Toute la complexité, la beauté de la nature, dans la première fleur du printemps. Celle dont on ne se soucie pas, qu'on ne regarde même plus et qui nous a tant amusé enfant, au moment où vient le temps de sa transformation. Celle qui nous a aiguisée les papilles en salade. Cette plante est utilisée comme remède, vin médicinal, décoction, jus de pissenlit et même comme teinture.
Au potager il éloigne les doryphores. Des champs entiers, des vergers de cerisiers blancs en Provence, et aux pieds des milliers de petits soleils jaunes. Ils captent et projettent déjà la chaleur du grand Soleil. La vie est belle car où que nous regardions, dans la nature,
" Le rêve qu’on a en soi,on le retrouve hors de soi."
Victor Hugo.
Merci à Super mamie Suzanne
(qui à donner l'idée de cette article)