la fillomiere

Mardi dernier, j'avais une hausse de tension, qui me donnait l'ipression d'être nuageuse !!
Un mal de tête imprécis, mal du "pylore" bref mal foutue, je vais à l'atelier d'écriture dans lequel j'écris un beau texte mais si personnel que je n'ai pas pu le lire à voix haute.
Quelqu'un d'autres à dû le faire pour moi.
Je reviens vers le Self et là ... une nausée qui finit en arrosage sur une infirmière (Tant pis pour elle, nous ne nous aimons pas vraiment) C'est balot, ballot . On appelle mon mari pour qu'il me conduise chez mon généraliste, qui devra donner son verdict !!!
Mon éPOUX refuse car je commençais a avoir des vertiges.
Bon à contre coeur les référentes, me transportent aux urgences ... arrivée à 15h .... avec mes affaires tachées de vomi, et j'ai attéri dans une chambre à 2 h !!! de la nuit. Et cela se nomme URGENCES .... rigolade.
Bon je vous passe, les accrocs avec un urgentiste qui donne un son de cloches et son chef qui conclu autrement !
Bref les médicaments dont les notices précisent de ne pas jouer à l'apprenti sorcier en mélangeant certaines molécules !!!

De retour à la maison, samedi, j'ai trouvé que je n'étais pas encore abimée, je percute l'escalier avec l'orteil Felure ... rebelote ... généraliste ! radiographie.

Heueusement pour nous, il n'était pas dans les parages. Cependant la thèse retenue correspond à l'erreur qu'à commise mon garçon ... au mois de mai et qui a détruite complètement sa clio..  1 seconde il n' plus surveillé sa trajectoire pour ramasser un objet au sol ... la voiture à continué son chemin seule et il a fait un tonneau. Tout cela à été très rapide et son commentaire ..."je me suis cru dans une machine à laver "...


Cette nuit là, j'ai cauchemardé car j'ai revécu mon premier accident à 20 à l'heure, mais j'ai plié les troênes de l'école et me suis arrété dans le pilone de l'EDF.

C'était en 1973 et pourtant je conserve à la mémoire tous les détails,aussi précisément  que si c'était la semaine passée
   

Toujours prête à donner jusqu'à ma culotte, je rencontre des déconvenues comme tous les gens généreux.

Approcher des personnes atteintes de mal-être demande une grande force de caractère.
Notre jeune association est destinée au 45-60 ans. Bien soutenue par la maison de quartier qui nous accueille, on nous confond volontiers avec un recours pour les gens à bout de ressources (sous tous les sens du mot).

Ces personnes s'accrochent et béneficient de beaucoup d'avantages, alors elles se laissent porter et veulent tout pour rien !

Nous avons des frais incompressibles tels les consommables (encre, portables avec Wifi, assurance, parution au Journal officiel). Nous sommes donc tenus à refuser ces individus qui relèvent d'un suivi médical.