de Meurthe-et-Moselle et à mi-chemin entre Nancy et Metz.
Ancienne place forte des comtes puis ducs de Bar, la ville est traversée par la Moselle.

L'office de tourisme propose quelques parcours qui permettent, chacun d'eux, de découvrir une partie de cette cité!
Je démarre, aujourd'hui, le parcours dit "Saint-Jean" qui commence place Duroc!

Vous pouvez voir ou revoir notre balade mussipontine depuis le début en cliquant sur ce lien!

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(14 clichés)


La voiture est garée de l'autre côté du pont Gélot! Nous prenons le temps  de traverser ce pont! Le panorama y est magnifique.


Le pont traversé, nous avons une belle vue sur l'église saint-Martin!


Nous arrivons place Duroc!


La Place Duroc est le véritable poumon de Pont-à-Mousson.
Il s’agit d’une Place unique en Europe car elle est triangulaire et à arcades.


Au milieu de cette jolie place de l’époque Renaissance se trouve une fontaine qui rend hommage au rôle héroïque des ambulanciers américains pendant la guerre.


L’hôtel de ville est une élégante construction de style Louis XVI, œuvre de Lecreulx, réalisée par Claude Mique de 1786 à 1791.


Cette place accueille également une des maisons les plus spectaculaires de Pont-à-Mousson : la maison des 7 péchés capitaux qui, sur sa façade, met en avant les 7 péchés capitaux.


L’Hôtel de la Monnaie est un édifice de la Renaissance (1591) possédant tous les attributs architecturaux de la période.
Son appellation a été transmise par la tradition sans qu’il soit possible de prouver qu’on ait frappé monnaie à Pont-à-Mousson.


L’immeuble est l’une des plus belles réalisations édifiées à Pont-à-Mousson au temps de l’Université.
Les portes de l’ancien Hôtel de la Monnaie datent du 16e siècle et sont réalisées en bois sculpté.
Il s’agit d’un don de Monsieur et Madame le Docteur Delestre.


Le musée "Au fil du papier"
Ouvert depuis 1999, le musée présente, dans ses premières salles, une histoire de la ville fortement marquée par la fondation de l'Université lorraine, installée à Pont-à-Mousson en 1572.


Église saint-Jean!


Devenue maison privée, il en subsiste le porche de l'une des quatre paroisses fondées au 13e siècle.


Maison des Magot de Rogéville!
Ancienne famille mussipontaine qui a compté de nombreux magistrats et professeurs de droit au temps de l'Université.
Parmi leurs descendants vécurent Jean Joseph Magot, ancien maire et conseiller géneéral à la fin du 19e siècle, mort en 1883, et son frère Joseph bienfaiteur de la ville.

À demain!



Le hasard de nos balades dans la compagne lorraine fait que nous découvrons très souvent de bien jolies décorations!

Ce rond-point en est une et je l'ai surnommé "Vive le printemps"!

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(3 clichés)


Le soleil a pointé le bout de son nez et...tout autour de nous....


...les activités de jardinage vont bon train!

Vous pouvez retrouver d'autres ronds-points sur ce lien.



Pont-à-Mousson est une commune située en Meurthe-et-Moselle.
Tour à tour place forte, ville avancée ou pays frontière, Pont-à-Mousson a souvent eu à souffrir des rigueurs de la guerre.
 
Aujourd'hui nous débutons une nouvelle série dans notre rubrique "voyage", la découverte de Pont-à-Mousson, située au cœur de la Lorraine au pied de la colline de Mousson (voir notre article sur ce lien).
 
Cet article servira de récapitulatif à notre balade autour de Pont-à-Mousson et je vous souhaite déjà...un bon voyage!
 
-Ancienne place forte des ducs de Bar (ici)

Parcours Saint-Jean!

-Place Duroc (voir le lien)

-Chapelle de l'Institut (voir le lien)

-Peinture murale (voir le lien)

-Quai Charles François (voir le lien)

-Vers le centre-ville (voir le lien)

Parcours Saint-Martin!

-Parcours Saint-Martin (voir le lien)

-La fontaine rouge (voir le lien)

-Port de plaisance Michel Roth (voir le lien)

-Rond-point Maurice Chauveaux (voir le lien)

-Église Saint-Laurent (voir le lien)

-Église Saint-Martin (voir le lien)

-Abbaye des Prémontrés (voir le lien)
 
Vous pouvez voir ou revoir nos balades en Meurthe-et-Moselle en cliquant sur ce lien!
 
(maison dite "des sept péchés capitaux située place Duroc).



À la maison, à l'heure du repas de midi, alors que maman nous avait préparé des kneppes.....j'attendais avec impatience le goûter afin de dévorer des schneks!

Petites explications:

I) Les Kneppes ou Kneddeln, sont appelés Knepple au pays de Bitche....
Dans le Bas-Rhin, on parle de Knepfle (Knepple en Alsace Bossue).
Le Haut-Rhin parle de Knepfla.
Dans les Vosges on nomme ce plat en français régional des « kneff ».....

Les kneppes appartiennent à la famille des gnocchi et servent surtout d'accompagnement à des plats en sauce!

Vous pouvez retrouver d'autres recettes lorraines sur ce lien.

II) Les Schneks sont tout simplement des pain aux raisins, "Schneks" signifiant "escargot"!

Je vous invite à voir ou à revoir tous nos articles sur le Platt Lorrain en cliquant sur ce lien!

(photo prise sur notre blog, "recette des kneppes à la tombée d'oignons")



Pour terminer notre balade à Sarreguemines je vous propose de visiter le site dit du « Moulin de la Blies » qui a été, entre 1825 et 1969, l’une des nombreuses unités de fabrication de la Faïencerie de Sarreguemines.

Vous pouvez voir ou revoir notre balade à Sarreguemines depuis le début en cliquant sur ce lien!

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(14 clichés)


Le bâtiment du moulin, devenu Musée des Techniques Faïencières, servait à la préparation des pâtes à faïence.
Il abrite aujourd’hui une importante collection de machines et d’outils dévolus à la fabrication de la céramique.


Le moulin est situé à trois kilomètres du centre de la ville, sur les berges de la Blies qui forme une « frontière naturelle » avec l’Allemagne.


Avant même la Révolution Industrielle, le site (ou lieu dit) du Moulin de la Blies était déjà une unité de production des Faïenceries. Ce qui en fait le site industriel le plus ancien de la ville.


Au 19ème siècle, la faïencerie de Sarreguemines utilise une série de moulins sur les rives de la Sarre et de la Blies.
On exploite la force du courant pour faire fonctionner les nombreux broyeurs et malaxeurs nécessaires.


La Ville de Sarreguemines s’en porte acquéreur en 1978 et, dans les années 1990 naît un projet de conservation des collections de la faïencerie.


Le Jardin des Faïenciers est aménagé sur les friches du site du moulin de la Blies, le long de la rivière du même nom.
Il évoque les sources d’inspiration des artistes décorateurs, l’alchimie des couleurs et la fabrication de la faïence.


Le jardin des faïenciers se décline en plusieurs jardins thématiques inspirés du patrimoine faïencier et des ressources locales.


L'atelier des patouillards!
Un patouillard est une cuve qui servait pour le délayage des argiles ainsi que pour le mélange des matières premières.


Le moulin de la Blies accueille depuis 1998 un magnifique musée des Techniques Faïencières.
N'hésitez pas à aller y faire un tour!

À bientôt pour un nouveau voyage!



Nous ne pouvions pas aller à Sarreguemines, commune située dans le département de la Moselle et ne pas visiter le très beau musée de la faïence!
Installé dans les anciens appartements de Paul de Geiger, directeur des Faïenceries de Sarreguemines entre 1871 et 1914, nous y avons découvert une riches collections de céramiques.

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(14 clichés)


Les différentes salles du musée présentent pour l’essentiel des créations de la faïencerie de Sarreguemines qui couvrent une période allant de la seconde moitié du 19ème siècle au premier quart du 20ème siècle.


La faïencerie a définitivement fermé ses portes en 2007, le musée se veut la mémoire technique et artistique de cette industrie qui a fait la renommée de la ville pendant près de 200 ans.


Nous admirons des objets du service de table parfois oubliés comme le surtout en forme de paon majestueux.
Un surtout de table est une décoration que l'on place au centre d'une table.
Elle est utilisée pour des raisons esthétiques mais aussi pour disposer divers aliments.


Des objets de fantaisie tel que des vases, plats, jardinières et autres bibelots en vogue au 19ème siècle témoignent de techniques et de styles éclectiques.


La céramique d’art tient une grande place.


Eugène Grasset, Victor Kremer, Colette Gueden sont quelques noms rattachés à la faïencerie de Sarreguemines, à une époque où la céramique devient un vecteur de la théorie de l’art pour tous.


Dans notre famille (dans le sens large) toutes les armoires renferment une assiette ou un plat de ce service!


Le Jardin d'Hiver!
Insoupçonnable de l’extérieur, le Jardin d’Hiver a été érigé entre 1880 et 1882, à la demande du directeur Paul de Geiger.


Avec ses murs entièrement revêtus de faïence de Sarreguemines, sa fontaine monumentale en majolique et ses allégories de la Terre et du Feu, cette pièce se veut l’illustration du brillant savoir faire de l’entreprise.


Le goût pour ce type de construction naît vers le milieu du 19ème siècle de l’enthousiasme du public pour les serres aménagées en Europe, suite aux nombreux voyages des botanistes vers des territoires récemment conquis ou découverts.


Sous la protection des souverains et des princes sont ainsi peu à peu réunies des collections de plantes exotiques dans ces jardins botaniques.


Témoin de la Révolution industrielle, un four à faïence est toujours dressé à l’arrière du Musée de la faïence, où s'élevaient les ateliers de la rue Poincaré, ainsi que la demeure de Paul de Geiger.


Le bâtiment se présente sous la forme d’une enveloppe conique en briques, sur un plan circulaire de 9 mètres de diamètre pour une hauteur de 11 mètres.
La durée de la cuisson était variable : 60 à 70 heures pour le biscuit.
Le travail près des fours était très éprouvant, en raison de l’extrême chaleur qui y régnait.
On défournait bien souvent les produits avant qu’ils ne soient totalement refroidis. Cette cadence était imposée par les exigences d’une production de masse.

À demain!



Alors que nous suivions le circuit découverte de la vieille ville de Sarreguemines, commune située dans le département de la Moselle, mon regard s'est arrêté devant ce beau rond-point!

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(3 clichés)


Sarreguemines, capitale de la faïence, le couvert est déjà mis!


Vous pouvez retrouver d'autres ronds-points sur ce lien.



Sarreguemines, c'est 200 ans d'histoire des faïenceries!
En effet, c'est en 1790, au début de la révolution française, que trois strasbourgeois installent une petite manufacture de faïences dans un moulin à huile à Sarreguemines.
Il s’agit des frères Nicolas et Augustin Jacoby, associés à Joseph Fabry, tous trois négociants en tabac.

Le musée de la faïence est installé dans les anciens appartements de Paul de Geiger, directeur des Faïenceries de Sarreguemines entre 1871 et 1914.

Vous pouvez voir ou revoir notre balade à Sarreguemines depuis le début en cliquant sur ce lien!

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À ses débuts, la manufacture occupe une vingtaine d’ouvriers et ne possède qu’un seul four. On y fabrique de la faïence fine dite cailloutage;
Mais la concurrence des manufactures anglaises et françaises, et les troubles de la Révolution poussent Jacobi à céder la place.


En 1800, Nicolas Jacoby cède ses parts de l’entreprise à Joseph Fabry et à Paul Utzschneider, un bavarois installé à Strasbourg.
Excellent céramiste, il introduit à Sarreguemines des techniques qu’il a pu observer en Angleterre au cours d’un voyage d’études.


Sa production est remarquée aux expositions nationales où il remporte de nombreuses médailles d’or.
Ses grès imitant la pierre dure sont appréciés par l’empereur Napoléon Ier qui passe commande en 1812 de plusieurs vases.


En 1836, Utzschneider se retire de la direction qui revient alors à son gendre Alexandre de Geiger.
Celui-ci poursuit l’oeuvre de son prédécesseur. Il effectue un rapprochement avec la manufacture Villeroy et Boch en 1838.


En 1871, à la suite du traité de Francfort et de l’annexion de la Lorraine à l’Allemagne, Alexandre de Geiger quitte Sarreguemines pour Paris.

La direction est alors assurée par son fils Paul.

Pour conserver le marché français, celui-ci fonde des succursales à Digoin en 1877, puis à Vitry en 1881.



En 1913, Paul de Geiger décède et, Utzschneider et Compagnie est scindée en deux sociétés distinctes : l’une avec l’établissement en territoire allemand, l’autre avec les faïenceries françaises.


A l’issue du premier conflit mondial en 1919, l’unité se reforme sous le nom Sarreguemines – Digoin – Vitry-le-François.
Pendant la seconde guerre mondiale, la faïencerie est mise sous séquestre.
Sa gestion est confiée de 1942 à 1975 à Villeroy et Boch.
En 1979, la manufacture abandonne alors la fabrication de vaisselle et s’oriente vers celle de carrelage.


En 2002, suite à un plan de reprise de 19 salariés et cadres devenus actionnaires, l’entreprise prend le nom de Céramiques de Sarreguemines. Il reste 130 ouvriers qui essayent de maintenir l’outil de production.


En 2005, l’entreprise est placée en liquidation judiciaire. La production continue avec une soixantaine d’ouvriers.
Le 9 janvier 2007, le tribunal ordonne la liquidation et la fin de l’activité au 1er février 2007.
Désormais, la faïencerie de Sarreguemines n’existe plus.

À demain pour la suite de la visite!



Sarreguemines, commune située dans le département de la Moselle, nous dévoile peu à peu ses trésors!
Aujourd'hui poussons la porte de l'église Saint-Nicolas.

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(8 clichés)


Jusqu’en 1802, Sarreguemines faisait partie de la paroisse Saint-Denis de Neunkirch.
Les fidèles de l’agglomération disposaient toutefois sur place de trois chapelles pour leurs dévotions.


En juillet 1754, l’abbé Stein, prieur de l’abbaye de Wadgassen, et l’abbé Ferange, curé de la paroisse de Neunkirch décidèrent la construction d’une nouvelle église en remplacement des trois chapelles devenues trop vétustes et trop petites.


L'église Saint-Nicolas allait être construite sur l’emplacement de la chapelle de la Sainte Vierge.
Les travaux commencèrent en 1764 et l’église fut bénie le 21 mars 1768 par l’abbé Antoine Dambrun, alors curé de Neunkirch.


L'église renferme un mobilier de style baroque.


Les tableaux ont été réalisés par Januarius Zick, artiste à la cour électorale de Trèves.


Je prends toujours, en souvenir de l'église que je visite, une photo d'une des stations du chemin de croix.....


....ainsi que la photo d'un des vitraux!

À demain!



C'est en pensant à notre amie Françoise du blog "grainedesucre" que j'ai pris cette enseigne en photo!

Françoise aime bien les jeux de mots!

Que dites-vous de l'enseigne de ce restaurant "Sarre-Dîne" situé au coeur de la ville historique de Sarreguemines?

Vous pouvez revoir d'autres enseignes sur ce lien.

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Sarreguemines est une commune située dans le département de la Moselle!
Connue et reconnue pour sa faïence, Marc et moi avions, depuis longemps, envie de nous y arrêter afin de visiter ce site historique.

Aujourd'hui, je termine la balade dans la vieille ville!
Nous en étions resté rue d'Or, appelée autrefois "Untere Gasse".
C'est l'une des plus anciennes rues de la ville.

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Cette rue possède encore de nombreuses maisons datant du 18e siècle.


Rue de la Paix se dresse la vieille tour, un des derniers vestiges de l'enceinte médiévale.


Dans une cour intérieure le conservatoire de musique est tout à fait charmant.


Institution Sainte Chrétienne.
En 1808, à leur arrivée à Sarreguemines, les Sœurs de la congrégation de Sainte Chrétienne ouvrirent deux classes élémentaires dans les locaux mis à leur disposition par la municipalité.


Peu à peu, grâce à l’acquisition de nouveaux bâtiments, le Pensionnat prit son essor.


En suivant la rue piétonne Sainte Croix à Sarreguemines, on rencontre une grande fontaine en grès rose des Vosges surmontée d'un bronze de Diane Chasseresse avec un cerf.


L'hôtel de ville.


Le musée de la faïence.


Les ruines du château!
De l'ancien château et de la fortification de Sarreguemines, ne subsistent que quelques ruines.
La plus grosse partie de l'ancien château a été ruinée lors du percement du tunnel de la ligne de chemin de fer entre Sarreguemines et Béning en 1865.


De la terrasse du château nous avons une petite vue sur la vieille ville de Sarreguemines.

À demain!



Notre visite du centre-ville de Sarreguemines, commune située dans le département de la Moselle, nous a permis d'admirer ce très beau rond-point situé place Goethe!

Vous pouvez voir ou revoir notre balade à Sarreguemines depuis le début en cliquant sur ce lien!

Vous pouvez retrouver d'autres ronds-points sur ce lien.

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(2 clichés)


Petit retour dans le passé pour la place Goethe qui accueille désormais l'incontournable élément des cuisines d'antan!

Ce fourneau à l'ancienne "revisité" met en mouvement cette place située aux portes de la vieille ville!

À demain!



Notre journée-découverte de la ville de Sarreguemines a débuté par une balade dans le centre historique de la ville!
Les visites des centres historiques des cités sont les meilleurs moyens de voir les monuments et les lieux les plus représentatifs des cités!

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(13 clichés)


Le palais de justice a été construit sous l'époque allemande, en 1903.


Juste en face du tribunal vous avez le monument aux morts.


Nous nous dirigeons, à présent, vers le centre histoique.
La révolution industrielle offre un souffle salutaire à la ville grâce à la construction d'un nouveau pont, actuel pont des alliés.


Ce coup de pousse du destin engage un processus d'urbanisation et transforme la physionomie de la ville.
Des immeubles de trois à quatre niveaux sortent de terre!


Ces maisons cossues singularisent très tôt Sarreguemines par rapport aux cotés alentour.


L'église Saint-Nicolas se trouve à l'emplacement de l'ancienne chapelle sainte-Catherine.


La place du marché, autrefois place du Palais, est le véritable furum de la ville!


Place emblématique de la vieille ville, elle est commerçante par définition depuis l'époque médiévale.


Entourée de maisons de caractère, elle s'ouvrait sur l'ancien hôtel de ville qui était situé à l'emplacement de l'actuel "Café de Paris".


Plusieurs bâtiments du 19e siècle y méritent une attention particulière.


La rue du château nous emmène directement vers....


....place Goethe!
Cette place porte le nom du célèbre poète allemand qui a fait étape à Sarreguemines en 1770.
Goethe mentionnera Sarreguemines dans son recueil " Dichtung und Wahrheit.
À cet endroit se trouvait jusqu'en 1781 la Porte de France située sur l'enceinte médiévale de la ville.

À demain pour la suite de cette visite.



Sarreguemines, commune située dans le département de la Moselle, est située au confluent de la Sarre et de la Blies.
Connue pour son industrie faïencière implantée dans la ville depuis la fin du 18e siècle, ce jour là, cette charmante cité nous a ouvert les bras!

Nous débutons, aujourd'hui, une nouvelle série dans notre rubrique "voyage", la visite de Sarreguemines!

Cet article servira de récapitulatif à cette balade en Moselle-Est!

-Circuit touristique (ici)

-Une ville riche de son histoire (II) (voir le lien)

-Rond-point "Tous au fourneau" (voir le lien)

-Une ville riche de son histoire (II) (voir le lien)

-Jeu de mot de circonstance (voir le lien)

-Église Saint-Nicolas (voir le lien)

-Auberge Saint-Walfrid (voir le lien)

-Musée de la faïence
(voir le lien)

-Rond-point "À table" (voir le lien)

-Musée de la faïence (II) (voir le lien)

-Moulin de la Blies (voir le lien)

2024:

-Restaurant La Petite Auberge (voir le lien)

Vous pouvez voir ou revoir nos balades en Moselle en cliquant sur ce lien.

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(5 clichés)


Notre découverte de Sarreguemines a commencé par un petit tour en ville! Ce circuit nous a permis de visiter la très jolie église Saint-Nicolas!


Pour déjeuner, nous étions attendus à l'Auberge Saint-Walfrid restaurant situé à Sarreguemines.


Enfin, l'après midi fut consacré à la visite de deux très beaux musées:
-le musée de la faïence


et:
-le moulin de la Blies!

Belle balade me direz-vous?
Alors rendez-vous demain pour le début d'une belle balade.



Dans mes souvenirs d'enfance il en est un....qui va plaire à bon nombre d'entre nous!

Tous les soirs je ne manquais pas un épisode de "Bonne nuit les petits"!
Tous les soirs je retrouvais avec une joie enfantine Nounours, le marchand de sable, Nicolas et Pimprenelle!
Et....
Tous les soirs l'épisode se terminait pas cette phrase que prononçait maman ou papa:

"Allez! Au Schloff"!

Pas besoin de traduction.....

Je vous invite à voir ou à revoir tous nos articles sur le Platt Lorrain en cliquant sur ce lien!

(image prise sur le net)



Je termine aujourd'hui notre balade en Haute-Saulx dans la Meuse!
Notre périple s'achève au musée lorrain du cheval et, précisément, dans la salle des ateliers de ce très beau musée!

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(10 clichés)


Atelier de soin du cheval!


Cette machine servait à couper la paille.


Atelier du maréchal ferrant.


La caisse du maréchal ferrant.


Atelier de tonte!


Le musée possède une très belle collection de différents fers.


Atelier de fabrication mécanique du fer à cheval!


L'indispensable enclume pour former les fers des chevaux.


J'espère que cette balade vous a plu! Je vous retrouve bientôt pour un nouveau voyage.



Unique en Lorraine, le musée du cheval se situe au cœur de la ville haute de Gondrecourt-le-Château, dans le département de la Meuse.

Nous allons poursuivre notre visite en découvrant une salle consacrée aux selles militaires et une salle consacrée aux harnais!

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(12 clichés)


Salle des selles militaires!


Toutes plus belles les unes que les autres, ces selles ont chacune une histoire à raconter!


Selle d'officier de cavalerie.


Équipement de parade d'un gendarme.


Salle des harnais et salle du bourrelier.


Plus vrai que nature! Non?


Une selle dite "amazone".


En équitation, « monter en amazone » signifie chevaucher avec les deux jambes du même côté du cheval.
Une selle spéciale est utilisée. Elle est composée d'un seul étrier, à gauche le plus classiquement, à droite assez rarement, et de deux fourches à gauche autour desquelles on enroule ses jambes, la gauche en dessous et la droite au-dessus.
Le mollet droit repose sur une avancée de cuir : le garde-jambe.


Le bourrelier travaille la bourre et le cuir afin de réaliser des pièces d'attelage pour le travail des chevaux.


Terme peu utilisé qui autrefois différenciait le bourrelier, travaillant à la campagne (attelage de travail, bât) du sellier, travaillant à la ville (voitures hippomobiles, selles...).


Ce support sert à fabriquer des béguins cache-oreilles.

À demain pour la fin de cette visite!



Notre journée dans la Meuse s'est terminée pas la visite du très beau musée lorrain du cheval situé à Gondrecourt-le-Château!
Gondrecourt-le-Château est un paisible village du sud meusien.
Mais au cours de l'histoire le site a connu bien des remous!

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(14 clichés)


Le musée du cheval de Gondrecourt se situe dans une tour, unique vestige d'un château établi sur ce site!


La première mention du château apparaît en 1112, date à laquelle il appartient aux comtes de Champagne.
Le château fut détruit en 1633 sur ordre de Richelieu.4
Seule la tour est épargnée!
La tour qui sert de prison est cédée à la commune en 1828.
Elle sera restaurée en 1874 par Prosper Pernot, architecte à Gondrecourt-le-Château!


Gondrecourt-le-Château fait partie du parcours de Mémoiredu Val d'Ornois.
Dix panneaux mémoriels, installés dans neuf villages du Val d'Ornois : Gondrecourt-le-Château, Amanty, Mauvages, Delouze-Rosières, Abainville, Houdelaincourt, Demande-aux-Eaux, Saint-Joire et Tréveray, rappellent la présence des troupes de la 1ère division américaine dès 1917.


En 1917, près de 15000 soldats de la 1ère division d'infanterie des Etats-Unis débarquent dans le Val d'Ornois dans le but de s'instruire et de s'entrainer à l'arrière-front.
Un de ces panneaux mémoriels a été installé juste à côté de la tour musée.


Le musée du cheval a été divisé en plusieurs salles, chacune spécifique!
Salle1: les colliers et les selles et les sellettes.


Le collier est la pièce principale du harnais. Il se fixe au cou des bêtes de trait.


Les sellettes sont les harnais de dos des chevaux de trait.


Salle 2: les outils du maréchal ferrant.


Une variété de pince de forge.


Les collections présentes dans le musée ont été constituées par les Amis du Musée Lorrain du Cheval.


Cette association a été fondée en 1974.


Certaines de ces pièces sont très rares!


À demain pour la suite de cette visite.



Notre balade-découverte en Haute-Saulx, dans le département de la Meuse, se poursuit tranquillement.
Après avoir visité le site d'Écurey, nous sommes allés déjeuner "Au Lion d'Or" à Montiers-sur-Saulx (voir le lien)!
Cette adresse gourmande est située juste en face de l'église....

Vite! Vite! Suivez-nous! Nous avons juste le temps d'aller y faire un petit tour avant que notre bus ne reparte!

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(12 clichés)


L'église Saint-Pierre-aux-Liens fut bâtie en 1841 en remplacement d'un précédent édifice du 14e siècle.


Construit par un entrepreneur de Bovée (commune de la Meuse), l'édifice est en pierre de taille, doté de 19 fenêtres éclairant ses trois nefs.


Bénie en 1841, elle fut consacrée en 1949 par Mgr Petit, évêque de Verdun.


L'église abrite notamment un lutrin finement sculpté par un artisan de Joinville.
Ce lutrin vient de l'abbaye d'Écurey!
Les lutrins de ce type sont assez rares en Meuse.


Un des autels de l'église.


La chaire à prêcher a été réalisée en fonte, avec un abat-voix en chêne.


Elle a été exécutée vers 1840 dans les forges d'Ecurey.


Les vitraux sont lumineux.


Ce sont des verrières imagées représentant la vie du Christ.


Photo de la statue de Saint Antoine de Padoue surmonté du vitrail du Pape Pie X, sur le chemin de Croix du bas-côté Ouest de l'église catholique.


Le chemin de croix est très joli aussi.

À demain pour la suite de cette visite.



Si vous nous avez suivis, vous connaissez, à présent, cette belle histoire d'Écurey commencée par l'édification de cette abbaye d'Écurey, ancienne abbaye cistercienne, fondée au 12e siècle par les moines de l'abbaye des Vaux.

À la Révolution, l'abbaye, vendue comme bien national.
C'est au 19e siècle qu'une fonderie assez importante est construite sur le site de l'abbaye.
On y fond de la fonte d'ornement.

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En 2011 est implanté un pôle d'excellence rurale dans l'ancienne abbaye.
Ce pôle est spécialisé dans les projets concernant la transition énergétique et l'écoconstruction.

En 2015, le pôle est complété par un « centre d'expérimentation du bien vivre en milieu rural », nommé Écurey Pôles d'avenir.

Y sont notamment étudiés les vertus de l'ortie.

C'est là où je voulais en venir!
La visite de ce site exceptionnel se termine par un pot de l'amitié, un pot qui va nous faire découvrir quelques spécialités de la région!


C'est dans la salle voûtée, le plus ancien vestige de l'abbaye que nous sommes reçus!


Nos hôtes nous font découvrir la bière de la région issue de la brasserie de la Saulx, dans la Meuse.
Cette brasserie se situe à Morley, le long des bords de Saulx.


Dans le cadre du Pôle d’excellence rurale « Ecurey-Pôles d'Avenir », l'ENSAIA, la Communauté de communes de Haute-Saulx, le Pays Barrois, l'EPL Agro de la Meuse et Agria Lorraine mènent depuis 2 ans un projet portant sur la multivalorisation de l'ortie.
Utilisée et connue depuis l'antiquité, l'ortie est en effet une plante aux multiples atouts.


Les madeleines à l'ortie sont tout simplement divines!
Quand à ces tomates cerises garnies d'une préparation à l'ortie ont eu beaucoup de succès!

Nous reprenons la route vers Montiers-sur-Saulx où l'église mérite une petite visite!



Après avoir visité le site d'Écurey, situé dans le département de la Meuse, et surtout après avoir découvert l'histoire de l'abbaye, aujourd'hui, je vous invite à une petite balade qui va nous conduire vers la chapelle de ce lieu!

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(13 clichés)


Autour de l'ancienne abbaye cistercienne et de la fonderie, Auguste Salin crée, en 1875, une véritable cité ouvrière!


Logements, école et chapelle sont construits sur le site.


L'école est en ruine!


Mais l'on distingue encore bien la salle de classe et, juste à côté, le logement des instituteurs.


Jusqu'aux années 1960 la vie de l'ouvrier, fondeur de père en fils, est intimement liée à celle de l'usine.


C'est en 1901 que la vie religieuse prend une place importante.


En effet, c'est en 1901 qu'est édifiée la chapelle.


La construction de cette chapelle parachève cette politique paternaliste tournée vers les ouvriers et leurs familles.


On disait la messe tous les dimanches dans cette chapelle située tout près de l'école!


Le choeur!


Le poêle!


Pour la construction de cette chapelle est utilisée des matériaux du pays et surtout des éléments en fonte fabriqués dans l'usine.

À demain!



Vous savez ce qu'est le Platt?
C'est l'un des patois que l'on parle encore en Moselle!

Aujourd'hui, les températures sont encore fraîches....
Lorsque je suis sortie dire bonjour au facteur, j'ai eu froid la schness (j'ai eu froid au visage)!

La schness, donc le visage, peut se revisiter dans plusieurs autres expressions:
-ferme ta schness
-il m'a mis une tarte dans la schness...

Ma tante de Saint-Dié-des-Vosges me disait souvent:
"Môôn! C'est pas pour rire!
V'la la Sylvie!
Vas vite te débarbouiller la schness, tu as de la brimbelle partout!"

Je vous invite à voir ou à revoir tous nos articles sur le Platt Lorrain en cliquant sur ce lien!

Sur cette photo, confiture de myrtilles (voir le lien)!



Notre balade-découverte en Haute-Saulx, dans le département de la Meuse, commence par la visite du site d'Écurey.
Situé le long de la saulx, le hameau d'Écurey est l'héritier d'une riche histoire!

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(14 clichés)


C'est au 12e siècle que des moines cisterciens construisent une abbaye sur le site d'Écurey.
Cette abbaye est détruite à la Révolution, même si l'activité de la ferme a perduré.


En effet, à la Révolution, l'abbaye, vendue comme bien national, est en grande partie détruite.


Seul demeure le logis de l'abbé commendataire, l'hôtellerie et la ferme.


La ferme des frères convers!


Les frères convers sont des religieux de plein droit sans être des moines.
Ils sont principalement destinés, dans les ordres monastiques comme les Bénédictins ou les Cisterciens, à l'exploitation des domaines ruraux : les "granges" (domaines agricoles) et les "celliers" (domaines viticoles).
Les frères convers étaient majoritairement d'origine plus modestes.


Les cisterciens souhaitent vivre en autarcie. Ils développent rapidement, et grâce aux frères convers, les ressources du sol et de l'eau.


Ces intenses laboureurs sont réputés pour leurs installations hydrauliques.


Ainsi, la rivière est exploitée pour différents usages.


Une usine de fonderie d'art et d'ornement
Le site renaît à partir de 1830 quand un maître de forge y installe un haut-fourneau!


En 1830 les frères Vivaux achètent le domaine agricole d'Écurey pour y installer une fonderie d'art et d'ornement.


En 1875, l'établissement est acheté par Auguste Salin qui oriente la production vers la fonte d'art et d'ornement.
Il crée une petite cité ouvrière avec école et chapelle.
Il emploie alors une centaine d'ouvriers.


Fils, petit-fils et arrière petit-fils lui succèdent jusqu'en 1987.


Halle de fonderie!
Cette halle a été construite par les frères Vivaux!
Elle abritait un haut-fourneau.

À bientôt pour la suite de cette visite!



La communauté de communes de Haute-Saulx, Perthois et Val d'Ornois est issue de la fusion de la communauté de communes de la Haute Saulx, de la communauté de communes de la Saulx et du Perthois et de la communauté de communes du Val d'Ornois.

Cette communauté de communes se trouve dans le département de la Meuse et la région Grand Est.

Cet article servira de récapitulatif à notre balade dans la Meuse!

-Balade en Haute-Saulx, Perthois et Val d'Ornois (ici)

-Le hameau d'Écurey (voir le lien)

-Montiers-sur-Saulx-Restaurant Le Lion d'Or (voir le lien)

-Écurey-Vers la chapelle (voir le lien)

-Écurey-Un pôle d'avenir (voir le lien)

-Montiers-sur-Saulx-Église saint-Pierre aux liens (voir le lien)

-Gondrecourt-le-Château-Musée Lorrain du Cheval (voir le lien)

-Gondrecourt-le-Château-Musée Lorrain du Cheval-Des selles et des harnais (voir le lien)

-Gondrecourt-le-Château-Musée Lorrain du Cheval-La salle des ateliers (voir le lien)

Vous pouvez voir ou revoir nos balades meusiennes sur ce lien!

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(5 clichés)


Notre journée a débuté par la visite du site d'Écurey!
Écurey, aujourd'hui pôle d'excellence rurale, a été implanté dans l'ancienne abbaye.
Ce pôle est spécialisé dans les projets concernant la transition énergétique et l'écoconstruction.

Cette découverte vous plaira, j'en suis sûre!


La journée s'est poursuivie par un déjeuner gourmand à Montiers-sur-Saulx,  au restaurant  "Le Lion d'or"!


Juste en face du restaurant, l'église Saint-Pierre aux liens! Je n'ai pas hésité à filer, aussi vite que possible, visiter cette église avant que notre bus ne s'en aille!


Enfin, la balade s'est terminée à Gondrecourt-le-Château où nous avons l'occasion de visiter le musée du cheval!
Voilà pour ce petit aperçu de cette journée meusienne!

À demain pour le début d'un beau voyage!



Aujourd'hui je vous invite aujourd'hui à un café klatsch (bavardages autour d'un café) afin de vous parler Wurts et Knack (saucisse)!

Une Wurst représente la saucisse en général!

Mais on appellera Knack la saucisse de Strasbourg car elle fait "knack" quand on la croque!

Un peu d'histoire!

La knack d'Alsace est une préparation charcutière très ancienne.

La Knackwurst, ancêtre de la knack d'Alsace, apparait dans les textes, dès le début du 16e siècle.

Au 17e siècle, elle bénéficie d'une grande réputation populaire. Ainsi, par exemple en 1744, on offrit de grandes quantités de knacks d'Alsace à la population strasbourgeoise, pour célébrer la convalescence du roi Louis XV.
La knack d'Alsace est présente dans toutes les fêtes villageoises alsaciennes. Elles y sont servies par paire, avec du pain et de la moutarde douce. La knack d'Alsace est également un des ingrédients principaux de la garniture accompagnant la choucroute d'Alsace.

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(image prise sur le net)



 

L'hiver est long....très long!
C'est pourquoi, ce jour là, nous avons décidé de casser le nez à Monsieur Hiver et de tenter une balade à Mondorf-les-Bains afin de faire venir le printemps.....
 
Mondorf-les-Bains est une localité luxembourgeoise connue pour ses thermes utilisés à des fins thérapeutiques.
 
Aujourd'hui, nous vous invitons à découvrir le parc thermal en cette fin de saison hivernale!

Vous pouvez voir ou revoir nos balades luxembourgeoises en cliquant sur ce lien!

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(19 clichés)



Après avoir laissé la voiture dans le centre-ville notre amie Alexandra nous montre un petit raccourci!
Nous suivons un petit chemin qui longe la Gander ou Albaach en luxembourgeois.
Ce ruisseau français et luxembourgeois est un affluent de la Moselle en rive gauche.


Le chemin aboutit sur un monument commémorant "la gare internationale" de Mondorf.


En effet, ce monument représente le point de liaison des anciennes lignes de chemin de fer existant à l'époque à Mondorf.
Le "Jangeli" circulait sur la ligne Remich-Luxembourg.
Le "Jaengelchen" reliait Mondorf-les-Bains à Thionville en France.


Un peu plus loin nous pouvons admirer le monument commémorant le premier meeting de l'aviation du Grand-Duché qui a eu lieu du 5 au 17 juin 1917 sous l'égide de l'industriel Charles Bettendorf.


Nous nous dirigeons vers le centre thermal et nous faisons des rencontres surprenantes.


Les moulins à vent sont à la fête!


Ils sont tous aussi beaux les uns que les autres.


Celui-là n'a pas fini de nager!


Juste devant le parc thermal ce rond-point personnalise le traité de Londres du 19 avril 1839.
Le traité de Londres du 19 avril 1839 est un traité signé à Londres  par la Belgique et les Pays-Bas, faisant suite à la révolution belge de 1830 et à la guerre belgo-néerlandaise de 1831-1833.
Il est relatif à la séparation de la Belgique d'avec les Pays-Bas.
Le traité reconnaissait aussi l'indépendance du grand-duché de Luxembourg.


Nous entrons dans le parc thermal et, juste devant l'entrée des thermes, cette fontaine, qui n'est pas active en hiver, raconte une belle histoire!


Il s'agit de deux chats sautant sur une table l'a fait chavirer!


La table chavire mais nous ne la verrons jamais tomber!


Mais, sur cette table, nous avons deux petites souris surprises dans leur ébats gourmands!


Elles étaient tranquillement en train de déguster une tarte aux quetsches!!!!!


Le parc a été conçu par l’ingénieur paysagiste Edouard André au 19e siècle.


Le petit pont nous emmène vers l'Orangerie.


L'Orangerie est un établissement qui met à la disposition de qui veut des salles pour fêtes de famille.


La promenade se termine! Nous y reviendrons en été quand le parc sera fleuri!

À bientôt!



Notre balade du côté de Saint-Quirin, en Moselle, s'est terminée au Donon!
Le Massif du Donon constitue avec ses 1009 m d'altitude le point culminant des basses-Vosges, à la jonction des provinces alsacienne et lorraine.

Dès la préhistoire, parce qu'il est visible de loin, on lui attribue un caractère sacré qui ne le quittera plus.

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(9 clichés)


Sa situation à l'écart des foyers favorise le développement des légendes, mêlant mythe et réalité.
Les Romains, mystérieusement séduits, consacrent le site à Mercure.

Le sentier est très escarpé.....chaussez-vous bien!


Le Donon offrant un point de vue exceptionnel dans toutes les directions, il a été utilisé dès le néolithique plutôt comme un « refuge » temporaire que comme un habitat permanent, dès le 3e millénaire av J.C.
Des haches et marteaux de pierre polie ont été découverts, notamment lors de travaux forestiers.


Dès le 19e siècle, des trouvailles en matériels protohistoriques avaient été faites : hache à talon et couteau de l'Âge du bronze.


Au 20e siècle, des tessons, attribués à l'Âge du bronz, ont été découverts au sommet, ainsi que des meules plates de l'époque hallstattienne, ce qui démontre une occupation moins temporaire.


Ces dernières indiquent également une culture de céréales proche du Donon ou l'apport de grains provenant de zones de production peu éloignées.


Un bâtiment imitant un temple gréco-romain a été érigé au sommet en 1869 pour abriter diverses trouvailles archéologiques.


Il est l'œuvre de l'architecte colmarien Louis-Michel Boltz, le docteur Bédel, médecin cantonal, en étant l'initiateur.
Le temple dans sa rusticité présente un caractère indiscutable.


D'après une lettre de Léopold Hugo à son fils Victor, celui-ci aurait été conçu au sommet du Donon.
Une plaque gravée, rappelant ce fait, se trouve apposée sur une roche du sommet, versant Nord-Est : « En ce lieu le V floréal An IX fut conçu Victor Hugo ». Vérité ou légende ? La question reste posée.

Je vous retrouve bientôt pour un nouveau voyage!



La chapelle Notre-Dame-de-L'hor dite Notre-Dame-de-Pitié est un ermitage situé à Métairies-Saint-Quirin en Moselle.
Dépendante du prieuré de Saint-Quirin, la commune de Métairies-Saint-Quirin a la particularité d'être formée sur l'emplacement de 11 anciennes métairies qui alimentaient le prieuré de saint-Quirin!

Vous pouvez voir ou revoir notre balade à saint-Quirin depuis le début en cliquant sur ce lien!
 
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(21 clichés)


La chapelle est, à l'origine, un sanctuaire païen christianisé vers le 6e siècle.
Là, à travers les siècles, des ermites y vécurent.


Le portail architectural en plein cintre est couronné de pilastres et surmonté d'une corniche et d'un édicule qui abrite une statue de la Vierge à l'enfant.


La chapelle est dite à nef unique.


Le maître autel, couronné d'une Pieta du 18e siècle, est dominé par un grand crucifix encadré de deux statues en bois polychrome représentant Marie et saint-Jean, apôtre.


Après sa nomination comme curé de Saint-Quirin, l'abbé Valère Schieser entreprend en 1962, la restauration du bâtiment.


Les peintures donneront à cet édifice baroque un caractère moderne.


Origine du vocable : « L'hor » vient de laura, « cellule », « ermitage » ou Virga Dolorum, « Notre-Dame de Pitié ».


Le dallage de la chapelle.


Sainte-Thérèse de l'Enfant Jésus.


L'autel extérieur.
La chapelle qui accueille des camps scouts en été est également le lieu d'un pèlerinage marial rassemblant de nombreux fidèles chaque 15 août.


L'allée menant de la route à la chapelle passe devant une fontaine que certains disent miraculeuse.


Elle est surmontée d'une statue de l'Immaculée Conception.
C'est là que quotidiennement les visiteurs puisent leur eau, croyant aux dons de la source.


Revenons aux vitraux de la chapelle!


Ils sont magnifiques....


....et représentent tous une scène de la vie de La Vierge.


Les vitaux qui encadrent L'Autel ont des visages


Les fresques, sont elles aussi, superbes!


Ces peintures donnent à cet édifice un caractère moderne.


Je vous donne rendez-vous demain....


....pour la fin de cette balade!



Parsemées autour de Saint-Quirin, 7 églises sont appelées les "7 Roses".
Lieux de pèlerinage et de recueillement, elles racontent chacune leur histoire.
Classé parmi les plus beaux villages de France, le village de Saint-Quirin, en Moselle, est dominé par sa chapelle haute d'origine médiévale.
 
Aujourd'hui, je vous emmène sur le chemin de la chapelle-haute de Saint-Quirin!
 
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(6 clichés)


En suivant le chemin situé juste en face de l'église vous arrivez devant
la chapelle-haute, toute de grès rouge habillée!


Selon la légende, cette chapelle, située sur un relief dominant le village de Saint-Quirin à l'ouest, aurait été construite à l'emplacement où aurait fait halte la mule qui, en l’an 1049, transportait les reliques de saint Quirin vers Neuss.


Le bâtiment, tel qu’il se présente aujourd’hui, est une chapelle rectangulaire d’environ 15 mètres de long sur 5,6 mètres de large, en grès rose des Vosges, comprenant une nef unique couverte d’un plafond en bois datant de 1965 et dotée de six baies en plein-cintre, vraisemblablement pratiquées au début du 18e siècle.


La chapelle fut pendant de longs siècles un important but de pèlerinage.


La Haute Chapelle surplombe le village de Saint-Quirin et nous offre un magnifique point de vue.

À demain!



Je n'ai pas pu m'empêcher de prendre ce joli numéro de maison! Ils sont trop mignons ces deux là!


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Vous pouvez revoir d'autres numéros de maison sur ce lien.



C’est dans un paysage de collines verdoyantes, dans le massif vosgien, que Saint-Quirin s’est installé, ceci, dès l’époque gallo-romaine.

D’un passé plus récent, le prieuré et son église aux deux clochers à trois bulbes superposés témoignent de la vocation religieuse du village au 13e siècle.

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(5 clichés)


Le prieuré fut fondé en 1122. Son église est consacrée en 1123 par légat pontifical le cardinal CUNON.
Aujourd'hui le Prieuré est devenu un presbytère


Le jardin qui lui est attribué porte encore le nom de "jardin du curé"!


Cet espace vert est très bien entretenu! Il y fait bon s'y promener!


Merci au Club Vosgien!



Histoire sans paroles.....tout dans le regard!

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Village de pèlerinage, Saint-Quirin en Moselle s'est développé autour d'un prieuré, autrefois possession de l'abbaye de Marmoutier, à une quarantaine de kilomètres.

Les petites ruelles pavées de ce joli village tranquille niché dans la verdure conduisent à son église prieurale!

L'église était en réfection lors de notre visite! Nous avons eu l'autorisation d'y faire un petit tour!
Merci beaucoup.

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(11 clichés)


L’église prieurale Saint-Quirin fut consacrée en 1123, peu après la fondation du prieuré.
Celui-ci ayant été détruit durant la Guerre de Trente Ans, le chanoine Edmond Herb, constatant lors de sa visite canonique de 1714 l’état de délabrement avancé des bâtiments, décide de les faire reconstruire à neuf.


L’église Saint-Quirin, devenue entre-temps église paroissiale, est construite en grès rouge des Vosges, et se trouve, à l’exception de la façade occidentale, recouverte d’un crépi jaune pâle.


L’ensemble du mobilier et l’orgue Silbermann (restauré en 1969), sont baroques et datent de la première moitié du 18e siècle.


Dans le chœur, la statue de saint Quirin représenté en uniforme romain et tenant l'écu à 9 besants domine le maître autel.


L'église priorale possède trois très beaux clochers à bulbe.


Les vitraux sont magnifiques!


Ils datent tous du 18e siècle.


Les principales scènes représentent la vie du Christ.


Le prieuré attenant, qui comporte un oriel d’angle et deux frontons sculptés, est adossé, par son aile orientale, à la dernière travée de la nef!


À demain pour la suite de cette balade!



Saint-Quirin, commune située dans le département de la Moselle, en région Lorraine, nous a réservé de bien jolies surprises!

Vous me connaissez, je ne visite jamais un village sans m'imprégner de son histoire!

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(2 clichés)


Le village de Saint-Quirin, dont le nom dérive du nom latin Quirinus, appartenant à un saint martyr romain du 2e siècle, Quirin de Neuss, est un village qui fut pendant longtemps un important centre de pèlerinage.

Le village est classé parmi les plus beaux villages de France.




Saint-Quirin est une commune située dans le département de la Moselle, en région Lorraine.
Cette commune fait partie du pays de Sarrebourg.
 
Ce jour là nous avons pris la route afin de visiter la très jolie cité de Saint-Quirin!

Saint-Quirin, site historique!

En 1049, Gepa de Dabo, fille d'Hugues VIII, comte en Nordgau et d'Eguisheim et de sa femme Heilwig de Dabo, abbesse de Neuss, se vit offrir par son frère, le pape Léon IX, les reliques de saint Quirin, tribun militaire et martyr romain.
Lorsqu’elle les rapporta ensuite de Rome pour les déposer dans la ville de Neuss, la mule qui transportait les reliques se serait arrêtée à l’emplacement de l’actuelle Chapelle-Haute, ce qui conduisit à changer la toponymie du lieu, auquel fut donné le nom du saint.
L’on fonda un prieuré à proximité, et, sous le mandat du premier prieur de Saint-Quirin, Wolfram, nommé en 1122, l’église priorale fut consacrée en 1123 par l'évêque de Metz.
Saint-Quirin devint rapidement par la suite un important lieu de pèlerinage.

Cet article servira de récapitulatif a cette balade lorraine!
 
-Patrimoine de lorraine (ici)

-Les portes de Saint-Quirin (voir le lien)

-L'église prieurale (voir le lien)

-Image du jour (voir le lien)

-Le prieuré et le jardin du curé (voir le lien)

-Numéro de maison (voir le lien)

-La chapelle-Haute (voir le lien)

-La chapelle Notre-Dame de L'hor (voir le lien)

-Le Donon- Montagne sacrée (voir le lien)
 
Vous pouvez voir ou revoir nos balades en Moselle en cliquant sur ce lien.
 
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(9 clichés)


Le prieuré!
Actuel presbytère.


L'école!


La fontaine saint-Jean Népomucène!
En face de l'église priorale, la statue saint Jean Népomucène, rénovée en 2001, date du 18e siècle.
Elle domine une petite fontaine de facture récente.
Saint Jean Népomucène était vicaire général de Prague.
Il s'opposa à l'empereur Venceslas IV de Bohême qui refusait aux abbayes le droit d'élire leur nouvel abbé.
Son but était de faire de l'église abbatiale une cathédrale, et d'en donner le siège à l'un de ses favoris.
Mais à la mort de l'abbé, les moines élurent pourtant un nouvel abbé.
Furieux, Wenceslas fit jeter le vicaire général et le nouvel abbé en prison.
Jean fut martyrisé par le feu et jeté dans la Moldau en 1393.
Canonisé en 1729 par Benoît XIII, il est le saint protecteur des ponts.


L'église prioriale de Saint-Quirin!
L’église Saint-Quirin, devenue entre-temps église paroissiale, est construite en grès rouge des Vosges, et se trouve, à l’exception de la façade occidentale, recouverte d’un crépi jaune pâle.
Elle possède trois clochers à bulbe!


L'hôtel des insectes de Saint-Quirin!


La fontaine miraculeuse de Saint-Quirin!
Rue de la Garinette, en contrebas de l'église, près du ruisseau, se trouve une source aménagée en fontaine dominée par la statue de saint Quirin.


L'eau y est considérée comme miraculeuse et aurait le pouvoir de guérir les maladies de peau.


Saint-Quirin est d'ailleurs, depuis de nombreux siècles, un lieu de pèlerinage et de culte à son saint patron guérisseur.

À demain!



Metz est une commune située dans le département de la Moselle en région Lorraine!
Il y a quelques jours nous avons eu la chance d'y retrouver Mauricette, du blog "Momo délice" pour une journée pas comme les autres!

Vous pouvez voir ou revoir notre journée à Metz avec Momo depuis le début en cliquant sur ce lien!

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(8 clichés)


Juste avant de déjeuner, nous avons décidé avec Mauricette de faire un petit tour dans la cathédrale.


Tel un immense bateau de pierre, la cathédrale révèle sa nef, impressionnante, majestueuse et longue de 120 mètres!


La crèche de la cathédrale est une crèche dite "évolutive"!


Depuis le premier dimanche de l'Avent jusque Noël de nouvelles scènes de l'évangile sont mises en lumière!
Sur ces photos seuls manquent les rois mages qui viennent d'Orient pour adorer l'Enfant Jésus"!


Un petit coup d'oeil sur la belle rosace créée en 1384 par Hermannde Münster en Allemagne.


Nous ne pouvons pas parler de Metz sans parler de cette légende bien connue du "Graoully"!
De nombreuses représentations de ce monstre nt dans la cathédrale!
Chezchez et vous trouverez!

Mais que dit cette légende!
La première version de la légende de saint Clément de Metz date de la fin du 10e siècle.

Saint Clément est envoyé par saint-Pierre pour évangéliser Metz.
Mais des serpents installés dans l'amphithéâtre empoisonnent l'air de leur souffle venimeux et interdisent ainsi l'accès à la ville.
Saint Clément se rend à l'amphithéâtre, soumet les serpents d'un signe de croix..
Depuis ce jour il n'y a plus aucune bête nuisible dans l'amphithéâtre.


Notre Dame de Bon Secours de Metz!
Statue habillée de la Vierge, réalisée en pierre et datant du 16 siècle.

Retrouvons nos amis en cliquant sur ce lien!



Notre balade autour de Sierck-les-Bains se termine aujourd'hui par quelques photos des "Contes en lumière" la nuit!
Nous ne pouvions pas quitter ce site sans nous être promenés sur ce sentier afin d'admirer ces lanternes à la tombée du jour!

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(11 clichés)


Je vous l'avais dit!


La nuit, tous les lampions, toutes les lanternes prennent vie!


Les contes s'animent et Cendrillon se prépare pour aller au bal....pour rejoindre son destin!


La pantoufle de verre!

La composition des pantoufles de Cendrillon fait l'objet, à travers les différentes versions écrites du conte, d'un débat récurrent depuis le 19e siècle.

Il s'agit de déterminer s'il s'agit de pantoufles de verre, ou de vair.

La version de Charles Perrault mentionne sans équivoque du verre, alors que le vair apparaît plus tard, sous la plume d'Honoré de Balzac, dans les paroles d’un de ses personnages.



Le petit Chaperon Rouge a rejoint sa grand-mère!


Dans les contes...tout est bien qui finit bien!


Le train du père Noël est en route!


Le chemin est long!


Nous laissons Alice a son histoire!


Et nous partons en saluant le chat du Cheshire, chat de fiction tigré qui apparaît dans le roman Alice au pays des merveilles de Lewis Carroll (1865).
Son nom est un hommage de Lewis Carroll au comté de Cheshire dans lequel il est né.
Il est parfois appelé chat de Chester, d'après l'ancien nom du comté.

À l'année prochaine pour un nouveau voyage!



Sierck-les-Bains, cette cité dite "des Ducs de Lorraine", est située dans le département de la Moselle en Lorraine!
Cette année, nous nous y sommes rendus afin de nous promener sur le marché de Noël situé au coeur de la ville!

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(16 clichés)


Notre balade nous a conduit au parc Valette!


D’une superficie d’une trentaine d’ares, ce parc est engazonné et arboré.
Certains de ses arbres sont centenaires voir presque bicentenaire.
Ce parc accueille une aire de jeux pour les jeunes enfants âgés de 2 à 8 ans.


Mais pour les fêtes de Noël, ce parc accueille un parcours enchanté, "Les contes en lumière".


Plus de 500 lanternes, de 50 cm à 5 m de hauteur, dessinées et fabriquées composent désormais ce qui fait la fierté du village.


Après être passés chez Cendrillon, nous croisons, bien sûr, les rennes du Père Noël.


Ce parcours coloré, lumineux et magique redonne vie à des personnages emblématiques tels Hansel et Gretel.


Oh! Mais que vois-je là!


Vous reconnaissez le conte du Petit Chaperon Rouge!


Alors que le loup a déjà mangé la grand mère, le petit chaperon rouge prépare son panier avec le fameux petit pot de beurre!


Sur une tablette de chocolat un siège appelle les amateurs de photos souvenirs!


Le train du Père Noël est en route! Pas de soucis! Les cadeaux seront remis à leurs destinataires.


Le sentier se termine par le très joli conte d'Alice aux pays des merveilles.


Les Aventures d'Alice au pays des merveilles est un roman écrit en 1865 par Lewis Carroll, nom de plume de Charles Lutwidge Dodgson.


Alice s'ennuie auprès de sa sœur qui lit un livre tandis qu'elle ne fait rien.
« À quoi bon un livre sans images, ni dialogues ? », se demande Alice.
Mais voilà qu'un lapin blanc aux yeux roses vêtu d'une redingote avec une montre à gousset à y ranger passe près d'elle en courant.....


Mais ce sentier qui relate quelques contes bien connu est encore mieux si vous le traversez à la nuit tombante....

Alors à demain pour une visite de nuit!

Les Contes en lumière sont dessinés par Marielle GROO et réalisés par la Ville de Sierck-les-Bains en partenariat avec le Département de la Moselle.



Sierck-les-Bains une commune située en Lorraine, dans le département de la Moselle.
La commune est également le chef-lieu du pays de Sierck.

Cette année nous avons eu la chance d'aller nous promener dans ce très beau village de Noël de Sierck!

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(12 clichés)


C'est en 2012 que le premier Village du Père Noël a vu le jour au cœur de la cité des Ducs de Lorraine.


Une fontaine est une construction d'où jaillit de l'eau.
Mais, à la veille de Noël, des fontaines de Sierck jaillissent des nounours tous aussi beaux les uns que les autres!


Chaque chalet en bois est source de surprises et de trésors qui peuvent faire l'objet d'un cadeau ou d'une déco pour garnir sapin et table de fête.


Le village a mis ses habits de fêtes....des nounours à perte de vue!


Nous avons eu de la chance! Nous avons pu écouter cet orchestre nous interprétant des chants de Noël.


Chut!
Il ne faut pas le chanter trop fort!
Mais nous avons découvert l'adresse du père Noël quand il s'arrête à Sierck!


Ah! Chouette!
La station météo!
Nous allons connaître le temps de demain!


Très amusant!


Les maisons sont décorées! L'ambiance est très conviviale!


Un habitant a même ouvert sa grange!


Nous sommes alors impressionnés par sa belle crèche!

À demain!



Notre balade autour de Sierck continue et, après avoir fait le tour de Beyren-lès-Sieck nous avons décidé de nous diriger vers le Stromberg situé à Contz-les-Bains!

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(8 clichés)


Le Stromberg est une colline située dans le département de la Moselle aux confins de la France et du Luxembourg!


Située dans la région de Sierck, le Stromberg est une montagne à base elliptique qui est baignée au sud et à l'est par la rivière de la Moselle.


Le sommet de la colline offre un point de vue sur le paysage environnant notamment la vallée de la Moselle.


Le village de Sierck avec son château, son église....


Photo souvenir!


Le paysage est admirable!
Notamment cette belle boucle de la Moselle située au pied de Sierck-les-Bains.


Au coeur de la cité, le village du Père Noël!
Qu'en pensez-vous?
Allons-y!

À demain!



Ce jour là, nous avions décidé de passer la journée du côté de Sierck-les-Bains, commune située dans le département de la Moselle.
Accompagnés de nos amies, Joëlle et Alexandra, nous avons commencé notre balade par un arrêt gourmand au restaurant Cordel à Beyren-les-Sierck.

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(7 clichés)


Après avoir déjeuné nous avons voulu découvrir ce petit village!
Nous avons alors découvert que les pluies de ces derniers jours avaient inondé une partie du village!


Le Ruisseau Deibicherbaach, le Ruisseau de Beyren, le Ruisseau l'Altbach sont les principaux cours d'eau qui traversent la commune de Beyren-lès-Sierck.
Ils n'ont pas eu de mal à sortir de leurs lits pour parcourir les rues de Beyren!


Merci à ce villageois qui a bien voulu jouer au jeu des photos.


Une passerelle permet de joindre les deux parties du village.


La balade est, malgré tout, bien agréable.


Monsieur Le Chat décide de se promener avec nous! Nous avons bien cru que nous allions le ramener à la maison!

À demain!



Le pays de Sierck est une région située dans le nord du département de la Moselle, entre le pays Thionvillois et le pays de Nied.

Ce jour là nous sommes partis, avec nos amies Joëlle et Alexandra, découvrir le pays Sierckois!

Cet article servira de récapitulatif à cette balade!

-Balade autour de Sierck-les-Bains (ici)

-Restaurant Cordel à Beyren-lès-Sierck (voir le lien)

-Beyren-lès-Sierck sous les eaux (voir le lien)

-Le Stromberg (voir le lien)

-Sierck-les-Bains-Le village du père Noël (voir le lien)

-Sierck-les-Bains-Les contes en lumière (voir le lien)

-Sierck-les-Bains-Les contes en lumière la nuit (voir le lien)

Vous pouvez voir ou revoir nos balades en Moselle en cliquant sur ce lien.

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(7 clichés)


Notre circuit a débuté au restaurant Cordel situé à Beyren-lès-Sierck!
Après notre repas, nous avons eu le temps de nous promener dans les rues de ce joli village bien arrosé par la pluie de ces derniers jours.


La cité de Sierck, nichée au bord de la Moselle, nous offre de bien jolies promenades!


Au pied de Sierck, sur l'autre rive, le Stromberg!
Combien de fois nous sommes passés devant sans pour autant le gravir!

Depuis plusieurs siècles, la veille de la Saint-Jean, les habitants de Contz-les-Bains ont pour coutume de placer en haut de la colline du Stromberg une roue entourée de paille à laquelle on met le feu, puis ils la poussent afin qu'elle descendre le long de la colline en terminant sa course dans la Moselle


Ce jour là, nous y sommes montés en voiture!
Le sommet de la colline offre un point de vue sur la boucle de la Moselle ainsi que sur Sierck-les-bains et les villages environnant.


C'est au coeur de Sierck que, cette année, le père Noël a installé son village!


Bien sûr!
Nous y sommes allés!

À bientôt pour le détail de cette balade!



Sarrebruck, cette commune frontalière située en Allemagne, nous dévoile peu à peu ses monuments!
Il en est un qu'il ne faut pas manquer, c'est l'hôtel de ville Saint-Johann!

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(8 clichés)


L’hôtel de ville de Sarrebruck a été édifié dans le style néo-gothique entre 1897 et 1900 par l’architecte Georg J. von Hauberrisser, à qui l’on doit également les hôtels de ville de Munich et Wiesbaden.


La façade principale est ornée de personnages en grès représentant les anciens corps de métiers: un mineur, un métallurgiste, un paysan, un brasseur de bière, un négociant et, enfin, un tanneur.
Le personnage de saint Georges combattant le dragon est moins facile à identifier.
Il symbolise probablement la lutte contre le Mal.


L'intérieur est très beau! Il me fait penser à un ancien couvent!


Sarrebruck a subi d’importants dégâts lors de la Seconde Guerre mondiale.


Subsiste néanmoins un important patrimoine historique!


La mairie en fait partie!


Notre balade à Sarrebruck se termine! Je vous donne rendez-vous demain pour un autre voyage!



La basilique à St. Johann, érigée entre 1754 et 1758 par F. J. Stengel et entièrement restaurée, dévoile aujourd’hui toute la splendeur baroque du 18e siècle.

Vous l'avez compris, notre balade en Allemagne se poursuit et nous nous sommes dirigés vers la basilique de Sarrebruck!

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(13 clichés)


L'église Saint-Jean (St. Johann) était administrée à l'époque de la Réforme par un seigneur protestant et seule une chapelle, la chapelle Saint-Jean, était affectée au culte catholique.


Au 18e siècle, sous la domination française de Louis XIV, la population catholique crut.
Le pouvoir en place finança alors la construction de la basilique, qui était alors le seul édifice religieux construit depuis cent ans.


Elle obtînt du pape le titre de « basilica minor ».


Son portail de bronze et son entrée remarquables ont été réalisés par l’artiste sarrebruckois Ernst Alt.


La basilique fut plusieurs fois réaménagée, détruite et rénovée.


L'intérieur a été réaménagé conformément à l'original baroque entre 1972 et 1975.


La basilique tient son nom actuel d'une décision de Paul VI qui en fit une basilique.


Son orgue, en particulier, mérite d’être cité.
Il est composé de trois parties indépendantes, le grand orgue et les deux orgues de choeur.


La basilique fait partie d'une paroisse qui compte cinq églises.


En plus des messes, des concerts d'orgues y sont régulièrement organisés.


Les rampes de la basilique représentent une corde tenue en haut par une main jeune et qui est tenue en bas par une main plus âgée!


C'est une belle réalisation!

À demain!



Sarrebruck offre tout ce que l’on est en droit d’attendre d’une capitale de Land : centre économique moderne, ville de congrès et de salons, ville universitaire et haut lieu de culture, c’est également un endroit où il fait bon vivre. Et surtout, la France est à deux pas.

Ici, nous pouvons admirer le théâtre national de la Sarre.

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(7 clichés)


Sarrebruck a revêtu ses habits de fête!


La balade est bien agréable.


La place du marché.....
C'est là que l’on se retrouve, que l’on flâne dans les ruelles pittoresques tout autour de la place du marché.


Au centre de cette place se trouve la fontaine baroque, conçue par F. J. Stengel en 1759.


Nous nous promenons dans les rues si typiques!


Et nos pas vont nous amener à visiter la basilique Saint-Johann!

À demain!



Notre balade en Allemangne se poursuit, et, après avoir visité les studios de la SR, Saarländischer Rundfunk, chaîne de radio et de télévision allemande, nous nous sommes dirigés vers le château et surtout vers ses jardins!

Démarrons notre promenade au niveau de l'église du château!

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(11 clichés)


Située sur les bords de la Sarre, Sarrebruck ne doit pas son nom aux ponts (en allemand : Brücke, pluriel : Brücken) au-dessus de la Sarre comme on pourrait croire.
En réalité, le nom Sarrebruck vient probablementde l'ancien nom de la forteresse située sur un rocher (= Brocken) de Sarabrucca.
Ce rocher porte aujourd'hui le Château de Sarrebruck.


De la place de l'église nous avons une belle vue sur le centre-ville!


Le château fort a été transformé au 17e siècle en château Renaissance.


Le jardin du château qui, à l'origine, descendait en terrasses jusqu'à la Sarre, a été aménagé en jardin baroque entre 1760 et 1765.


Après la destruction du château, le prince Wilhelm Heinrich fit ériger au 18e siècle une nouvelle résidence baroque par F. J. Stengel, son architecte attitré.


Le château fait office aujourd’hui de siège administratif, de centre culturel et de lieu de manifestations pour séminaires et soirées de gala.


Nous sommes invités à visiter un petit musée situé à l'intérieur du château!
Cette toile effectuée par un artiste inconnu en 1770 nous montre la ville de Sarrebruck.


Cette toile, également effectuée par un artiste inconnu en 1760, représente le château.


L’architecte Gottfried Böhm a conçu en son centre un édifice contemporain de verre et d’acier.


L'ensemble des édifices baroques encadrant la place du château porte également la signature de F. J. Stengel.
Celui-ci avait été chargé de construire, autour du château, des bâtiments qui, tout en restant dans le style de ce dernier, ne lui voleraient pas la vedette.

À demain!



Sarrebruck est une commune située sur la frontière avec la France!
Ce jour là nous avons retrouvé le groupe des retraités de La Poste afin d'y passer la journée!
Journée qui a débuté par la visite des studios de la radio et télévision de la SR, Saarländischer Rundfunk.

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(9 clichés)


D'un studio à l'autre...je m'y perds! Heureusement nous avons un guide bien sympathique.


Nous nous arrêtons devant le studio philharmonique....pas de chance!
Il est en enregistrement!


Un peu plus loin, nous sommes en direct à la radio!
Notre guide demande la permission à l'animateur d'envahir son studio!


Nous avons l'autorisation seulement si.....nous ne faisons pas de bruit!


Ce moment est impressionnant! Nous touchons du bout des doigts le monde de la radio!


Les bureaux!


Le matin...entre café et journaux....Tout est passé en revue!


La matinée passe très vitre! Nous sommes attendus à la cantine de la radio pour un repas bien mérité.

Nous remercions la Saarländischer Rundfunk pour son accueil bien sympathique.



Aujourd'hui, nous débutons une nouvelle série consacrée à Sarrebruck!
Sarrebruck, commune située en Allemagne, est la capitale du Land frontalier de la Sarre, le plus petit État allemand
Sarrebruck entretient aussi des relations privilégiées avec Metz, Nancy et Luxembourg, les trois autres villes de la Grande Région.

Ce jour là nous sommes partis de bonne heure afin de profiter de cette journée découverte!

Cet article servira de récapitulatif à cette journée passée à Sarrebruck!

-Une journée en Allemagne (ici)

-Les studios de la Saarländischer Rundfunk (voir le lien)

-Les jardins du château (voir le lien)

Un petit tour en ville (voir le lien)

-La mairie (voir le lien)

Vous pouvez voir ou revoir toutes nos balades allemandes en cliquant sur ce lien!

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(17 clichés)


Le premier arrêt de cette journée est le site de la Saarländischer Rundfunk (Radio de Sarre).


La Saarländischer Rundfunk  ou Radio de Sarre est le service public audiovisuel pour le Land de Sarre.



En 1929, la première émission de radio de la Sarre est émise.
Après le rattachement de la Sarre à la République fédérale d'Allemagne en 1957, la "Saarländischer Rundfunk GmbH" devient la "Saarländischer Rundfunk".


Nous sommes accueillis dans les locaux de la radio allemande et un petit déjeuner nous est servi.


La visite des studios commence et nous sommes pris dans cet univers particulier des radios!


Dans certains studios il est nécessaire de prendre des précautions!


Depuis 1964, la Sarre est le premier Land où il est légal de fonder des chaînes de radio et de télévision privées.


Beaucoup de matériel nous entoure.


Il faut faire très attention à ne pas prendre un micro ou un spot avec nous!


Chaque studio a son propre emploi!


Un est destiné à la météo....


Un autre aux informations.....


Les moniteurs comme si nous y étions!


Le centre stratégique qui regroupe toutes les chaînes est impressionnant!


En août 1998, après la fusion de la SDR et la SWF à la Südwestrundfunk (SWR), le programme pour la Sarre s'appelle "SR Fernsehen", une chaîne où l'on diffuse des émissions spécialement produites pour la région de la Sarre.


Tiens tiens! Mais qui est là!

À demain!



Metz, cette commune située dans le département de la Moselle, est une cité qui nous est chère!
Chaque année, au moment de Noël, nous aimons retrouver une ville en fête!

Cette année nous sommes restés jusqu'à la tombée de la nuit....afin d'admirer ce très beau sentier des lanternes!


Vous pouvez voir ou revoir notre balade aux marchés de Noël de Metz depuis le début en cliquant sur ce lien!

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(13  clichés)


Je termine aujourd'hui, notre balade à Metz par la suite de ce très beau sentier des lanternes!


Retour en enfance....non.....magie de Noël!


Les berges de l'ïle du Petit Saulcy sont métamorphosées....


....le temps d'un Noël de rêve!


Tout ce petit monde se presse....


....le spectacle va commencer!


C'est la fête!


Au détour du sentier, nous découvrons un grand carrousel.


Tournez....tournez manège!


Sur la Moselle, les personnages prennent une autre dimension!


Décoration sur fond du Temple Neuf!


Le voyage prend fin.....Il est temps de rentrer!

À demain pour un autre voyage!



Un petit tour sur les marchés de Noël de Metz c'est un billet gagnant vers une ambiance particulière que nous sommes heureux de retrouver chaque année!

Terminons notre balade messine par le sentier des lanternes....il faudra au moins deux jours pour le découvrir!

Vous pouvez voir ou revoir notre balade aux marchés de Noël de Metz depuis le début en cliquant sur ce lien!

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(13 clichés)


Le sentier des lanternes fait désormais partie du paysage des animations pour les fêtes de fin d’année à Metz.


Le sentier des lanternes propose une balade familiale dans les jardins de l’Hôtel du Département.


Sur fond de ciel bleu nuit, la cathédrale saint-Étienne se dévoile.


Poupées, soldats et autres coeurs en pain d’épices.....plusieurs centaines de personnages inspirés des contes de Noël peuplent un parcours féerique!


Ce parcours est du à  l’illustrateur et peintre né à Phalsbourg, Guy Untereiner.


Le sentier des lanternes de Noël est devenu au fil des ans une véritable institution.


Cette promenade est devenue « la » balade à ne manquer sous aucun prétexte, pour rêver à la lueur des lutins, poupées, et autres merveilles illuminées.


Plus féeriques que jamais, le sentier accueille de nouvelles pièces.


Vous croiserez de curieux personnages issus des célèbres contes des frères Grimm.


Et lorsque la nuit tombe sur les berges de l'île du Petit Saulcy.....


.......les bords de la Moselle prennent des allures de contes de fées.


À demain!



Metz, commune située dans le département de la Moselle, a mis ses habits de lumière afin de fêter Noël comme il se doit!
Et, pour cette occasion, nous avions décidé, ce jour là, de découvrir les marchés de Noël disséminés dans la ville.

Nous avons quitté la place Saint-Louis et nous arrivons place d'Armes!

La place d’Armes est une place pavée rectangulaire à Metz, située entre la cathédrale Saint-Étienne et l’hôtel de Ville!

Vous pouvez voir ou revoir notre balade aux marchés de Noël de Metz depuis le début en cliquant sur ce lien!

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(7 clichés)


C'est sur la place d'Armes que s'est installée le grande roue!


La grande roue est là, sublime et majestueuse!


Le temps passe et il est l'heure du goûter! Notre amie Chantal nous invite à boire un chocolat saveur pain d'épices et à déguster une pâtisserie!
Merci à toi, "ma GSDC"!


À notre sortie, la nuit tombe et la roue est toute illuminée!


Elle est belle notre cathédrale saint-Étienne!

À demain!



Notre balade à Metz, commune située dans le département de la Moselle, se poursuit!
Et nous prenons plaisir à découvrir tous les marchés de Noël disséminés dans la ville!

Aujourd'hui nous sommes place Saint-Louis!

La place Saint-Louis de Metz est une place de l’époque médiévale qui mérite d'être vu en été!
Mais aujourd'hui, cette place emblématique de Metz est le rendez-vous du marché des traditions.

Vous pouvez voir ou revoir notre balade aux marchés de Noël de metz depuis le début en cliquant sur ce lien!

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(8 clichés)


Le marché des traditions accueille artisans et créations de toutes sortes!


Il n'y a pas de doute! C'est Noël!


Chalets artisans ou chalets gourmands! Mon coeur balance!


Mamie Simone m'a demandé des Saint-Nicolas en pain d'épices! Je fais donc une petite réserve!


Le père Noël est également présent!


Nous nous arrêtons devant notre santonnier! Cette année nous avons acheté une école pour notre institutrice!


La balade n'est pas finie! Nous voulons admirer la belle roue installée place d'Armes!
Pour cela nous passons rue Taison afin de saluer notre Graoully, animal mythique à l'apparence d'un dragon, qui vivaient dans l'arène de l'amphithéâtre de Metz.

Vous pouvez voir notre article concernant le Graoully de Metz en cliquant sur ce lien.

À demain!



Si vous connaissez Metz, vous connaissez la place Saint-Louis.
La place Saint-Louis de Metz en Moselle, est une place de l’époque médiévale dont elle est emblématique, avec une galerie couverte d’une soixantaine d’arcades qui abrite toujours les chalands!

Vous pouvez voir ou revoir notre balade aux marchés de Noël de Metz depuis le début en cliquant sur ce lien!

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(8 clichés)


Il règne sur la place Saint-Louis un vent de féerie, de magie et d’émotion.


Installée en plein cœur de ce site historique datant du Moyen Âge, la pyramide de Noël a été réalisée spécialement pour le Marché de Noël de Metz.


Entrons y faire un tour!


La magie de Noël opère à l'intérieur de cette pyramide!


Boules, guirlandes, photophores…une féerie de décorations!


Tout est là pour nous rappeler que Noël....


....est à notre porte!



Le Saint-Jacques à Metz est un centre commercial situé au coeur de la ville!
Chaque année, au moment du marché de Noël, nous y découvrons une animation!

Vous pouvez voir ou revoir notre balade aux marchés de Noël de Metz depuis le début en cliquant sur ce lien!

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(6 clichés)


Nous avons poursuivi notre circuit et, de la pace de la République, nous avons pris la rue Serpenoise!


J'ai été charmée par quelques vitrines superbement décorées!


À l'intérieur du centre Saint-Jacques, il y a une cour extérieure! Un père Noël attend les enfants pour un petit tour en train!


Mais continuez votre promenade et dirigez-vous vers la place centrale du centre, au niveau -1!


Le père vous attend et sera heureux de faire une photo souvenir!

À demain pour la suite de notre balade aux marchés de Noël de Metz!



Alors que nous nous promenions à Metz pour visiter les marchés de Noël, nous sommes passés devant une enseigne de magasin qui m'a tout de suite fait penser à Françoise "grainedesucre"!

En effet, vous connaissez le goût de Françoise pour les enseignes de magasins aux de jeux de mots amusants!


Elle est chouette, celle-ci!

Vous pouvez voir ou revoir notre balade aux marchés de Noël de Metz depuis le début en cliquant sur ce lien!

Vous pouvez revoir d'autres enseignes
sur ce lien.




Au moment de Noël nous ne manquons pas de nous rendre à Metz afin de nous promener dans les rues de la ville pour admirer les marchés de Noël disséminés un peu partout!

Le marché de Noël de Metz 2017 est la nouvelle balade que nous vous proposons et cet article servira de récapitulatif à notre découverte des marchés de Noël de Metz 2017!

-Marchés de Noël Metz 2017 (ici)

-Enseigne ou jeu de mot (voir le lien)

-Noël au Saint-Jacques (voir le lien)

-La pyramide de la place Saint-Louis (voir le lien)

-Noël place Saint-Louis (voir le lien)

-Noël place d'Armes (voir le lien)

-Le sentier des lanternes (I)
(voir le lien)

-Le sentier des lanternes (II) (voir le lien)

Vous pouvez voir ou revoir d'autres marchés de Noël en cliquant sur ce lien.

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(11 clichés)


Nous avons décidé de commencer notre circuit par la place Charles de Gaulle, au niveau de la gare et de La Poste!


Ce premier site est consacré à la crèche et sa forêt.


La place du général de Gaulle accueille une installation réalisée par la Ville de Metz.


Cette installation est composée de sapins de différentes hauteurs et couleurs et d'arbustes à bois colorés.


Animaux et autres personnages lumineux viennent agrémenter ce décor.


Une nouvelle crèche bardée par des lattes en bois naturel des Vosges accueille des personnages vêtus de costumes provenant de l'opéra-théâtre.


La magie de Noël!


Nous quittons la gare et nous arrivons place de la République!


Les chalets sont installés et nous accueillent avec beaucoup de sympathie....


....et beaucoup de gourmandises!

À demain!



Notre journée passée dans le Saintois, se termine aujourd'hui par la visite du château de Thorey-Lyautey!

Thorey-Lyautey, petit village du nord est de la France, est situé dans le département de la Meurthe-et-Moselle en région Lorraine.
Cette cité est surtout connue pour le château du maréchal Hubert Lyautey.

Hubert Lyautey, né le 17 novembre 1854 à Nancy et mort le 27 juillet 1934 à Thorey, est un militaire français, officier pendant les guerres coloniales.

Vous pouvez voir ou revoir notre balade dans le saintois depuis le début en cliquant sur ce lien!

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(10 clichés)


Rien ne pouvait laisser imaginer  que  le Maréchal Lyautey s’installerait un jour  à Thorey, petit village typiquement lorrain de 200 âmes à l’époque et y inscrirait sa légende.
Sa décision d’y construire, en prolongement d’une gentilhommière héritée d’une tante, est la conséquence de l’incendie de son château de Crévic par les troupes allemandes au début de la guerre de 1914-18.


La ferme de la fin du 17e appartenait à mademoiselle de Villemotte, sœur de la mère du maréchal Lyautey.
Elle servait de pavillon de chasse.
Après avoir fait établir des projets pour y élever une nouvelle demeure, Lyautey y renonça et fit construire ce château entre 1920 et 1924.


Le maréchal aime cette région appelée Saintois, et le voisinage historique de Sion et de Vaudémont, berceau des Ducs de Lorraine, n’est sans doute pas étranger à son choix.


Il vient s’installer à Thorey-Lyautey à partir de novembre 1925, à son retour du Maroc, il a 71 ans.


Pendant plusieurs mois, il met un soin particulier à mettre tout en place, à mêler l’ancien et le contemporain, à décorer, bref à donner une âme à sa demeure.


Il va partager son temps entre son appartement parisien de la rue Bonaparte et Thorey  où tout a été prévu pour accueillir avec faste ses invités de marque et mettre à l’aise ses amis.


Le Maréchal Lyautey décède dans son château de Thorey le vendredi 27 juillet 1934.


Comme ce pionnier de la communication l’avait sans doute imaginé tout est prévu pour qu'après lui, les décors, les souvenirs exposés racontent d’eux-mêmes l’épopée de ce “Prince lorrain” devenu aussi l’Africain.


Le château qui conserve ses souvenirs, des éléments de son mausolée de Marrakech ont été, après l'accession du Maroc à l'indépendance, remontés dans le parc.

Une partie de la visite est consacrée à ses souvenirs de Marrakech! Les photos y étant interdites, je vous invite à visiter ce château!
Vous ne serez pas déçus!

À bientôt pour un autre voyage.



Notre balade dans le Saintois se poursuit avec un arrêt sur la colline de Sion!

Site paysager naturel et haut lieu d'histoire et de culte, la colline de Sion Vaudémont est à l'origine une butte géologique de la côte de Moselle, offrant des points de vue exceptionnels sur les paysages du Saintois jusqu'aux crêtes des Vosges.

Vous pouvez voir ou revoir notre balade dans le saintois depuis le début en cliquant sur ce lien!

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(10 clichés)



Quand nous arrivons sur le site nous avons une belle vue sur Notre-Dame de Sion située sur la basilique.


En suivant le chemin de ronde nous arrivons au monument saint-Joseph!
Ce monument a été élevé en 1894 par les Junioristes oblats sur un piédestal de 10m de pierres de roche.


En haut du piédestal, Saint-Joseph est représenté tenant dans la main gauche une hampe ornée d’une fleur de lys, la main droite tenant l’enfant Jésus debout à côté de lui.


Sous le piédestal un groupe de statues!
Ce groupe de statues représente la mort de Saint-Joseph, la Vierge et Saint Jean penchés sur lui.


La basilique Notre-Dame de Sion est une basilique de culte catholique construite sur la colline de Sion-Vaudémont, sur la commune de Saxon-Sion, dans le département de Meurthe-et-Moselle.
Elle matérialise le culte marial qui remplaça le culte des déesses latines, qui lui-même s'était implanté sur un haut-lieu celtique.


La tour de la basilique est couronnée d'une statue monumentale représentant Marie.
Cette statue, qui mesure 7 mètres de haut, date du milieu du 19e siècle et provient de la fonderie de Tusey à Vaucouleurs dans le département de la Meuse.


Au-dessus du porche, la Vierge à l'Enfant en majesté a la particularité d'être représentée assise!


Vers 1306, le huitième comte de Vaudémont, Henri III, bâtit le choeur actuel où sera placée la nouvelle statue de la Vierge allaitant l'enfant Jésus.


Elle sera détruite à la Révolution et remplacée par la statue actuelle de la Vierge.

À demain!

Je vous invite à voir ou à revoir la visite visite plus complète de Sion-Vaudémont que nous avions faite l'année dernière en cliquant sur ce lien!



Lors de son rattachement au Duché de Lorraine en 1473, le comté de Vaudémont, actuel Saintois, est déjà considéré comme un grenier à blé pour la Lorraine : « Quand le Xaintois et le Vermois sont emblavés, la Lorraine ne risque point de mourir de faim ».

Après nous être promené du côté de Haroué, puis de Vaudémont, il est l'heure de nous restaurer!

Rendez-vous a été pris à l'Auberge de la Colline installée en plein coeur du village médiéval de Vaudémont.

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(7 clichés)



C'est dans une ambiance conviviale que nous nous installons sur la terrasse!
Nous apprécions ce moment de repos entre deux découvertes tout en sirotant un kir au vin blanc et au sirop de mirabelle.


L'entrée est composée d'une terrine de pâté faite maison! Un délice.


Nous sommes en Lorraine et nous aimons mettre en avant nos produits! C'est ainsi que nous avons beaucoup aimé ce poulet cuisiné aux mirabelles de Lorraine.


Ce plat était accompagné de pommes de terre rôties.


Le dessert fait le bonheur de Marc, une panna cotta aux mirabelles.


Alors que je prends le temps de boire mon café, Marc savoure non pas un mais deux desserts!

Si vous passez par Sion-Vaudémont, n'hésitez pas à vous arrêter! Cette adresse est très gourmande!
Mais n'oubliez pas de réserver!



Nous poursuivons notre balade dans le saintois, région située au sud du département de Meurthe-et-Moselle.
Nous avons quitté, avec regrets, le château de Haroué pour nous diriger vers le petit village de Vaudémont.

Située à proximité du département des Vosges, à une trentaine de kilomètres au sud de Nancy, la commune de Vaudémont domine la vaste plaine du Saintois.

Vous pouvez voir ou revoir notre balade dans le saintois depuis le début en cliquant sur ce lien!

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(11 clichés)



Du 11e siècle au 15e siècle, Vaudémont a été la capitale d'un comté indépendant.


En 1473, ce comté fut intégré dans le duché de Lorraine.
Et la citadelle du bourg, entourée de murs épais et de tours de défense, fut démantelée en 1639 sur ordre de Richelieu!


Le village de Vaudémont conserve son caractère médiéval avec ses rues étroites et ses maisons rurales traditionnelles!


Ce village peut être aussi nommé "village aux multiples puits"!


L'église saint-Gengoult a été construite de 1742 à 1748, sur les plans de Jacques Le Cerf, architecte à Vézelise.


Le beau village de Vaudémont, qui occupe l'extrémité Nord-Ouest de la colline de Sion-Vaudémont, a encore un dernier trésor à nous montrer, la Tour Brunehaut!


La « Tour de Brunehaut » est un ancien donjon.


Construite avec des remplois gallo-romains, elle constitue les vestiges de l'ancien château des comtes de Vaudémont.


Sur le côté d'une maison, nous apercevons un instrument peu commun!
C'est une lame qui sert de chasse-neige!


Il est bientôt midi et l'heure du repas approche!
Nous n'avons plus le temps de poursuivre notre balade dans ce beau village de Vaudémont!
Alors je vous invite à voir ou à revoir la visite, plus complète, que nous avions faite l'année dernière en cliquant sur ce lien!

À bientôt pour la suite de cette balade!



Le château des Beauvau-Craon, dit château d'Haroué est un château du 18e siècle situé dans une petite vallée au centre du village français d'Haroué, dans le Saintois, au Sud de Nancy et que nous avons eu la chance de visiter cet été!

Vous pouvez voir ou revoir notre balade dans le saintois depuis le début en cliquant sur ce lien!

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(12 clichés)



Jolie perspective!


La visite se poursuit et nous sommes sous le charme de ce beau château.


Une partie du mobilier d'époque Restauration provient de la gratification dont bénéficia en 1820 Zoé Talon, comtesse du Cayla, maîtresse du roi Louis XVIII.


Le château est aujourd'hui encore habité par les descendants du prince Marc de Beauvau-Craon, sa fille Marie Isabelle Cristina Adèle Gracie et ses enfants dont Minnie de Beauvau-Craon.


Il ne faut pas oublier de lever la tête! Vous pourriez passer à côté de petites merveilles.


Une pièce ronde, réduite, abrite un salon de musique!


La vue sur les jardins est magnifique!


Le mobilier change au fur et à mesure de notre visite!


Il devient plus contemporain!


Le parc à la française a été dessiné par l'architecte-décorateur Emilio Terry, le parc et sa perspective naturelle sont protégés en tant que Logo des sites naturels français Site classé.


De manière surprenante, l'architecte a dû intégrer dans ses plans les quatre tours et les douves d'un château médiéval plus ancien et qui fut la propriété du marquis François de Bassompierre né en 1579.

À bientôt pour la suite de notre balade dans le saintois!



Le château d'Haroué est un château du 18e siècle situé dans une petite vallée au centre du village français d'Haroué, dans le Saintois, au Sud de Nancy!
Ce château est le premier arrêt de notre journée-découverte de cette région!

Lors de la visite de ce palais nous avons été charmés par le fameux salon chinois du château!

Vous pouvez voir ou revoir notre balade dans le saintois depuis le début en cliquant sur ce lien!

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(12 clichés)


Ce salon est unique en Lorraine.


Il a été décoré par Jean Pillement.


Une petite merveille!


Un petit tour en voiture?


Saviez-vous que certaines des pièces de mobilier présentes dans le château ont été commandées initialement par Louis XVIII pour le château de Saint-Ouen.


En effet, une partie du mobilier d'époque Restauration proviennent de la gratification dont bénéficia en 1820 Zoé Talon, comtesse du Cayla, maîtresse du roi Louis XVIII.


Les tapisseries des Gobelins racontent l’épopée d’Alexandre le Grand!


Tout un programme!


La table est mise!
Les couverts semblent avoir été oubliés!
Mais non!
Ils ont été simplement volés par les visiteurs d'un jour!!!


Les pièces se succèdent....


....nous pourrions croire que Marc de Beauvau-Craon, connétable de Lorraine, va bientôt entrer et nous conter son histoire!

À demain!



Haroué est une commune située dans le département de Meurthe-et-Moselle, en région Lorraine.
Cette cité est surtout connue pour son château, le château des Beauvau-Craon, dit château d'Haroué!

Après avoir admiré la cour d'entrée du château poussons la porte de ce bel édifice!

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(7 clichés)


Je vous rappelle que le château a été construit entre 1720 et 1729 par Germain Boffrand, pour Marc de Beauvau-Craon, connétable de Lorraine puis vice-roi de Toscane.


Il est aujourd'hui possédé et habité par les descendants du prince Marc de Beauvau-Craon, sa fille Marie Isabelle Cristina Adèle Gracie et ses enfants dont Minnie de Beauvau-Craon.


Une partie du mobilier d'époque Restauration et de qualité exceptionnelle et des tableaux, proviennent de la gratification dont bénéficia en 1820 Zoé Talon, comtesse du Cayla, maîtresse du roi Louis XVIII au château de Saint-Ouen et passa à la famille Beauvau-Craon par le mariage en 1825 de la fille de Zoé Talon, Ugoline, avec un prince de Beauvau-Craon.


Durant la visite nous avons pu admirer de magnifiques salons.


Mais également quelques tapisseries des Gobelins racontant l’épopée d’Alexandre le Grand.


Une petite vue sur le parc à la française crée par Marc de Beauvau-Craon.

À demain!



Comme je vous le disais hier, notre balade dans le saintois a débuté par la visite du château de Haroué!
Haroué est un très beau village situé au bord du Madon dans le département de la Meurthe-et-Moselle!
La signification du mot "Haroué" vient du fait qu'il y avait, autrefois, un gué dans ce village!
Et comment dit-on gué en patois? "Haroué"!

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(11 clichés)


Le Château de Haroué est l’œuvre de l’architecte Germain Boffrand (1667-1754) pour le prince Marc de Beauvau-Craon, ami d’enfance du duc de Lorraine Léopold (1690-1729).
Marc était également vice-roi de Toscane, prince du Saint-Empire, Grand d’Espagne et reconnu cousin du roi par Louis XV.


Le Château de Haroué fut érigé entre 1720 et 1732 sur les fondations du château de Bassompierre.


Boffrand marque le château de son originalité car ce dernier est le symbole du temps qui s’écoule!


En effet, on y trouve 365 fenêtres, 52 cheminées, 12 tours et tourelles et 4 ponts.


-365 fenêtres: une par jour à nettoyer
-52 cheminées: une par semaine à ramoner
-12 tours: une pour chaque mois de l'année
-4 ponts.....


D’autres artistes lorrains ont participé à son embellissement, comme Jean Lamour qui a forgé la grille d’honneur, celles des balcons, ou encore l’escalier d’honneur.


Barthélémy Guibal a, quant à lui, déployé son art dans les 6 groupes d’enfants sculptés situés dans la cour d’honneur et la terrasse côté jardin.


On parle souvent du Château de Haroué comme un «Palais à la campagne» mais c’est avant tout une maison «habitée» par les descendants du Prince Marc de Beauvau-Craon et de sa femme Anne-Marguerite.


En effet, cette demeure est habitée depuis 8 générations par la famille des Beauvau-Craon!


À demain!



Aujourd'hui, nous débutons une nouvelle série dans notre rubrique "voyage"!
Cet été nous avons eu le loisir de passer une journée dans le Saintois!

Le Saintois est une région naturelle de la région Lorraine. Elle est située au sud du département de Meurthe-et-Moselle.

Pour vous situer cette région naturelle, voici la carte de France avec le département de la Meurthe-et-Moselle (54)!

(photo prise sur le net)


Et voici le département de la Meurthe-et-Moselle avec le Saintois (en rose le plus clair)!

Cet article servira de récapitulatif à cette journée dans le Saintois!

-une journée dans le Saintois (ici)

-le château de Haroué (voir le lien)

-début de la visite du château d'Haroué (voir le lien)

-Haroué-Chef d'oeuvre de style élégant (voir le lien)

-Haroué-Fin de la visite (voir le lien)

-Vaudémont, un village historique (voir le lien)

-Vaudémont-L'auberge de la Colline (voir le lien)

-La colline de Sion (voir le lien)

-Château de Thorey-Lyautey (voir le lien)

Vous pouvez voir ou revoir nos balades en Meurthe-et-Moselle en cliquant sur ce lien!

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(7 clichés)

(photo prise sur le net)


La visite a débuté avec un arrêt au château d'Haroué.

Ce château du 18e siècle est situé dans une petite vallée au centre du village français d'Haroué, dans le Saintois, au Sud de Nancy.



Ce palais a été construit entre 1720 et 1729 par Germain Boffrand, pour Marc de Beauvau-Craon, connétable de Lorraine puis vice-roi de Toscane.


Le temps d'une petite balade nous avons, également, découvert le joli village de Vaudémont!


Bien sûr nous ne pouvions pas manquer cette visite sur le site de la colline de Sion.
Culminant à une altitude de 540 mètres, ce qui en fait le point le plus élevé du relief des côtes de Moselle, la colline de Sion, de par son histoire et son pèlerinage, est un lieu majeur du tourisme meurthe-et-mosellan.


Enfin et pour terminer cette journée nous étions attendus au château de Thorey-Lyautey, château ayant appartenu au Général Lyautey.

Voilà pour un petit résumé de notre nouvelle série "voyage"!

À demain pour le début de la visite!



Sur le chemin du retour de notre balade à Saint-Avold, nous nous sommes arrêtés un instant afin de prendre quelques photos surprises!

Vous pouvez voir ou revoir notre balade à Saint-Avold depuis le début en cliquant sur ce lien!

Vous pouvez retrouver d'autres ronds-points sur ce lien.


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(7 clichés)


Les halles de Faulquemont abritent la médiathèque.


L’église Saint-Vincent est l’église paroissiale de Faulquemont, située place Monroë.
Elle est dédiée à saint Vincent de Saragosse, diacre martyr du 4e siècle.


Mais le plus surprenant lorsque vous vous promenez à Faulquemont ce sont les figurines relatives à Hergé qui ornent les ronds-points du centre ville.


Le capitaine Haddock, comme à son habitude, dirige les opérations!


Tintin et Milou, son fidèle compagnon, nous indique le chemin!


Sans oublier, bien sûr, le professeur Tournesol.



Nous avons pris plaisir à flâner au gré des rues du coeur historique de Saint-Avold, commune située dans le département de la Moselle.

Nous avons pris plaisir aussi de nous arrêter devant quelques très jolies portes qui ornent cette cité!

Vous pouvez voir ou revoir notre balade à Saint-Avold depuis le début en cliquant sur ce lien!

Vous pouvez retrouver d'autres portes et fenêtressur ce lien.

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(5 clichés)


Après les tragédies du 17e siècle, les traités de Ryswick et de Paris de 1697 et 1718 voient la paix s’installer enfin dans notre région et les troupes d'occupation évacuer Saint-Avold.
Le duc Léopold 1er, dit Le Bon, (1679-1729) entreprend la reconstruction de ses états afin d'effacer les traces des années de guerres qui ont ravagé les duchés de Lorraine et de Bar pendant trois quarts de siècle.

La reprise économique des années 1715-1730 voit, à Saint-Avold, la construction de nombreuses maisons avec de bien jolies portes!


Cette porte est tout-à-fait remarquable!
Les six panneaux sculptés en demi-relief décorent le vantail.
Les quatre panneaux inférieurs, presque carrés, portent des têtes de lion aux gueules menaçantes.
Les deux panneaux supérieurs sont rectangulaires verticaux et portent des têtes d'homme à bouche grimaçante et aux longues moustaches terminées en grosses virgules aplaties.


Maison dite "Faust"!
Cette maison date du 18e siècle.
La porte en chêne est décorée de motifs sculptés représentant des têtes d’animaux et des masques grimaçants.
Cette œuvre est attribuée à Jean Melling.


Cette porte présente sur le panneau inférieur transversal, au centre, une coquille ornée de graines réunissant des branches de rosiers fleuries tandis que sur les deux panneaux rectangulaires figurent des corbeilles d'osier garnies de roses trémières.
Quant aux panneaux supérieurs, ils sont sculptés d'une tête de chérubin au visage de garçonnet encadré de longues mèches raides, s'opposant à une chute de trois branches de rosier et feuilles de chêne.



Tout en nous promenant dans les rues de Saint-Avold nous sommes passés devant une maison qui s'est révélée être la maison natale de Pierre-Victor Braun.

Ce fut l'occasion de nous pencher un peu sur ce personnage célèbre!

Vous pouvez voir ou revoir notre balade à Saint-Avold depuis le début en cliquant sur ce lien!

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L'abbé Pierre-Victor Braun naît le 5 juin 1825, à Saint-Avold, en Lorraine.
Le Père Braun prend d'abord en charge les ouvriers germanophones qui cherchent du travail dans les banlieues industrieuses de Paris.

En 1866, il fonde la congrégation des Sœurs Servantes du Sacré Cœur de Jésus en la chapelle Notre-Dame-de-Grâce de Grenelle.

La petite communauté de sœurs a une règle de vie : « Qu’à tous, et de préférence aux plus démunis, soit annoncé l’Amour gratuit de Dieu ».



Saint-Avold est une commune du nord-est de la France.
Située sur la Rosselle elle se trouve près de l'actuelle frontière franco-allemande.

Aujourd'hui nous vous invitons à une balade en ville!

Vous pouvez voir ou revoir notre balade à Saint-Avold depuis le début en cliquant sur ce lien!

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(15 clichés)


La rue Poincaré de la ville est renommée pour ces belles maisons datant du 18e siècle.


Nous découvrons des façades avec des linteaux et moulures magnifiques.


Édifiée en 1714 par le maître maçon Melchior Spinga, cette fontaine au bassin hexagonal et au balustre renflé est ornée de la statue de Saint-Jean Népomucène.....


.....saint protecteur contre les dangers des eaux
cène, saint protecteur contre les dangers des eaux et originaire de Bohême.


Cette maison est l'ancienne maison franche de la famille de Créhange, au service des évêques de Metz et des comtes de Nassau-Sarrebruck.


Cette maison abrite la chapelle des comtes de Chréhange.


De style gothique flamboyant, elle fut édifiée au 16e siècle.
Les clefs de voûte comportent les armes de la Maison de Créhange et de la famille de Mansfeld.


Accueillant tour à tour un jeu de quilles, un abri durant la dernière guerre et une cave à provisions, elle est restaurée en 1986 et classée Monument Historique.
Aujourd'hui, elle abrite un hôtel, restaurant et salon de thé!


Si vous désirez visiter cette chapelle, n'hésitez pas à pousser la porte du salon de thé!


Installez-vous, dégustez un délicieux mille-feuille...et demandez à visiter la chapelle!


Édifiée en 1714 à l’emplacement d’une fontaine réalisée en 1313 par l’abbé Jean, la fontaine sainte-Marie est surmontée d’une croix de Lorraine finement ciselée. La façade à laquelle elle est adossée porte dans une niche une Vierge à la Chaise réalisée en 1986 par Helmuth Muller (1910-1989),artiste local.


Il s’agit d’une copie de la statue originelle du 15e siècle volée en 1973.


Nous passons devant un rond-point bien sympathique.


Et nous terminons notre visite devant la chapelle Sainte-Croix.
Cette chapelle, de style gothique flamboyant, date de la fin du 15e siècle.
C’est le plus ancien monument de Saint-Avold.
Haut lieu de culte jusqu’à la moitié du 18e siècle, un ermite sera chargé de son entretien.
Une régression sensible de la dévotion populaire se fera sentir.
Son mobilier vendu, la chapelle sera laissée à l’abandon.
En 1966, la Ville, devenue propriétaire de l’édifice le restaure.

À demain!



Cette année, nous avons profité de la journée "portes ouvertes" pour visiter l'abbatiale Saint-Nabor de Saint-Avold!
Saint-Avold, commune située dans le département de la Moselle, est connue notamment pour sa très belle abbatiale!

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(12 clichés)


Ce jour là nous savions que l'organiste serait présent pour nous faire visiter ce très bel instrument.


D'ailleurs nous l'apercevons dans le miroir!


Nous sommes invités à monter à l'étage.


Une porte interdite au public...mais pas ce jour là!


Il s’agit d’un orgue de style classique français construit en 1770-1771 par le facteur Barthélémy CHEVREUX.


L'orgue comporte 4 claviers, 1 pédalier, 39 jeux et 2 407 tuyaux.



Les tuyaux sont en plomb ou en étain.
La mécanique en bois de chêne.
La remise en état a nécessité 2000 heures de travail.


Cet orgue a été lui aussi victime des bombardements de 1944. Il a été rénové et inauguré le 26 avril 1987.


Les deux atlantes en bois qui se situent sur les tourelles en bois figurent l’allégorie de la jeunesse...


...et de la vieillesse.


Un concert privé avec une superbe vue d'ensemble de l'abbatiale...une petite merveille!
 
À demain!



Au 18e siècle, l’érudit bénédictin Dom Calmet écrivait :
« Saint-Avold a joué un rôle de premier plan dans l’histoire lorraine.
Elle abritait dans ses murs des ducs de Lorraine, des rois de France et des empereurs d’Allemagne ».

Saint-Avold est une commune située dans le département de la Moselle en Région Lorraine!
Ce jour là, nous sommes partis pour la journée! Nous avions décidé de visiter la très jolie abbatiale Saint-Nabor!

Cet article servira de récapitulatif à cette balade en Moselle-Est!

-Patrie des ducs de Loraine, des rois de France et des empereurs d'Allemagne (ici)

-Les orgues de l'abbatiale (voir le lien)

-Un petit tour en ville (voir le lien)

-Maison natale de Pierre-Victor Braun (voir le lien)

-Quelques portes (voir le lien)

-Faulquemont-Au pays de Tintin (voir le lien)

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(12 clichés)


Dominant le parvis dans une niche d’architecture, la STATUE dite DE LA FOI, ou de la religion, provient du portail classique de la cathédrale de Metz, portail dû à l’architecte BLONDEL et remodelé en 1898.
Cette statue a été réalisée en 1766 par le sculpteur namurois Pierre-François Le Roy (1739-1812).

 

« La Foi » montre le ciel du doigt et regarde la Terre.

Cette femme couverte d’un capuchon monacal, à la face dure et régulière, enlace contre sa hanche une énorme croix.



L’abbatiale Saint-Nabor est le seul vestige de l’ancien prieuré des Bénédictins, dont elle était l’église conventuelle.

Elle est une étape du chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle en provenance de la Sarre et à destination de Metz.



L' orgue est de style classique français construit en 1770-1771 par le facteur Barthélémy CHEVREUX.
Les deux atlantes en bois qui se situent sur les tourelles en bois figurent l’allégorie de la jeunesse et de la vieillesse.
L’ensemble de la décoration est de style Louis XV tardif voire Louis XVI.


Dans le prolongement de la grand’nef, le chœur profond est à deux travées et à abside circulaire.

Les grandes colonnes sont couronnées d’admirables chapi-teaux corinthiens.



La Gloire!
Gloire est un terme générique pour désigner un décor de rayons divergents au centre desquels se trouve un triangle, symbole de la Trinité.
À Saint-Avold, le triangle est remplacé par un cœur transpercé serti d’une couronne d’épines.
Il s’agit du Sacré Cœur de Jésus.


Les vitraux actuels sont la création du peintre et maître-verrier naborien Arthur Schouler.
Ils ont été réalisés de 1969 à 1971.


La mise au tombeau!
C’est au 15e siècle qu’apparaît le thème très populaire de la « Mise au Tombeau ».

Le groupe de Saint Nabor, sculpté pour partie dans le grès et pour partie dans la pierre de Jaumont provient de l’ancienne église paroissiale Saints Pierre et Paul et a été réalisé vers 1500.



Il est de style rhénan à cause des deux soldats assoupis.



Il met en scène autour du Christ mort et prêt à être enseveli, Joseph d’Arimathie et Nicomède représentés sous les traits de beaux vieillards barbus tenant les deux bouts du linceul.



Devant le sarcophage, deux soldats endormis représentés à plus petite échelle figurent symboliquement les gardiens du tombeau.


À demain!



Domrémy-la-Pucelle est une commune située dans le département des Vosges en Lorraine.
Nous y sommes allés, cet été, afin de découvrir le magnifique spectacle monumental Jeanne d'Arc intitulé, "LEnquête Jeanne d'Arc"!

Aujourd'hui, faisons-nous plaisir avec ces dernières photos!

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(10 clichés)



La basilique du Bois-Chenu ou encore Sainte-Jeanne-d'Arc de Domrémy-la-Pucelle, est un édifice religieux dédié à Jeanne d'Arc.



Cet édifice a été élevé au 19e siècle sur un coteau forestier de Domrémy-la-Pucelle, son village natal.


Ce lieu, chargé d'histoire, se prête bien à cette représentation!


Pour quelques instants privilégiés nous côtoyons Charles VII ainsi que Jeanne d'Arc!


La trame de ce spectacle:
... 20 ans après que Jeanne d'Arc a été brûlée, Charles VII met enfin tout en œuvre pour réhabiliter la mémoire et l'honneur de celle sans qui il n'aurait jamais pu être couronné Roi de France....


Les derniers instants sont très émouvants.


Remercions ces plus de 250 acteurs et figurants, regroupés autour du compositeur et metteur en scène Damien FONTAINE et "Voix et Lumière de Jehanne" pour ces moments magiques!


La basilique est magnifique!


À bientôt!



Le spectacle monumental intitulé, "L'Enquête Jeanne d'Arc" à Domrémy était le spectacle évènement de l'année 2017!
Ce spectacle, son et lumière, était donné à Domrémy-la-Pucelle, cité vosgienne, et plus particulièrement sur l'esplanade et la façade de la basilique!

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(12 clichés)



Après le succès des spectacles donnés les années précédentes, la nouvelle scénographie sur L'Enquête Jeanne d'Arc est revenu cet été, toujours sur l'exceptionnel site de la Basilique de DOMREMY!


Pendant 1h45, nous avons vu la Basilique Sainte Jeanne d’Arc, le Bois Chenu, mais également la végétation et les bâtiments environnants, devenir autant de décors baignés de trompe l'oeil et d’illusions d’optiques.


Des projections vidéographiques en 3D, parfaitement intégrées à l’architecture du site, ont recréé des horizons en perpétuels changements, au milieu desquels se joue la formidable épopée de Jeanne d’Arc.


Ce spectacle est construit de manière cinématographique, alternant des scènes épiques empreintes de réalisme, et des moments beaucoup plus intimes relevant davantage d'une scénographie théâtrale.


Plus de 250 acteurs et figurants étaient regroupés autour du compositeur et metteur en scène Damien FONTAINE et "Voix et Lumière de Jehanne".


Nous avons été conviés à l'une des plus grandes fresques multimédias de France, première du genre à mettre en scène le personnage de Jeanne d'Arc, qui plus est sur ces terres natales.


La basilique semble sortir d'un autre temps.


De nombreux figurants.... parmi lesquels des soldats, des cavaliers et des cascades inédites.....


Le temps s'arrête!


Jeanne revient vers nous et nous sommes...encore et encore....éblouis par son histoire!


Un feu d'artifice nous ramène vers la réalité!

À demain!



Domrémy-la-Pucelle, cette commune située dans le département des Vosges en Lorraine, est connue pour être la patrie de Jeanne d'Arc.

Après le succès des spectacles donnés les années précédentes, la scénographie version 2017 sur L'Enquête Jeanne d'Arc est revenue cet été, toujours sur l'exceptionnel site de la Basilique de DOMREMY!

Nous y étions!

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Le spectacle: "L'enquête Jeanne d'Arc"!


20 ans après que Jeanne d'Arc ait été brûlée, Charles VII met enfin tout en oeuvre pour réhabiliter la mémoire et l'honneur de celle sans qui il n'aurait jamais pu être couronné roi de France.


Des enquêteurs sont ainsi dépêchés un peu partout dans le royaume, afin de recueillir les témoignages de celles et ceux qui ont côtoyé Jeanne de son vivant.....


.....amis d'enfance, compagnons d'armes, mais aussi acteurs du premier procès qui l'avaient conduit jusqu'au bûcher, tous sont ici interrogés.


Parmi les enquêteurs, un homme va ainsi aller à la rencontre de témoins qui vont se révéler capitaux et lui livrer alors une toute autre version que celle de la Jeanne diabolique décrite lors du procès en hérésie de Rouen.


Leurs souvenirs s'entremêlent et nous transportent tour à tour, au gré de flashs back saisissants, jusque dans le passé oublié et méconnu de Jeanne d'Arc.


Mais à vouloir revisiter cette période enfouie de l'Histoire, l'homme réveille d'anciennes peurs, aiguise de vieilles rivalités.


De mystérieux personnages se dressent dès lors au travers de sa route, l'emmenant de fausses pistes en fausses pistes, cherchant jusqu'à intenter à sa vie.


Ce spectacle inoubliable est doublé d'un thriller haletant.


Nous avons suivi les traces que l'on croyait effacées d'une Jeanne d'Arc inédite.


Ce tout nouveau scénario a été réécrit pour 2016.


Il est articulé autour d'une scénographie visuelle totalement inédite!
Une petite merveille!

À demain!



Grand, cette commune située dans le département des Vosges, est connue pour son site archéologique de Grand correspondant probablement à la ville gallo-romaine d'Andesina, relevant de la civitas des Leuques.

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(8 clichés)


Outre l’amphithéâtre, les remparts et les divers vestiges antiques, le village est doté d’un petit musée qui permet de mettre en valeur les découvertes archéologiques faites ces dernières décennies.


Pour « habiller les orteils », vous pouvez opter pour de belles sandales, dont le site de Grand a livré des semelles de plusieurs chaussures qui ont même conservé plusieurs rangées de clous.
La forme des semelles s’est en fait conservée sous la forme d’une empreinte, le cuir ayant diffusé les oxydes de fer.


Une épingle à cheveux de l'époque gallo-romaine.
La tête est décorée d'un buste de femme.


Des intailles!
Des intailles sont des pierres semi-précieuses faciles à tailler.
Le jaspe et la cornaline sont le plus souvent employés.
Ces objets reprennent souvent des thèmes inspirés de la statuaire.
La déesse Fortuna est la plus représentée!


Un jeu de 5 dés à jouer.


Cette tablette astrologique date de l'époque gallo-romaine, fin du 2e siècle.
Au centre le soleil! Il est entouré d'une première couronne représentant les douze signes du zodiaque.


Plusieurs fragments architecturaux constituaient vraisemblablement une frise sur le thème de la mer.
Ils ont été découverts en 1969 rue Liffol-le-Grand.
Ces blocs de calcaire datent du 2e siècle et forment une frise qui représente un cortège avec des néréides, des dauphins et des tritons.

À bientôt pour la suite de cette balade!



Situé aux confins de la Meuse et de la Haute-Marne, à l’écart des grandes voies naturelles de communication, juché sur un plateau calcaire entouré de forêts, le village de Grand fut identifié comme la station balnéaire romaine Andesina Andesina.
Des nombreux vestiges ont été mis au jour et restaurés depuis le 19e siècle, L’amphithéâtre est le monument le plus remarquable avec la mosaïque qui complète ce patrimoine exceptionnel.

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(13 clichés)


Pour voir la mosaïque il faut passer par le musée de Grand!


La mosaïque fait partie intégrante du site de Grand la Romaine.
Elle fut dégagée en 1883 par Félix Voulot, conservateur du Musée départemental des Vosges.


Conservée in situ avec ses 232 m2, elle pavait le sol de l’une des pièces de la « basilique ».
Elle s’organise autour d’un tapis central figuré, appelé emblema.


Ce lieu reçoit l'appellation technique de « basilique » alors même qu'il ne présente pas de plan basilical!
Cette dénomination est désormais devenue usuelle, mais l'usage des guillemets reste recommandé.


Il s'agit d'une mosaïque polychrome utilisant du blanc, du noir, du crème, du rouge, du jaune, du beige-gris, du rose, du bleu, du gris foncé et dont les tesselles sont en calcaire d'origine locale, sauf pour le rouge qui provient des Ardennes.


Détail de la mosaïque, la panthère.


La composition générale est symétrique constituée de triangles et de rectangles délimités par des tresses à deux brins.


Des ornements végétaux, géométriques ou animaliers, aux quatre angles de l'emblema, remplissent les rectangles.


Les animaux aux quatre coins sont un tigre, une panthère, un ours et un sanglier. On évoque souvent comme signification les venationes qui se déroulaient dans les amphithéâtres comme celui de Grand.


À la même époque, entre 180 et 250, plusieurs mosaïques évoquent ceci.
L'ours et le tigre seraient en position d'affrontement tandis que la panthère poursuivrait le sanglier.


Il ne reste plus qu'un tiers de l'emblema « peinture de pierre » exécutée par un artiste de qualité.
Il représente deux personnages : celui de gauche, âgé, debout sous un auvent, porte un masque comique sur le visage.
Il est drapé dans une large pièce d'étoffe jaune et grise à franges, décorée par des galons colorés.
Il s'avance, un bâton recourbé à la main gauche vers un deuxième personnage revêtu d'un justaucorps jaune grisâtre en grande partie détruit.
Debout sous une arcade, il tend la main droite.


Si l'emblema était réalisé par un véritable maître, le caractère répétitif des motifs du décor de champ fait que l'on confiait cette tâche à des ouvriers peu qualifiés.

Remarquez notre guide! Elle a de bien jolis chaussons!



Grand est une commune située dans le département des Vosges, en Lorraine.

Au temps de l'Empire romain, Grand était une importante cité religieuse, peuplée à l'époque d'environ 20 000 habitants.
Elle disposait d'un amphithéâtre de 17 000 places, d'une basilique avec une mosaïque restée sur son emplacement d'origine, une des plus étendue et coloriée d'Europe occidentale, et probablement d'un temple très important dédié au dieu Apollon, établi sur une source gauloise.

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(12 clichés)


Grand a reçu la visite de plusieurs empereurs romains, puis la cité est tombée dans l'oubli au cours du Moyen Âge.
Sa situation à l'écart des routes commerciales explique que sa population soit tombée à environ 400 habitants.
Ses importants vestiges archéologiques font l'objet d'études dans le cadre du Site archéologique de Grand.


L'amphithéâtre de Grand est un amphithéâtre de l'époque gallo-romaine.
Il s'agit du huitième plus grand amphithéâtre du monde romain.


Le site de Grand fait l'objet de mentions dès le 18e siècle avec notamment des mentions de Dom Calmet dans sa Notice sur la Lorraine.
Mais c'est en 1820 seulement que Jean-Baptiste Prosper Jollois initie l'étude de l'amphithéâtre et la réalisation d'une première carte archéologique.


Il s'agit d'un amphithéâtre conçu avec une arène elliptique complète entourée de cavea dont les parties supérieures n'ont été construites qu'au sud, ce qui explique qu'il a longtemps été considéré comme un ouvrage mixte servant à la fois de théâtre et d'amphithéâtre.

Dans la Rome antique, la cavea désigne la partie d'un théâtre romain ou d'un amphithéâtre où se trouvent les gradins sur lesquels s'assoient les spectateurs.


Le grand couloir axial était pourvu de caceres de chaque côté! Ces caceres permettaient d'accéder à l'arène.


L'amphithéâtre appartenait à l'agglomération de Grand ou Andesina, où un temple aurait été dédié au dieu guérisseur gallo-romain Apollon-Grannus, et qui aurait été édifié au 1er siècle.


L'amphithéâtre est l’un des plus imposants de ceux que laissa derrière lui l’Empire Romain.


En fait, il est à la mesure du nombre de pèlerins qui se pressaient ici pour vénérer Apollon Grannus (dieu Guérisseur) et surtout profiter des vertus thérapeutiques de l’eau du plateau des “Hauts Pays”.


Selon les Panégyriques latins, en 309 apr. J.-C., le futur empereur Constantin y aurait consulté son protecteur Apollon et l'aurait vu en songe, accompagné de la Victoire, lui offrant des couronnes de laurier, dont chacune lui aurait apporté le présage de trente années.


Les gradins permettent de restituer le volume de l'amphithéâtre d’une part, et de lui rendre sa fonction originelle.


Nous pouvons encore voir les arcades subsistantes de la façade nord.

À demain!



Aujourd'hui, je commence une nouvelle série dans notre rubrique "voyage"!
En effet, cet été nous avons eu la chance d'aller nous balader dans les Vosges, département situé en Lorraine et qui tire son nom du massif des Vosges!

Cet article servira de récapitulatif à cette promenade vosgienne!

-Une journée dans les Vosges (ici)

-Le site archéologique Gallo-Romain d'Andesina (voir le lien)

-La mosaïque (voir le lien)

-Visite au musée (voir le lien)

-Restaurant La Table du Pélerin (voir le lien)

-Le spectacle monumental Jeanne d'Arc (I) (voir le lien)

-Le spectacle monumental Jeanne d'Arc (II) (voir le lien)

-Le spectacle monumental Jeanne d'Arc (III) (voir le lien)

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(5 clichés)


Cette journée dans les Vosges était ciblée! Notre premier arrêt eut pour but la visite de Grand la Romaine!
Le site archéologique de Grand se situe dans le village de Grand dans les  Vosges.
Il correspond probablement à la ville gallo-romaine d'Andesina qui devait compter près de 20 000 habitants répartis sur une étendue dépassant largement celle du village actuel.


Son amphithéâtre et sa mosaïque figurent parmi les plus impressionnants du monde romain.


Le musée permet de nous situer et de nous expliquer ce site exceptionnel.


Puis, après avoir diné, nous nous sommes installés sur l'esplanade de la basilique de Domrémy-la-Pucelle afin de suivre le spectacle monumental articulé autour d'une scénographie visuelle totalement intitulée "L'Enquête Jeanne d'Arc".

À bientôt pour une belle aventure!



Ligny-en-Barrois, cette cité située dans le département de la Meuse, nous a révélé tous ses secrets!
Tous?
Non! Pas tout à fait!

Connaissez-vous l'emblème de Ligny?
L'emblème de Ligny est le fameux Lorgnon linéen!

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(10 clichés)


Pour terminer notre journée à Ligny-en-Barrois, nous avons été conviés à une activité "chocolat" autour du Lorgnon Linéen!
Ce fut l'occasion pour nous d'en savoir un peu plus sur cette délicieuse gourmandise!


Le Lorgnon linéen est né il y a 17 ans.

En effet, en l’an 2000, la municipalité de Ligny-en-Barrois a lancé un appel aux artisans boulangers-pâtissiers chocolatiers de la ville afin qu’ils élaborent une gourmandise à base de groseilles et à l’image de la cité linéenne.



C’est ainsi que sont nés les Lorgnons, reflet industriel et économique de la ville, avec ses fabriques de verres de lunettes et ses confitureries spécialisées dans la groseille épépinée à la plume d’oie.



Le Lorgnon linéen est dons une bouchée qui mêle chocolat – au lait, blanc ou noir – et une ganache à base de purée de groseilles.


Pendant que je vous raconte mon histoire, certains d'entre nous n'ont pas hésité à mettre la main à la pâte!


Cette activité avait pour but la réalisation de truffes au chocolat.


Après l'effort...la dégustation!


La dégustation....on sait quand on commence… on ne sait jamais quand on s’arrête…


À demain pour la fin de cette balade!



Je ne voulais pas partir de Ligny-en-Barrois sans vous parler de cette bien jolie chapelle Notre-Dame des Fossés!

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(4 clichés)


Construite au début du 20e siècle en style néo-gothique, elle abrite une statue de Notre-Dame des Fossés sculptée au 16e siècle par un artiste local.


Cette Vierge en pierre était à l'origine au sommet de la tour Notre-Dame, tour qui renforçait le système défensif des remparts et surplombait les fossés du château.


En 1763, alors que le château avait été démoli quelques années auparavant sur ordre de Stanislas Leszczynski, duc de Lorraine et de Bar, la statue fut placée dans une niche adossée aux restes de la tour, elle y est toujours protégée par une grille.
Les ex-voto qui tapissent les murs témoignent de la croyance populaire qui attribuait à la source, aménagée en fontaine au pied de la statue, le pouvoir de guérir les maladies des yeux.

À demain!



Je vous l'ai précisé lors de la présentation de Ligny-en-Barrois, cette commune, située dans le département de la Meuse, est devenue un centre économique important notamment dans l’optique!

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Vous pouvez retrouver d'autres ronds-points sur ce lien.

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(5 clichés)


Ce rond-point est situé à la sortie de Ligny mais juste à l'entrée de l'usine Essilor, spécialisée dans la fabrication d'instruments d'optique.


Au milieu de ce rond-point trône une immense paire de lunettes, gravée au nom d’Essilor et dessinée par Jean-Claude Rylko.


Ce rond point a été aménagé d'une manière très champêtre....


.....où les lunettes sont les reines!



Nous avons eu vraiment grand plaisir à découvrir cette jolie cité située dans le département de la Meuse!
Nous suivons toujours notre guide qui nous mène, aujourd'hui, vers la tour Valéran!

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(13 clichés)


La construction de la tour commence au 13e. Elle est achevée sous le règne de Valéran III de Nassau, comte de Ligny de 1374 à 1415.


La tour Valéran est une pièce maîtresse du système défensif de la cité.


Situons la tour Valéran!
La porte des Moulins, permettant l’accès à « l’enclos du château », était flanquée le la tour Valéran et de la tour des Canons, cette dernière ayant été détruite en 1878.


Lorsque vous monterez les escaliers de la tour Valéran Faites bien attention!
Sur les marches, des nids de pigeons peuvent vous troubler.


Sa fonction militaire est rappelée par des meurtrières, canonnières et mâchicoulis.


Elle est transformée en prison cantonale au 17e siècle.


Elle le restera jusqu'en 1840, date à laquelle elle est classée à l'inventaire des monuments historiques sur la première liste.


Si vous en avez l'occasion, n'hésitez pas à faire la visite de cette tour et, surtout, à monter jusqu'en haut des escaliers!


Une vue à 180° s'offre à vous!


Un dernier petit coup d'oeil....


....il est temps de descendre!


Mais non! Je ne suis pas enfermée!

À demain!



La ville de Ligny-en-Barrois, commune située dans le département de la Meuse, se trouve dans le sud du département de la Meuse et dans l'ouest de la région Lorraine!
Nous avons eu l'occasion d'aller y passer une journée et c'est avec plaisir que nous partageons avec vous nos découvertes!

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(13 clichés)


Nous avons quitté le chemin des canons et nous découvrons le parc municipal aussi appelé le parc de Luxembourg.


Ce parc est l'ancien parc du château érigé au 15e siècle et devenu propriété de la commune en 1794.



Il constitue un trait d'union entre la ville ancienne, les équipements sportifs (piscine, stade...) et les quartiers récents.
Il est bordé par l'Ornain où, selon la légende, vous pourrez, si vous êtes patient, voir se baigner la fée Mélusine.


Dès la fin du 18e siècle, on y planta 600 arbres, de majestueux feuillus qui en font une agréable promenade ombragée tandis qu'un jardin anglais y fut créé en 1880 puis un kiosque à musique.


Ce grand parc a été classé monument historique.


Au fil des années, il est devenu un magnifique jardin d’agrément.


L'Ornain est une rivière française du Nord-Est de la France.
Affluent de la Saulx, l'Ornain prend sa source au sud de Gondrecourt-le-Château et se jette dans la Saulx en rive droite, à Étrepy.


La balade est agréable et je me mets en retard...comme d'habitude....!


La rue de Strasbourg!


Entre 1745 et 1775, Ligny-en-Barrois se dote de grands axes sur lesquels s’élève une architecture civile noble et homogène.


En 1746, le château des comtes est détruit afin de tracer une large avenue, la rue de Strasbourg.
Les pierres du château auraient servi à la construction des maisons!


Au loin se dessine la tour Valéran! Je vous en parle demain!



La balade organisée autour de Ligny-en-Barrois, cité située dans le département de la Meuse, nous a beaucoup plu!

Après avoir visité l'église Notre-Dame-des-Vertus, nous avons pris....non pas le chemin des écoliers.....mais le chemins des canons!

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(11 clichés)


Nous cheminons dans le centre ville et nous remarquons que Notre-Dame est souvent représentée sur les façades des maisons!


Rappelons que l'église de la commune est dédiée, elle-même, à la Nativité de la Vierge.


L'hôtel de ville possède une entrée appelée le passage de l’entre-deux-ponts.


Cette entrée était composée d’un double pont-levis.


Aujourd'hui, ce passage permet d'accéder au chemin des canons.


Ce chemin surélevé nous permet d'avoir une belle vue sur la commune...hôtel de ville....église....


Nous passons même devant cette bien jolie école.


Le chemin des canons est un dispositif défensif, élevé à partir du 11e siècle.


Il était constitué de deux entités séparées, l’une autour du château, et l’autre autour de la ville.


Elles étaient chacune entourées par un rempart, et un fossé les séparaient.

À demain!



L'été est toujours l'occasion de partir en balade à la découverte de quelques sites connus de notre région!
Ce jour là nous avons suivi notre guide et nous sommes allés nous promener à Ligny-en-Barrois, commune située dans le département de la Meuse!

Cet article servira de récapitulatif à cette balade!

-Présentation de la cité (ici)

-Le chemin des canons (voir le lien)

-Parc municipal ou parc de Luxembourg (voir le lien
)

-La tour Valéran
(voir le lien)

-Le rond-point aux lunettes (voir le lien)

-Chapelle Notre-Dame des Fossés (voir le lien)

-Le Lorgnon Linéen (voir le lien)

-Restaurant Aux Délices des Mets (voir le lien)


Vous pouvez voir ou revoir nos balades meusiennes sur ce lien!

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(18 clichés)


La ville se développe à partir du 11e siècle autour d’un château dont la Tour Valéran fait partie.
Ligny-en-Barrois fut la capitale d’un comté qui passa successivement des possessions des Comtes de Champagne aux Ducs de Bar, au Comte de Luxembourg qui le garda jusqu’en 1719, date à laquelle la région fut incorporée aux terres du Duc de Lorraine, avant d’être annexée à la France en 1766, à la mort de ce dernier.


De nos jours, Ligny demeure un centre économique important notamment dans l’optique, la mécanique de précision et le secteur automobile.
D'où le petit clin d'oeil sur la première photo!


La balade commence devant l'asile saint-Charles!
Ce bâtiment érigé en 1865 et financé en grande partie par la mère supérieure de l’hospice, a fait fonction de « garderie » pour les enfants en bas âge.
Cédé à la ville en 1882, il devient une école maternelle qui a accueilli des élèves jusque dans les années 90.
Désormais, l’asile abrite une salle d’exposition, la Bibliothèque Municipale et l’Office de Tourisme.


Église Notre-Dame des Vertus!


La première église paroissiale qui datait du 12e siècle a été détruite en 1544 et l'actuelle a été reconstruite en 1552, dans un style gothique marqué par des formes Renaissance sur les deux portails latéraux.


Les deux chapelles latérales et le portail principal datent du 19e siècle.
Elle est surmontée d'un clocher carré avec tour qui abrite une cloche de bronze de 1505.


Nous entrons dans l'église par une porte latérale.


Notre-Dame des Vertus nous accueille!


L'église abrite la sépulture de la Maison de Luxembourg-Ligny.


L'église est dédiée, elle-même, à la Nativité de la Vierge.


La chaire est attribuée à l'école de Ligier Richier.


Les vitraux datent du 16e siècle.


Les chapelles aménagées de part et d'autre du choeur datent du 19e siècle.


Les vitraux sont magnifiques.


Sculpture de Notre-Dame des Moulins dantant du 14e siècle.


Une des chapelles latérales contient une peinture sur soie de Notre-Dame des Vertus très vénérée à Ligny et dans tout le Barrois.


L'origine et la datation de cette œuvre sont incertaines.

À demain!



Je vous ai parlé, hier, du nouveau spectacle son et lumière sur la cathédrale saint-Étienne de Metz!

Vous pouvez voir ou revoir cet article sur ce lien!

Ce spectacle s'accompagnait d'un parcours de 1km alliant la mise en lumière du patrimoine messin et les arts numériques de la Cathédrale Saint-Etienne, jusqu'au cœur de la colline Sainte-Croix.
Ce parcours s'intitulait Constellations de Metz.

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(9 clichés)


Juste après le spectacle sur la cathédrale nous avons suivi un parcours qui nous a permis de découvrir dix installations numériques sur un parcours d’un kilomètre autour de la cathédrale.
Le parcours a commencé sur la place d'Armes avec la l'hôtel de ville en toile de fond.


Ce tableau s'intitule "Red Stars-Un alignement d'astres"!
Les flux s'activent, se fixent et gravitent! Les étoiles, tantôt hospitalières tantôt oppressantes, s'imprègnent du contexte pour en dicter le rythme!


Nous passons non loin de l'église sainte-Ségolène.


Ce tableau s'intitule, "Suite"!
Cette installation a été créée spécialement pour le cloître des Récollets de Metz.
Une répétition de motifs simples fait émerger des structures et des textures complexes dans un flux d'images ininterrompu qui capte le regard et invita à la contemplation.


La scénographie s'immisce parfois dans les feuillages de la place sainte-Croix!


"L'architecture de la chance"!


Ce container marin est ouvert à tous les voyages....surprenant!


Je terminerai par le "Monnolith"!
Un écran interactif reflétant la lune, les étoiles et les constellations. Cette installation réagit à son environnement...;un lien se tisse entre l'écran et les visiteurs!

Un beau parcours!

À demain pour un nouveau voyage!



Metz est une jolie ville à visiter! Mais, cet été, il était de notoriété publique d'aller y faire un tour à la tombée de la nuit!

-Son et lumière sur la cathédrale (ici)

-Constellations de Metz (voir le lien)

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(14 clichés)


Cet été, la ville de Metz a innové et proposé un tout nouveau spectacle sur la Cathédrale Saint Etienne intitulé "LUX ANIMAE - la lumière de l'âme" de Yann NGUEMA, artiste tourangeau remarqué en décembre pour son mapping sur la cathédrale Saint-Jean à Lyon!


Les lignes, les courbes, les volumes des 25 000 pierres de la façade de la cathédrale ont été dessinés au plus proche pour permettre aux projections de se fondre au mieux avec le réel.


L’artiste est allé puiser des éléments d’histoire locale pour sa création vidéo.


Il y a eu quelques clins d’œil et, notamment à notre Graoully!


Le Graoully est un animal mythique à l'apparence d'un dragon, qui vivaient dans l'arène de l'amphithéâtre de Metz.
Il aurait dévasté la ville avant d’être chassé par saint Clément de Metz, premier évêque de la ville au 3e siècle.


Cette légende représentait la destruction des religions païennes par le christianisme.
Le nom du Graoully trouve son étymologie dans l’allemand gräulich qui signifie « monstrueux ».

Vous pouvez lire ou relire notre article plus complet en cliquant sur ce lien!


Regardez bien cette photo! On peut remarquer le visage de la Vierge!


Ce visage se transforme en une belle silhouette!


Cette silhouette se perd dans les ailes du dragon!


Mais qui est ce personnage?


Il s'agit de Charlemagne!


En effet, une légende raconte qu’un voyageur aurait vu monter un cerf en 1495 au sommet de la tour Charlemagne nord.


Nous avons vu notre cathédrale vribrer au rythme du son et des images projetées! Un spectacle d'une rare beauté!

Parallèlement à ce spectacle, à ce spectacle, la ville de Metz a créé, dans le cadre de Pierres numériques, un parcours de 1km qui a allié la mise en lumière du patrimoine messin et les arts numériques de la Cathédrale Saint-Etienne, jusqu'au cœur de la colline Sainte-Croix.....

 À demain!



Notre balade se poursuit et notre guide nous emmène dans les rues de Metz vers l'hôtel de ville de Metz.
Ce bâtiment est l'ancienne abbaye saint-Arnoul! Les messins le nomment plus familièrement "le cercle des officiers"!
Le bâtiment est l’ancienne abbaye de St Arnoul, mais les Messins l’appellent souvent « le mess des officiers«

Article original ici : Visite bluffante au cercle des officiers de Metz… (photo reportage) http://tout-metz.com/photos-cercle-des-officiers-abbaye-st-arnoul-metz-2015-80669.php
Le bâtiment est l’ancienne abbaye de St Arnoul, mais les Messins l’appellent souvent « le mess des officiers«

Article original ici : Visite bluffante au cercle des officiers de Metz… (photo reportage) http://tout-metz.com/photos-cercle-des-officiers-abbaye-st-arnoul-metz-2015-80669.php
Le bâtiment est l’ancienne abbaye de St Arnoul, mais les Messins l’appellent souvent « le mess des officiers«

Article original ici : Visite bluffante au cercle des officiers de Metz… (photo reportage) http://tout-metz.com/photos-cercle-des-officiers-abbaye-st-arnoul-metz-2015-80669.phpCe bâtimenta

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(14 clichés)


Hôtel de Gargan!
L’hôtel de Gargan a abrité une salle de jeu de paume au XVIIe siècle dans laquelle Henri IV joua lorsqu’il vint à Metz en 1603.

La bourgeoisie de Metz s’enrichissant, elle fait de la cité une république oligarchique brillante.
Les 13e et 14e siècles constituent l’une des périodes les plus prospères dans l’histoire de Metz.
Preuve de la prospérité des citains, de nombreux hôtels particuliers voient le jour à la fin du Moyen Âge. C’est une construction du 15e siècle de style gothique.


Palais de la soie!
La présence de ce bel immeuble gris, de style néoclassique prussien, planté au milieu des bâtiments en pierre de Jaumont, jaune, du vieux Metz, est surprenante.


À l'origine, c'était un grand magasin allemand construit entre 1913 et 1914 par l'architecte Rober Dirr.


Les sculptures représentent les 4 saisons symbolisées par des scènes animées par 2 chérubins, un garçon et une fille.


Il fut jadis appelé le "Palais de la soie".
Restauré, c'est aujourd'hui un cinéma "Art et Essai", le "Caméo Ariel", dont la programmation a bonne réputation.
De plus, il est apprécié pour sa situation en centre-ville, proche de la cathédrale.


Nous arrivons devant l'hôtel de ville!

Gouverneur des Trois-Evêchés, le maréchal Charles Louis Auguste Fouquet de Belle-Isle, acquis aux idées des Lumières, décide de repenser l’urbanisme de Metz dès 1728.

Après avoir doté la ville d’un nouveau théâtre sur l’île du Petit-Saulcy — aujourd’hui le plus ancien théâtre de France en activité —, il souhaite aérer le quartier de la cathédrale, en y créant comme cela se fait alors partout une « place royale » centrale, entourée de plusieurs bâtiments publics.



Construit en pierre de Jaumont, le bâtiment d'un sobre style néoclassique français possède une façade de deux étages longue de 92 mètres donnant sur la place d’Armes face au côté gauche de la cathédrale Saint-Étienne.


À l’intérieur du bâtiment se trouve un escalier monumental qui mène au grand salon de réception.


Parmi les décorations intérieures on peut noter les deux statues, représentant la Justice et La Prudence qui ornent l’escalier monumental ainsi que des vitraux de Laurent-Charles Maréchal.


Nous sommes sur la place d'Armes de Metz, place située entre l'hôtel de ville et la cathédrale!


Comme à notre habitude lorsque nous visitons Metz nous nous dirigeons, place d'Armes vers notre arrêt gourmand préféré, "Brochettes et Cie"!


Le petit café gourmand est bien accueilli!


Et la preuve en est.....notre amie Sylvianne avec la cathédrale en fond d'image!

Nous ne quittons pas Metz pour autant car je vous retrouve bientôt pour le spectacle son et lumière sur la cathédrale!



Ambroise Thomas est un compositeur français né à Metz le 5 août 1811 et mort à Paris le 12 février 1896.
Il était particulièrement réputé au 19e siècle pour ses opéras, dont le célèbre Mignon.

C'est en nous promenant dans les rues de Metz que nous avons découvert sa maison natale!


« Il y a deux espèces de musique, la bonne et la mauvaise. Et puis il y a la musique d’Ambroise Thomas », a dit Emmanuel Chabrier (compositeur français)!
On peut dire en effet que la musique d’Ambroise Thomas n’est ni bonne ni mauvaise.
Légère, facile, mélodieuse, elle était avant tout faite pour plaire au public bourgeois du Second Empire.

Vous pouvez voir ou revoir d'autres maisons natales en cliquant sur ce lien!

Vous pouvez voir ou revoir notre balade messine depuis le début en cliquant sur ce lien!



Depuis quelques jours nous vous invitons à une balade à travers les rues de Metz, commune située dans le département de la Moselle.
Cette balade, commencée dans le quartier impérial, se poursuit dans le centre ville de Metz!

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(11 clichés)


De la place Mondon, que nous avons vu hier, au tribunal, nous passons devant la rue Serpenoise!
La rue Serpenoise, souvent nommée rue Serp’ dans le langage courant, est une rue commerçante du centre-ville de Metz ainsi que sa principale artère.


Au début de cette rue se trouve un monument! La colonne Merten!
Merten, village situé en Moselle, Mr Fuchs découvre une colonne votive d’une dizaine de mètres de hauteur en creusant un puits dans son jardin en 1878.

L’original de ce monument se trouve au musée de la Cour d’Or à Metz, et c'est une réplique qui fut érigé à l’entrée de la rue Serpenoise.


D’époque gallo-romaine, cette colonne est décomposée en 3 morceaux :
  • un socle avec quatre dieux représentants les quatre saisons (Apollon, Junon, Minerve, Hercule),
  • au milieu, des personnages sculptés dans la pierre. Il représente les sept jours de la semaine avec la Lune (Lundi), Mars (mardi), Mercure (Mercredi), Jupiter (Jeudi), Vénus (vendredi), Saturne (samedi), et le Soleil (Dimanche).
  • en haut Jupiter-Cavalier, assimilé au dieu gaulois Taranis, terrassant l’Anguipède, monstre à buste d’homme et corps de serpent.


Palais de justice!
Ce majestueux et imposant édifice fait avec la pierre de Jaumont, était à l’origine destiné à la résidence du gouverneur militaire royal et des intendants de la province des Trois-Évêchés.


Le portail, encadré par deux immenses trophées, est surmonté d’un groupe sculpté, « la France veillant sur ses enfants ».
Dans le fronton gauche, Hercule symbolise la force.
Dans celui de droite, la déesse de l’intelligence Minerve casquée représente la science militaire.


Les trois imposants corps de bâtiment organisés en U, entourent une vaste cour intérieure.


Dans la cour des statues de guerriers représentant le duc de Guise, le duc de Montmorency, le maréchal de Vieilleville, le duc de Broglie et le duc de Gonnord se dressent sur les corniches des portes latérales.


Les deux statues, côté jardin Boufflers, immortalisent Turenne et le maréchal de Luxembourg.


C'est au 19e siècle, sous l’Empire, que les bâtiments sont finalement consacrés à la proclamation de la Justice.


L’édifice devient palais de justice en 1812.

À demain!



L’église Saint-Martin est l’une des plus anciennes église et paroisse catholique de Metz.
Elle se situe dans le quartier de Metz-Centre.
Son saint patron est l’évêque Martin de Tours.

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(11 clichés)


Cet édifice a connu plusieurs étapes de construction.
La prospérité économique de Metz, puissante cité marchande, permit à l’extrême fin du 12e siècle, la construction presque totale de l’édifice, partiellement élevé sur les murailles romaines du 3e siècle.


Une seconde campagne de transformation, à la charnière des 15e et 16e siècles, permit l’érection du chœur, de la première sacristie et du transept, cependant qu’était donnée à Saint-Martin sa première parure de vitraux.


Ecco Homo début du 15e siècle.


Dans le transept nord, on peut admirer une Nativité, Vierge allaitant l'Enfant Jésus, de style gothique, datant du 14e siècle.


Un petit trésor!
Si vous regardez bien vous remarquez qu'elle est entourée d'un boeuf et d'un âne!


L’abondance des décorations dénote une influence champenoise.


Alors que les verrières du chœur, de Laurent-Charles Maréchal et de Charles-François Champigneulles, réalisées entre 1878 et 1881, sont consacrées à la vie de saint Martin....


...on peut aussi admirer les vitraux du transept datant des 14e, 15e (une Passion du Christ) et 16e siècle.


Les vitraux anciens du chœur ont été dispersés dans le transept et les chapelles latérales, et remplacés en 1881 par dix tableaux dus à Laurent-Charles Maréchal.


À demain!



Notre balade à Metz a commencé à la Poste Centrale! Nous avions rendez-vous pour visiter le quartier impérial de la ville.
Ainsi, nous avons pu admirer le hall de la poste et y découvrir de bien jolies sculptures!

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(8 clichés)


En sortant de la poste, nous nous sommes dirigés ves la place Raymond Mondon!
Ce fut l'occasion de passer devant l'Hôtel des Arts et des Métiers aussi appelé maison des Corporations!


Pendant l'annexion, un comité central des corporations réunies est constitué à Metz en 1900.
Il est décidé de construire un Hôtel pour ce comité et pour servir de tribunal de commerce et de tribunal des Prud’hommes.
Le site choisi pour le nouvel édifice est alors un emplacement prestigieux, la place impériale, construite au 20e siècle, où s’élève à cette époque une statue équestre du père de l’empereur, Frédéric III d’Allemagne.


L’édifice est construit en gré rose dans un style néorenaissance allemande.


La place Raymond Mondon, ancienne place Impériale, a été construite au 20e siècle en même temps que l’avenue Foch sur laquelle elle débouche.
Elle a été construite en 1904 sur l'ancien fossé des fortifications.
Guillaume II y avait fait placer la statue équestre de son père, l’empereur Frédéric III d'Allemagne, statue qui a été renversée et détruite en 1918.


La Chambre du Commerce et d'Industrie de Metz est le bâtiment de l’ancienne banque impériale de Metz.


La tour Camoufle est un vestige de l’ancienne enceinte médiévale de Metz. C’est l’une des rares tours de l’enceinte médiévale à avoir été conservée.


Au loin se dessine l'église saint-Martin!

À demain!



Le quartier impérial de Metz est un quartier de la ville de Metz réalisé par les autorités allemandes lors de l’annexion de l'Alsace-Lorraine.
À l'origine dénommé « Neue Stadt », littéralement « nouvelle ville », il est aujourd’hui coupé entre les quartiers administratifs de Nouvelle Ville et de Metz-Centre.

Après l'annexion de la Moselle l'Allemagne impériale décide de germaniser Metz sans toucher à la vieille ville française!
Il est donc décidé de construire une ville nouvelle aux portes de l'ancienne qui marquera, à jamais, la domination impériale allemande!

Nous commençons, aujourd'hui, une nouvelle série dans notre rubrique "voyage" dédiée à un quartier de Metz appelé "le quartier impérial"!

Cette article servira de récapitulatif à cette balade:

-quartier impérial (ici)

-place Raymond Mondon (voir le lien)

-église saint-Martin (voir le lien)

-vers le palais de justice (voir le lien)

-maison natale de Ambroise Thomas (voir le lien)

-vers l'Hôtel de ville (voir le lien)

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(15 clichés)


Nos balades à Metz commencent toujours à Woippy, commune située à quelques kilomètres de Metz, où nous laissons la voiture afin d'emprunter le Mettis qui nous conduit directement dans le centre de  Metz!
Nous nous arrêtons à la gare et nous avons une belle vue sur la Grande Poste!


Sous l’Empire allemand comme à l’époque française, Metz se voit attribuer une fonction avant tout militaire.
L’emplacement de la poste, juste à côté de la gare, est choisi pour des raisons logistiques, la rapidité d’acheminement du courrier étant capitale en cas de conflit.


Le style néoroman rhénan s'inscrit dans les styles historicistes adoptés par les architectes allemands de cette époque.


L’édifice est construit en grès rose des Vosges, et non dans la pierre locale de Jaumont.


Poussons la porte de la grande poste!


Nous arrivons dans le hall!
Cette photo a été empruntée sur le site:
"Metz où il fait bon vivre"(voir le lien)!


J'ai pris plaisir à photographier les piliers de ce hall!


Les chapiteaux des piliers représentent tous une des manières de distribuer le courrier!


C'est un véritable musée qui défile sous nos yeux!


Si vous passez par Metz....


....arrêtez-vous à la poste....


.....et admirez!


C'est génial!


À demain!



Notre promenade à Liverdun se termine aujourd'hui par la visite de l'église Saint-Pierre!
Construite à la fin du 12e siècle elle a sans doute remplacé la chapelle imbriquée dans le château et qui abritait les reliques de Saint-Euchaire!

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(10 clichés)


L'église a connu, au cours des siècles, les vicissitudes des guerres et fut plusieurs fois partiellement ruinée, restaurée et à chaque fois quelque peu remaniée!


Ce qui frappe d'abord c'est la grande sobriété de l'ensemble!


Le chevet dont la grande rose a été refaite en 1854.


Des inscription sur le pilliers nous rappellent que des personnalités locales ont été inhumées dans l'église.


Le buffet d'orgues actuel a été réalisé en 1847 par la facteur Ignace Callinet de Rouffach en Alsace.


Les vitraux apportent un peu de lumière!


Cette église date de la fin de l'époque romane et du début de l'époque gothique.


Les grandes baies ouvertes au 16e siècle ont remplacé des petites ouvertures primitives.


Je vous invite bientôt pour un nouveau voyage!



Liverdun fut la principale place forte de l'Evêché de Toul.
Appréciée pour son art de vivre, les évêques avaient choisi la ville comme résidence d'été au 18e siècle.

Ville classée pour ses nombreux monuments historiques, Liverdun a su conserver les bâtiments construits aux différentes époques.

Poursuivons notre balade!

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(10 clichés)


La maison du Gerbaut!
Cette maison fut utilisée dès le 16e siècle pour récolter le dîme, impôt du clergé.


Le lavoir!
Il a été construit en 1901 par Nicolas Noël afin d'éviter aux femmes de descendre jusqu'à la Moselle.


Il a été utilisé jusque dans les années 2000.


Le château Corbin!
Il a été d'abord construit en 1837 sur deux anciennes tours de la forteresse médiévale par un banquier qui en était propriétaire.


Suite à un incendie qui le détruisit complètement, Eugène Corbin, alors propriétaire, le fait reconstruite en 1904.


Nous avons eu la chance d'accéder à la terrasse du château!


La vue sur la Moselle est magnifique!


L'Hôtel de Camilly!
Cet hôtel épiscopal fut construit en 1717 par Blouët de Camilly, évêque de Toul, sur l'emplacement de la "Grande Maison des chanoines".


Le porche qui date du 16e siècle est classé Monument Historique!

À bientôt pour la fin de cette visite!



Tout en me promenant dans ce beau village médiéval de Liverdun, je suis tombée sous le charme de ces deux portes de caractère!

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Ce style Renaissance est très caractéristique!

Vous pouvez voir d'autres portes et fenêtres sur ce lien.



Liverdun est une commune de l'agglomération de Nancy située dans le département de Meurthe-et-Moselle.
Le village médiéval de Liverdun qui surplombe les boucles de la Moselle est un site classé tout à fait charmant!

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(10 clichés)


La visite commence près de la Porte Haute!
Elle a été construite au 12e siècle par l'évêque de Toul qui avait besoin d'un lieu sûr!
Elle est entourée de deux tours construites dans le but de renforcer la défense de la ville.


Le village médiéval de Liverdun surplombe les boucles de la Moselle.


La Maison du Gouverneur!
Cette maison du 16e siècle s'appuie sur une ancienne tour de guet. Elle présente une façade de style Renaissance.


Les statuettes sont nombreuses dans le village!


Cette statue de saint-Pierre date de 1737.


Place de la Fontaine!
Cette place était un lieu de vie important! Là se tenait le marché!
Tous les coins des façades donnant sur cette place possèdent des statuettes!


Je n'ai pas reconnu ce personnage!


Cette statuette de la Vierge couronnée en bois est classée par les monuments historiques.


Cette Vierge à l'Enfant est encore très jolie!

À demain!



Nous sommes toujours à Liverdun où nous avons passé une journée à aller de découvertes en découvertes!
Après avoir déjeuné à la Brasserie K de Toul nous nous sommes dirigés vers Liverdun afin de visiter "Le Domaine des Eaux Bleues"!

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(15 clichés)


Le domaine des eaux bleues est un domaine qui appartenait, au 19ème siècle, à la famille Corbin, célèbre mécène de "l’École de Nancy".


C’est aujourd’hui la propriété de la Fondation de l’Institution des Jeunes Aveugles et Déficients Visuels de Nancy abritant un Établissement et Service d'Aide par le Travail, ESAT, installé dans les anciennes dépendances.


Le Domaine des Eaux Bleues est une propriété de 18 hectares située à proximité de Liverdun.


Elle se compose d’une maison de maître, dite le Château de la Garenne, d’un parc et d’un ensemble de bâtiments de ferme.


Une maison souterraine? Non!
Simplement une protection pour quelques canalisations!


Lovée sur l'antique garenne moyenâgeuse, le château dit "de la garenne" fut la maison de Jean-Baptiste Eugène Corbin (1867 - 1952), artiste amateur, collectionneur d'art et sportif, qui fut un mécène majeur du mouvement Art nouveau de l'École de Nancy.


Ce sont, d'ailleurs, les artistes de cette école qui ont construit et décoré cette demeure.


Eugène Corbin est le fils d'Antoine Corbin (1835-1901), fondateur des Magasins Réunis de Nancy.



Il a fait travailler de nombreux artistes à la construction de son magasin et a fondé le magazine Art et Industrie.



Grand mécène des arts et des artistes, Corbin était passionné par l'art sous toutes ses formes : art ancien, art contemporain, art décoratif, peinture, sculpture...


Nous sommes en admiration devant cette maison aux détails charmeurs!


Les oiseaux sont toujours présents partout même au sommet de la toiture!


Nous flânons dans le jardin tout en prenant le temps de nous reposer un instant!

Allons! En route! Nous sommes attendus pour visiter la vieille ville de Liverdun!

À demain!



Il y a quelques temps, nous avons eu le loisir de visiter le fort de Villey-le-Sec près de Liverdun!
Ce site exceptionnel, en état de marche, et vraiment bien entretenu par l'association "La Citadelle", est un endroit qui a marqué la région!

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(12 clichés)


Notre visite nous a fait découvrir un ensemble tentaculaire qui englobe le village!


Son entreprise constitue un cas unique de citée fortifiée du 19e siècle avec 1300 hommes et 81 pièces d'artillerie!


Un petit train touristique nous mène d'un site à l'autre tout en passant devant l'entrée principale du fort et en passant à travers les prairies qui ont repris vie!


La visite se termine au musée du fort situé juste avant la sortie et aménagé dans le casernement!


Le fort sera bombardé pendant en 1944 par les américains lors de la libération de Toul!


Dans les années 50 les canons de la tourelle "Mougin" seront envoyés au fort du Barbonnet à Nice!


Ils seront récupérés plus tard par l'association qui gère le site.
Vous voyez que la visite du musée nous permet de voir le four à pain du fort!


Aujourd'hui, le fort est entretenu et restauré par l'association "La Citadelle" depuis 1969.


Il fait partie des ouvrages à voir absolument!


Les cuisines sont, elles aussi, bien imposantes!


À demain pour la suite de la visite de Liverdun!



Liverdun fut la principale place forte de l'Evêché de Toul. Appréciée pour son art de vivre, les évêques avaient choisi la ville comme résidence d'été au XVIII ème siècle.
Liverdun est à n'en pas douter d'origine très ancienne.
La position de son site facilement défendable a favorisé la construction du fort de Villey-le-Sec situé juste à côté!

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(12 clichés) 


Ce fort a été construit de 1875 à 1879 puis modernisé en 1888 puis de 1903 à 1914.
S'étendant sur 40 000 m2, il présente un raccourci saisissant de 40 années de fortification.


Au début de la guerre de 1914-1918, après la défaite française à la bataille de Morhange, les troupes allemandes progressent rapidement vers l'ouest.

La population est évacuée pour ne laisser que la garnison et les hommes indispensables aux travaux des fermes.



Après la guerre et le rattachement de l'Alsace-Moselle, le fort perd de son intérêt stratégique.
L'armée y installe un gardien de batterie mais n'assure plus d'entretien.
Durant la Seconde Guerre mondiale, les éléments métalliques sont récupérés par l'armée allemande.


Aujourd'hui, les travaux de l'association La Citadelle ont renouvelé l'intérêt porté au fort.


Il est aujourd'hui possible de visiter le fort du 1er mai jusqu'en septembre au cours d'une visite guidée durant environ deux heures.


L'association La Citadelle a pour objet la préservation et de la mise en valeur du fort.


Afin d'entretenir les dessus du fort et les 20 hectares du site, l'association a fait appel à des bovins de race highlands.


Ce fort à lui seul concentre l'ensemble des ressources, magasins et casernement.


Il s'inscrivait dans un ensemble d'ouvrages, destinés à sécuriser le plateau pour verrouiller l'accès sud-est au camp retranché de Toul.


Un train à voie de 0,60 m système Péchot permettait de ravitailler le fort.
De multiples traces de cette voie subsistent à proximité comme le talus de protection de la voie ferrée étroite.


Cet ensemble puissant, sans cesse remanié est resté intact! Un morceau de notre histoire que nous avons eu plaisir à visiter!

À bientôt pour la suite de cette visite!



Lors de notre balade à Liverdun, commune située dans le département de la Meurthe-et-Moselle, nous nous sommes arrêtés à Villey-le-Sec afin de visiter le fort!
Juste avant d'entrer dans ce fort nous sommes passés devant une petite maison!
Sur la façade de cette maison une plaque nous apprenait que François Voirin y était né!

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François Voirin alias Abel Lardennois est né le 14 octobre 1917 à Villey-le-Sec!
Il fut membre de commando Kieffer, seule unité française qui débarqua sur les plages de Normandie le 6 juin 1944!



Notre balade du côté de Liverdun a débuté, le matin, par la visite du fort de Villey-le-Sec!
Villey-le-Sec est une commune située dans le département de Meurthe-et-Moselle. Cette cité est surtout connue pour son fort!

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(9 clichés)


Le fort de Villey-le-Sec est un ouvrage de fortification du 19 siècle.
Il s'agit de l'unique exemple d'une enceinte fermée autour d'un village de cette ligne de défense des frontières conçu après la défaite de 1871.
Situé en dehors des zones de combat de la Première Guerre mondiale, il est resté quasiment intact.


Le fort de Villey-le-Sec a été construit de 1875 et devait verrouiller l'accès sud-est de la ville.


Il s'inscrivait dans un ensemble d'ouvrages, destinés à sécuriser le plateau de Haye pour verrouiller l'accès sud-est au camp retranché de Toul.


Le village occupant déjà l'emplacement le plus favorable, il fut décidé de construire le fort tout autour pour limiter les délais et les frais qu'auraient entraînés la destruction des habitations et le relogement de leurs occupants.


Notre guide nous fait découvrir les tourelles en état de marche!


Un tir de canon nous en donne la preuve!


Ce fort, resté quasiment intact, est aujourd'hui restauré par les passionnés de l'association "La Citadelle"!


Cet ensemble dans cesse remanié jusqu'à la grande guerre prend appui entre les côte de Toul et la boucle de la Moselle, face à l'empire allemand!

À demain pour la suite de cette visite!



Liverdun est une commune située dans l'agglomération de Nancy dans le département de la Meurthe-et-Moselle.
Liverdun, ville classée commune touristique en 2009, ville ludique et sportive pour l'aménagement de la zone de loisirs en 2013, bénéficie à la fois d’un cadre naturel luxuriant et d’un patrimoine culturel conséquent.

Vous l'avez compris, je commence aujourd'hui une nouvelle série consacrée à la très jolie ville de Liverdun!

Cet article servira de récapitulatif à cette balade découverte d'un beau village médiéval!

-Commune touristique (ici)

-Fort de Villey-le-Sec-L'extérieur (voir le lien)

-Maison natale de François Voirin (voir le lien)

-Fort de Villey-le-Sec-L'intérieur (voir le lien)

-Le train touristique du fort (voir le lien)

-Le domaine des eaux bleues
(voir le lien)

-Cité médiévale (voir le lien)

-Cité médiévale (II) (voir le lien)

-Église Saint-Pierre (voir le lien)

Vous pouvez voir ou revoir nos balades en Meurthe-et-Moselle en cliquant sur ce lien!

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(5 clichés)


Entre Côtes de Toul et Boucles de la Moselle notre journée a commencé par la visite du Fort de Villey-le-Sec!
Le fort de Villey-le-Sec est un ouvrage de fortification du 19 siècle appartenant au système Séré de Rivières de la place forte de Toul.
Il s'agit de l'unique exemple d'une enceinte fermée autour d'un village de cette ligne de défense des frontières conçu après la défaite de 1871.


Après une matinée bien agréable nous avons fait un arrêt gourmand à La Brasserie K de Toul!
Je vous donne un avant goût de notre déjeuner!


L'après midi nous étions attendus au Domaine des eaux Bleues de Liverdun!
Cette visite guidée nous a permis de découvrir un domaine qui appartenait, au 19ème siècle, à la famille Corbin, célèbre mécène de « l’École de Nancy » dont les artistes ont construit et décoré cette demeure lovée sur l’antique garenne moyenâgeuse.
Elle trône au centre d’un parc arboré aux essences rares.


Enfin nous avons terminé par un petit tour dans le village médiéval de Liverdun!
Liverdun, ancienne cité médiévale du 12e siècle, fut la principale place forte de l'Evêché de Toul!

J'espère que cette première approche vous a donné envie de découvrir Liverdun!

Je vous invite donc demain pour le début d'une belle balade!



Depuis quelques semaines je vous propose un "fil rouge du dimanche"! Ce fil rouge consiste à nous promener dans ce très beau parc zoologique d'Amnéville, commune située dans le département de la Moselle!

Le Zoo d'Amnéville, c'est aussi un vivarium tropical avec 300 espèces diurnes et nocturnes.

Aujourd'hui, c'est avec quelques photos du vivarium que je vais clore ce fil rouge!

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(15 clichés)


Iguane d'Utila!
C'est une espèce arboricole et principalement herbivore, bien que ce peut être un carnivore opportuniste.


Couleuvre de Montpellier!
Elle est une des couleuvres présentes en France.
Elle ne possède pas de crochets fonctionnant comme ceux de la vipère.
Ses crochets, peu mobiles, sont situés au fond de la mâchoire supérieure et sont cannelés. Ils ne fonctionnent pas à la manière d'une seringue.


La mue d'un serpent!


Serpent des Palétuviers!
Ce reptile venimeux nocturne consomme de petits mammifères, lézards, serpents, poissons et amphibiens.


Varan à queue épineuse!
Il doit son nom à sa longue queue pourvue d’écailles épineuses disposées en rangées transversales.


Serpent ratier oriental!
Il est de couleur jaune-orange à vert olive et possède de larges taches noires mal définies sur le dos qui se relient entre elles.
Elles perdent de l'intensité sur la partie postérieure du corps. Une ligne noir épaisse file de l’œil jusqu'au coin de la bouche!


Couleuvre à nez retroussé!
C'est un serpent opistoglyphe cela signifie qu'il possède des crochets à venin dans la partie postérieure de la mâchoire. De ce fait, il est rare de se faire envenimer par un tel serpent!


Python-tigre!
On trouve ce python dans une grande variété d'habitats allant des prairies aux marais, en passant par les forêts ou espaces rocailleux. Il peut parfois être présent dans des terriers de mammifères abandonnés, des troncs d'arbres creux ou de la mangrove. Dans tous les cas, ils sont présents auprès d'une source d'eau permanente.


Crocodile du Nil!
La longueur moyenne de l'adulte est de 4 mètres mais on a pu observer certains individus qui dépassaient les 7 mètres comme celui qui a été nommé « Gustave » au Burundi. C'est le plus grand crocodile du monde avec le crocodile marin, le gavial du Gange et le caïman noir.


Varan géant de Papouasie!
Très timide ce varan est un des plus beaux!


Varan noir de Beccari!
Ils sont bien adaptés pour vivre dans les arbres. La queue est très longue, atteignant parfois les deux tiers de la longueur du corps et est utilisée comme moyen de préhension pour se stabiliser dans les branches.


Python-tapis!
C'est un animal nocturne qui peut vivre aussi bien sur terre que dans les arbres.


Grand Téju ou Loup des Poulaillers!
Ce Tégu vit entre quinze et vingt ans. Il aime se nourrir de feuillage dense et de fourrage, et en consomme autant que possible avant l'entrée dans l'hibernation en automne.


Lézard plaqué!
On le rencontre de l’Afrique du Sud jusqu’au Mozambique.

Son régime alimentaire est varié, il mange principalement des feuilles, des fleurs et des fruits, mais capture aussi des insectes, des araignées, des scorpions et des petits lézards.

 

À bientôt pour un nouveau fil rouge du dimanche!




Le parc zoologique d'Amnéville est un grand centre qui compte 2 000 animaux originaires des cinq continents et appartenant à 360 espèces différentes.
Cela nous fait rêver!

Aujourd'hui, le fil rouge du week-end va nous emmener admirer quelques beaux spécimens d'oiseaux!

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(12 clichés)


Les manchots!
Les Manchots sont un ordre d'oiseaux de mer inaptes au vol vivant dans l'hémisphère austral.


Les ailes des manchots, devenues inutilisables pour le vol, se sont, par contre, merveilleusement adaptées à la nage et à la plongée.


Le terme « manchot » est spécifique à la langue française.
Il est dû à l'ornithologue Brisson qui utilisa ce terme en référence à leurs ailes réduites.
La confusion entre pingouin et manchot, fréquente dans l’esprit du grand public, est en partie la conséquence de mauvaises traductions en français de documents, de livres ou de films étrangers, principalement anglo-saxons.


Les flamants du Chili!
Le Flamant du Chili est une grande espèce d'oiseaux de la famille des Phoenicopteridae.


C’est un proche parent du Flamant rose.


Une grue couronnée!


La cigogne!
La cigogne est un genre d'oiseaux échassiers souvent migrateurs!


La grue du Canada!
C'est le seul grand oiseau gris d'Amérique du Nord en dehors du Grand Héron.


Le calao terrestre!
Les Calaos terrestres sont des oiseaux de taille grande taille, au long bec courbe surmonté d'un casque creux, avec des caroncules noires ou rouges.


Les perroquets Aras!
Ces perroquets portent un plumage vivement coloré, généralement à dominante rouge ou verte, une longue queue et un bec puissant.


Ils sont recherchés pour leurs couleurs chatoyantes et pour leur aptitude à "parler"!

À bientôt pour la suite de ce fil rouge!



Nous sommes toujours en balade dans ce très beau zoo d'Amnéville en Moselle et notre fil rouge d'aujourd'hui va nous conduire vers quelques espèces de primates!

Les singes sont des mammifères de l'ordre des primates, généralement arboricoles, à la face souvent glabre et caractérisés par un encéphale développé et de longs membres terminés par des doigts. Bien que leur ressemblance avec l'Homme ait toujours frappé les esprits, la science a mis de nombreux siècles à prouver le lien étroit qui existe entre ces animaux et l'espèce humaine.

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(11 clichés)


Singe Gélada!
Le Gélada est la seule espèce vivante du genre Theropithecus.
Ce grand singe ressemble au babouin et vit sur les haut-plateaux d'Érythrée et en Éthiopie.


Les impressionnants Geladas vivent en groupes sociaux constitués d'un mâle et de plusieurs femelles.
Ces singes ont la particularité, malgré leur poids de 35 kilos, de ne manger que de l'herbe.


Les mâles, particulièrement impressionnants, possèdent de larges poils sur le dos et un sablier rouge au milieu de la poitrine, signe de leur maturité.
C'est d'ailleurs grâce à ce sablier que les Geladas se font appeler "Les singes au coeur qui saigne".


Orang-outan!
L'orang-outan vit dans les forêts de Bornéo et Sumatra en Indonésie et Malaisie Orang-Outang signifie homme de la forêt en Indonésien ou en Malais.
Seul grand singe asiatique, il est aussi le seul a avoir un pelage roux au lieu de brun ou noir.


Gorille!
C'est le plus grand et le plus fort de tous les singes anthropoïde.
Végétarien, le gorille se nourrit essentiellement de feuilles et de racines.


Les relations entre eux sont plutôt pacifiques.
Sous ses allures de brutes et son regard paralysant, se cache un géant au grand coeur.


Le gorille est pacifique et tranquille.


Cependant, lorsqu'un mâle atteint la maturité, il cherche à créer son propre groupe en emmenant des femelles de son groupe natal ou en cherchant des femelles d'autres clans.


Des batailles surgissent alors parfois et les nouveaux-nés, considérés comme lien entre la femelle et le groupe peuvent en être victime.


Singe Mandrill!
Le Mandrill est un primate apparenté au babouin et très proche du drill.
Victime de la déforestation et du braconnage, le mandrill est menacé d'extinction!

À bientôt pour la suite de ce fil rouge.



Installée au sein de l'ancienne crèche de la Manufacture Baccarat, le Pôle Bijou est une galerie gérée par la Communauté de Communes des Vallées du Cristal!

Aujourd'hui, nous terminons notre balade à Baccarat par la visite une bien jolie galerie située en plein centre ville de Baccarat!

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(8 clichés)


Construite en 1895, l'ancienne crèche de la manufacture de cristal Baccarat a été réhabilitée pour devenir Le Pôle Bijou Galerie!

(Nature morte
Gérard Morin)


Le Pôle Bijou Galerie est situé en plein centre ville de Baccarat, en bord de Meurthe, dans un carde verdoyant!

(Marqueterie
Violette Belluzzi)


Cette galerie accueille des expositions d'événements liés au monde de la bijouterie.


Ce diptyque a été réalisé en marqueterie de paille et de coquille d'oeuf!


Réalisé par Gérard Morin, il représent Adam et Eve!


Au Pôle Bijou Galerie, toute l'année des évènements sur des thèmes originaux vous font découvrir le bijou sous toutes ses formes, des plus originales aux plus classiques.

(Bijou
Armelle Burbaud)


Je vous retrouve bientôt pour un autre voyage!

(Bijou
Armelle Burbaud)



C'est plus exactement dans le joli bourg de Deneuvre qui jouxte Baccarat, que des fouilles archéologiques menées de 1974 à 1984, ont révélé un site remarquable avec une centaine de représentations sculptées d’Hercule, divinité principale d’un sanctuaire organisé autour de deux sources.

Nous avons pu visiter ce musée, véritable sanctuaire à la gloire d'Hercule!

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(14 clichés)


Cette colonne fut le point de départ de la fouille du sanctuaire de Deneuvre.
En effet, en 1974, Antoine Blaise, désirant creuser un puits fait appel à Gilbert Helle, sourcier!
Sur les indications de ce dernier, le forage commence et frappe une colonne!
Cette découverte va entraîner 12 années de fouilles qui mettront au jour le plus important sanctuaire de sources dédiées à Hercule de la Gaule Romaine.


Cette stèle symbolise le sanctuaire.
La massue et la peau de lion identifie un dieu.
Sur cette sépulture savante Hercule pourrait être confondu avec un empereur.


Le musée abrite la reconstitution du sanctuaire de sources tel que les fidèles l’ont vu au début du 4e siècle.


Les sources, toujours en activité, noyant le lieu, ont imposé le transfert des éléments archéologiques dans ce musée ouvert en 1996.


Jules César ne cite pas Hercule dans la liste des grands dieux honorés par les Gaulois, pourtant son culte semble très répandu en Gaule.


Ce culte est, cependant, rare comme dieu principal d'un sanctuaire de source.


Ce sanctuaire se développe au milieu du IIe siècle avec l’installation de bassins en bois pour capter l’eau.


À la fin du IIe siècle, un essor spectaculaire se traduit par la création de bassins en pierre, les premiers ex-voto sculptés à l’effigie d’Hercule, sont érigés.


Ensuite la fréquentation fluctue jusqu’à la destruction, l’épaisse couche de tourbe qui se forme alors, crée une chape protectrice.


Dans l’Antiquité, le bourg de Deneuvre, installé sur un éperon qui domine la vallée de la Meurthe, est un vicus prospère de la cité des Leuques.


Du IIe au IVe siècle, le sanctuaire d’Hercule a attiré des croyants au profil varié, venant de toute la Lorraine et au-delà, jusqu’au limes rhénan.


Les plus fortunés des pèlerins lorsqu’ils étaient exaucés, passaient commande aux ateliers locaux, d’une stèle à l’image du dieu.


Le visiteur longe les stèles qui figurent Hercule avec la massue et la peau de lion, et atteint les bassins où coule l’eau, cette eau qui permet le contact avec la divinité.

À bientôt!



Lors de notre promenade découverte de ce très beau zoo d'Amnéville, situé dans le département de la Moselle, nous avons traversé la plaine africaine!

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(9 clichés)


Les éléphants!
La principale caractéristique des éléphants est leur trompe appelée proboscis.
Il s'agit d'un organe nasal allongé qui découle de la fusion de la lèvre supérieure et du nez.
La trompe est un organe souple et préhensile leur servant pour porter l'eau et la nourriture à la bouche, tirer ou transporter des objets et pousser des cris.


Les éléphants apparaissent dans de nombreuses cultures.
Il est symbole de sagesse dans la culture asiatique, connu pour sa mémoire et son intelligence, qui est comparée à celle des cétacés et hominidés. Aristote avait dit que l'éléphant est « la bête qui dépasse toutes les autres par l'intelligence et l'esprit ».


Le goundi de l'Atlas!
Le Goundi de l'Atlas est une espèce de petits rongeur appelée aussi Goundi d'Afrique du Nord ou Goundi du Nord.
On le trouve en Afrique du Nord où il occupe les milieux rocheux bordant le désert du Sahara au nord, de la Libye au Maroc.


Le daman!
Les damans sont des mammifères massifs, un peu plus gros qu'un lièvre mais sans queue et avec un museau pointu, la bouche étant pourvue de petites dents pointues très différentes de celles des rongeurs.


Le serval!
Le serval est la seule espèce du genre Leptailurus.


Des analyses d'ADN ont montré que le serval descend du même ancêtre que le lion, mais qu'il constitue une lignée unique n'ayant pas de rapports proches avec d'autres espèces de félins, bien qu'il présente quelques points communs avec le guépard.


Ce chat serval, assez commun en Afrique, vit principalement dans les savanes humides.


Le chat des sables!
Le chat des sables, appelé aussi chat du désert, chat du général Margueritte ou chat de Margueritte, vit dans les régions désertiques
Ce chat possède une tête triangulaire, sa fourrure est souvent couleur sable.


Le léopard!
Le léopard ou panthère est une espèce de félins de la sous-famille des panthérinés.
Ce félin présente un pelage fauve tacheté de rosettes.
Excellent grimpeur et sauteur, le léopard a la particularité de hisser ses proies à la fourche d'un arbre pour les mettre hors de portée des autres prédateurs.

Félin solitaire et opportuniste, le léopard est largement distribué en Afrique et en Asie du Sud-Est sur de nombreux types d'habitats

À bientôt!



Nous sommes toujours à Baccarat, commune située dans le département de la Meurthe-et-Moselle!
Je vous parlais, tout à l'heure, de ce rond-point, "La fontaine de cristal" située sur la route passant devant l'hôtel de ville (voir le lien)!

Cette route, traversant la ville de Baccarat est une partie de la voie de la 2e division blindée de la Normandie à l'Alsace et de la Manche au Rhin!

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(6 clichés)


C'est sur une plage baptisée par les américains du nom codé de "Utah beauch" située sur cette commune normande que la division Leclerc a débarqué le 1er août 1944.
Le souvenir de ces évènements a fait germer le projet de cette voie de la 2 division blindée!


C'est ainsi qu'une première borne a été installée en 2004 auprès du mémorial déjà existant sur la plage, bientôt suivi d'une à Andelot(Haute-Marne) en 2006.
La voie de la 2e division blindée était née!


Cette voie retrace l'itinéraire de cette glorieuse division française depuis Saint-Martin de Varreville en Normandie à Strasbourg en Alsace.
Elle fut la première Grande Unité constituée de la France Libre à débarquer en France.


Le 1er août 194, les premiers éléments débarquèrent à Saint Martin de Varreville, avec le Général Leclerc à leur tête, sur la plage de Utah-Beach là même où la 4ème Division d'Infanterie américaine avait débarqué le matin du 6 juin 1944.
La 2ème Division Blindée était alors l'une des divisions formant partie de la 3ème Armée américaine sous le commandement du Général Patton.


En mars 1941, le Général de Gaulle avait juré avec ses hommes «de ne déposer les armes que lorsque nos couleurs, nos belles couleurs, flotteront sur la Cathédrale de Strasbourg».
C'était le serment de Koufra…



Baccarat est une commune bien attachante! Cristallerie et monuments se succèdent pour notre plus grand plaisir! Après avoir visité l'hôtel de ville j'ai pu admirer le rond point situé juste à son niveau!

Ce rond-point a un joli nom, c'est "La fontaine de cristal"!

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(2 clichés)


Cette fontaine de style moderne a été installée au rond-point devant la Mairie, place du 86e Régiment d’Infanterie.
Un bassin monumental hexagonal en grès rose est occupé en son centre par 3 flèches en grès de différentes tailles.
Chacune des pointes est en plexiglas (à moins qu'elle ne soit en véritable cristal de Baccarat) et rappelle que la notoriété de la ville est due au cristal.
Selon l'angle d'observation, en été, quand l'eau jaillit, le soleil fait briller ces pointes de mille feux.

Vous pouvez retrouver d'autres ronds-points sur ce lien.



Baccarat nous laisse de bons souvenirs! Cette cité située dans le département de la Meurthe-et-Moselle est le coeur historique des cristalleries au nom très célèbre de "Baccarat"!

Lors de cette visite, nos pas nous ont conduit vers l'église saint-Rémy!

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(11 clichés)


Joyau d'art moderne du 20e siècle, l'église saint-Rémy de Baccarat a été érigée entre 1953 et 1957 par l'architecte Nicolas Kazis, aidé de Mr Laquenaire architecte local.
Construite sur les ruines de l'ancienne église détruite en octobre 1944 par un bombardement allié, saint-Rémy est toute entière placée sous le signe du triangle, symbole de la Sainte-Trinité.
La silhouette de l'édifice peut surprendre. On croirait voir l'arche de Noé.
Le clocher, trièdre de 55 mètres, les pieds dans la Meurthe, tel un pieu d'amarrage, immobilise le vaisseau.


La décoration est composée de 20 000 pièces de cristal ajustées dans le béton.
L'ensemble unique au monde se décline en plus de 150 teintes différentes.
Le thème général est: "La Vie et la Lumière".


La réalisation de l'ensemble a demandé 18 mois de travail de juillet 1955 à mai 1956.


Dans le choeur sont représentés les douze apôtres.


Nous y trouvons l'arc en ciel qui symbolise l'alliance entre le ciel et la terre.


Les apôtres sont reconnaissables à leurs attributs traditionnels.


Un très beau mobilier en fer forgé complète l'église!


Deux autres statues sont présentes dans les nefs latérales...


... saint Rémy et une Vierge à l'Enfant de François Brochet.


Cette église est depuis 2013 inscrite au patrimoine de Lorraine et classée au titre national des monuments historique.

À bientôt!



Baccarat, cette cité située dans le département de la Meurthe-et-Moselle, est connue pour sa cristallerie!
Nous vous avons, peut-être, fait rêver en visitant le musée de la cristallerie!
Mais la visite ne s'arrête pas là et notre guide nous a guidé à travers les rues de la ville afin d'admirer quelques monuments tel que l'Hôtel de Ville de Baccarat!

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(12 clichés)


L'Hôtel de Ville a été construit par l'architecte Deville en 1924 à l'emplacement du château Michaut détruit lors de l'incendie de la ville en août 1914, tout comme les 104 maisons des quartiers voisins.
Sur la façade, des médaillons sculptés dans le gré représentent les différents métiers du cristal.


L'Hôtel de Ville s'inspire des maisons flamandes et d'un château de la Loire!


Des oeuvres sont exposées dans le hall!


Elles représentent des chiens...


.... et proviennent du Musée de la Terre de Rambervillers!


En montant les escaliers qui nous mènent aux grands salons....


....nous pouvons admirer des oeuvres signées Edmond Piskorski....


....et représentant des fables de Jean de La la Fontaine!


Les fables de la Fontaine sont toujours d'actualité!


Des lustres monumentaux ornent les grands salons.


À l'arrière de l'Hôtel de Ville, un très beau parc de 10 ha s'étend au bord de la rivière la Meurthe.
Roseraie, jeux pour enfants, arboretum, attirent toute l'année des visiteurs venant de tous les horizon.

À bientôt!



Le Musée de la Cristallerie de Baccarat est une petite merveille!
Un véritable voyage dans le temps nous fait revivre les grandes heures de cette cristallerie de renommée mondiale!

Située dans le département de la Meurthe-et-Moselle ce musée garde, encore une âme...symbole d'excellence!

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(10 clichés)


Grâce aux commandes royales de la part de Louis XIII, Charles X et Louis-Philippe, Baccarat s'honore de l'appellation de "cristal des rois"!


Voici le service de verre crée pour le Tsar Nicolas II.


Dès lors, les créations de Baccarat séduisent toutes les cours d'Europe, de Russie, d'Orient et d'Asie et parent les tables les plus prestigieuses du monde entier...du palais de l'Élysée aux États-Unis.


Au milieu du 19e siècle, le passage du service à la "française" au service à la "russe" détermine une nouvelle manière de dresser la table.


Les verres ne sont plus apportés aux convives les uns après les autres....


....mais sont disposés géométriquement sur la table dès le début du repas de gauche à droite selon leur fonction!


Le service de verre prend place sur la table et.....


......en cristal, il acquiert ses lettres de noblesse!


Apercevez-vous la signature de ce verre? Un rayon de soleil le fait apparaître!

À bientôt!



Notre fil rouge du dimanche n'est pas perdu! Il va même se poursuivre pendant les vacances!
Si vous êtes sur la route de vos vacances, Amnéville et son parc zoologique est un arrêt indispensable!

Aujourd'hui nous allons visiter l'enclos des girafes, enclos situé au niveau de la plaine africaine!
Un manière de faire connaissance avec l’animal le plus grand en hauteur, pouvant, grâce à la longueur de son cou, atteindre jusqu’à 5,50 m ou même 5,80m.

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(8 clichés)


Après des millions d'années d'évolution, la girafe a acquis une anatomie unique avec un cou particulièrement allongé qui lui permet notamment de brouter la cime des arbres.


Les girafes dorment très peu, moins de 2 heures pour 24 heures, et plus volontiers le jour, car elles peuvent continuer à surveiller l'horizon.
En réalité, elles somnolent debout, les yeux grands ouverts et sur des périodes allant de 1 à 30 minutes d'affilée.


Ses caractéristiques physiques, notamment la longueur de ses membres et de son cou, font qu'elle est considérée par la NASA comme le modèle idéal pour étudier l'effet de la gravité sur la circulation sanguine.


Contrairement à une idée répandue, les girafes possèdent des cordes vocales mais elles n'émettent que très rarement des sons, se reposant davantage sur la vision que sur l'audition pour communiquer via par exemple des postures et des mouvements du cou et de la tête.


Comme dans la savane les girafes cohabitent harmonieusement avec les zèbres, autruches, cobes, springboks, grues, ibis et pélicans.....


La grue couronnée grise ou « grue royale » est l’oiseau national de l’Ouganda. Elle est souvent confondue avec la grue couronnée noire, qui partage son territoire, mais s’en démarque par un cou gris pâle, une petite tache rouge en haut des joues, des yeux gris pâle et un sac gulaire rouge plus important.


Il n'est pas rare non plus, d'apercevoir quelques autruches dans l'enclos des girafes!

À bientôt pour la suite de ce fil rouge.



Tout en suivant notre guide je suis aux aguets!
Toujours à l'affût d'une photo à prendre....soudain....je me suis sentie épiée!

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Depuis quelques jours nous nous promenons à Baccarat, cité située dans le département de la Meurthe-et-Moselle, à la découverte de cette ville connue dans le monde entier!

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(11 clichés)


Situé dans l'ancienne demeure de l'administrateur de la Manufacture, le musée du cristal a trouvé sa place au sein même du site de fabrication.


Ce musée est le reflet de l'histoire légendaire de Baccarat.


Cette sélection de pièces emblématiques nous permet, pour un moment, de faire un voyage dans le temps!
Baccarat reçut sa première commande royale en 1823 du roi Louis XVIII. Ce fut le début d'une longue série de commandes pour les familles royales et chefs d'état de toute la planète.


Au plus fort de son activité, la cristallerie produisait des verres pour le Tsar Nicolas II.
Créé pour le tsar Nicolas II, ce verre doublé de cristal coloré, avec sa jambe haute, son pied festonné et son décor à pointes de diamant et palmettes, est spectaculaire.

La légende dit que à la cour du Tsar, on buvait et on jetait le verre par-dessus son épaule....
Les commandes suivaient....


Baccarat fut la première manufacture de cristal à se lancer en 1860 dans la production de flacons de luxe!


Dans la gamme de couleurs de cristal développées, le rouge appelé aussi "le rouge à l'or" est le plus célèbre.


Le cristal des rois!
Dès sa création, sur autorisation du roi Louis XV et sur les commandes de Louis XIV, Charles X et Louis-Philippe, Baccarat s'honore de l'aristocratique appellation "cristal des rois".


Le service Louis-Philippe a été commandé par le roi en 1860.


"Cristal des rois", symbole d'élégance et de perfection!


Juste pour rêver....déguster un café dans du Baccarat!

À demain!



Comment trouvez-vous cette belle girouette?

Ce coq, fier sur ses ergots et protégeant ses petits poussins, m'a vraiment beaucoup plus!

Bonne journée!

Vous pouvez retrouver d'autres girouettes sur ce lien.

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Baccarat, cette commune située dans le département de la Meurthe-et-Moselle, fut tout d'abord un faubourg de la ville de Deneuve aux origines romaines!

C'est Louis XV qui autorise la création d'une verrerie en 1764, à l'instigation de l’évêque de Metz soucieux d'écouler l'importante production locale de bois de chauffage.

La cristallerie Baccarat est une entreprise verrière et manufacture de cristal, de renommée mondiale.

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Nous nous sommes garés non loin de l'église saint-Rémy! Il nous a suffi de nous diriger vers le centre-ville pour accéder à la cristallerie!


Véritable ville dans la ville, ce lieu fut créé lors de la construction de la verrerie en 1764.


À cette époque, l'heure exacte de la température de fusion de la matière était difficile à évaluer!
Il était donc utile de loger les verriers à proximité immédiate des fours!


Répondant aux principes du paternalisme industriel, ce lieu regroupe les logements pour les ouvriers, une chapelle ainsi que l'ancienne demeure de l'administrateur!


Cette demeure abrite, aujourd'hui, le Musée du Cristal!


Ce Musée est le reflet de l'histoire légendaire de Baccarat, symbole d'excellence!

À demain!



Baccarat est une ville située dans le département de Meurthe-et-Moselle.

La ville a donné son nom à la cristallerie mondialement célèbre qui y est implantée depuis le 18e siècle.
Baccarat travaille le cristal suivant la technique apportée par Aimé-Gabriel d'Artigues.
Nombre d'ouvriers ont obtenu le titre de Meilleur ouvrier de France, et ont travaillé sous la direction de M. Roland-Gosselin, directeur artistique de l'usine dans les années 1950.
La cristallerie a conservé son savoir-faire typiquement français, et orne les plus grandes tables du monde entier encore aujourd'hui.

Aujourd'hui, Baccarat est d'actualité!

En effet, la cristallerie française de luxe Baccarat, créée il y a plus de 250 ans en Lorraine, a annoncé qu’elle allait être cédée à un fonds d’investissement chinois, Fortune Fountain Capital!

Cet article servira de récapitulatif à notre balade-découverte de Baccarat!

-Baccarat- Terre de savoir-faire (ici)

-La cour des cristalleries (voir le lien)

-Fière girouette (voir le lien)

-Le musée du cristal (voir le lien)

-On nous épie (voir le lien)

-L'Hôtel de ville (voir le lien)

-Église saint-Rémy (voir le lien)

-Rond-point-La fontaine de cristal (voir le lien)

-La voie de la 2e division blindée (voir le lien)

-Restaurant La Renaissance (voir le lien)

-Le musée des Sources d'Hercule (voir le lien)

Vous pouvez voir ou revoir nos balades en Meurthe-et-Moselle en cliquant sur ce lien!

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(6 clichés)


De la cour des cristalleries au musée du cristal, notre balade a commencé par de belles découvertes!


Notre guide nous a ensuite mené vers l'hôtel de ville qui possède, lui aussi, beaucoup de charme!


Non loin de là....joyau d'art moderne du 20à siècle, l'église saint-Rémy ne vous laissera pas indifférent!


Après une pause gourmande, nous avons été captivés par ce très beau "Musée des Sources d'Hercule"!


La visite s'est terminée par "Le Pôle Bijou Galerie", galerie qui accueille des expositions d'évènements liés au monde de la bijouterie!

Aujourd'hui et pour quelques jours je vous invite à une promenade au gré de cette belle ville de Baccarat!

À demain pour la suite de cette balade!



Mon fil rouge du dimanche se déroule en pointillé mais sans jamais se couper!
Lors de notre visite au parc zoologique d'Amnéville j'ai beaucoup aimé cette espèce de rhinocéros, le rhinocéros blanc!

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Le rhinocéros blanc!
La principale caractéristique visible des rhinocéros est la corne sur leur nez.
La corne avant pousse sur l'os nasal.
Techniquement ce n'est pas une corne, c'est une protubérance de la peau.
Les vraies cornes (vaches, buffles) poussent à partir du crâne.
La corne du rhinocéros pousse environ de 7 cm par an. Elle repousse comme l'ongle.


La peau des rhinocéros blancs est de couleur grise, légèrement plus claire que celle des rhinocéros noirs.
L'odorat est chez lui le sens le plus important, les oreilles et les yeux jouent au contraire un rôle secondaire.
Comme le rhinocéros noir, c'est à peine s'il peut reconnaître quelque chose à plus de vingt mètres.
Sa corne est la plus longue de tous les rhinocéros et sa fonction principale est de déblayer les obstacles lors de la quête de nourriture.


L'hippopotame!
Ce sont des animaux aquatiques massifs au corps en forme de tonneau.


Ils possèdent une tête massive à la large gueule pouvant s'ouvrir jusqu’à 180 degrés, avec à l'intérieur des défenses imposantes qui peuvent mesurer plus de 60 cm chez les hippopotames amphibies mâles.


Leurs narines peuvent se fermer par contraction lorsqu'ils plongent, ce qui s'avère très pratique dans leur mode de vie amphibie puisqu'ils peuvent ainsi éviter l'entrée d'eau dans leurs poumons.


Ces animaux sont principalement herbivores.
L'hippopotame amphibie consomme 40 kg de matières végétales en moyenne chaque nuit.

À bientôt!



Le fil rouge du dimanche est consacré au superbe parc zoologique d'Amnéville!
La commune est aussi appelée "Amnéville-les-Thermes" sur des panneaux routiers et publicitaires depuis le développement du centre thermal et touristique dans le bois de Coulange.

Le Parc zoologique d’Amnéville est un parc situé dans la vallée de la Moselle, entre Metz et la frontière franco-luxembourgeoise, sur la commune d'Amnéville.
Environ 1 500 animaux de 360 espèces y sont présentés sur 18 hectares!

Êtes-vous prêts?
Aujourd'hui nous allons voir les ours!

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Ours blancs!
L'ours blanc possède la morphologie d'un ours typique, un corps imposant, une fourrure abondante, une grande tête rectangulaire, de petites oreilles arrondies, une courte queue et des pattes puissantes et épaisses.
Sa principale particularité est d'être le seul ours à manteau blanc.


L'ours blanc est immédiatement reconnaissable à sa fourrure blanche-jaunâtre qui lui permet de se camoufler dans le paysage arctique.
En réalité, les poils ne sont pas pigmentés en blanc.
Ils sont non pigmentés, donc incolores, translucides et creux, c'est la réflexion de la lumière visible sur la surface interne de ces poils creux qui les fait apparaître blancs. 
Sous son pelage, l'ours blanc a une peau complètement noire ce qui lui permet d'absorber l'énergie lumineuse de façon optimale.


Ours bruns!
Cette espèce, qui fait localement l’objet de programmes de protection ou réintroductions, notamment en France, a été totalement exterminée au Liban, en Suisse, et dans divers pays européens.


L'ours brun peut vivre trente ans à l'état sauvage et jusqu'à quarante ans en captivité.
Les ours bruns ont une grande bosse de muscles au-dessus de leurs épaules qui donne la force aux membres antérieurs pour creuser.


En été il accumule jusqu'à 180 à 200 kg de graisse, réserve dans laquelle il puise pour tenir l’hiver, période durant laquelle il devient léthargique.
Bien qu’il ne soit pas un vrai animal hibernant et qu’il puisse être réveillé facilement, il aime s’abriter dans des endroits protégés telle qu’une caverne ou une crevasse pendant les mois d’hiver.


L’ours brun est en grande partie végétarien.
Il se nourrit de plantes, dont les baies, les racines, et les pousses, champignons et surtout poissons, insectes et petits mammifères.


Mythologie de l'ours brun!
En Bulgarie, en Roumanie, dans les Balkans, en Asie, en Yougoslavie, chez les Indiens d’Amérique du Nord comme dans les Pyrénées, l’ours fut longtemps considéré comme l’ancêtre de l’homme ou encore comme un homme sauvage.
Souvent même il avait le statut d’un dieu.
Ainsi, quand il se dresse sur ses pattes arrière tel un homme, les Béarnais le nomment « lou pedescaou », le va-nu-pieds, ou encore « lou Moussu », le Monsieur.
Cette apparente ressemblance avec l'homme a donné naissance dans l'Ouest des Pyrénées françaises à la légende de Jean de l'Ours, fruit des amoures entre un ours et une femme.

À bientôt pour la suite de ce fil rouge!



La balade au parc zoologique d'Amnéville continue et nous ne quittons pas des yeux notre fil rouge du dimanche!

Suivez-nous et allons voir les ouistitis à toupets!


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Le ouistiti à toupets est une espèce de primate dont la queue est annelée.
Des poils blancs sur le front et autour des yeux lui dessinent un masque de plongée.
De longues touffes auriculaires blanches ou grisâtres, forment un arc semi-circulaire au-dessus et devant les oreilles et cachent les oreilles.


Quadrupède, il court, grimpe, saute ou sautille.
Il progresse parfois par saut-accrochage, bondit parfois avec des mouvements exagérés, notamment pendant le jeu.


Il se repose sur une branche en position assise ou allongé sur le ventre la queue déroulée, au contact d’un ou plusieurs congénères ou bien seul.


Ouistiti pygmée!
Le ouistiti pygmée diffère physiquement des ouistitis des autres ouistitis par une plus petite taille et un pelage agouti strié de bandes.


Titi roux!
Les différentes espèces de Titis varient considérablement en termes de couleurs, mais se ressemblent toutes d'un point de vue morphologique.


Ils ont une longue fourrure tirant généralement sur le rouge, le marron, le gris ou encore sur le noir.


Ils vivent dans des groupes familiaux constitués des parents et de quelques enfants. L'épouillage et la communication sont des éléments importants de la coopération du groupe. Typiquement, les Titis peuvent être vus côte-à-côtes les queues enroulées pendant qu'ils dorment ou pendant un épouillage.

À bientôt pour la suite de ce fil rouge!



Nous suivons notre fil rouge qui nous conduit, chaque dimanche, à la découverte du très beau parc zoologique d'Amnéville!

Aujourd'hui, nous allons à la rencontre des loups, dont le loup à crinière!

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Le loup à crinière doit surtout son nom à la présence d'une longue et abondante toison noire sur son encolure et sur ses épaules.


Par ailleurs, son allure et son aspect de loup, bien qu'il puisse d'ailleurs aussi ressembler à un renard à longues pattes, conforte cette appellation.


Le loup blanc!

Le loup arctique est plus petit que les autres espèces de loup!



Sa toison blanche est plus épaisse que celle des autres loups.


Les loups communiquent surtout avec leur corps, mais aussi avec les sons, dont les hurlements.
Hurler a un grand nombre de significations.
On pense que ces hurlements aident à maintenir le contact social et les liens au sein du groupe.


Les loups sont des animaux sociables qui vivent surtout en meutes, à la tête desquelles se trouvent un mâle alpha et une femelle alpha.
Cette hiérarchie qu'on observe chez toutes les espèces de loups détermine l'ordre dans lequel s'effectue l'alimentation et la reproduction.

À bientôt pour la suite de ce fil rouge!



Sur la route de vos vacances, n'hésitez pas à faire un arrêt à Amnéville, commune située dans le département de la Moselle!
Connu pour son parc thermal, ce site est également réputé pour son parc zoologique!

Poursuivons notre découverte par l'intermédiaire de ce fil rouge consacré, tous les dimanches, au zoo d'Amnéville!

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Fourmilier!
Sa couleur prédominante est le gris, avec une large bande noire, bordée de blanc, commençant au buste, et passant obliquement au-dessus de l'épaule, diminuant graduellement en largeur au fur et à mesure qu'elle s'approche des reins, où elle se termine en un point.


Il est réparti de manière extensive en Amérique du Sud et centrale, fréquentant les basses savanes humides, le long des berges, et dans la profondeur des forêts humides.
Mais nulle part il est abondant.


Tapir!
Son corps est massif et est recouvert d'une peau très épaisse.
Il a une courte trompe, qui lui sert à attraper sa nourriture.


Chiens de prairie!
Les chiens de prairie forment un genre de rongeurs qui comprend cinq espèces. Les espèces de ce genre tirent leur nom de leur habitat principal, les prairies, et du fait que leur cri s’apparente à l’aboiement du chien.


Les chiens de prairie se nourrissent d'herbe et de graines qu'ils trouvent dans la prairie. Ils en consomment beaucoup plus avant l'hiver, afin de constituer des réserves de graisse.


Les individus d'une même colonie sont capables de communiquer en rampant, avec une agitation de leur queue, en se reniflant et avec des cris aigus semblables aux aboiements des chiens pour avertir les autres d'un danger ou donner la position d'un prédateur.

À bientôt pour la suite de ce fil rouge!



Le Parc Zoologique d'Amnéville, situé dans le département de la Moselle, est une très bonne idée de balade si vous passez dans la région!
Nous avons eu la chance d'aller le visiter et j'ai décidé de vous le présenter sous la forme d'un "fil rouge du dimanche"!

Aujourd'hui, nous allons parler des émeux et des kangourous!

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L'émeu, par sa taille, est le deuxième plus grand oiseau du monde actuel derrière l'autruche.


Ce sont des oiseaux nomades capables de parcourir de nombreux kilomètres à la recherche d'une nourriture variée à base de plantes et d'insectes.


Au sens strict, le nom kangourou désigne l'un des membres des quatre plus grandes espèces vivantes : le kangourou roux, le kangourou géant, le kangourou gris et le kangourou antilope.


Les kangourous sont nocturnes.
La queue du kangourou lui sert de trépied au repos, et de balancier quand il saute.
Cette locomotion est appelée « crawl-walking » en anglais, littéralement « la marche rampante ».


Animal emblématique de l'Australie, le kangourou y est plus populaire dans les campagnes que dans les villes comme on pourrait le croire.
En effet, extraordinairement adapté aux conditions de vie extrêmes du bush australien, il capable de supporter en période de sécheresse des températures de plus de 40°C.


La plupart des kangourous sont herbivores, mais certains d'entre eux sont aussi insectivores.

Ils sont actifs surtout au crépuscule et la nuit.


Les kangourous se déplacent par bonds avec une subtilité toute marsupiale, leur vitesse de course est variable, en général elle est de l'ordre de 20 à 30 km/h en croisière et ils peuvent alors parcourir de longues distances en faisant de petits bonds.

À bientôt pour la suite de ce fil rouge!



Notre visite dans ce très beau musée du pays de Sarrebourg se termine par une dernière partie, celle concernant les faïences et les porcelaines de Niderviller!

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La faïencerie de Niderviller, l'une des plus anciennes de Lorraine, est aussi la deuxième manufacture en France à avoir fabriqué également de la porcelaine. Elle fut créée à Niderviller en 1735.

La faïencerie est aujourd'hui une filiale du groupe Les Jolies Céramiques sans kaolin.



Un peu d'histoire.....
En 1735, Anne-Marie André, veuve Défontaine, dame de Niderviller, a l'idée de rentabiliser ses carrières et forêts en lançant une faïencerie.


Pour cela, elle fait appel à un maître faïencier de Badonviller, Mathias Lesprit!


Les premières pièces étaient produites avec la technique du grand feu et s'inspiraient des décors de la Faïence de Rouen .


En 1779, la faïencerie rachète une partie des moules de Paul-Louis Cyfflé  et accueille son meilleur élève, Charles-Gabriel Sauvage dit Lemire  (1741-1827).


Ce dernier fit également de nombreuses statuettes  rivalisant de délicatesse avec celles de Sèvres, mais aussi la série dite des cris de Paris d'un genre plus populaire.


À partir de 1780, Niderviller adopte le décor des porcelaines à l'or mat, dans un goût plus classique, dit Louis XVI.


En 1782, un service en porcelaine polychrome est d'ailleurs offert par le comte de Custine à George Washington - le premier président des États-Unis - au Mount Vernon.


Aujourd'hui, dans les ventes aux enchères, les statuettes ou une assiette du 18e siècle, partent pour quelques milliers d'euros!


Je vous retrouve bientôt pour un nouveau voyage!



Dès la période augustéenne, de vastes domaines s'implantent à l'emplacement d'anciennes fermes gauloises.
Autour de la résidence du propriétaire s'installent les habitations des agriculteurs et les bâtiments d 'exploitation!

Le musée du pays de Sarrebourg nous fait revivre une époque qui nous laisse bien admiratifs!

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De vastes exploitations agricoles se créent.


La densité de ces établissements est particulièrement importante le long des voies de communication (vallée de la Sarre et routes), surtout dans un rayon d'une quinzaine de kilomètres autour de Sarrebourg.


Les fouilles de ces villages ont livré quantité de petits objets qui illustrent la vie quotidienne des habitants.


De nombreux bijoux ont été retrouvés comme des épingles, fibules, boucles, cadenas, clés....


L'utilisation de certains matériaux montrent que les échangent sont, à cette époque, très fructueux!


Si les activités agricoles paraissent prédominantes, l'artisanat est aussi en plein essor!


Tous ces objets proviennent de fouilles réalisées dans la région!

À demain!



Le musée du pays de Sarrebourg fut créé en 1905 à l'initiative d'Adam Reusch, professeur de lycée.
Ces locaux n'étant pas assez vastes, la Ville de Sarrebourg, avec le concours de l'Union Européenne, du Ministère de la Culture et de la Communication, du Département de la Moselle et de la Région Lorraine, fit construire un nouveau musée, qui fut inauguré le 29 juin 2003.

C'est ce musée que nous avons la chance de vous présenter depuis quelques jours.

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Une partie de ce musée est consacrée aux hameaux gallo-romains du piemont vosgien!
La population qui, à partir de l'occupation romaine, s'est installée sur les sommets des Vosges, entre Sarrebourg, Saverne et le Donon, était encore très imprégnée de traditions celtes.
Ce sont des Médiomatriques ou des Triboque!


Durant cette période, le grès et le bois furent des matériaux fort demandés car la plaine se couvrait de village et de bourgs. 
Le grès était extrait dans de véritables carrières, qui sont souvent le noyau de l'agglomération.


Les habitants des sommets vosgiens exploitaient aussi le bois pour le chauffage et la construction.
Ils écoulaient ces matériaux dans la plaine.


Cela nécessitait des moyens de transport et des voies de communication. Un réseau très dense de chemins reliait les hameaux entre eux et à la plaine.


Pour leurs besoins, ces gens pratiquaient une petite agriculture et un peu d'élevage. Il leur fallut pour cela défricher et aménager en terrasses des terres peu fertiles.


Le grès et le bois servaient à la construction des maisons. Le foyer constituait l'élément important de l'intérieur de la maison, pour le reste, nous devons imaginer un mobilier en grès et en bois.


Ces hameaux disposaient de lieux de culte et de nécropoles. Jupiter protégeait la famille
La couverture forestière qui a recolonisé les sites après leur abandon a bien préservé les nécropoles.
Depuis le 19e siècle, on a découvert de nombreuses stèles funéraires, qui témoignent de l'importance accordée aux défunts.


Les fouilles récentes de Hultehouse, de Lafrimbolle et de Saint-Quirin nous ont beaucoup appris sur les usages funéraires.


Le mort était incinéré, ses ossements brûlés étaient déposés en pleine terre, avec un fond de vase brisé, ou recueillis dans une urne en céramique, en grès ou en verre.


Les stèles nous offrent encore des représentation d'Abondance, de Jupiter, de Mars, de Rosmerta, ainsi que d'Epona qui, en particulier dans l'Est de la Gaule, est souvent associée aux rites funéraires.


Le grès était extrait dans de véritables carrières et les stèles étaient sculptés sur place.


Cachette du paysan!
On y retrouve des chaudrons, un entonnoir, des coupelles et un plat creux!
Des socs d'araire, des chaînes d'attelage, des scies....
Ce dépôt de vaisselle et d'outils constituent le bien qu'un habitant gallo-romain avait caché lors d'une période d'insécurité!


À demain!



Le musée du pays de Sarrebourg, que nous avons eu la chance de visiter, fut créé en 1905 à l'initiative d'Adam Reusch, professeur de lycée.
Il possède de très belles collections!

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Dans cette salle les pièces sont consacrées aux périodes les plus anciennes.


Toutes les pièces exposées viennent de la région.


Les périodes glaciaires ont longtemps empêché toute occupation humaine dans nos contrées.
L'homme de Néandertal s'y aventure tout de même autour de -55000 à la faveur d'un réchauffement, laissant derrière lui de minces traces de son passage, tels des éclats de silex débités.


À la fonte des glaciers, vers -15000, l'Homo sapiens s'installe durablement dans notre région.
Il enterre ses morts, comme Alexandre, avec du mobilier funéraire, orne des os de dessins figuratifs ou abstraits et domestique des chiens, parfois même des ours.


Excellent chasseur, ses armes évoluent progressivement de la sagaie vers l'arc aux minuscules pointes de flèches.


L'âge des métaux, période de transition entre préhistoire et Antiquité, voit la métallurgie du bronze puis du fer révolutionner progressivement la vie des communautés humaines.


À l'âge du fer, des tribus celtes, tels les Allobroges, viennent fonder des bourgs dans les vallées, où ils frappent des monnaies gauloises!

À demain!



Nous sommes dans le musée du pays de Sarrebourg situé dans le département de la Moselle et nous nous étions intéressés par la partie du musée consacrée au "Studio Glass"!

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Le Studio Glass est l'utilisation moderne du verre comme moyen artistique pour produire des sculptures ou des œuvres d'art tridimensionnelles.


Cette collection de Studio Glass s'est constituée à Meisenthal!


Meisenthal est une commune située dans le département de la Moselle en Lorraine.


Le village est surtout connu pour sa verrerie, son musée et sa halle verrière!La verrerie de Meisenthal a fonctionné de 1711 à 1969 et sa fermeture a marqué les habitants de la région!


Aménagé dans l'un des bâtiments de l'ancienne verrerie de Meisenthal depuis 1981, la Maison du verre et du cristal retrace les différentes étapes de la fabrication du verre et du cristal.


Un groupe de passionné s'est alors constitué afin de collecter des objets, de l'outillage, des pièces d'archives des verreries de la région.


La dynamique du site verrier de Meisenthal s'est enrichie de nouveau partenaire!


Et toutes ces pièces proviennent du musée de Meisenthal!


À demain pour la suite de cette visite!



Je reprends mon fil rouge du dimanche qui consiste à visiter le parc zoologique d'Amnéville en Moselle!

Aujourd'hui, nous allons nous intéresser aux pélicans!

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Les pélicans sont de grands oiseaux aquatiques piscivores caractérisés par un grand bec muni d'une volumineuse poche extensible.



Les pélicans fréquentent les étendues d'eau libre, à la fois sur les côtes et à l'intérieur des terres, depuis les régions tropicales jusqu'aux zones tempérées chaudes.


La morphologie des pélicans se caractérise par un corps corpulent, de longues et larges ailes et un long bec muni d’une volumineuse poche extensible.
Ils sont parmi les plus lourds oiseaux capables de voler.


À la nage, leurs courtes pattes aux pieds entièrement palmés leur permettent une vitesse pouvant atteindre 6 km/h.


La plupart des espèces de pélicans sont très grégaires.
Ils nichent en colonies et forment des crèches de jeunes oiseaux
Ils se nourrissent en commun, se reposent ensemble et volent en grandes formations.

À bientôt pour la suite de ce fil rouge!



À Sarrebourg, le Parcours Chagall mène le visiteur de la Chapelle des Cordeliers où rayonne le vitrail « La paix » de Chagall, jusqu'au musée où est exposée la tapisserie du même nom.

Dans un espace muséographique contemporain, le musée du Pays de Sarrebourg expose, aussi, des collections d'archéologie, de faïences et de porcelaine de Niderviller.

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"Le cavalier bleu"!
Tapisserie réalisée par Yvette Cauquil-Prince d'après l'oeuvre de V.Kandinsky.


Cette esquisse qui représente une perspective du musée et de la chapelle des Cordeliers a été réalisée par R.Renard!


Seconde esquisse représentant une perspective du musée et de la chapelle des Cordeliers et réalisée par R.Renard!


Vue aérienne de la chapelle des Cordeliers avant sa démolition!


Nous arrivons dans la partie du musée intitulée "Studio Glass"!
"Studio Glass" signifie "verre d'atelier" par opposition au verre de verrerie!


Cette partie du musée est consacrée à des oeuvres toutes issues du musée de Meisenthal.


Ces oeuvres donnent un petit aperçu de ce mouvement (Studio Glass)!


Cette collection présente une grande diversité d'appropriation artistique du verre!


Le verre est un matériau fascinant!


Sa métamorphose est source de créativité!


Il semble destiné à stimuler la créativité des artistes!

À bientôt!



Depuis quelques jours nous visitons Sarrebourg, cette commune située dans le département de la Moselle en région Lorraine!

Et il est un site qu'il ne faut pas manquer si vous passez par là! C'est le très beau musée du pays de Sarrebourg!

Le musée du pays de Sarrebourg a été créé en 1905 à Sarrebourg.
Sa vocation était essentiellement archéologique.
Il est aujourd'hui complété par un espace consacré à Marc Chagall et une exposition de faïences et de porcelaines en provenance de la manufacture de Niderviller.

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À Sarrebourg, il existe un parcours "Chagall"!
Il pars de la Chapelle des Cordeliers où rayonne le vitrail "La paix" de Chagall, jusqu'au Musée où est exposée la tapisserie du même nom!


La tapisserie "La Paix" est une fidèle transcription de la gouache de Chagall qui a donné naissance au vitrail de l'ONU, à New-York (1964)!
Le maître d'oeuvre de cette tapisserie est Yvette Cauquil-Prince.
Le centre de la tapisserie représente la prophétie d'Isaïe qui annonce la réconciliation de toutes les créatures.


Alors qu'en haut à gauche vous voyez Moïse et les tables de la Loi vous avez à droite la Crucifixion!


Moïse et les Tables de la Loi!


Le bouquet, dont surgit un visage et un personnage féminin, rappelle le couple originel, Adam et Eve.


Sur cette partie de la tapisserie vous avez la descente de la Croix.


Extrait de la prophétie d'Isaïe!
"Le loup habitera avec l'agneau
Le veau et le lion seront nourris ensemble
La vache et l'ourse auront la même pâture..."


"Le lion comme le boeuf mangera du fourrage
Un petit garçon les conduira...."


Le règne de la justice occupe une grande partie de l'espace.


Dans le cadre du sacrifice d'Isaac, vous avez Sara serrant Isaac dans ses bras!


"Un nourrisson s'amusera sur le nid du cobra"!


Cette représentation est fidèle à l'eau-forte réalisée pour illustrer La Bible!


Marc Chagall laisse passer un message fort!


Pour l'artiste c'est un symbole d'espoir et de vie!


À demain pour la suite de la visite de ce musée!



Comme je vous l'annonçais hier, la ville de Sarrebourg, située dans le département de la Moselle, accueille des sculptures dans ses rues, places et placettes.

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L’objectif recherché est de mettre l’art et la création artistique au cœur de la cité.


"Sun and Bios"
Arnaud Kasper
Les sculptures ne sont pas dans des musées, mais dans la rue, elles interpellent, émeuvent!


"L'Espiègle"
J.Laniau


"Le Torse"
Ramon


"L'Arrogante"
Charles Gadenne


"Dignité"
Françoise Naudet


"Le Rhinocéros dit le Solitaire"
Hadrien David


"Tellina"
Élisabeth Cibot


"Pierre Messmer" maire de Sarrebourg de 1971 à 1989.


"Instant de solitude"
Jivko


"Jeux de Bacchus"


"L'Heure Bleue"
Jacques Coquillay


"La grande Matinée"
François Cacheux


"Jean et Chistophe"
Monique Mol


"Statue du général Mangin"
Charles Gern

Cette exposition permanente est à découvrir après avoir été visiter la chapelle des Cordeliers et avant d'aller faire un tour au Musée du Pays de Sarrebourg!

Vous l'avez deviné! Demain nous allons au musée!



Sarrebourg est une commune située dans le département de la Moselle.
Cette jolie cité est connue pour sa chapelle des Cordeliers, chapelle que nous avons pu visiter lors de notre balade dans le Pays de Sarrebourg!

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L’histoire de Sarrebourg commence vers 800 ans avant J.C., lorsqu’une tribu inconnue s’installe aux abords de la Sarre.

Vers 20 avant J.C., la ville, nommée « Pons Saravi », est un important point de passage sur une des principales routes romaines : la « Décumane ».



La ville passe aux ducs de Lorraine en 1464!


Assiégée par les Bourguignons en 1476, c’est le duc René II de Lorraine qui la libère.


En 1661 par le traité de Vincennes, Louis XIV rattache la ville au royaume de France comme tout le temporel historique des Trois-Évêchés, alors que la Lorraine est toujours indépendante entre royaume et Empire.


Charles Mangin, né à Sarrebourg le 6 juillet 1866 et mort à Paris le 12 mai 1925, est un général français de la Première Guerre mondiale.


C’est à la suite de l’annexion allemande de 1871 que Sarrebourg, alors proche de la frontière avec la France, va véritablement devenir une importante ville de garnison.


Mais la balade en ville nous montre une belle architecture avec des maisons possédant de très beaux oriels!


La ville accueille, depuis 15 ans, des sculptures dans les rues! Je vous retrouve donc demain pour un parcours particulier!

À demain!



C'est en pensant à Françoise du blog "grainedesucre" que j'ai pris cette photo! En effet, notre amie à l'art de trouver de jolis jeux de mots sur les enseignes de nos villes et villages!

C'est en me promenant à Sarrebourg, cette commune située dans le département de la Moselle, que j'ai aperçu cette belle enseigne!

Vous pouvez voir ou revoir notre circuit dans la ville de Sarrebourg en cliquant sur ce lien!

Vous pouvez revoir d'autres enseignes sur ce lien.

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Située dans le centre historique de Sarrebourg, la Chapelle des Cordeliers, construite au 13e siècle, constitue un élément fort du patrimoine de la ville.

Cette chapelle possède un très beau vitrail, "l'Arbre de Vie" inspiré de l'oeuvre de Chagall (voir le lien)!

Aujourd'hui, prenons le temps d'admirer les autres vitraux, eux aussi, inspirés de l'oeuvre de Marc Chagall!

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"Le vitrail représente la cloison transparente entre mon coeur et le coeur du monde."
Marc Chagall


Les vitraux de Chagall ont été fabriqués à Reims dans l'atelier de Simon par les maîtres Charles Marq et Brigitte Simon!


Depuis 1640, les maîtres-verriers de l'atelier Simon à Reims ont transmis de père en fils un savoir-faire inégalé!


Charles Marq et Brigitte Simon rencontrent Chagall en 1959!


"Nous ne pouvons oublier ce don, cette grâce qu'il avait d'inspirer ses collaborateurs en leur demandant aussi le maximum de leur propre imagination."
Charles Marq


Sur les pièces de verre coloré, Marc Chagall a peint la grisaille, une peinture de couleur noire, les contours des personnages, leurs visages, leurs vêtements....

L'art du travail bien accompli!

À demain!



Sarrebourg est une ville tournée vers la culture, rythmée par deux sites incontournables réunis dans le Parcours Chagall.

Aujoud'hui nous allons nous arrêter devant ce très beau vitrail "l'Arbre de Vie" inspiré de l'oeuvre de Chagall et situé dans la chapelle des Cordeliers!
Nous verrons, plus tard, la tapisserie de "l'Arbre de vie" réalisée par Yvette Cauquil-Prince et toujours d’après l’oeuvre de Marc Chagall!

Vous pouvez voir ou revoir notre circuit dans la ville de Sarrebourg en cliquant sur ce lien!

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(16 clichés)


En 1952, lors d'une visite à Chartres, Marc Chagall est impressionné par les vitraux de la cathédrale!
Il réalise alors ses premiers vitraux pour l'église du Plateau D'Assy!


Avec le renouveau de l'Art Sacré et la nécessité de reconstruire les vitraux détruits par la guerre des artistes tels que Matisse, Braque, Chagall sont sollicités dans le cadre de commandes publiques!


Marc Chagall a crée des vitraux pour la cathédrale de Metz, celle de Reims et pour des édifices le plus souvent religieux dans le monde entier!


Au centre de ce vitrail, un immense bouquet aux tons rouges éclatants!
Ce bouquet représente, l'arbre de Jessé, l'Arbre de Vie qui jaillit de Sarrebourg!


Le couple primordial, Adam et Eve, évoque le paradis terrestre et la paix sur terre rendue possible par l'amour des peuples!


En haut et à gauche!
Le thème de la crucifixion est le symbole poignant de la tragédie du monde mais aussi un symbole d'espérance et de vie.


En bas et à gauche!
Cette scène représente l'entrée du Christ dans Jérusalem. Rarement représentrée dans l'oeuvre de Chagall elle est associée à l'image de David et de sa harpe!


La vision d'Isaïe!
"Le nourrisson s'amusera sur le nid du cobra
Sur le trou de la vipère le jeune enfant étendra la main
Il ne se fera pas ni mal ni destruction sur toute la montagne sainte"!


Le vitrail mesure 12 mètres de haut et 12,5 mètres de large. Il a fallu 18 mois au maître verrier Charles Marq pour le fabriquer!


Pour illustrer la prophétie d'Isaïe qui annonce la réconciliation de toutes les créatures Chagall a peint des animaux: lions, vache, serpent....


Le sermont sur la montagne!


Le prophère Isaïe!


Les animaux de la vision d'Isaïe!


Aux portes de Jérusalem, la vision de la nativité!


Je finirai par un petit clin d'oeil à la façon "échelle sur une carte"!
Afin de mesurer l'importance de ce vitrail vous pouvez voir Marc au pied de cette oeuvre monumentale!

À bientôt!



Notre balade à Sarrebourg, cité située dans le département de la Moselle, nous a conduit à visiter la chapelle des Cordeliers!

Je vous ai présenté l'extérieur de ce bâtiment! Aujourd'hui, poussons la porte d'un véritable musée!

Vous pouvez voir ou revoir notre circuit dans la ville de Sarrebourg en cliquant sur ce lien!

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(8 clichés)


Ce monument remarquable possède des œuvres exceptionnelles de Marc Chagall, comme, par exemple, un vitrail magistral de 12 mètres de haut intitulé "La Paix"!


Je vous en parlerai plus en détail!


Cette chapelle est également ornée de nombreux vitraux, eux aussi signés Chagall!


Située dans le centre historique de Sarrebourg, la Chapelle des Cordeliers, construite au 13e siècle, constitue un élément fort du patrimoine de la ville.


Cette symbiose entre patrimoine historique et création artistique contemporaine fait de la Chapelle des Cordeliers un site unique!


Il faut noter que c'est Charles Marcq, un maître-verrier des ateliers Simon Marq de Reims, qui a reproduit la peinture de Chagall sur le verre, en collaboration avec son épouse Brigitte Simon.


10 ans plus tôt , Chagall, de 1958 à 1961, avait réalisée deux verrières à la cathédrale de Metz.

À bientôt!



Sarrebourg est une commune située dans le département de la Moselle en région Lorraine!
Cette cité, fleurie et bien décorée, est  bien agréable à découvrir d'autant plus qu'elle possède des atouts culturels très importants!

Nous commençons cette nouvelle série par la visite de la chapelle des Cordeliers et cet article servira de récapitulatif à cette balade à Sarrebourg!

-La chapelle des Cordeliers (ici)

-La chapelle des Cordeliers (II) (voir le lien)

-Vitrail Arbre de Vie de Chagall (voir le lien)

-Enseigne et jeu de mots
(voir le lien)

-Les vitraux de la chapelle des Cordeliers
(voir le lien)

-Un petit tour en ville (voir le lien)

-Parcours des sculptures
(voir le lien)

-Musée du pays de sarrebourg
(voir le lien)

-Musée-Studio Glass
(voir le lien)

-Musée-Studio Glass (II)
(voir le lien)

-Musée-De la préhistoire à l'âge de fer (voir le lien)

-Musée-Les hameaux gallo-romain (voir le lien)

-Musée-Les campagnes à l'époque gallo-romaine (voir le lien)

Vous pouvez voir ou revoir nos balades en Moselle en cliquant sur ce lien.

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(6 clichés)


C'est en 1266 que s'installent à Sarrebourg les frères Franciscains, aussi appelés Cordeliers en raison de la corde qu'ils portent autour de la taille.
Ils construisent leur couvent en plein centre-ville.


Une dernière messe est célébrée en 1792, date à laquelle le couvent est transformé en caserne et les chapelle en écuries, à la suite de la Révolution.
Lors de l'annexion allemande de 1870, la chapelle du couvent redevient un lieu de culte pour les soldats protestants.


En 1927, le couvent devient le musée de la Société d'histoire et d'archéologie de Sarrebourg et en 1970, la ville décide de détruire l'édifice qui menace de s'effondrer.


La chapelle est néanmoins conservée et restaurée.


Pour fermer le trou béant situé à l'extrémité Ouest de la chapelle, la ville demande à Marc Chagall de réaliser un vitrail.
Celui-ci, dont le thème est la paix, est livré en 1976.

À demain!



Le Corbusier, cet architecte, urbaniste, décorateur, peintre, sculpteur et homme de lettres, est connu pour être l'inventeur de "l'unité d'habitation" plus connue sous le nom de "Cité Radieuse".

Je vous ai présenté, hier, celle de Briey, commune située en Meurthe-et-Moselle!
Aujourd'hui nous allons visiter les lieux!

Vous pouvez voir ou revoir notre balade autour du plan d'eau de la Sangsue depuis le début en cliquant sur ce lien!

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(8 clichés)


Un appartement témoin nous permet de nous rendre compte de l'espace de ces logements!


L'objectif est de faire des appartements confortables et spacieux le tout au milieu de la verdure!


Le coin séjour est très grand avec loggia et baies vitrées.


Cet appartement est celui qui possède un escalier menant aux chambres!


Souvenez-vous! L'appartement voisin aura, lui, un escalier qui descend vers les chambres!


L’unité d’habitation est conçue comme une ville avec des rues (les couloirs du bâtiments), des commerces, une crèche et même, parfois, une salle de cinéma!


Selon Le Corbusier, l'architecture ne se contemple pas, elle se vit!

À bientôt pour un nouveau voyage!



Depuis quelques jours nous vous présentons la balade que nous avons effectuée à Briey, commune située en Meurthe-et-Moselle.
Nous avions commencé cette visite par le tour du plan d'eau de la Sangsue puis par un déjeuner à la ferme auberge sainte-Mathilde à Tucquenieux!

L'après-midi de cette journée découverte fut consacrée à la visite de la cité radieuse de Briey-en-Forêt!

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(9 clichés)


La Cité radieuse de Briey-en-Forêt, est une unité d'habitation construite entre 1959 et 1960 à Briey par l'architecte franco-suisse Le Corbusier selon le modèle qu'il a établi pour Marseille.


Charles-Édouard Jeanneret-Gris, né le 6 octobre 1887 à La Chaux-de-Fonds, dans le canton de Neuchâtel, en Suisse, et mort le 27 août 1965  à Roquebrune-Cap-Martin, plus connu sous le pseudonyme de « Le Corbusier », est un architecte, urbaniste, décorateur, peintre, sculpteur et homme de lettres, suisse de naissance et naturalisé français en 1930.


Le Corbusier, l'un des principaux représentants du mouvement moderne a également œuvré dans l'urbanisme et le design.

Il est connu pour être l'inventeur de « l'unité d'habitation », concept sur lequel il a commencé à travailler dans les années 1920, expression d'une réflexion théorique sur le logement collectif.



L'objectif est de loger la population alors en pleine augmentation en lien avec l'expansion des mines de fer et de l'industrie sidérurgique.


Nous arrivons dans un couloir qui a été conçu relativement large afin de permettre aux enfants de pouvoir jouer et même de rouler en vélo s'ils le souhaitaient!
Le but était de rendre le lieu familial, agréable à vivre et harmonieux!


Les appartements sont construits sur deux étages et de type traversant.
Un premier appartement est conçu avec les chambres au niveau supérieur!


L'appartement suivant est conçu lui aussi sur deux étages! Mais pour aller dans les chambres il faut descendre les escaliers!
Ainsi les appartements s'emboîtent deux à deux!


Le Corbusier fut très critiqué après avoir inauguré ces "Unités d'habitation"!
Mais les habitants ont toujours aimé vivre dans ces immeubles où distractions et activités culturelles étaient proposées dans un climat d'amitié!
Dorénavant tout le monde peut dire, "il fait bon vivre au Corbu"!

À demain pour la suite de cette visite!



Nous avons découvert Mance, petit village situé dans le département de la Meurthe-et-Moselle, en nous baladant autour du plan de la Sangsue de Briey!

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(5 clichés)


Les origines de ce village remontent à plus de deux mille ans, quand des Gaulois Belges Médiomatriques se sont installés sur la rive gauche de l'Alis-Mancia, qui signifie "la rivière boueuse" en celte.
Aujourd'hui, cette rivière s'appelle le Woigot.


Et c'est en traversant ce hameau que j'ai pu craquer sur quelques portes!


Chacune a sa personalité!


Toutes sont charmantes!

Vous pouvez voir d'autres portes et fenêtres sur ce lien.



Lorsque vous projetez de visiter le zoo d'Amnéville, il est un spectacle que vous ne devez pas manquer, "Tiger World"!

Les photos étant interdites lors de ce spectacle je vais tout de même vous montrer les acteurs principaux de ce scectacle époustouflant, les tigres!

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(8 clichés)


Aisément reconnaissable à sa fourrure rousse rayée de noir, le tigre est le plus grand félin sauvage et l'un des plus grands carnivores terrestres.


Superprédateur, il chasse principalement les cerfs et les sangliers, bien qu'il puisse s'attaquer à des proies de taille plus importante comme les buffles. Jusqu'au 19e siècle, le tigre était réputé mangeur d'hommes.


« Roi des animaux » et signe zodiacal chinois, le tigre est très présent dans la mythologie hindoue, servant de monture à Durga.


Le tigre blanc, parfois aussi appelé tigre blanc royal, est un tigre  présentant une mutation génétique lui conférant sa robe blanche rayée de noir.


Le tigre blanc est un tigre de l'espèce Panthera tigris, mais qui se caractérise par son pelage blanc rayé de noir ou de marron.


Ses yeux sont bleus et le nez est rose. Il est en général plus grand qu'un tigre normal.


À bientôt pour la suite de ce fil rouge!



C'est en nous promenant dans ce beau village de Mance, en Meurthe-et-Moselle, que j'ai remarqué ce numéro de maison!

Pas besoin de beaucoup d'explication! J'ai intitilé ce cliché, "En passant par la Lorraine"!

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Vous pouvez revoir d'autres numéros de maison sur ce lien.

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Ce jour là, nous avions décidé de nous rendre à Briey, commune située dans le département de la Meurthe-et-Moselle, et de nous promener autour du plan de la Sangsue!

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(13 clichés)


Nous avons démarré cette balade à Briey au point zéro de la promenade du plan d'eau!


Nous avons longé le plan d'eau jusqu'à son sommet! Là, nous avons poursuivi notre flânerie jusqu'au charmant village de Mance!


Après un dernier petit tour dans Mance nous reprenons le fil de notre petit tour en rejoignant l'autre rive du plan d'eau!


Ce sentier, qui utilise une partie de la voie verte, passe dans les sous bois!


La nature reprend goût à la vie!


Et je me surprends à prendre du retard!


Nous quittons les bois pour arriver au niveau du plan d'eau!


Le plan d'eau de la Sangsue! Ne vous fiez pas à son nom ! Le site est un bel endroit!


J'ai pris de nombreux clichés! Et j'ai bien du mal à faire un choix!


Cet endroit est un paradis où tout un petit monde a pris ses marques!


Nous arrivons au terme de cette promenade!


Mais la journée n'est pas finie!

À bientôt pour la suite de cette balade!



Nous vous invitons, en ce moment, à une balade autour du plan d'eau de la Sangsue!
Ce site est situé à Briey, en Meurthe-et-Moselle!

Nous sommes partis de Briey. Le sentier nous a conduit à nous écarter un peu du plan d'eau pour nous emmener jusqu'à un charmant petit village, Mance!

Vous pouvez voir ou revoir notre balade autour du plan d'eau de la Sangsue depuis le début en cliquant sur ce lien!

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(11 clichés)


Pour aller vers Mance, tout en haut du plan d'eau il suffit de suivre le sentier!


Mance est une commune déléguée de Val de Briey!


Cette maison était, à l'origine, le vieux four.


L'église paroissiale Saint-Martin a été construite en 1842.


Maison d'école Robert Dehlinger!


Tout en flânant à travers les rues de ce bourg....


.....mes yeux sont attirés par quelques curiosités!


Le village est bien fleuri et cette promenade est bien agréable.


Nous reprenons le chemin qui va nous remettre sur le parcours du plan d'eau!


Nous suivrons alors "La voie verte"!

À bientôt!



Briey, commune située dans le département de Meurthe-et-Moselle, en région Lorraine,  a donné son nom au bassin ferrifère le plus puissant d'Europe au début du 20e siècle le Bassin de Briey.

Briey est aussi connu pour son plan d'eau, "le plan d'eau de la sangsue"!
C'est la balade que nous vous proposons aujourd'hui!

Cet article servira de récapitulatif à cette balade découverte autour du plan d'eau:

-Plan d'eau de la Sangsue (ici)

-Mance (voir le lien)

-Voie verte (voir le lien)

-Numéro de maison-En passant par la Lorraine (voir le lien)

-Ferme auberge sainte Mathilde (voir le lien)

-Cité radieuse Le Corbusier de Briey-en-Forêt (voir le lien)

-Mance, quelques portes (voir le lien)

-Cité radieuse Le Corbusier de Briey-en-Forêt (II) (voir le lien)

Vous pouvez voir ou revoir nos balades en Meurthe-et-Moselle en cliquant sur ce lien!

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(10 clichés)


La ville de Briey s'organise en quatre quartiers majeurs est traversée par le Woigot, affluent de l'Orne en rive gauche, donc un sous-affluent du Rhin par la Moselle.


Le plan d'eau de la Sangsue est un lac artificiel creusé depuis le cours d'eau originel du Woigot!


Le plan d'eau de la Sangsue a une superficie de 9 ha et, pour en faire le tour à pied, il faut compter au moins 40 min.


Indépendamment de son nom, le site est tout à fait charmant!


Situé au coeur de la ville, le parcours du plan d'eau de la Sangsue a été réhabilité en 2014 et propose une promenade bien agréable!


Les sentiers balisés en font un lieu apprécié de tous.


Et quand je dis de tous.....


Je n'oublie personne!


Le Woigot, à l'aval du plan d'eau, n'est jamais bien loin! Il est classé en 2ème catégorie piscicole.

À bientôt!



Nous partons en voyage chaque dimanche grâce à notre fil rouge consacré, en ce moment, au zoo d'Amnéville!
Amnéville est une charmante commune située dans le département de la Moselle!


Vous pouvez voir ou revoir cette balade depuis le début en cliquant sur ce lien!

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(11 clichés)


Le puma, également appelé lion de montagne ou couguar est un mammifère carnivore qui appartient à la famille des félidés.


C'est un animal solitaire qui vit en Amérique du Nord et du Sud.


Difficile à observer, il ressemble à un léopard sans taches.


Dans la culture précolombienne!
Les civilisations précolombiennes vénéraient le puma comme un dieu.
Dans les Andes, le dieu Viracocha est représenté par le motif du puma sur la porte du Soleil de Tiahuanaco.
Pour les Incas, lors des éclipses de Soleil, Int, dieu du soleil était dévoré par un monstre céleste assimilé à un puma.

Le nom du lac Titicaca signifie le « lac des pumas de pierre » et les plans de la ville de Cuzco au Pérou auraient été conçus en reprenant la silhouette du félin.


Poursuivons notre balade!


Nos pas nous emmènent vers l'enclos des bisons d'Amérique!


Le bison d'Amérique du Nord est l'une des deux espèces de bison encore vivantes, l'autre étant le bison d'Europe.


Bien avant l'arrivée des humains en Amérique du Nord, le bison a été le principal grand mammifère colonisateurs du continent!


Ces troupeaux ont été pourchassés à la fin du 19e siècle au point de menacer quasiment la survie de l'espèce.


Le bison possède un manteau d'hiver aux longs poils brun foncé et un pelage d'été plus léger, d’un brun plus clair.

À bientôt!



Notre promenade à travers les rues de Metz se termine toujours par un arrêt gourmand!

Nous sommes à la fin de notre balade et vous pouvez voir ou revoir notre promenade dans le quartier de la Comédie à Metz depuis le début en cliquant sur ce lien!

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(8 photos)


Nous avons quitté les rives de la Moselle et passé le pont des Roches. Nous nous dirigeons vers la place d'Armes où se situe la cathédrale ainsi que notre arrêt gourmand préféré, "Brochettes et Cie"!


Nous sommes charmés par l'accueil sympathique et par un intérieur plein de charme!


Le petit café est bien accueilli!


Tout comme ces délicieux petits moelleux au chocolat!


Il est temps de rejoindre le Mettis, ligne de bus inaugurée en 2013 et reliant Woippy à Metz jusqu'au quartier de Borny.
Mais....comme d'habitude....je m'attarde dans ce beau quartier des roches!


Le quartier des Roches date du 6a siècle, époque à laquelle il y avait un port fluvial sur le bras navigable de la Moselle.
e quartier où il est construit date d’il y a très longtemps, au moins du 6ème siècle, époque à laquelle il y avait un port fluvial sur le bras navigable de la Moselle.

Article original ici : Ponts de Metz : le pont des Roches http://tout-metz.com/histoire-pont-des-roches-metz-800.phpLe quartier des Roches


Au 9e siècle on décide de fortifier Metz et de construire des murailles qui ont donné son nom à ce quartier!

Nous quittons Metz mais je vous retrouve bientôt pour un nouveau voyage!



Ville bi-millénaire, l'oppidum celte des Médiomatriques, connu sous le nom latin de Divodurum Mediomatricorum, puis comme Mettis, devient la capitale du royaume franc d’Austrasie.
Ville commerçante de l'Empire carolingien, Metz est le siège d'un puissant évêché, et une cité commerçante et bancaire d’importance du Saint-Empire romain germanique.
Convoitée par le Royaume de France, Metz devient une place forte française au 16e siècle, avant d'être annexée par l’Empire allemand au 19e siècle.

Nous sommes presque à la fin de notre balade et vous pouvez voir ou revoir notre balade dans le quartier de la Comédie à Metz depuis le début en cliquant sur ce lien!

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(10 photos)


Nous passons devant le Conseil Général.