Il y avait la mer et le sable,
le mouvement de l'horizon
et c'était TOI.
Ta main pressait la mienne
dans la main du vent,
ta bouche courait sur moi
dans l'attouchement du soleil.
Tu me tuais à n'être nulle part
et partout,
à déferler sur moi comme la mer,
à glisser sous mes paumes comme le sable.