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LA GUILLAUMETTE
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Blog créé le 31/08/2007

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La recette de Nathalie (gratin de pommes au beurre de spéculoos) publiée sur son blog "Bois de Rose", m'a tout de suite tentée. Mais je n'avais pas de pâte de speculoos.
En regardant les richesses de mon placard, j'ai trouvé un petit pot de crème de caramel au beurre salé que j'avais acheté à un marché de produits régionaux. J'ai pensé qu'il pouvait remplacer la pâte de speculoos et en effet..... testé et approuvé!

Voici les ingrédients de la recette :

- 2 pommes
- 2 jaunes d'oeufs
- 100ml de crème
- 10g de maïzena
- 2 cuillères à soupe de sucre
- 50g de beurre
- 3 cuillères à soupe de crème de caramel au beurre salé (ou de pâte de speculoos) 




1 - Dans un saladier, battre les jaunes d'oeufs avec le sucre et la crème. Ajouter la maïzena.

2 - Faire fondre le beurre avec la crème de caramel au beurre salé et l'ajouter au mélange précédent.


3 - Couper et répartir les tranches de pommes dans des petits plats beurrés.
Verser la préparation.


4 - Mettre au four préchauffé à 200° pendant 25 minutes. 


Nathalie...



Pour terminer un paquet de biscuits entamés, j'ai réalisé cette petite recette toute simple et rapide.


Les ingrédients :

- quelques biscuits
- 2 sachets de préparation pour flan à la vanille
- 1 litre de lait
- quelques vermicelles et feuilles en chocolat pour la décoration 


1 - Préparer le flan à la vanille selon le mode d'emploi inscrit sur le paquet.

2 - Disposer les biscuits dans le fond d'un moule et verser le flan chaud sur les biscuits. Laisser refroidir et placer au réfrigérateur quelques heures. 

3 - Démouler délicatement. Décorer le dessus du gâteau avec des vermicelles et des feuilles en chocolat ou toute autre déco.


Voici une manière gourmande de présenter un flan classique!



Et bien, Mam'zelle Hinès est en pleine forme. Nous sommes allés à une visite de contrôle chez le véto et la plaie est toute belle. Lundi prochain, on lui enlève les fils.
Cela ne l'empêche pas de gambader au jardin et d'être devenue une aide précieuse pour Roger....


Mais courir dans tous les sens, ouvre l'appétit... Alors, aller manger dans la gamelle avec Pirate, c'est rigolo!


Et puis quand la fatigue se fait sentir, rien de tel que de venir se reposer à côté de Pirate et bien sûr, sur le canapé! Quel bonheur d'avoir ces deux compagnons!





Je continue à explorer les recettes de frites proposées dans le livre qui accompagne ma friteuse ACTIFRY. Aujourd'hui, je teste les frites au mélange colombo.

Connaissez-vous cette poudre de colombo? c'est un mélange d'épices utilisé dans la cuisine antillaise mais aussi le nom d'un plat. C'est un "cousin" du curry. Il doit son nom à la capitale du Sri Lanka. Il est composé de paprika, cumin, coriandre, noix de muscade, gingembre, poivre, cardamome, anis étoilé, clous de girofle, graines de moutarde et safran.  
  


Il vous faut pour 4 personnes :

- 1 kg de pommes de terre
- 1 cuillère d'huile d'olive
- 1 cuillère d'huile de sésame
- 1 cuillère de mélange de poudre de colombo

1 - Eplucher les pommes de terre et les couper en bâtonnets d'un centimètre de côté. Rincer abondamment les frites coupées, les égoutter et les sécher soigneusement.


2 - Dans un ramequin, mélanger l'huile d'olive, l'huile de sésame et la poudre de colombo.
L'huile de sésame résulte de la première pression à froid de graines de sésame grillées. Elle est recommandée pour donner un goût de noix à vos préparations.

3 - Placer les frites dans ACTIFRY et verser le mélange sur les frites. Laisser cuire 40 à 45 minutes.


J'ai préparé un steak tartare...


... que j'ai accompagné d'une salade de carottes de la motte et des frites au colombo.





Suivez-moi, partons à la découverte des dernières villas année 50 du quartier de Pontaillac à Royan. Si vous avez manqué le début de la promenade, cliquez sur ce lien pour le découvrir.  

Au début de la rue de la corniche, nous découvrons la "Villa MIRABELLE" dont le maître d'oeuvre est R. BARRE.
Dans cette villa, chaque détail participe à la qualité de l'ensemble. L'entrée est un subtil mariage de briques, verre et béton. L'étage se prolonge en une vaste terrasse avec vue sur l'océan. La toiture terrasse se prolonge et est supporté par de fins pilotis métalliques. Il est percé d'une baie ouverte sur le ciel pour permettre au soleil de pénétrer dans la maison. 
Cette construction est vraiment audacieuse et originale.  


Cette "villa Mitoyenne", réalisée par Roland LEGAY et Raymond PATOUT a été divisée en 2 appartements. Avant, le garage était inexistant et offrait une vaste terrasse couverte au-dessus du rez-de-chaussée. La façade principale a été perforée pour laisser davantage pénétrer la lumière. Ces orifices qui permettent l'étanchéité, s'appellent des culs de bouteille ou oculus.
Les ferronneries sont d'époque.


Cette villa a été réalisée par Marcel CANNELAS. A l'origine, cette maison qui fait penser à un cabanon, était perchée sur 6 piliers de béton. C'était un petit logement surélevé. On remarque dans la façade, au-dessus des volets actuels une rainure qui à l'époque, permettait de faire coulisser les persiennes.    


Le maître d'oeuvre de cet immeuble est Marc HEBRARD. Cet immeuble qui comporte 4 appartements, est une accumulation de matériaux différents. La pierre est utilisée pour le soubassement et le mur du coin du feu. Le verre et le métal servent à créer des alcôves d'angle. Le béton dessine la forme générale. Comme dans la villa précédente, les volets coulissaient sur des rails horizontaux.


Si mes articles vous ont intéressé(e)s, sachez qu'en juin 2012, une équipe de France 3 "Des Racines et des Ailes" est venue filmer l'architecture de Royan et plus particulièrement sa reconstruction. 
Ces séquences seront intégrées à une émission plus globale consacrée au Poitou-Charentes et dans laquelle Royan et son architecture auront une bonne place. La diffusion est prévue en avril 2013.

Sur la photo, on reconnait lors du tournage, Antoine-Marie PREAUT, l'architecte avec lequel nous avons fait cette superbe promenade découverte des villas 50. 



Base militaire allemande, en 1940, Royan ayant un statut de site stratégique, subit une occupation extrêmement difficile.
Le 5 janvier 1945 vers 4 heures du matin par -5°, deux vagues de bombardiers de la Royal Air Force détruisent la ville en larguant plus de 1500 tonnes de bombes. Tout ce qui a fait le renom de la station balnéaire n'existe plus. 85% du centre ville disparaît.

Suite à ces destructions, Royan sert, avec d'autres villes, de laboratoire de recherche sur l'urbanisme. En août 1947, c'est le projet d'aménagement de l'urbaniste Claude FERRET qui est retenu. L'architecture de la reconstruction se veut révolutionnaire. Les travaux durent une dizaine d'années.

"Les amis du Musée" de Royan ont organisé fin septembre une promenade découverte des villas des années 1950 du quartier de Pontaillac à Royan à laquelle nous avons pris part.


Nous avions rendez-vous au musée de Royan (quartier de Pontaillac). Construit en 1958, ce bâtiment est l'ancien marché de Pontaillac. Mais en 1999, il voit diminuer sa fréquentation et son activité et ferme ses portes. Il a opéré sa reconversion en laissant place le 1er février 2004 au nouveau Musée de Royan. 


Cette promenade découverte est commentée par Antoine-Marie PREAUT, architecte et urbaniste de l'état qui est l'auteur d'un magnifique livre sur le Royan des années 1950. J'avais acheté ce guide en 2009 car il est très intéressant et nous permet de découvrir les différents visages de Royan.


La promenade débute par la villa "Grand Large". Sa façade reculée permet de se protéger du soleil. Le toit est en terrasse et il est maintenu par un imposant pilotis en béton autour duquel s'enroule l'escalier hélicoïdal menant à l'étage. Il permet un accès aux chambres de la maison.
Derrière les claustras, sur l'autre façade de la maison, se trouve une importante cage d'escalier.
Le maître d'oeuvre est Louis SIMON.


Cet étonnant "cabinet médical HEBRARD" vient compléter une habitation existante. Le bâtiment projette une de ses façades sur la rue, tenant en retrait l'entrée réservée à la clientèle.
La fenêtre de la salle d'attente est habillée d'une claustra en bois. Près de la porte d'entrée, deux filins métalliques soutiennent un auvent au-dessus de la porte afin de protéger l'entrée des intempéries. 
Marc HEBRARD est la maître d'oeuvre.


"La Villa Marcel CANNELAS" porte le nom du maître d'oeuvre qui est aussi à l'origine de l'Auditorium. Le sous-sol est en retrait afin de conférer de la légéreté à l'étage. L'escalier est très sobre et conduit à la porte d'entrée placée en chicane afin d'offrir au logement une certaine intimité.
On identifie facilement les pièces de jour qui sont au soleil et les celles de nuit qui sont à l'ombre.
Elle a été construite entre 1954 et 1956.


"La villa Pierre MARMOUGET" est actuellement une petite co-propriété de 2 appartements qui a été fraîchement ravalée dans la note. Cette couleur orange avait été choisie dans les années 50 pour apporter un aspect ludique après la guerre. 
Cette arcitecture fait penser aux films de Jacques TATI. Le plan des appartements est très ergonomique et confortable. Les menuiseries sont en bois et les volets coulissants pour pouvoir gérer la lumière.


Le maître d'oeuvre de cette "Villa SOLAROC" est Marc HEBRARD qui sans doute, a voulu en faire sa résidence principale.
Cette villa n'a rien des toits en terrasse et des pilotis qui caractérisent l'architecture des années 50. Son originalité tient à sa toiture à pan unique. Le rez-de-chaussée est traité en maçonnerie de pierres pour se fondre avec le sol.     
On aperçoit une courbe de verre et de pierre qui prolonge le séjour. Ce sont les prémices de la véranda.

A une autre fois pour la suite de notre promenade!  



Tarte automnale

 21/10/2012


avec la dégustation de cette tarte aux fruits d'automne....

- 1 pâte feuilletée
- 1 petit pot de compote pommes-châtaigne
- des pommes Rubinette
- 1 grappe de raisins


Avec un thé ou un café, ça vous dit?





Toujours dans le but de ne pas jeter un restant de purée, j'ai préparé ces galettes aux allumettes de jambon!

- 500g de purée
- 180g de gruyère râpé ou comté
- 2 oeufs
- 100g de crème liquide
- 90g de farine
- 1 paquet d'allumettes de jambon
- poivre du moulin 
- huile d'olive


1 - Mélanger tous les ingrédients et ajouter les allumettes de jambon.

2 - Former des galettes. Les faire revenir dans de l'huile d'olive sur les deux faces.


3 - Pour ne pas qu'elles soient trop grasses, je les égouttes sur des feuilles de papier essuie-tout.


4 - Servir tièdes avec une bonne salade verte et quelques tomates cerises.







Nous quittons le centre ville de Metz (voir lien vers article précédent) et nous nous dirigeons vers le quartier gare ou quartier impérial qui a été urbanisé durant l'Annexion allemande de 1870. L'Empereur Guillaume II veut "germaniser" la ville en créant une nouvelle cité à l'architecture allemande. 

Les bâtiments de ce quartier doivent affirmer l'appartenance de Metz à l'Empire et glorifier le pouvoir impérial.


La poste centrale a été construite entre 1908 et 1911 par l'architecte Kröger qui construisit aussi la gare. Elle est située à côté de la gare  pour des raisons d'efficacité : la rapidité d'acheminement du courrier est capitale... surtout en cas de conflit.

La poste est un parfait exemple de la "germanisation" de Metz par l'architecture imposée par Guillaume II. Elle est de style néo-roman et en grès rose.


La gare fut édifiée entre 1905 et 1908. C'était alors le phare de la nouvelle ville édifiée par les Allemands. Chargée d'une symbolique extraordinaire, elle affirme la puissance de l'Empire allemand voulue par Guillaume II.

Les techniques de construction utilisées étaient ultramodernes. Ainsi, la gare repose-t-elle sur plus de 3000 pilotis en béton armé, enfoncés à 17 m de profondeur. Avec une longueur de près de 300 mètres, cette gare, bâtie sur deux étages, est la plus longue de France.



Nous traversons la gare et empruntons une passerelle pour rejoindre le quartier de l'Amphithéâtre. Comme son nom l’indique, subsiste sur ce territoire un site archéologique souterrain d’un ancien amphithéâtre gallo-romain.

Il accueille le centre Pompidou-Metz ayant ouvert ses portes au public le 12 mai 2010.



Le Centre Pompidou-Metz est un centre d’art dédié à l’art moderne et contemporain, qui a pour projet culturel la présentation d’expositions temporaires et la programmation de spectacles vivants, de séances de cinéma et de conférences dans deux salles dédiées, le Studio et l’Auditorium Wendel.


Après l'ouverture du Centre Pompidou-Metz, le quartier de l'Amphithéâtre poursuit son développement. Ces prochains mois donneront lieu à la sortie de terre de quelques bâtiments comme l'îlot B2 (photo ci-dessous). 
Nous découvrons les évolutions à chacune de nos vacances. C'est impressionnant!


Nous passons devant "Les Arènes", palais omnisport et sommes à présent dans le Parc de la Seille.  


Nous marquons une pause devant l'oeuvre de Franco Adami "Libérazione" créée en 2000, sculpture de marbre et bronze qui rassemble les influences éthniques de l'artiste que sont l'art africain, l'iconographie étrusque et l'art aztèque.

Lors d'une précédente promenade dans ce parc, je vous avais parlé d'une autre oeuvre très originale qui s'appelle "Tremblement de ciel". C'est en suivant ce lien que vous lirez mes explications. 


La balade touche à sa fin. Nous empruntons la passerelle de Graoully dont je vous ai déjà parlé dans cet article, pour rejoindre notre chez nous.


Un dernier regard vers ce parc qui incite à la flânerie et à la détente.

En souhaitant que la suite de ma promenade dans cette belle ville vous aura plu, je vous remercie de vous être arrêté(e)s sur cet article.





Dans cet article du 6 octobre 2012 (voir lien), je vous rappelle que le mois d'octobre est consacré à la lutte contre le cancer du sein dans le monde.
Pour suivre certaines bloggeuses de Certiferme, je publie une recette pour marquer mon soutien à cette grande cause.

J'ai choisi de réaliser une brioche aux pralines roses ou brioche de Saint-Genix.

Cette brioche a fait la renommée du bourg médiéval de Saint-Genix-sur-Guiers en Savoie. Voici ce que dit la légende... 

L’origine de cette pâtisserie serait liée à sainte Agathe, martyre sicilienne du IIIème siècle. Comme cette jeune chrétienne repoussait ses avances, le proconsul romain voulut lui faire abjurer sa foi sous la torture, mais en vain. Agathe eut les seins coupés mais ils repoussèrent miraculeusement le lendemain. Et quand elle monta sur le bûcher, la terre trembla, tuant ses bourreaux.
La Savoie s’appropria la légende après le rattachement de la Sicile au duché en 1713 et les femmes prirent l’habitude de confectionner un gâteau en forme de sein le 05 février, jour anniversaire de la sainte.

Mais localement, l'histoire dit que Françoise GUILLAUD, originaire des Abrets en Isère en épousant Pierre LABULLY, amène la recette à Saint- Genix-sur-Guiers. Dès cette époque le succès du gâteau est fulgurant. Il ne contient alors que quelques pralines au sommet. C’est en 1880 que Pierre Labully a l’idée de mettre également des pralines à l’intérieur.

Source : le net.



- 400g de farine
- 60g de beurre
- 40g de sucre
- 2 oeufs
- 125ml de lait
- 1 sachet de levure sèche
- 2 cuillères à soupe de fleur d'oranger
- 200g de pralines roses




1 - J'ai utilisé ma machine à pain pour préparer la pâte.
Mettre tous les ingrédients (en commençant par les liquides) dans la cuve de la machine à pain sauf les pralines roses. Lancer le programme "pâte seulement" qui effectue aussi une levée.

2 - Pendant ce temps, concasser les pralines en les plaçant dans un sac de congélation. Le fermer et taper avec le rouleau à pâtisserie pour les casser grossièrement. Attention, vous devez obtenir de gros bouts et pas des miettes!


3 - A la fin du programme qui dure environ 1h10, sortir la pâte et l'abaisser au rouleau afin d'incorporer les morceaux de pralines. Préchauffer le four à 180°(Th 6).


4 - Former un boudin. Beurrer un moule et déposer la pâte. Laisser lever 1 heure. La pâte doit doubler de volume.


5 - Enfourner et laisser cuire entre 30 et 45 minutes.


Goûtez, c'est un délice! 



Metz est une ville à découvrir... ou à redécouvrir dans son embellissement permanent toujours plus grand à chaque fois que nous y venons en vacances. Nous avons eu la chance de profiter de belles journées ensoleillées pour faire une grande promenade dans la ville. 

Nous sommes au centre ville et traversons l'esplanade qui est le lieu de prédilection des familles et des flâneurs comme nous.


Nous nous arrêtons quelques instants sur un banc pour admirer ces jardins tirés au cordeau, ces pelouses impeccablement tondues, ces larges allées et ces jets d'eau.


A quelques pas de l'esplanade, se dresse Saint Pierre aux Nonnains, l'une des plus vieilles églises de France. Les murs datent de 385.... 
Remaniée au 10ème et au 15ème siècle, l'édifice restauré appartient aujourd'hui au complexe culturel de l'Arsenal.  


L'Arsenal, cet ancien bâtiment militaire construit sous Napoléon III, a été complètement revisité par l'architecte Ricardo Bofill qui a réalisé une architecture contemporaine audacieuse, empreinte de classicisme.
Il a été inauguré en 1989 par Mstislav Rostropovitch.

Aujourd'hui, c'est l'une des principales salles de musique et de danse française. Il est à visiter pour sa décoration intérieure (17 000m² de marqueterie) et les expositions thématiques originales. 


A côté de l'Arsenal, la chapelle des Templiers qui date du 12ème siècle, est le seul vestige de la Commanderie des Templiers.
Prosper Mérimée en 1840, sauve cette chapelle en l'inscrivant sur la première liste des monuments historiques.
En réinventant l'Arsenal, Ricardo Bofill a magnifiquement mis en valeur cette chapelle. Elle fait partie désormais de l'Arsenal et devient pour Metz un exceptionnel lieu de mémoire. 


Le Magasin aux vivres est un ancien bâtiment militaire destiné au stockage des vivres. Aujourd'hui, c'est un restaurant gastronomique dirigé par le chef étoilé, Christophe Dufossé.   


A proximité du palais du Gouverneur, dans le square du Général Giraud, nous découvrons une oeuvre d'art contemporain qui est attribuée à Bernar Venet. Elle fait partie de la série "Arc" et se nomme "221,5°".
Elle est réalisée en "acier corten" et se compose de 15 arcs d'un angle de 221,5° chacun.... Original!


Je vous souhaite une bonne journée. Je vous donne rendez-vous demain pour la suite de notre balade. Je vous attends.... 



Cette tarte est réalisée en un tour de main grâce à la préparation "Crème Amandine" de chez Vahiné. Savourez le fondant et la douceur de l'amande! C'est très pratique quand on est pressée!


1 - Préchauffer votre four à 180° (Th 6). Etaler la pâte dans un moule et piquer le fond avec une fourchette.

2 - Verser le contenu du sachet de préparation dans un saladier, ajouter un oeuf. Bien mélanger et ajouter 150ml de lait.  Mélanger à nouveau.

3 - Laisser reposer 2 minutes et verser sur la pâte. Disposer des moitiés d'abricots (frais ou en boîte) sur la crème. Parsemer d'amandes effilées. Faire cuire 30 minutes. 


Ce dessert a été servi lors de l'invitation de nos amis Geneviève et Daniel (lien vers article).


Un petit conseil : Vous pouvez varier les fruits selon les saisons (pêches, poires, pommes, ...). Pour un résultat encore plus gourmand, vous pouvez napper vos fruits avec le nappage pour tartes Vahiné, après la cuisson.







Gibelotte de lapin

 18/10/2012
La gibelotte est un lapin coupé en morceaux, fricassé et cuit dans du vin blanc. C'est un plat délicieux dont la préparation permet à la chair du lapin de rester onctueuse. On y ajoute des oignons, des champignons et des lardons.


- 1 beau lapin coupé en morceaux
- 200g de dés de lardons fumés
- 1 gros oignon ou mieux des petits oignons (dits sauce)
- 250ml de bouillon de volaille
- 80ml de vin blanc sec
- 1 carotte coupée en petits morceaux
- farine
- 200g de petits champugnons de Paris
- sel et poivre du moulin
- huile d'olive
- thym
- 1 feuille de laurier




1 - Dans une cocotte en fonte, faire revenir vos morceaux de lapin dans de l'huile d'olive et les retourner sur toutes leurs faces afin qu'ils soient bien rôtis. Saler légèrement (à cause des dés de lardons) et poivrer.
Mon petit truc : Je dépose mes morceaux de lapin rôtis sur du papier essuie-tout pour absorber l'excédent de graisse. 


2 - Dans la cocotte, faire revenir l'oignon et la carotte coupés en dés ainsi que les lardons. Quand tout est bien revenu, ajouter les morceaux de lapin rôtis et saupoudrer le tout de farine. Remuer et faire revenir le tout pendant 2 minutes.


3 - Mouiller avec le vin blanc et le bouillon de volaille. Ajouter le thym, la feuille de laurier. Remuer et rectifier l'assaisonnement en sel et poivre.

4 - Laisser cuire à feu modéré une bonne demi-heure.
Il est possible aussi de cuire au four pendant 40 minutes.


5 - Faire cuire des pâtes fraîches et servir chaud.


Ce plat aux saveurs d'antan me rappelle mon enfance. Il contentera, j'en suis sûre, tous vos invités.

Mon conseil : vous pouvez aussi mettre un peu de crème dans la recette et ajouter 1 cuillère de moutarde dans la sauce au dernier moment.
En ce moment, c'est la pleine période de cueillette des champignons, n'hésitez pas à ajouter quelques cèpes qui seront les bienvenus. 



Dans cet article (suivre ce lien), je vous avais raconté comment nous avions découvert cette salade.

Cette jolie et insolite variété italienne de chicorée sauvage donne de grosses salades avec une pomme serrée à condition de les lier avec une ficelle, ce que Roger avait fait.
Si les feuilles vertes extérieures sont trop amères pour être mangées, le coeur en revanche, cache de délicieuses feuilles croquantes et douces de couleur blanc à jaune pâle mouchetées de rouge carmin.


Excellent ! cette salade nous a beaucoup plu ainsi qu'aux enfants. Ils l'avaient goûtée pendant leurs vacances chez nous.

En revanche, l'autre variété dont je vous parle dans l'article du lien, la puntarella, n'a rien donné d'extraordinaire... Dommage car cette salade aussi, était originale.



Roger n'avait pas encore récolté les melons d'eau à la motte. Mais depuis plusieurs jours, la pluie est au rendez-vous. Il a profité d'une belle éclaircie et même d'un beau rayon de soleil pour aller les ramasser. Par la même occasion, il a encore retrouvé quelques courges!!!!!


Comme je vous l'ai déjà expliqué, les melons d'eau ne servent qu'à faire de la confiture. Il n'est pas possible de les manger comme le traditionnel melon charentais.
Nous les avons stockés dans le galetas (petit grenier au-dessus du garage) et je vais encore les laisser mûrir avant d'en faire de la confiture.

Si vous êtes intéressé(e)s par la recette, suivez ce lien qui vous expliquera ma manière de procéder.





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